Comment poursuivre la vérité (17)

Lors de notre dernière réunion, nous avons échangé sur l’abandon des fardeaux qui viennent de la famille des gens. Cet échange a abordé le sujet de l’abandon des attentes que les parents ont vis-à-vis de leurs enfants. Ces attentes exercent une sorte de pression invisible sur chaque personne, n’est-ce pas ? (En effet.) Elles sont l’un des fardeaux qui viennent de la famille des gens. Abandonner les attentes de tes parents signifie abandonner la pression et les fardeaux que tes parents font peser sur ta vie, ton existence et le chemin que tu prends. Autrement dit, quand les attentes de tes parents affectent le chemin que tu choisis dans la vie, l’accomplissement de ton devoir, ton parcours sur le bon chemin, et ta liberté, tes droits et ton instinct, elles font peser une sorte de pression et de fardeau sur toi. Ces fardeaux sont des choses que les gens devraient abandonner au cours de leur vie, de leur existence et de leur croyance en Dieu. Ne s’agit-il pas là d’un contenu sur lequel nous avons déjà échangé ? (Si.) Naturellement, les attentes des parents concernent bon nombre de choses, comme les études, le travail, le mariage, la famille et même la carrière, les perspectives, l’avenir de leurs enfants, et ainsi de suite. Du point de vue des parents, chaque attente vis-à-vis de leurs enfants est logique, juste et raisonnable. Il n’y a pas un seul parent qui n’ait pas d’attentes vis-à-vis de son enfant. Les parents peuvent avoir plus ou moins d’attentes, ils peuvent avoir des attentes plus ou moins grandes, ou ils peuvent avoir des attentes différentes vis-à-vis de leurs enfants à des moments particuliers. Ils espèrent que leurs enfants recevront de bonnes notes, que les choses se passeront bien pour eux dans leur travail, qu’ils auront un bon revenu, que tout se déroulera sans heurts et agréablement pour eux en matière de mariage. Les parents ont même des attentes différentes en ce qui concerne la famille, la carrière, les perspectives de leurs enfants, et ainsi de suite. Du point de vue des parents, ces attentes sont toutes parfaitement légitimes, mais du point de vue de leurs enfants, ces diverses attentes les empêchent, dans une large mesure, de faire les bons choix, elles interfèrent même avec leur liberté, et leurs droits ou leurs intérêts en tant que personnes normales. En même temps, ces attentes empêchent aussi les enfants de mettre à profit leur calibre d’une manière normale. En somme, quel que soit le point de vue duquel nous examinions les choses, que ce soit du point de vue des parents ou de leurs enfants, si les attentes parentales excèdent les limites de ce que peut supporter une personne ayant une humanité normale, si elles excèdent les limites de ce que l’instinct d’une personne ayant une humanité normale peut accomplir, ou si elles excèdent les limites des droits humains qu’une personne possédant une humanité normale devrait avoir, ou des devoirs et des obligations que Dieu donne aux gens, et ainsi de suite, alors ces attentes sont inappropriées et déraisonnables. Bien entendu, on peut également dire que les parents ne devraient pas avoir ces attentes et que ces attentes ne devraient pas exister. Sur cette base, les enfants devraient abandonner ces attentes parentales. Autrement dit, quand les parents adoptent le point de vue ou la position d’un parent, il leur semble qu’ils ont le droit de s’attendre à ce que leurs enfants fassent ceci ou cela, à ce que leurs enfants prennent un certain chemin et choisissent un certain genre de vie, d’environnement d’apprentissage, ou d’emploi, de mariage, de famille, et ainsi de suite. Cependant, en tant qu’êtres humains normaux, les parents ne devraient pas adopter le point de vue ou la position d’un parent, ils ne devraient pas utiliser leur identité de parents pour exiger de leurs enfants qu’ils fassent quoi que ce soit en dehors des limites de leurs obligations filiales ou au-delà de l’étendue des capacités humaines. Ils ne devraient même pas interférer avec les divers choix de leurs enfants et ils ne devraient pas imposer à leurs enfants leurs attentes, leurs préférences, leurs insuffisances et leur insatisfaction, ou le moindre de leurs intérêts. Ces choses, les parents ne devraient pas les faire. Quand les parents nourrissent des attentes qu’ils ne devraient pas avoir, leurs enfants devraient aborder ces attentes correctement. Plus important encore, leurs enfants devraient être capables de discerner la nature de ces attentes. Si tu peux voir clairement que les attentes de tes parents te privent de tes droits humains et que ces attentes constituent une forme d’interférence ou de perturbation quand il s’agit pour toi de choisir des choses positives et le bon chemin, alors tu devrais abandonner ces attentes et les ignorer. Tu devrais le faire parce que c’est ton droit, c’est le droit que Dieu a donné à tous les êtres humains créés, et tes parents ne devraient pas penser qu’ils ont le droit d’interférer avec ton chemin de vie et tes droits humains, simplement parce qu’ils t’ont donné naissance et qu’ils sont tes parents. Par conséquent, tous les êtres créés ont le droit de dire « non » à toute attente parentale déraisonnable, inappropriée ou même déplacée. Tu peux absolument refuser d’assumer toute attente de tes parents. Refuser d’accepter ou d’assumer toute attente de tes parents est la façon de pratiquer l’abandon de leurs attentes incorrectes.

Quand il s’agit d’abandonner les attentes parentales, quelles vérités les gens devraient-ils comprendre ? Autrement dit, sais-tu sur quelles vérités est basé l’abandon des attentes que les parents ont vis-à-vis de leurs enfants, ou à quels vérités-principes se conforme cet abandon ? Si tu crois que tes parents sont les gens qui sont les plus proches de toi dans le monde, qu’ils sont tes patrons et tes dirigeants, qu’ils sont ceux qui t’ont donné naissance et qui t’ont élevé, qui t’ont procuré nourriture, vêtements, foyer et moyens de transport, qui t’ont éduqué, et si tu crois qu’ils sont tes bienfaiteurs, te sera-t-il facile d’abandonner leurs attentes ? (Non.) Si tu crois ces choses, tu aborderas très probablement les attentes de tes parents d’un point de vue charnel et il te sera difficile d’abandonner les moindres de leurs attentes inappropriées et déraisonnables. Tu seras entravé et réprimé par leurs attentes. Même si, dans ton cœur, tu te sens insatisfait et réfractaire, tu n’auras pas le pouvoir d’échapper à ces attentes et tu n’auras pas d’autre choix que de leur laisser suivre leur cours naturel. Pourquoi devras-tu leur laisser suivre leur cours naturel ? Parce que si tu abandonnais les attentes de tes parents, et que tu ignorais ou rejetais n’importe lesquelles de leurs attentes, tu aurais l’impression d’être un enfant indigne, d’être ingrat, de décevoir tes parents et de ne pas être une bonne personne. Si tu vois les choses d’un point de vue charnel, tu feras tout ce que tu peux pour te servir de ta conscience afin de rendre leur bonté à tes parents, afin de t’assurer que les souffrances qu’ils ont endurées pour toi n’ont pas été vaines, et tu voudras également répondre à leurs attentes. Tu t’efforceras d’accomplir tout ce qu’ils te demandent d’accomplir, d’éviter de les décevoir, tu t’efforceras de bien agir envers eux, et tu prendras la décision de t’occuper d’eux quand ils seront âgés, de t’assurer qu’ils auront une fin de vie heureuse, et tu anticiperas même un peu, en prévoyant de te charger de leur enterrement, pour les satisfaire tout en satisfaisant ton propre désir de faire preuve d’amour filial. Quand les gens vivent dans ce monde, ils sont influencés par divers types d’opinion publique et de climats sociaux, ainsi que par les différentes pensées et opinions populaires dans la société. Si les gens ne comprennent pas la vérité, ils ne peuvent considérer ces choses que du point de vue des sentiments charnels, de même qu’ils ne peuvent faire face à ces choses que dans cette perspective. Durant cette période, tu penseras que tes parents font de nombreuses choses qu’un parent ne devrait pas faire, au point que, au fond de ton cœur, tu ressentiras du mépris et de l’aversion pour certains actes et comportements de tes parents, et pour leur humanité, leur caractère, leurs méthodes et leurs façons d’agir, mais tu voudras malgré tout faire preuve d’amour filial, pour les honorer et les satisfaire, et tu n’oseras pas les négliger de quelque manière que ce soit. D’une certaine façon, tu feras cela pour éviter d’être rejeté par la société, et d’une autre façon, tu le feras pour répondre aux besoins de ta conscience. Ces opinions ont toutes été gravées en toi par l’humanité et la société, de sorte qu’il te sera très difficile de gérer les attentes de tes parents et tes rapports avec eux de manière rationnelle. Tu seras forcé d’aborder tout cela en faisant preuve d’amour filial, sans protester contre les moindres actes de tes parents. Tu n’auras pas d’autre choix, tu ne pourras faire que cela. Et de ce fait, il te sera même encore plus difficile d’abandonner les attentes de tes parents. Si tu abandonnes vraiment ces attentes dans ton cœur, alors il te faudra quand même porter un autre fardeau ou supporter une autre pression, à savoir la condamnation par la société, par ta famille étendue et ta famille proche. Tu devras même supporter la condamnation, la dénonciation, les malédictions et le mépris issus des profondeurs de ton cœur, qui signifient que tu n’es rien, que tu ne fais pas preuve d’amour filial, que tu es ingrat, ou même des choses comme : « Tu es un ingrat insensible, tu es désobéissant, ta mère ne t’a pas élevé correctement », choses que les gens disent au sein de la société laïque. En d’autres termes, tu devras supporter toutes sortes de choses déplaisantes. Si tu ne comprends pas la vérité, tu te retrouveras dans ce genre de situation difficile. Autrement dit, quand tu abandonneras les attentes de tes parents, de manière rationnelle, au plus profond de ton cœur, ou quand tu les abandonneras avec réticence, un autre genre de fardeau ou de pression émergera du fond de ton cœur. Cette pression vient de la société et de l’effet de ta conscience. Alors, comment peux-tu abandonner les attentes de tes parents ? Il y a un chemin pour résoudre ce problème. Ce n’est pas difficile : les gens doivent porter leurs efforts sur la vérité et venir devant Dieu pour chercher et comprendre la vérité, alors le problème se trouvera résolu. Donc, quel aspect de la vérité dois-tu comprendre afin de ne pas craindre de subir le fardeau de la condamnation par l’opinion publique, ou de la condamnation par ta conscience dans les profondeurs de ton cœur, ou de la dénonciation par tes parents et de leurs injures quand tu abandonnes leurs attentes ? (Nous devons comprendre que nous sommes simplement des êtres créés devant Dieu. Dans ce monde, nous ne devons pas simplement assumer nos responsabilités vis-à-vis de nos parents, plus important encore, nous devons bien faire nos devoirs et nous acquitter de nos obligations. Si nous pouvons le comprendre, peut-être que nous ne serons pas trop influencés par nos parents ou par la condamnation de l’opinion publique quand nous abandonnerons les attentes de nos parents à l’avenir.) Qui d’autre veut parler de cela ? (La dernière fois, Dieu a échangé sur le fait que, lorsque nous partons de chez nous pour accomplir nos devoirs, d’une certaine manière, c’est en raison de circonstances objectives : nous devons quitter nos parents afin de faire nos devoirs, de sorte que nous ne pouvons pas nous occuper d’eux. Nous ne choisissons pas de les quitter parce que nous fuyons nos responsabilités. Sur un autre plan, nous partons de chez nous parce que Dieu nous a demandé d’accomplir nos devoirs, de sorte que nous ne pouvons pas tenir compagnie à nos parents, mais nous nous faisons du souci pour eux, malgré tout, ce qui est différent de ne pas vouloir assumer nos responsabilités vis-à-vis d’eux et de ne pas faire preuve d’amour filial.) Ces deux raisons sont des vérités et des faits que les gens doivent comprendre. Si les gens comprennent ces choses, quand ils abandonneront les attentes de leurs parents, ils se sentiront un peu plus calmes et plus en paix dans les profondeurs de leur cœur. Mais cela permet-il de résoudre ce problème à la racine ? Sans l’influence de circonstances extérieures plus importantes, ton destin serait-il lié à celui de tes parents ? Si tu ne croyais pas en Dieu, et que tu travaillais et passais tes journées de manière normale, pourrais-tu à coup sûr tenir compagnie à tes parents ? Pourrais-tu à coup sûr être un enfant qui fait preuve d’amour filial ? Pourrais-tu à coup sûr rester à leurs côtés et leur rendre leur bonté ? (Pas nécessairement.) Y a-t-il une seule personne qui agisse toute sa vie dans l’unique but de rendre à ses parents leur bonté ? (Non.) Personne n’est comme ça. Par conséquent, tu dois parvenir à connaître cette question et à percer à jour son essence d’un point de vue différent. Voilà la vérité plus profonde que tu devrais comprendre sur cette question. C’est également un fait, et plus que ça, c’est l’essence de ces choses. Quelles vérités devrais-tu comprendre dans le cadre de l’abandon des attentes de tes parents ? D’un côté, tu dois comprendre que tes parents ne sont pas tes créanciers. D’un autre côté, tu dois comprendre que tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie ou de ton destin. N’est-ce pas la vérité ? (Si.) Si tu comprends ces deux vérités, ne te sera-t-il pas plus facile d’abandonner les attentes de tes parents ? (Si.)

