Paroles de Dieu quotidiennes : Connaître Dieu | Extrait 33

21 mai 2020

Il importe peu à Dieu que l'homme soit insensé – Il demande seulement que l'homme soit vrai

En Genèse 22, 2, Dieu a donné l'ordre suivant à Abraham : « Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t'en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l'une des montagnes que je te dirai. » Ce que Dieu voulait dire était clair : Il disait à Abraham de donner en holocauste son fils unique, Isaac, qu'il aimait. En regardant cela aujourd'hui, l'ordre de Dieu est-il encore en contradiction avec les conceptions de l'homme ? Oui ! Tout ce que Dieu a fait en ce temps-là est tout à fait contraire aux conceptions de l'homme et incompréhensible pour l'homme. Selon leurs conceptions, les gens croient ce qui suit : alors qu'un homme ne croyait pas et pensait que c'était impossible, Dieu lui a donné un fils, et après qu'il eut obtenu un fils, Dieu lui demanda d'offrir son fils. C'est incroyable ! Qu'est-ce que Dieu avait réellement l'intention de faire ? Quel était le but réel de Dieu ? Il a donné un fils à Abraham, inconditionnellement, mais Il a aussi demandé à Abraham de faire une offrande inconditionnelle. Était-ce excessif ? Du point de vue d'une tierce personne, c'était non seulement excessif, mais quelque peu aussi un cas de « créer une tempête dans un verre d'eau ». Mais Abraham lui-même ne croyait pas que Dieu en demandait trop. Bien qu'il eût quelques pensées peu importantes et qu'il se méfiât un peu de Dieu, il était quand même prêt à présenter l'offrande. À ce stade, que vois-tu qui prouve qu'Abraham était prêt à offrir à son fils ? Que dit-on dans ces phrases ? Le texte original raconte ce qui suit : « Abraham se leva de bon matin, sella son âne, et prit avec lui deux serviteurs et son fils Isaac. Il fendit du bois pour l'holocauste, et partit pour aller au lieu que Dieu lui avait dit » (Genèse 22:3). « Lorsqu'ils furent arrivés au lieu que Dieu lui avait dit, Abraham y éleva un autel, et rangea le bois. Il lia son fils Isaac, et le mit sur l'autel, par-dessus le bois. Puis Abraham étendit la main, et prit le couteau, pour égorger son fils » (Genèse 22:9-10). Quand Abraham étendit la main et prit le couteau pour égorger son fils, Dieu voyait-Il ses actes ? Oui, Il les voyait. Depuis le début quand Dieu demanda à Abraham de sacrifier Isaac jusqu'au moment où Abraham leva effectivement son couteau pour égorger son fils, le processus entier a révélé le cœur d'Abraham à Dieu et, indépendamment de son ancienne sottise, de son ignorance et de son incompréhension de Dieu, à ce moment-là, le cœur d'Abraham pour Dieu était vrai et honnête, et il allait vraiment restituer Isaac, le fils que Dieu lui avait donné, à Dieu. En lui, Dieu voyait de l'obéissance, l'obéissance même qu'Il désirait.

Selon l'homme, Dieu fait beaucoup de choses incompréhensibles, et même incroyables. Quand Dieu souhaite soumettre quelqu'un à Son orchestration, cette orchestration est souvent en contradiction avec les conceptions de l'homme et incompréhensible pour lui, mais c'est précisément cette dissonance et cette incompréhensibilité qui sont l'épreuve et le test de Dieu pour l'homme. Abraham, pendant ce temps, fut capable de démontrer l'obéissance à Dieu en lui-même, ce qui était la condition la plus fondamentale de sa capacité de satisfaire l'exigence de Dieu. C'est seulement quand Abraham fut capable d'obéir à l'exigence de Dieu, quand il offrit Isaac, que Dieu sentit vraiment du réconfort devant l'humanité et une approbation envers elle, envers Abraham qu'Il avait choisi. C'est seulement à ce moment-là que Dieu fut certain que cet homme qu'Il avait choisi était un guide indispensable qui pouvait entreprendre Sa promesse et Son plan de gestion ultérieur. Bien que ce ne fût qu'une épreuve et un test, Dieu se sentit satisfait, Il sentit l'amour de l'homme pour Lui et Il se sentit réconforté par l'homme comme jamais auparavant. Au moment où Abraham a levé son couteau pour égorger Isaac, Dieu l'a-t-Il arrêté ? Dieu n'a pas laissé Abraham offrir Isaac, car Dieu n'avait simplement pas l'intention de prendre la vie d'Isaac. Ainsi, Dieu a arrêté Abraham juste à temps. Pour Dieu, l'obéissance d'Abraham avait déjà passé le test, ce qu'il avait fait était suffisant, et Dieu avait déjà vu le résultat de ce qu'Il avait l'intention de faire. Ce résultat était-il satisfaisant pour Dieu ? On peut dire que ce résultat était satisfaisant pour Dieu, que c'était ce que Dieu voulait et que c'était ce que Dieu avait désiré voir. Est-ce vrai ? Bien que Dieu utilise différentes manières de tester chaque personne selon les différents contextes, en Abraham Dieu a vu ce qu'Il voulait, Il a vu que le cœur d'Abraham était vrai, et que son obéissance était inconditionnelle, et c'était précisément cet « inconditionnel » que Dieu désirait. Les gens disent souvent : « J'ai déjà offert cela. Je l'ai déjà oublié. Pourquoi Dieu n'est-Il toujours pas satisfait de moi ? Pourquoi continue-t-Il à me soumettre à des épreuves ? Pourquoi continue-t-Il à me tester ? » Cela démontre un fait : Dieu n'a pas vu ton cœur et n'a pas gagné ton cœur. Autrement dit, Il n'a pas vu la sincérité qu'Il vit quand Abraham fut capable de lever son couteau pour égorger son fils de sa propre main et l'offrir à Dieu. Il n'a pas vu ton obéissance inconditionnelle et n'a pas été réconforté par toi. Il est donc naturel que Dieu continue à te tester. N'est-ce pas vrai ?

– La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même II

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