Tout d’abord, nous allons parler de cet aspect de la vérité : « Tes parents ne sont pas tes créanciers. » À quoi renvoie la déclaration : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » ? Ne renvoie-t-elle pas à la bonté dont tes parents ont fait preuve à ton égard en t’élevant ? (Si.) Tes parents ont fait preuve de bonté à ton égard en t’élevant, de sorte qu’il t’est très difficile d’abandonner la relation que tu as avec eux. Tu penses que tu dois leur rendre leur bonté, sinon, tu ne ferais pas preuve d’amour filial. Tu crois que tu dois faire preuve de piété filiale à leur égard, que tu dois obéir à chacune de leurs paroles, que tu dois satisfaire tous leurs désirs et leurs exigences, et qui plus est, ne pas les décevoir. C’est ainsi, crois-tu, que tu leur rends leur bonté. Bien entendu, certaines personnes, qui ont un bon emploi et gagnent un bon salaire, procurent à leurs parents certains plaisirs matériels et une vie matérielle formidable, ce qui leur permet de savourer le succès de leur enfant et d’avoir une vie meilleure. Par exemple, disons que tu achètes à tes parents une maison et une voiture, que tu les emmènes dans des restaurants de luxe déguster des mets fins de toutes sortes, que tu les emmènes en voyage dans des pays touristiques et que tu leur réserves des hôtels de luxe, afin de les rendre heureux et de leur permettre de profiter de ces choses. Tu fais tout cela pour rendre à tes parents leur bonté, pour que tes parents se disent qu’ils ont reçu quelque chose en retour, après t’avoir élevé et aimé, et que tu ne les as pas déçus. D’un côté, tu le fais pour que tes parents le voient, et d’un autre côté, tu le fais pour que les gens qui t’entourent le voient aussi, pour que la société le voit, et en même temps, tu fais tout ton possible pour satisfaire les besoins de ta conscience. Quelle que soit la façon dont tu examines les choses, quoi que tu essaies de satisfaire, dans tous les cas, tous ces actes sont destinés, dans une large mesure, à rendre leur bonté à tes parents, et l’essence de ces actes est de rendre à tes parents la bonté dont ils ont fait preuve à ton égard en t’élevant. Alors, comment se fait-il que tu aies cette idée de rendre leur bonté à tes parents ? C’est parce que tu crois que tes parents t’ont donné naissance et qu’il ne leur a pas été facile de t’élever. Ainsi, tes parents sont devenus, de manière imperceptible, tes créanciers. Tu penses que tu dois quelque chose à tes parents et que tu dois leur rendre la pareille. Tu crois que c’est seulement en leur rendant la pareille que tu auras une humanité et que tu feras véritablement preuve d’amour filial, et que leur rendre la pareille est la norme morale qu’une personne devrait respecter. Donc, ces idées, ces opinions et ces actes émergent, par essence, parce que tu crois que tu dois quelque chose à tes parents et que tu dois leur rendre la pareille. Dans une large mesure, tes parents sont tes créanciers. Autrement dit, tu crois que tu as une dette envers eux du fait de la bonté dont ils ont fait preuve à ton égard. Maintenant que tu as la possibilité de leur rendre la pareille et de les dédommager, tu le fais : en fonction de tes capacités, tu utilises l’argent et l’affection pour les dédommager. Alors, agir ainsi, est-ce faire la démonstration d’une véritable humanité ? Est-ce là un véritable principe de pratique ? (Non.) Pourquoi dis-Je que tes parents ne sont pas tes créanciers ? Puisque la déclaration : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » est la vérité, si tu considères tes parents comme tes bienfaiteurs et tes créanciers, et si tout ce que tu fais est destiné à les dédommager pour leur bonté, cette idée et cette opinion sont-elles justes ? (Non.) Ce « Non » n’a-t-il pas été dit avec beaucoup de réticence ? Laquelle de ces déclarations est la vérité : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » ou : « Tes parents sont tes bienfaiteurs et tu dois les dédommager » ? (La déclaration : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » est la vérité.) Puisque la déclaration : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » est la vérité, alors la déclaration : « Tes parents sont tes bienfaiteurs et tu dois les dédommager » est-elle la vérité ? (Non.) Cette déclaration n’est-elle pas en contradiction avec la déclaration : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » ? (Si.) Peu importe laquelle de ces déclarations amène ta conscience à se sentir condamnée, qu’est-ce qui est important ? Ce qui est important, c’est de savoir laquelle de ces déclarations est la vérité. Tu dois accepter la déclaration qui est la vérité, même si elle amène ta conscience à se sentir mal à l’aise et accusée, parce que c’est la vérité. Même si la déclaration : « Tes parents sont tes bienfaiteurs et tu dois les dédommager » est en accord avec les normes morales de l’homme concernant l’humanité et avec ce que la conscience de l’homme prend en compte, ce n’est pas la vérité. Même si cette déclaration amène ta conscience à se sentir satisfaite et sereine, tu dois l’abandonner. Voilà l’attitude que tu dois adopter quand il s’agit d’accepter la vérité. Donc, entre la déclaration : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » et la déclaration : « Tes parents sont tes bienfaiteurs et tu dois les dédommager », laquelle des deux parait plus agréable, plus conforme à l’humanité et à ton sens de la conscience, et plus conforme aux normes morales de l’humanité ? (La deuxième déclaration.) Pourquoi cette deuxième déclaration ? Parce qu’elle contente et satisfait les besoins émotionnels de l’homme. Cependant, elle n’est pas la vérité, et elle est exécrée par Dieu. Alors la déclaration : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » met-elle les gens mal à l’aise ? (Oui.) Qu’éprouvent et perçoivent les gens après avoir entendu cette déclaration ? (Qu’elle manque un peu de conscience.) Les gens ont l’impression qu’elle manque un peu de sentiment humain, n’est-ce pas ? (En effet.) Certains disent : « Si une personne n’a pas de sentiments humains, est-elle encore humaine ? ». Si les gens n’ont pas de sentiments humains, sont-ils humains ? La déclaration : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » donne l’impression de manquer de sentiment humain, mais c’est un fait. Si tu abordes de manière rationnelle la relation que tu as avec tes parents, tu découvriras que la déclaration : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » explique clairement la relation que toute personne a avec ses parents, à la racine même, et qu’elle explique clairement l’essence et la racine des relations interpersonnelles. Même si cette déclaration met ta conscience mal à l’aise et qu’elle ne satisfait pas tes besoins émotionnels, elle est un fait, malgré tout, et elle est la vérité, malgré tout. Cette vérité peut te permettre d’aborder de manière rationnelle et de la façon correcte la bonté dont tes parents ont fait preuve à ton égard en t’élevant. Elle peut aussi te permettre d’aborder n’importe quelle attente de tes parents de manière rationnelle et correcte. Naturellement, cette vérité est encore plus à même de te permettre d’aborder ta relation avec tes parents de manière rationnelle et correcte. Si tu peux aborder ta relation avec tes parents de cette façon, alors tu pourras y faire face de manière rationnelle. Certaines personnes disent : « Ces vérités sont parfaitement formulées et semblent tout à fait passionnées, mais comment se fait-il que lorsque les gens les entendent, elles semblent presque impossibles à mettre en œuvre ? En particulier pour ce qui est de la déclaration : “Tes parents ne sont pas tes créanciers”, comment se fait-il qu’après avoir entendue cette vérité, les gens aient l’impression que leur relation avec leurs parents devient de plus en plus distante et détachée ? Pourquoi ont-ils le sentiment qu’il n’y a pas d’affection entre eux et leurs parents ? » La vérité essaie-t-elle délibérément d’éloigner les gens les uns des autres ? La vérité essaie-t-elle intentionnellement de couper les liens qui existent entre les gens et leurs parents ? (Non.) Alors, quels résultats peut-on obtenir en comprenant cette vérité ? (Comprendre cette vérité peut nous permettre de voir notre relation avec nos parents pour ce qu’elle est vraiment. Cette vérité nous indique la véritable nature de cette question.) C’est exact, elle te permet de voir la vraie nature de cette question, d’aborder ces choses et d’y faire face rationnellement, et de ne pas vivre dans le cadre de ton affection ou de tes relations interpersonnelles charnelles, n’est-ce pas ?

Parlons de la façon dont la déclaration : « Tes parents ne sont pas tes créanciers » devrait être interprétée. Tes parents ne sont pas tes créanciers : n’est-ce pas là un fait ? (Si.) Puisqu’il s’agit d’un fait, il convient d’expliquer les questions que ce fait renferme. Examinons la question de ta mise au monde par tes parents. Qui a décidé que tes parents te donnent naissance, toi ou eux ? Qui a choisi qui ? Si tu examines cela du point de vue de Dieu, la réponse est : ni toi ni eux. Ni toi ni tes parents n’ont choisi qu’ils te donnent naissance. Si tu examines cette question à la racine, cela a été ordonné par Dieu. Nous allons mettre ce sujet de côté, pour l’instant, car il est facile aux gens de comprendre la question. De ton point de vue, tu es né passivement de tes parents, sans avoir aucun choix en la matière. Du point de vue de tes parents, ils t’ont donné naissance de leur propre volonté indépendante, n’est-ce pas ? En d’autres termes, en mettant de côté l’ordination de Dieu, quand il s’agit de la question de ta mise au monde, ce sont tes parents qui avaient tout pouvoir. Ils ont choisi de te donner naissance et ils ont décidé de tout. Tu n’as pas choisi à leur place qu’ils te donnent naissance, tu es né passivement d’eux, et tu n’as eu aucun choix en la matière. Alors, puisque tes parents avaient tout pouvoir, et qu’ils ont choisi de te donner naissance, ils ont l’obligation et la responsabilité de t’élever, de faire de toi un adulte, de te fournir une éducation, de la nourriture, des vêtements et de l’argent : voilà leur responsabilité et leur obligation, et c’est ce qu’ils sont censés faire. Comme tu as toujours été passif durant la période pendant laquelle ils t’ont élevé, tu n’avais pas le droit de choisir, tu étais obligé d’être élevé par eux. Parce que tu étais jeune, tu n’avais pas la possibilité de t’élever toi-même, tu n’avais pas d’autre choix que d’être élevé passivement par tes parents. Tu as été élevé de la manière que tes parents ont choisie. S’ils t’ont donné de bonnes choses à boire et à manger, alors tu as bu et mangé de bonnes choses. Si tes parents t’ont donné un environnement de vie où tu as survécu en mangeant de la paille et des plantes sauvages, alors tu as survécu en mangeant de la paille et des plantes sauvages. Quoi qu’il en soit, pendant que tes parents t’élevaient, tu as été passif et tes parents ont assumé leurs responsabilités. C’est comme si tes parents prenaient soin d’une fleur. Puisqu’ils veulent prendre soin d’une fleur, ils doivent la fertiliser, l’arroser et s’assurer qu’elle reçoit la lumière du soleil. Donc, pour ce qui est des gens, peu importe si tes parents se sont occupés de toi méticuleusement ou s’ils ont pris grand soin de toi, quoi qu’il en soit, ils ne faisaient qu’assumer leurs responsabilités et leurs obligations. Indépendamment de la raison pour laquelle ils t’ont élevé, c’était leur responsabilité : parce qu’ils t’ont donné naissance, ils doivent assumer leur responsabilité vis-à-vis de toi. Sur cette base, peut-on considérer que tout ce que tes parents ont fait pour toi soit de la bonté ? C’est impossible, n’est-ce pas ? (En effet.) Le fait que tes parents assument leurs responsabilités envers toi n’étant pas considéré comme de la bonté, alors, s’ils assument leurs responsabilités envers une fleur ou une plante, qu’ils l’arrosent et la fertilisent, est-ce considéré comme de la bonté ? (Non.) C’est même encore moins considéré comme de la bonté. Fleurs et plantes poussent mieux à l’extérieur. Si elles sont plantées dans la terre, et qu’elles ont du vent, du soleil et de l’eau de pluie, elles prospèrent. Elles ne poussent pas aussi bien quand elles sont plantées dans un pot à l’intérieur, mais où qu’elles se trouvent, elles vivent, n’est-ce pas ? Peu importe où elles sont, cela a été ordonné par Dieu. Tu es une personne vivante et Dieu a la responsabilité de toute vie, Il permet à toute vie de survivre et de suivre la loi que tous les êtres créés respectent. Mais en tant que personne, tu vis au sein de l’environnement dans lequel tes parents t’élèvent, donc tu devrais grandir et exister dans cet environnement. Que tu vives dans cet environnement est dû à l’ordination de Dieu, à plus grande échelle. À plus petite échelle, c’est dû au fait que tes parents t’élèvent, n’est-ce pas ? Quoi qu’il en soit, en t’élevant, tes parents assument une responsabilité et une obligation. T’élever pour faire de toi un adulte est leur obligation et leur responsabilité, et on ne peut pas appeler ça de la bonté. Si on ne peut pas appeler ça de la bonté, alors ne s’agit-il pas de quelque chose dont tu devrais profiter ? (Si.) Il s’agit d’une sorte de droit dont tu devrais profiter. Tu devrais être élevé par tes parents parce qu’avant d’atteindre l’âge adulte, le rôle que tu joues est celui d’un enfant que ses parents élèvent. Par conséquent, tes parents ne font qu’assumer un genre de responsabilité envers toi, et tu ne fais que recevoir cela de tes parents, mais tu ne reçois assurément pas d’eux la grâce ou la bonté. Pour toute créature vivante, porter des enfants et s’en occuper, se reproduire, et élever la génération suivante est une forme de responsabilité. Ainsi, les oiseaux, les vaches, les moutons et même le tigres doivent s’occuper de leurs petits après s’être reproduits. Il n’y a pas de créatures vivantes qui n’élèvent pas leur progéniture. Il est possible qu’il y ait certaines exceptions, mais celles-ci ne sont pas nombreuses. Il s’agit d’un phénomène naturel dans l’existence des créatures vivantes, il s’agit d’un instinct chez les créatures vivantes, qui ne peuvent pas être attribués à la bonté. Les animaux et l’humanité ne font que respecter une loi que le Créateur a établi pour eux. Par conséquent, le fait que tes parents t’élèvent ne relève pas d’une forme de bonté. Sur cette base, on peut dire que tes parents ne sont pas tes créanciers. Ils assument les responsabilités qu’ils ont envers toi. Quels que soient les efforts et l’argent qu’ils te consacrent, ils ne devraient pas te demander de les dédommager, parce qu’il s’agit là de leur responsabilité en tant que parents. Puisqu’il s’agit d’une responsabilité et d’une obligation, tout cela devrait être gratuit, et tes parents ne devraient pas demander à être dédommagés. En t’élevant, tes parents ne font qu’assumer leurs responsabilités et leurs obligations, ce qui ne devrait pas être rémunéré et ne devrait pas donner lieu à une transaction. Tu n’as donc pas à aborder tes parents ou à gérer ta relation avec eux en te disant que tu dois les dédommager. Si tu traites effectivement tes parents en fonction de cette idée, si tu leur rends la pareille, et si tu gères ta relation avec eux en fonction de cette idée, tout cela est inhumain. En même temps, c’est susceptible de te rendre contraint et lié par tes sentiments charnels, et il te sera difficile de te sortir de cet imbroglio, au point que tu pourrais même perdre ton chemin. Tes parents ne sont pas tes créanciers, tu n’as donc aucune obligation de répondre à toutes leurs attentes. Tu n’as aucune obligation de payer la note du fait de leurs attentes. Tu peux faire tes propres choix et tu as le chemin de vie et la destinée que Dieu a prévus pour toi, qui n’ont rien à voir avec tes parents. Alors, quand l’un de tes parents dit : « Tu es un enfant qui ne fait pas preuve d’amour filial. Tu n’es pas revenu me voir depuis tant d’années, et cela fait tant de jours que tu ne m’as pas appelé. Je suis malade et il n’y a personne pour prendre soin de moi. Je t’ai vraiment élevé pour rien. Tu es vraiment un ingrat insensible, un enfant ingrat ! », si tu ne comprends pas la vérité : « Tes parents ne sont pas tes créanciers », entendre ces paroles sera aussi douloureux que si un couteau t’avait transpercé le cœur, et ta conscience se sentira condamnée. Chacune de ces paroles s’incrustera dans ton cœur et fera que tu auras honte de faire face à tes parents, que tu te sentiras redevable à leur égard et plein de culpabilité vis-à-vis d’eux. Quand tes parents diront que tu es un ingrat insensible, tu penseras vraiment : « Ils ont absolument raison. Ils m’ont élevé jusqu’à l’âge que j’ai, et ils n’ont pas pu savourer le moindre de mes succès. Maintenant, ils sont malades et ils espéraient que je resterais à leur chevet, que je m’occuperais d’eux et que je leur tiendrais compagnie. Ils avaient besoin que je leur rende leur bonté et je n’ai pas été là pour le faire. Je suis vraiment un ingrat insensible ! » Tu te classeras parmi les ingrats insensibles. Est-ce raisonnable ? Es-tu un ingrat insensible ? Si tu n’étais pas parti de chez toi pour aller faire ton devoir ailleurs, et que tu étais resté aux côtés de tes parents, aurais-tu pu empêcher qu’ils tombent malades ? (Non.) Peux-tu contrôler le fait que tes parents vivent ou meurent ? Peux-tu contrôler le fait qu’ils soient riches ou pauvres ? (Non.) Quelle que soit la maladie que tes parents contractent, ce ne sera pas parce que t’élever les a vraiment épuisés, ou parce que tu leur as manqué. Surtout, ils ne contracteront aucune de ces grandes maladies, graves et potentiellement fatales, à cause de toi. C’est leur destin et cela n’a rien à voir avec toi. Quel que soit ton amour filial, le maximum que tu puisses faire, c’est réduire un peu leurs souffrances charnelles et leurs fardeaux, mais quant au moment où ils tomberont malades, quant à la maladie qu’ils contracteront, quant au moment où ils mourront et à l’endroit où ils mourront, ces choses ont-elles quoi que ce soit à voir avec toi ? Non. Si tu fais preuve d’amour filial, si tu n’es pas un ingrat insensible, et que tu passes toute tes journées avec tes parents, à veiller sur eux, cela les empêchera-t-il de tomber malades ? Cela les empêchera-t-il de mourir ? S’ils doivent tomber malades, ne tomberont-ils pas malades malgré tout ? S’ils doivent mourir, ne mourront-ils pas malgré tout ? N’est-ce pas vrai ? Si tes parents avaient dit que tu es un ingrat insensible, que tu n’as aucune conscience, que tu es un enfant ingrat, aurais-tu été contrarié ? (Oui.) Et maintenant ? (Maintenant, cela ne me contrarierait pas.) Alors, comment ce problème a-t-il été résolu ? (Il a été résolu parce que Dieu a échangé en disant ceci : que nos parents tombent malades ou pas, qu’ils vivent ou meurent n’a rien à voir avec nous, tout cela est ordonné par Dieu. Si nous restions aux côtés de nos parents, nous ne pourrions rien faire, donc, s’ils disent que nous sommes des ingrats insensibles, cela n’a rien à voir avec nous.) Que tes parents te traitent ou non d’ingrat insensible, au moins, tu accomplis le devoir d’un être créé devant le Créateur. Tant que tu n’es pas un ingrat insensible aux yeux de Dieu, c’est suffisant. Peu importe ce que les gens disent. Ce que tes parents disent sur toi n’est pas nécessairement vrai et ce qu’ils disent n’est pas utile. Tu dois prendre les paroles de Dieu comme base. Si Dieu dit que tu es un être créé satisfaisant, alors peu importe si les gens te qualifient d’ingrat insensible, ils ne pourront rien accomplir. Simplement, les gens seront affectés par ces insultes, en raison de l’effet de leur conscience, ou lorsqu’ils ne comprennent pas la vérité et que leur stature est faible, et ils seront un peu de mauvaise humeur, et ils seront un peu déprimés, mais quand ils reviendront devant Dieu, tout cela se trouvera résolu et ne leur posera plus de problème. La question de rendre leur bonté à ses parents n’a-t-elle pas été résolue ? Comprends-tu cette question ? (Oui.) Quel est le fait que les gens doivent comprendre, à ce stade ? T’élever est la responsabilité de tes parents. Ils ont choisi de te donner naissance, ils ont donc la responsabilité et l’obligation de t’élever. En t’élevant jusqu’à l’âge adulte, ils assument leurs responsabilités et leurs obligations. Tu ne leur dois rien, tu n’as donc pas à les dédommager. Tu n’as pas à les dédommager : cela montre clairement que tes parents ne sont pas tes créanciers, et que tu n’as pas à faire quoi que ce soit pour eux en contrepartie de leur bonté. Si ta situation te permet d’assumer un peu de tes responsabilités envers eux, alors fais-le. Si ton environnement et ta situation objective ne te permettent pas de remplir tes obligations à leur égard, alors tu n’as pas à trop y réfléchir, et tu ne dois pas penser que tu leur es redevable, parce que tes parents ne sont pas tes créanciers. Peu importe si tu fais preuve d’amour filial à l’égard de tes parents, ou si tu assumes tes responsabilités envers eux, tu adoptes simplement le point de vue d’un enfant et tu assumes un peu de tes responsabilités envers ceux qui t’ont donné naissance autrefois et qui t’ont élevé. Mais tu ne peux certainement pas le faire dans la perspective de les dédommager, ni du point de vue de la déclaration qui dit : « Tes parents sont tes bienfaiteurs et tu dois les dédommager, tu dois leur rendre leur bonté. »

Dans le monde des incroyants, un dicton dit : « Les corbeaux remercient leur mère en la nourrissant et les agneaux s’agenouillent pour téter le lait de leur mère. » Un autre dicton dit : « Une personne sans piété filiale est pire qu’une bête. » Comme ces dictons semblent grandioses ! En fait, les phénomènes évoqués par le premier dicton, « les corbeaux remercient leur mère en la nourrissant et les agneaux s’agenouillent pour téter le lait de leur mère », existent réellement, ce sont des faits. Cependant, il s’agit seulement de phénomènes appartenant au règne animal. Il s’agit simplement d’un type de loi que Dieu a établi pour diverses créatures vivantes, loi que toutes sortes de créatures vivantes respectent, y compris les êtres humains. Le fait que toutes sortes de créatures vivantes respectent cette loi démontre en outre que toutes les créatures vivantes sont créées par Dieu. Aucune créature vivante ne peut enfreindre cette loi et aucune créature vivante ne peut la transcender. Même des carnivores relativement féroces, comme les lions et les tigres, élèvent leurs petits et ne les mordent pas avant qu’ils aient atteint l’âge adulte. Il s’agit là d’un instinct animal. Tous les animaux, quelle que soit leur espèce, qu’ils soient féroces ou gentils et doux, possèdent cet instinct. Toutes sortes de créatures, y compris les êtres humains, ne peuvent continuer à se multiplier et à survivre qu’en respectant cet instinct et cette loi. Si ces créatures ne respectaient pas cette loi, ou si elles n’avaient pas cette loi et cet instinct, elles ne pourraient pas se multiplier et survivre. La chaîne biologique n’existerait pas, pas plus que ce monde, n’est-ce pas exact ? (Si.) Le dicton : « les corbeaux remercient leur mère en la nourrissant, et les agneaux s'agenouillent pour téter le lait de leur mère » démontre précisément que le monde animal respecte ce type de loi. Toutes sortes de créatures vivantes ont cet instinct. Une fois que leurs petits sont nés, les femelles ou les mâles de l’espèce concernée s’en occupent et les élèvent jusqu’à ce qu’ils soient adultes. Toutes sortes de créatures vivantes sont capables d’assumer leurs responsabilités et leurs obligations vis-à-vis de leurs petits en élevant la génération suivante consciencieusement et scrupuleusement. Cela devrait être davantage le cas chez les êtres humains. Les êtres humains sont qualifiés d’animaux supérieurs par l’humanité, s’ils ne peuvent pas respecter cette loi et s’ils sont dépourvus de cet instinct, alors les êtres humains sont inférieurs aux animaux, n’est-ce pas ? Par conséquent, peu importe combien tes parents ont pris soin de toi tandis qu’ils t’élevaient et combien ils ont assumé leurs responsabilités vis-à-vis de toi, ils faisaient par instinct seulement ce qu’ils étaient censés faire dans les limites des capacités d’un être humain créé. Il suffit d’observer les oiseaux : pendant plus d’un mois avant la saison des amours, ils recherchent constamment un endroit sûr pour y faire leur nid. Les mâles et les femelles se relaient pour transporter toutes sortes de plantes, de plumes ou de brindilles, afin de commencer à faire leur nid dans des arbres relativement touffus. Ces petits nids construits par diverses espèces d’oiseaux sont tous incroyablement robustes et complexes. Dans l’intérêt de leurs petits, les oiseaux font tous ces efforts pour bâtir des nids et des abris. Quand ils ont terminé leur nid et que le moment de couver est venu, il y a constamment un oiseau dans chaque nid. Les mâles et les femelles se relaient vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et ils sont incroyablement attentifs : quand l’un des deux revient, l’autre s’envole peu après. Bientôt, les oisillons éclosent et émergent de leur coquille, et tu peux les entendre qui se mettent à gazouiller dans leurs arbres. Les oiseaux adultes font des allers-retours, revenant désormais pour nourrir leurs oisillons avec des vers, puis revenant de nouveau pour les nourrir d’autre chose, faisant preuve d’une incroyable attention. Au bout de deux ou trois mois, certains des oisillons ont un peu grandi, ils peuvent se tenir debout au bord du nid et battre des ailes. Leurs parents font des allers-retours, en se relayant pour nourrir et protéger leurs oisillons. Une année, J’ai vu un corbeau dans le ciel qui avait un oisillon dans le bec. Cet oisillon criait pitoyablement, appelant peu ou prou à l’aide. Le corbeau volait avec l’oisillon dans le bec, poursuivi par deux oiseaux adultes qui criaient pitoyablement, eux aussi, et en fin de compte, le corbeau s’est éloigné à tire-d’aile. L’oisillon serait probablement mort, de toute façon, même si ses parents avaient réussi à rattraper le corbeau. Ces deux oiseaux adultes qui poursuivaient le corbeau poussaient de tels cris que les gens au sol étaient alarmés. Leurs cris devaient être vraiment pitoyables, tu ne crois pas ? En fait, ces oiseaux n’avaient certainement pas qu’un seul petit. Ils devaient avoir trois ou quatre oisillons dans leur nid, mais quand l’un d’entre eux a été emporté, ils ont poursuivi le corbeau en piaillant. Voilà à quoi ressemble le monde animal et biologique : les créatures vivantes sont capables de prendre soin de leurs petits sans relâche. Les oiseaux reviennent faire de nouveaux nids chaque année, ils font les mêmes choses chaque année. Ils couvent leurs œufs, nourrissent leurs oisillons et leur apprennent à voler. Quand les oisillons s’entraînent à voler, ils ne vont pas très haut, et tombent parfois au sol. Nous en avons même sauvé quelques fois, et nous nous sommes dépêchés de les remettre dans leur nid. Chaque jour, leurs parents leur apprennent des choses et un jour ou l’autre, tous ces oisillons quitteront leur nid et s’envoleront, laissant derrière eux un nid vide. L’année suivante, de nouveaux couples d’oiseaux viennent faire leur nid, couver leurs œufs et élever leurs oisillons. Toutes sortes de créatures vivantes et d’animaux possèdent cet instinct et suivent et respectent parfaitement ces lois, et ils les mettent en œuvre à la perfection. C’est quelque chose que personne ne peut détruire. On trouve également certains animaux particuliers, comme les tigres et les lions. Quand ces animaux atteignent l’âge adulte, ils quittent leurs parents, et certains mâles deviennent même des rivaux, ils se mordent, s’affrontent et se battent, si nécessaire. C’est normal, il s’agit d’une loi. Ils ne sont pas très affectueux, et ils ne vivent pas selon leurs sentiments comme les hommes qui disent : « Je dois rendre leur bonté à mes parents, je dois les dédommager, je dois leur obéir. Si je ne fais pas preuve de piété filiale, les autres vont me condamner, me réprimander et me critiquer à mon insu. Je ne pourrais pas le supporter ! » On ne parle pas de ces choses dans le monde animal. Pourquoi les hommes disent-ils de telles choses ? Parce qu’il existe, au sein de la société, au sein des groupes de personnes, divers idées et consensus incorrects. Quand les gens ont été influencés, rongés et pourris par ces choses, différentes manières d’interpréter et de gérer la relation parents-enfants apparaissent en eux et ils finissent par traiter leurs parents comme s’il s’agissait de créanciers, des créanciers qu’ils ne pourront jamais dédommager de toute leur vie. Il y a même des personnes qui se sentent coupables toute leur vie, après la mort de leurs parents, et qui pensent qu’ils sont indignes de la bonté de leurs parents, parce qu’ils ont fait quelque chose qui n’a pas rendu leurs parents heureux ou qui n’a pas tourné comme leurs parents l’auraient voulu. Vous ne pensez pas que c’est excessif ? Les gens vivent selon leurs sentiments, de sorte qu’ils ne peuvent qu’être envahis et perturbés par diverses idées qui en découlent. Les gens vivent dans un environnement faussé par l’idéologie de l’humanité corrompue, de sorte qu’ils sont envahis et perturbés par diverses idées erronées, ce qui rend leur vie épuisante et moins simple que celle des autres créatures vivantes. Cependant, parce qu’à l’heure actuelle Dieu œuvre et exprime la vérité pour indiquer aux gens la véritable nature de tous ces faits et leur permettre de comprendre la vérité, quand tu parviendras à comprendre la vérité, ces idées et opinions erronées ne seront plus un fardeau pour toi et elles ne te guideront plus dans ta relation à tes parents. À ce stade, ta vie deviendra plus sereine. Vivre sereinement ne veut pas dire que tu ne sauras pas quelles sont tes responsabilités et tes obligations, tu continueras à le savoir. Cela dépend seulement du point de vue et des méthodes que tu choisis pour aborder tes responsabilités et tes obligations. Un premier chemin consiste à suivre la voie des sentiments et à faire face à ces choses en se basant sur des moyens émotionnels, et sur les méthodes, idées et opinions vers lesquelles Satan guide l’homme. L’autre chemin consiste à faire face à ces choses en se basant sur les paroles que Dieu a enseignées à l’homme. Quand les gens font face à ces questions en fonction des idées et des opinions erronées de Satan, ils ne peuvent que vivre dans l’imbroglio de leurs sentiments sans jamais distinguer le bien du mal. Dans ces circonstances, ils n’ont pas d’autres choix que de vivre dans un piège, sans cesse empêtrés dans des idées telles que : « Tu as raison, j’ai tort. Tu m’as donné davantage, je t’ai donné moins. Tu es ingrat. Tu as tant fait pour moi. » Par conséquent, à aucun moment ces gens ne parlent clairement. Cependant, quand ils comprennent la vérité et échappent à ce tissu d’idées, d’opinions et de sentiments erronés, ces questions deviennent simples à leurs yeux. Si tu respectes une vérité-principe, une idée ou une opinion qui sont correctes et viennent de Dieu, ta vie deviendra tout à fait sereine. Ni l’opinion publique, ni ce que ta conscience prend en compte, ni le fardeau de tes sentiments n’entraveront plus ta façon de faire face à la relation que tu as avec tes parents. En revanche, ces choses te permettront de faire face à cette relation d’une manière correcte et rationnelle. Si tu agis conformément aux vérités-principes que Dieu a données à l’homme, même si les gens te critiquent à ton insu, cela n’aura aucun effet sur toi et tu éprouveras malgré tout paix et calme dans les profondeurs de ton cœur. Du moins, tu ne te reprocheras plus d’être un ingrat insensible et tu ne sentiras plus les accusations de ta conscience dans les profondeurs de ton cœur. C’est parce que tu sauras que tous tes actes sont accomplis conformément aux méthodes que Dieu t’a enseignées, que tu sauras que tu écoutes les paroles de Dieu, que tu leur obéis et que tu suis Son chemin. Écouter les paroles de Dieu et suivre Son chemin est le sens de la conscience que les gens devraient posséder par-dessus tout. Tu ne seras une véritable personne que lorsque tu pourras faire ces choses. Si tu n’as pas accompli ces choses, alors tu es un ingrat insensible. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Comprends-tu cette question clairement maintenant ? La comprendre clairement est l’un des aspects de tout cela. Si, petit à petit, les gens peuvent comprendre cette question et mettre la vérité en pratique, il s’agit d’un autre aspect. Afin de comprendre clairement cette question, les gens doivent faire l’expérience des choses pendant un certain temps. Si les gens souhaitent comprendre clairement ce fait et cette essence, et atteindre le stade où ils font face aux questions avec des principes, cela ne peut pas être accompli en peu de temps, parce que les gens doivent d’abord se débarrasser de l’influence de toutes sortes d’idées et d’opinions erronées et malfaisantes. Un autre aspect essentiel de tout cela est d’être capable de résoudre les contraintes et l’influence de sa propre conscience et de ses propres sentiments. Et en particulier, il faut franchir l’obstacle de ses propres sentiments. Disons que tu reconnaisses en théorie que la parole de Dieu est la vérité et qu’elle est correcte, et que tu saches, en théorie, que les idées et opinions erronées que Satan inculque aux gens sont fausses, mais que tu ne parviennes tout simplement pas à franchir l’obstacle de tes sentiments, que tu aies sans cesse de la peine pour tes parents, te disant qu’ils ont fait preuve à ton égard de trop de bonté, qu’ils se sont trop dépensés, qu’ils en ont trop fait pour toi et qu’ils ont trop souffert pour toi, que l’ombre de tout ce que tes parents ont fait pour toi, de tout ce qu’ils ont dit, et même de chaque prix qu’ils ont payé pour toi est encore un souvenir vivace dans ton esprit. Chacun de ces obstacles constituera une étape cruciale pour toi et il ne te sera pas facile de les surmonter. En fait, l’obstacle le plus difficile à surmonter pour toi sera toi-même. Si tu peux franchir un obstacle après l’autre, alors tu pourras complètement abandonner les sentiments que tu éprouves pour tes parents, du fond de ton cœur. Je n’échange pas sur ce sujet pour t’amener à trahir tes parents et Je ne le fais certainement pas pour t’amener à définir des limites entre toi et tes parents. Nous ne lançons pas un mouvement, nul besoin de définir des limites. J’échange sur ce sujet simplement pour te transmettre une compréhension correcte de ces questions et pour t’aider à accepter une idée et une opinion correctes. De plus, J’échange sur ce sujet pour que, lorsqu’il t’arrive des choses, tu n’en sois pas troublé, pour que tu ne sois pas pieds et poings liés du fait de ces choses, et surtout pour que, lorsque tu fais face à ces choses, elles n’affectent pas ton accomplissement du devoir d’un être créé. Ainsi, Mon échange atteindra son objectif. On peut bien sûr se demander si les gens qui vivent dans la chair peuvent atteindre le stade où ils ne nourrissent aucune de ces choses dans leur esprit et où il n’y a pas de complications émotionnelles entre eux et leurs parents. Ce serait impossible. Dans ce monde, outre leurs parents, les gens ont également des enfants : ce sont les deux relations charnelles les plus proches. Il est impossible de couper complètement le lien qui unit un parent et son enfant. Je n’essaie pas de t’amener à déclarer formellement que tu vas couper les liens avec tes parents et que tu ne les fréquenteras plus jamais. J’essaie de t’aider à gérer ta relation avec eux, selon la manière correcte. Ces choses sont difficiles, n’est-ce pas ? Quand ta compréhension de la vérité s’approfondira et que tu vieilliras, la difficulté de ces choses s’atténuera et diminuera peu à peu. Quand les gens ont une vingtaine d’années, ils ont un degré d’attachement différent avec leurs parents, comparé à ce qu’est leur attachement quand ils ont trente ou quarante ans. Cet attachement devient encore plus ténu quand ils atteignent l’âge de cinquante ans, et il est inutile de parler de ce qui se passe quand les gens atteignent l’âge de soixante ou soixante-dix ans. À ce moment-là, leur attachement est encore plus ténu, il change au fur et à mesure que les gens vieillissent.

La vérité qui dit que « tes parents ne sont pas tes créanciers » est le principe de pratique correct que les gens devraient comprendre dans la façon d’aborder leurs parents. Quel est l’autre principe de pratique ? (Tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie ni de ton destin.) N’est-il pas plus facile de comprendre et d’abandonner le principe : « tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie ni de ton destin », plutôt que : « tes parents ne sont pas tes créanciers » ? En apparence, il semble que tes parents aient donné naissance à ta vie charnelle et qu’ils t’ont donné la vie. Mais si l’on examine cela du point de vue de Dieu, à la source du problème, ta vie charnelle ne t’a pas été donnée par tes parents, parce que les hommes ne peuvent pas créer la vie. En termes simples, personne ne peut créer le souffle de l’homme. La chair de chaque personne peut devenir une personne, parce qu’elle possède ce souffle. La vie de l’homme se trouve dans ce souffle et ce souffle est le signe d’une personne vivante. Les gens possèdent ce souffle et cette vie, et l’origine de ces choses ne vient pas de leurs parents. C’est simplement que les gens ont été créés par le biais de leurs parents, qui leur ont donné naissance. À la base, c’est Dieu qui donne ces choses aux gens. Par conséquent, tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie, le Maître de ta vie, c’est Dieu. Dieu a créé l’humanité, Il a créé les vies de l’humanité et Il a donné à l’humanité le souffle de vie, qui est à l’origine de la vie de l’homme. Donc, la formule « tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie » n’est-elle pas facile à comprendre ? Ton souffle ne t’a pas été donné par tes parents, et encore moins son maintien. Dieu veille et règne sur chaque jour de ta vie. Tes parents ne peuvent pas décider de la façon dont se déroule chaque jour de ta vie, ni si chaque jour est agréable et se déroule sans heurt, ni qui tu rencontres chaque jour, ni de ton environnement quotidien. Dieu ne fait que veiller sur toi par le biais de tes parents. Tes parents sont simplement les gens que Dieu a envoyés pour veiller sur toi. Quand tu es né, ce ne sont pas tes parents qui t’ont donné la vie. Alors, tes parents t’ont-ils donné la vie qui t’a permis de vivre jusqu’à maintenant ? Non, pas davantage. L’origine de ta vie est encore Dieu, et non tes parents. Disons que tes parents t’aient donné naissance, mais que Dieu ait décidé de t’enlever la vie à l’âge d’un an, ou de cinq ans. Tes parents y pourraient-ils quoi que ce soit ? Que pourraient faire tes parents ? Comment auraient-ils pu te sauver la vie ? Ils auraient pu t’envoyer à l’hôpital et te confier aux médecins, qui auraient essayé de te soigner et de te sauver la vie. C’était la responsabilité de tes parents. Cependant, si Dieu a dit que telle vie et telle personne ne doivent pas vivre, et que tu dois te réincarner dans une autre famille, alors tes parents n’ont aucun pouvoir, aucun moyen de te sauver la vie. Ils ne peuvent qu’être spectateurs, tandis que ta petite vie quitte ce monde. Quand une vie est perdue, tes parents sont impuissants, ils ne peuvent qu’assumer leurs responsabilités en tant que parents, et te confier aux médecins, qui essaient de te soigner et de te sauver la vie, mais ce n’est pas à tes parents de décider si ta vie se poursuit ou non. Si Dieu dit que tu peux continuer à vivre, alors ta vie existe. Si Dieu dit que ta vie ne doit pas exister, alors tu perds la vie. Tes parents peuvent-ils y faire quoi que ce soit ? Ils ne peuvent que se résigner à accepter ton sort. Pour être clair, tes parents ne sont que des êtres créés ordinaires. C’est simplement que de ton point de vue, ils ont une identité particulière, ils t’ont donné naissance et t’ont élevé, ils sont tes patrons, et tes parents. Mais du point de vue de Dieu, ce ne sont que des êtres humains ordinaires, ils font simplement partie de l’humanité corrompue, et ils n’ont rien de particulier. Ils ne sont même pas les maîtres de leur propre vie, alors comment pourraient-ils être les maîtres de la tienne ? Même s’ils t’ont donné naissance, ils ignorent d’où vient ta vie, et ils n’ont pas pu décider à quel moment, à quelle heure et à quel endroit ta vie allait arriver, ni comment serait ta vie. Ils ne savent rien de ces choses. En ce qui les concerne, ils se contentent d’attendre passivement, ils attendent la souveraineté de Dieu et Ses arrangements. Qu’ils en soient satisfaits ou non, qu’ils y croient ou non, il n’en reste pas moins que tout cela est orchestré par Dieu et se trouve entre les mains de Dieu. Tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie. Cette question n’est-elle pas facile à comprendre ? (Si.) Tes parents ont donné naissance à ta chair, mais ils n’ont pas donné naissance à la vie de ta chair. C’est un fait. Tes parents peuvent-ils même décider de la taille que tu auras, de ta constitution physique, de la couleur et la densité de tes cheveux, de tes passe-temps, et ainsi de suite ? (Non.) Tes parents ne peuvent pas décider si tu auras une belle peau ou non, ou à quoi ressembleront les traits de ton visage. Certains parents sont corpulents et donnent naissance à des enfants minces et de petite taille, avec un petit nez et de petits yeux. Quand les gens voient ces enfants, ils se disent : « À qui ressemblent ces enfants ? Ils ne ressemblent vraiment pas à leurs parents. » Les parents ne peuvent même pas décider à qui leurs enfants ressembleront, n’est-ce pas ? Certains parents sont très robustes et donnent naissance à des enfants maigres et faibles, et certains parents sont maigres et faibles et donnent le jour à des enfants incroyablement robustes, forts comme des bœufs. Certains parents sont aussi craintifs que des souris et donnent naissance à des enfants extrêmement téméraires. Certains parents sont prudents et circonspects et donnent naissance à des enfants très ambitieux, et en fin de compte, certains de ces enfants deviennent empereurs, certains deviennent présidents, et d’autres deviennent les chefs de bandes de bandits et de canailles. Certains parents sont paysans, mais les enfants auxquels ils donnent le jour deviennent des hauts responsables. Il y a aussi des parents qui sont malhonnêtes, mais qui donnent naissance à des enfants bien élevés et candides. Certains parents sont non-croyants, ou peuvent même adorer des idoles et des démons, et ils donnent naissance à des enfants qui veulent croire en Dieu, qui ne peuvent pas continuer à vivre sans leur foi en Dieu. Certains parents disent à leurs enfants : « Je vais t’envoyer à l’université », et leurs enfants répondent : « Non, je suis un être créé, je dois accomplir mon devoir ! » Ces parents disent alors à leurs enfants : « Tu es jeune, tu ne dois accomplir aucun devoir. Nous accomplissons un peu de nos devoirs parce que nous sommes vieux, et nous n’avons pas de perspectives. Nous gagnerons quelques bénédictions pour notre famille, à l’avenir, donc tu ne dois accomplir aucun devoir. Tu dois travailler dur pendant tes études et quand tu auras tes diplômes universitaires, tu devras partir et devenir un haut responsable, pour que je puisse savourer ton succès avec toi. » Leurs enfants répondent : « Non. Je suis un être créé, le plus essentiel est d’accomplir mon devoir. » Bien entendu, certains parents croient en Dieu, et ils renoncent à leur famille, abandonnent leur carrière, mais leurs enfants refusent toujours de croire en Dieu. Leurs enfants sont incroyants, et quelle que soit la façon dont on considère ces enfants et leurs parents, on ne dirait pas une famille. Même si on dirait une famille en termes d’apparence, d’habitudes de vie, et même de certains aspects de leur caractère, de leurs passe-temps, de leurs centres d’intérêt, de leurs poursuites et des chemins qu’ils suivent, ils sont complètement différents. Ce sont simplement des types de gens différents, qui suivent des chemins différents. Il existe donc des différences dans la vie des gens, et ces différences ne sont pas déterminées par leurs parents. Les parents ne peuvent pas décider du genre de vie de leurs enfants ni de l’environnement où naissent leurs enfants. Tes parents ne sont ni les maîtres de ta vie ni les maîtres de ton destin. La vie n’est pas donnée aux gens par leurs parents. Le destin de quelqu’un est-il une affaire plus importante ou moins importante que sa vie ? Pour les gens, ces questions sont toutes les deux très importantes. Pour quelle raison ? Parce qu’il ne s’agit pas là de choses que les gens peuvent saisir, accomplir ou contrôler à l’aide de leur instinct, de leurs capacités ou de leur calibre. Le destin des gens et leur trajectoire de vie sont décidés et gouvernés par Dieu. Aucun individu ne peut faire le moindre choix en ce qui concerne ces deux questions. Ni toi ni tes parents ne pouvez choisir la famille dans laquelle tu nais, ou quels parents tu auras dans cette vie. Tes parents ont également été passifs en te donnant naissance. Donc, tes parents ne peuvent pas décider de la trajectoire de ton destin, ils ne peuvent pas décider si tu seras très fortuné et riche dans ta vie, ou pauvre et humble, ou simplement une personne ordinaire. Ils ne peuvent pas décider où tu iras dans cette vie, à quel endroit tu vivras ou à quoi ressemblera ton mariage, à quoi ressembleront tes enfants, ou dans quel genre d’environnement matériel tu vivras, et ainsi de suite. Il y a des gens dont la famille était prospère, qui avaient des vêtements et de la nourriture, et plus d’argent qu’ils ne pouvaient en dépenser, avant de donner naissance à un enfant. Mais cet enfant, après avoir grandi, a dilapidé la fortune de sa famille, et ses parents ont eu beau gagner de l’argent, ils n’ont pas pu compenser tout ce que leur enfant dépensier gaspillait. D’autres personnes étaient pauvres, mais quelques années après avoir donné naissance à un enfant, elles ont vu les affaires de leur famille commencer à prospérer, leur vie s’est améliorée, les choses se sont déroulées de mieux en mieux et leur environnement s’est également amélioré. Comme tu le vois, ces parents ne s’attendaient pas à toutes ces choses, n’est-ce pas ? Les parents ne peuvent pas décider du destin de leurs enfants et naturellement, ils n’ont pas non plus le moindre rapport avec le destin de leurs enfants. Le genre de chemin que tu suis, là où tu vas et les gens que tu rencontres dans cette vie, le nombre de désastres que tu affrontes, le nombre de choses formidables et de richesses qui se présentent à toi, tout cela n’a aucun rapport avec tes parents, ou avec leurs attentes. Tous les parents souhaitent une meilleure position sociale pour leur enfant, mais ce souhait se réalise-t-il toujours ? Pas nécessairement. Certains enfants acquièrent effectivement une meilleure position sociale, comme leurs parents le voulaient, et ils deviennent des hauts responsables, ils deviennent riches et vivent bien, mais leurs parents tombent malades et meurent en deux ou trois ans, sans avoir pu profiter de cette bonne fortune, ni savourer le moins du monde ce succès. Le destin d’une personne a-t-il le moindre rapport avec ses parents ? Non. Ce n’est pas comme si tu pouvais accomplir tout ce que tes parents s’attendent à ce que tu accomplisses. Le destin d’une personne n’a rien à voir avec ses parents et ceux-ci ne peuvent pas décider du destin de cette personne. Même si tes parents t’ont donné naissance, et même s’ils ont fait beaucoup pour jeter les bases de tes chances d’avenir, de tes idéaux et de ton futur destin, ils ne peuvent pas décider de ce que seront ton destin ou ton futur chemin dans la vie ; ces choses ne dépendent pas d’eux. Par conséquent, tes parents ne sont pas les maîtres de ton destin et ils ne peuvent rien changer qui te concerne. Si tu es destiné à être riche, alors peu importe que tes parents soient pauvres ou incompétents, tu obtiendras la richesse que tu es censé avoir. Si tu es destiné à être pauvre, ordinaire ou modeste, alors tes parents auront beau être compétents, ils ne pourront pas t’aider. Si tu es choisi par Dieu et que tu es l’un de Ses élus, autrement dit, si tu as été prédestiné par Dieu, alors tes parents auront beau être puissants ou compétents, ils ne pourront pas faire obstacle à ta croyance en Dieu, même s’ils le souhaitent. Comme tu es destiné à faire partie de la maison de Dieu et à être l’un des élus de Dieu, tu ne peux pas y échapper. Le destin d’une personne n’est lié qu’à la souveraineté de Dieu et à l’ordination de Dieu. Il n’a rien à voir avec les souhaits et les attentes des parents de cette personne. Naturellement, ce destin n’a rien à voir non plus avec les centres d’intérêt, les passe-temps, le caractère, les aspirations, le calibre ou les capacités de cette personne. Par conséquent, en te basant sur la vérité : « tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie ni de ton destin », comment dois-tu aborder les attentes de tes parents ? Dois-tu les accepter complètement, les ignorer, ou les aborder rationnellement ? En ce qui concerne la question de ta vie ou de ton destin, tes parents sont simplement des gens normaux, ils peuvent s’attendre à tout ce qu’ils veulent et ils peuvent dire tout ce qu’ils veulent. Laisse-les dire ce qu’ils veulent, contente-toi de gérer tes affaires personnelles. Nul besoin de discuter avec eux, qu’importe la réalité des choses, c’est ainsi qu’elles seront. Tout cela n’émerge pas du débat et cela ne change pas en fonction de la volonté de l’homme. Tu ne peux pas décider de ton propre destin et tes parents le peuvent encore moins ! N’est-ce pas le cas ? (Si.) Même si tes parents sont tes aînés, ils n’ont, malgré tout, aucun lien, aucun rapport avec ton destin. Tes parents ne devraient pas essayer de dicter ton destin simplement parce qu’ils ont un certain nombre d’années de plus que toi, et parce qu’ils sont de la génération précédente. C’est irrationnel et c’est détestable. Donc, chaque fois que tes parents ont quelque chose à dire sur le chemin que tu prends dans la vie, ou sur leurs attentes vis-à-vis de toi, tu dois aborder cela calmement et rationnellement, parce qu’ils ne sont pas les maîtres de ton destin. Dis-leur : « Mon destin est entre les mains de Dieu, aucune personne ne peut le changer. » Aucune personne ne peut contrôler son propre destin ou celui d’une autre personne, et tes parents ne sont pas qualifiés pour le faire. Tes ancêtres ne sont pas qualifiés pour le faire, et tes parents le sont encore moins. Qui est le seul à être qualifié ? (Seul Dieu l’est.) Seul Dieu est qualifié pour gouverner le destin des gens.

Certaines personnes admettent en théorie ceci : « Mes parents ne peuvent pas interférer avec mon destin. Bien qu’ils m’aient donné naissance, ma vie ne m’a pas été donnée par mes parents, mais par Dieu. Tout ce que j’ai m’a été donné par Dieu. Dieu m’a simplement élevé jusqu’à ce que je devienne adulte par le biais de mes parents et Il m’a permis de vivre jusqu’à maintenant. En réalité, c’est Dieu qui m’a élevé. » Ces personnes expriment assez bien de telles paroles, d’une manière relativement claire, mais dans des circonstances particulières, elles ne peuvent pas surmonter leur affection, ou reconnaître cette déclaration : « Tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie ni de ton destin. » Dans certaines circonstances particulières, ces personnes seront dominées par leurs sentiments et elles cèderont à certaines tentations, ou deviendront faibles. Parce que certains croyants ont subi les persécutions et la condamnation du gouvernement et du monde religieux, et qu’ils ont été arrêtés et envoyés en prison, ils ont décidé de ne jamais devenir des Judas et de ne jamais trahir aucun de leurs frères et sœurs, ou de ne jamais dévoiler la moindre information sur l’Église, quelles que soient les tortures qu’ils endurent. Ils préféreraient mourir plutôt que de devenir des Judas. De ce fait, on les torture et on les tourmente au point qu’ils ne ressemblent plus à des êtres humains. Leurs yeux sont tellement enflés qu’ils se réduisent à des fentes, et ils ne peuvent plus voir clairement. Ils sont devenus sourds, leurs dents sont cassées, le coin de leurs lèvres est fendu et saigne, leurs jambes ne marchent pas bien, tout leur corps est enflé et couvert d’ecchymoses. Mais, on a beau les tourmenter, ils ne se résolvent pas à la trahison. Ils sont déterminés à ne pas devenir des Judas et à rester fermes dans leur témoignage à Dieu. Jusqu’à présent, ils semblent être assez forts et ils semblent posséder un témoignage, n’est-ce pas ? Ils ont enduré tortures et intimidations sans devenir des Judas, et ils ont été tourmentés ainsi pendant des jours et des nuits. Quand un démon voit quelqu’un comme ça, il se dit : « Ce type est vraiment coriace, il a été gravement empoisonné. C’est un vrai fanatique. Il est si jeune, et on l’a tourmenté jusqu'à ce qu’il soit dans un tel état, sans qu’il lâche le moindre mot. Qu’est-ce que je vais faire ? Ce type semble être un personnage important, il doit en savoir long sur l’Église. Si je parviens à lui soutirer des renseignements, nous pourrons arrêter des tas de gens et gagner beaucoup d’argent ! » Le démon commence alors à réfléchir à la question : « Comment puis-je le faire parler, l’amener à dévoiler des informations et à dénoncer certaines personnes ? Les gens solides ont tous leurs points faibles, exactement comme ceux qui pratiquent le kung-fu. Même si quelqu’un est très doué en kung-fu, il a toujours un talon d’Achille. Chaque personne a un point faible, alors attaquons spécifiquement le sien. Quel est son point faible ? J’ai appris qu’il était fils unique et que ses parents le gâtaient depuis son enfance. J’ai entendu dire qu’ils tenaient vraiment à lui et qu’ils l’aimaient beaucoup, et qu’il faisait preuve de beaucoup d’amour filial. Si je vais chercher ses parents et que je les persuade d’exercer une pression psychologique sur lui, peut-être que leurs paroles serviront à quelque chose. » Puis le démon va chercher les parents de cet individu. Devine ce qui se passe dès que ce dernier voit ses parents ? Avant de les voir, il pensait : « Ô Dieu, je suis déterminé à rester ferme dans mon témoignage. Pas question que je devienne un Judas ! » Mais dès qu’il aperçoit ses parents, son cœur manque de se briser. La première chose qu’il se dit, c’est : « J’ai laissé tomber mes parents, cela doit vraiment leur faire beaucoup de peine de me voir comme ça ». Puis il s’effondre. Dans son cœur, il persiste : « Je ne deviendrai pas un Judas, je dois rester ferme dans mon témoignage à Dieu. Je ne me suis pas trompé de chemin, je suis le bon chemin dans la vie. Je dois humilier Satan et rendre témoignage à Dieu ! » Dans son cœur, il reste ferme et insiste sur ce point à maintes reprises, mais il ne supporte pas la situation sur le plan émotionnel et en un instant, son cœur est près de se briser. Que crois-tu que ses parents éprouvent quand ils voient que leur enfant a été tourmenté jusqu’à qu’il soit dans un tel état ? Je ne parlerai pas de son père, mais sa mère a le cœur brisé. Quand elle voit que son enfant a été tourmenté au point qu’il n’a plus figure humaine, elle éprouve un grand désarroi, un grand malaise et une grande douleur, et elle tremble en s’avançant vers lui. Comment réagirais-tu, dans un tel moment ? Tu n’oserais pas regarder tes parents, n’est-ce pas ? Tu vois, tu n’aurais rien dit, tes parents n’auraient rien dit, mais tu te serais déjà effondré, incapable de surmonter tes sentiments. Tu te serais dit : « Mes parents sont âgés, ils ne sont pas bien portants, et ils dépendent l’un de l’autre pour s’en sortir. Ils ont donné naissance à un enfant comme moi et, jusqu’à présent, je n’ai répondu à aucune de leurs attentes. Et maintenant, je leur ai créé tellement d’ennuis, je les ai tellement embarrassés, et ils ont même dû venir me voir alors que je suis dans cet état de souffrance. » Imperceptiblement, dans les profondeurs de ton cœur, tu penserais que tu es un enfant indigne, que tu les as blessés et déçus, que tes parents se sont inquiétés à cause de toi et que tu les as laissés tomber. Toi et tes parents, vous éprouveriez beaucoup de souffrance, pour des raisons différentes. Pour tes parents, ce serait parce qu’ils auraient de la peine pour toi et qu’ils ne supporteraient pas de te voir souffrir ainsi. Pour toi, ce serait parce que tu verrais à quel point tes parents sont tristes et peinés, et parce que tu ne supporterais pas de les voir tristes et inquiets à ton sujet. Tout cela n’est-il pas un effet lié aux sentiments ? Jusqu’à ce moment-là, tout pouvait encore être considéré comme normal et cela n’aurait pas encore affecté le fait que tu restes ferme dans ton témoignage. À supposer que tes parents aient alors dit : « Tu étais en tellement bonne santé et si solide, et maintenant tu as été battu au point que tu es dans cet état. Depuis que tu es petit, nous tenons à toi comme à la prunelle de nos yeux. Nous n’avons jamais levé la main sur toi. Comment as-tu pu laisser tout cela t’arriver ? Nous n’avons jamais eu envie de te frapper, nous t’avons toujours chéri et aimé. “Nous tenons à toi comme à la prunelle de nos yeux.” Nous te chérissons tant, mais ce n’est pas suffisant. Ce n’est pas grave si tu ne prends pas soin de nous, mais maintenant, tu refuses de donner le moindre renseignement, tu souffres vraiment, et tu ne cèdes pas, alors qu’on te tourmente jusqu’à ce que tu sois dans cet état, parce que tu crois en Dieu et que tu veux Lui rendre témoignage. Comment peux-tu être aussi têtu ? Pourquoi persistes-tu à croire en Dieu ? “Ton corps t’a été donné par tes parents.” Agis-tu bien envers nous, en laissant tout cela t’arriver ? Si quelque chose devait vraiment t’arriver, comment veux-tu que nous continuions à vivre tous les deux ? Nous n’attendons pas de toi que tu prennes soin de nous quand nous serons vieux ou que tu organises nos obsèques, nous voulons simplement que tu ailles bien. Tu es tout pour nous, si tu ne te portes pas bien, si tu n’es plus là, comment pourrions-nous continuer à vivre le restant de nos jours ? Qui avons-nous, à part toi ? Quels autres espoirs avons-nous ? » Chaque mot de ce discours te frapperait là où ça fait vraiment mal, satisfaisant tes besoins émotionnels tout en stimulant tes sentiments et ta conscience. Avant que tes parents ne prononcent ces paroles, tu tenais encore à tes convictions et à ta position, au fond de ton cœur, mais après qu’ils t’aient fait ces reproches, ta ligne de défense, au fond de ton cœur, ne s’effondrerait-elle pas ? « “Ton corps t’a été donné par tes parents.” Tu as démissionné d’un bon poste, tu as abandonné de belles perspectives et tu as renoncé à une belle vie. Tu persistes à croire en Dieu et tu t’es laissé détruire comme ça, agis-tu bien envers nous ? » Après avoir entendu ce discours, quelqu’un pourrait-il s’empêcher de pleurer ? Après avoir entendu ces paroles, quelqu’un pourrait-il ne pas se blâmer ? Quelqu’un pourrait-il éviter de se dire qu’il a fait défaut à ses parents ? Quelqu’un pourrait-il sentir que c’était Satan qui le tentait ? Quelqu’un pourrait-il être seulement affecté sur le plan émotionnel par ce discours, mais continuer à y faire face rationnellement ? Après avoir entendu ce discours, quelqu’un pourrait-il continuer à croire l’affirmation : « Tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie ni de ton destin, et ils ne sont pas tes créanciers » ? Quelqu’un pourrait-il, bien qu’il se sente fragile émotionnellement, s’abstenir d’abandonner son devoir et ses obligations, et le témoignage qu’un être créé devrait maintenir fermement ? Lesquelles de ces choses pourriez-vous accomplir ? Si, en termes de sentiments, tu étais juste un peu contrarié, versant même quelques larmes, et si tu avais de la peine pour tes parents, mais que tu avais encore foi en la parole Dieu, et que tu t’en tenais toujours au témoignage dans lequel tu dois rester ferme, que tu t’en tenais encore au devoir que tu es censé accomplir, sans perdre le témoignage, les responsabilités et le devoir d’un être créé devant le Créateur, alors tu resterais ferme. Mais, voyant ta mère te faire des reproches en pleurant, si tu sombrais dans tes sentiments, pensant que tu n’as pas fait preuve d’amour filial, que tu as fait le mauvais choix, te sentant plein de regrets et réticent à l’idée de continuer, voulant abandonner le témoignage qu’un être créé devrait avoir, et le devoir, les responsabilités et les obligations qu’un être créé est censé accomplir, et retourner aux côtés de tes parents, leur rendre leur bonté et les empêcher de souffrir ou de s’inquiéter pour toi, alors tu n’aurais aucun témoignage, et tu ne serais pas digne de suivre Dieu. Qu’a dit Dieu à ceux qui Le suivent ? (N’a-t-Il pas dit : « Si quelqu’un vient à Moi, et s’il ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, et ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être Mon disciple » (Luc 14:26) ? Ce verset est dans la Bible.) Si ton amour pour tes parents dépasse ton amour pour Dieu, alors tu n’es pas digne de suivre Dieu, et tu n’es pas l’un de Ses disciples. Si tu n’es pas l’un de Ses disciples, alors on peut dire que tu n’es pas un vainqueur et que Dieu ne veut pas de toi. Par le biais de cette épreuve, tu as été exposé, tu n’es pas resté ferme dans ton témoignage. Tu n’as pas fléchi face aux tortures de Satan, mais quelques reproches de tes parents ont suffi à te faire céder. Tu es lâche et tu as trahi Dieu. Tu n’es pas digne de suivre Dieu et tu n’es pas Son disciple. Les parents disent souvent : « Je ne te demanderai rien d’autre, je ne te demanderai pas de devenir très riche, j’espère seulement que tu seras bien portant et en sécurité dans cette vie. Il me suffit de te voir heureux » Alors, quand on te torturera, tu te diras que tu as déçu tes parents : « Mes parents ne me demandent pas grand-chose, mais je les ai quand même déçus. » Cette pensée est-elle juste ? Les as-tu déçus ? (Non.) Est-ce de ta faute si Satan t’a persécuté ? Est-ce de ta faute si tu as été sauvagement battu, torturé et brutalement persécuté ? (Non.) C’est Satan qui t’a persécuté, tu ne t’es pas détruit toi-même. Tu suis le bon chemin et tu es une vraie personne. Tes choix et tous tes actes rendaient témoignage à Dieu, et accomplissaient le devoir d’un être créé. Voilà les choix que tout être créé devrait faire, et le chemin que tout être créé devrait prendre. C’est le bon chemin, ce n’est pas se détruire soi-même. Même si ta chair a été torturée et qu’elle a subi un traitement brutal et inhumain, tout cela est pour une juste cause. Ce n’est pas prendre le mauvais chemin, ce n’est pas te détruire toi-même. Que ta chair souffre, qu’elle soit soumise à la torture et qu’elle soit tourmentée au point que tu n’as plus figure humaine, ce n’est pas décevoir tes parents. Tu n’as pas à leur donner d’explications. C’est ton choix. Tu es sur le bon chemin dans la vie, simplement, ils ne le comprennent pas, c’est tout. Ils envisagent simplement les choses de leur point de vue de parents, ils veulent sans cesse te protéger dans l’intérêt de leurs sentiments, ne souhaitant pas que tu souffres physiquement. Que peut accomplir leur désir de te protéger ? Peuvent-ils rendre témoignage à ta place ? Peuvent-ils accomplir le devoir d’un être créé à ta place ? Peuvent-ils suivre la voie de Dieu en ton nom ? (Non.) Tu as fait le bon choix et tu dois t’y tenir. Tu ne dois pas te laisser envoûter ou induire en erreur par les paroles de tes parents. Tu ne te détruis pas, tu suis le bon chemin. Par ta persévérance et tous tes actes, tu t’en tiens à la vérité, tu te soumets aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, et tu rends témoignage à Dieu devant Satan, tu glorifies le nom de Dieu. Tu as simplement enduré des souffrances du fait de la persécution brutale de ta chair, c’est tout. C’est une souffrance que les gens doivent endurer. C’est ce que les gens sont censés offrir en sacrifice au Créateur, et c’est le prix qu’ils doivent payer. Ta vie ne vient pas de tes parents et tes parents n’ont aucun droit de décider du chemin que tu suis. Ils n’ont aucun droit de décider de la façon dont tu traites ton propre corps, ni du prix que tu paies afin de rester ferme dans ton témoignage. Ils ne veulent simplement pas que tu souffres physiquement du fait de leurs sentiments charnels, et parce qu’ils voient les choses du point de vue des sentiments charnels, c’est tout. Mais en tant qu’être créé, peu importe à quel point ta chair souffre, c’est quelque chose que tu dois endurer. Les gens doivent payer de nombreux prix pour parvenir au salut et accomplir correctement le devoir d’un être créé. Voilà l’obligation et la responsabilité de l’homme, et c’est ce qu’un être créé doit dédier au Créateur. Comme la vie des gens vient de Dieu, et que leur corps vient également de Dieu, ce sont des souffrances que les gens doivent endurer. Par conséquent, quand il s’agit de souffrances que les gens doivent endurer, quel que soit le type de douleur physique que ton corps subi, tu n’as rien à expliquer à tes parents. Tes parents disent : « Ton corps t’a été donné par tes parents », mais qu’en est-il ? Même si les gens sont mis au monde et élevés par leurs parents, ce n’est pas comme si tout ce qu’ils avaient leur était donné par leurs parents. Cela ne signifie pas que les gens doivent être soumis à la coercition et aux contraintes de leurs parents quand il s’agit du chemin que ces gens suivent et du prix qu’ils paient. Cela ne signifie pas que les gens doivent obtenir la permission de leurs parents pour suivre le chemin de la poursuite de la vérité et accomplir le devoir d’un être créé devant le Créateur. Par conséquent, tu n’as pas à donner d’explications à tes parents. Celui à qui tu dois donner des explications, c’est Dieu. Que tu souffres ou non, tu dois tout confier à Dieu. En outre, si tu suis le bon chemin, alors Dieu acceptera tous les prix que tu as payés et Il S’en souviendra. Puisque Dieu Se souviendra de ces coûts et qu’Il les reconnaîtra, les payer en aura valu la peine. Ta chair endurera certaines souffrances physiques, mais ces coûts te permettront de rester ferme dans ton témoignage, en fin de compte, d’obtenir l’approbation de Dieu et de parvenir au salut, et Dieu Se souviendra de ces coûts que tu as payés. Rien d’autre n’a la même valeur d’échange. Les prétendues attentes de tes parents, ou les critiques qu’ils t’adressent, sont insignifiantes et ne valent pas la peine d’être mentionnées quand on les compare au devoir que tu es censé accomplir et au témoignage que tu dois porter devant Dieu, parce que les souffrances que tu endures sont si précieuses et si significatives ! Du point de vue d’un être créé, il s’agit de la chose la plus significative et la plus précieuse dans la vie. Par conséquent, les gens ne doivent pas devenir faibles et déprimés, ils ne doivent pas céder à la tentation à cause des paroles de leurs parents et ils ne doivent certainement pas éprouver de regret, de culpabilité, ou se dire qu’ils ont déçu leurs parents du fait de leurs paroles. Les gens doivent se sentir honorés par les souffrances qu’ils ont endurées, et dire : « Dieu m’a choisi et Il a permis à ma chair de payer un tel prix et d’être violemment maltraitée par Satan, pour que je puisse avoir l’occasion de Lui rendre témoignage. » C’est un honneur pour toi d’avoir été choisi par Dieu parmi Ses nombreux élus. Tu ne dois pas te sentir triste. Si tu restes ferme dans ton témoignage et que tu humilies Satan, alors c’est le plus grand honneur dans la vie pour un être créé. Peu importe quelles maladies ou séquelles ton corps subira après avoir été brutalement persécuté, ou à quel point cela fait souffrir ta famille et tes parents de te voir ainsi, tu ne dois pas avoir honte ou être contrarié, ou te dire que tu as déçu tes parents à cause de tout cela, parce que tout ce que tu as fait, c’était payer un prix pour une juste cause, et c’est une bonne action. Personne n’est qualifié pour critiquer tes bonnes actions, personne n’est qualifié ni n’a le droit de faire des remarques ou de porter des jugements irresponsables et critiques sur le fait que tu crois en Dieu, que tu suis Dieu et que tu accomplis ton devoir. Seul le Créateur est qualifié pour juger ton comportement, les prix que tu as payés et les choix que tu as faits. Personne d’autre n’est qualifié pour en juger, personne, pas même tes parents, n’est qualifié pour te critiquer. Si tes parents sont les personnes les plus proches de toi, ils devraient te comprendre, t’encourager et te réconforter. Ils devraient te soutenir dans ta persévérance, dans la fermeté de ton témoignage et dans ton refus de fléchir et de céder à Satan. Ils devraient être fiers de toi et contents pour toi. Puisque tu as été capable de persévérer jusque là, et de ne pas céder à Satan, pour pouvoir rester ferme dans ton témoignage, ils devraient t’encourager. Ils ne devraient pas te freiner et encore moins te faire des reproches. Si tu avais fait quelque chose de mal, ils seraient qualifiés pour te critiquer. Si tu avais pris le mauvais chemin, humilié Dieu, trahi des choses positives et la vérité, alors ils seraient qualifiés pour te critiquer. Mais comme tous tes actes ont été positifs et que Dieu les a acceptés et qu’Il s’en souvient, si tes parents te critiquent, c’est parce qu’ils ne savent pas discerner le bien du mal. Ce sont eux qui ont tort. Ils sont contrariés parce que tu crois en Dieu, parce que tu suis le bon chemin et que tu es une bonne personne. Comment se fait-il que, lorsque Satan te persécute, ils ne critiquent pas plutôt Satan ? Ils te critiquent à cause de leurs propres sentiments. Qu’as-tu fait de mal ? Ne t’es-tu pas simplement abstenu de devenir un Judas ? Tu n’es pas devenu un Judas, tu as refusé de coopérer ou de faire des compromis avec Satan, et tu as enduré cette torture et ce traitement inhumain afin de rester ferme dans ton témoignage, quel mal y a-t-il à cela ? Tu n’as rien fait de mal. De Son point de vue, Dieu Se réjouit pour toi, Il est fier de toi. Et pourtant, tes parents ont honte de toi et ils critiquent tes bonnes actions. N’est-ce pas confondre le blanc et le noir ? Ces parents sont-ils de bons parents ? Pourquoi ne critiquent-ils pas Satan, les gens malfaisants et les démons qui te persécutent ? Non seulement tu ne reçois aucun réconfort, aucun encouragement ou soutien de tes parents, mais au contraire, ils te critiquent et te réprimandent, alors que, quel que soit le mal que Satan fait, ils ne le condamnent pas ou ne le maudissent pas. Ils n’osent pas adresser la moindre injure ou le moindre reproche à Satan. Ils ne disent pas : « Comment avez-vous pu tourmenter une bonne personne au point qu’elle soit dans cet état ? Tout ce qu’elle a fait, c’est croire en Dieu et prendre le chemin correct, n’est-ce pas ? Elle n’a rien volé, elle n’a rien dérobé à qui que ce soit, elle n’a enfreint aucune loi, alors pourquoi l’avez-vous tourmentée de la sorte ? Vous devriez encourager les gens comme cette personne. Si tout le monde au sein de la société croyait en Dieu et suivait le bon chemin, alors cette société n’aurait pas besoin de lois et il n’y aurait aucun crime. » Pourquoi ne critiquent-ils pas Satan de cette façon ? Pourquoi n’osent-ils pas critiquer les Satans et les démons qui t’ont persécuté ? Ils te reprochent de suivre le bon chemin, mais quand des gens malfaisants commettent des méfaits, ils les approuvent tacitement. Que penses-tu de ce genre de parents ? Devrais-tu avoir de la peine pour eux ? Devrais-tu faire preuve de piété filiale ? Devrais-tu les aimer dans ton cœur ? Sont-ils dignes de ta piété filiale ? (Non.) Ils n’en sont pas dignes. Ils sont incapables de faire la distinction entre le vrai et le faux, le bien et le mal. Ce sont deux personnes confuses. À part leurs sentiments, ils ne comprennent rien. Ils ne comprennent pas ce qu’est la justice, ou ce que signifie suivre le bon chemin, ils ne savent pas ce que sont les choses négatives ni les forces du mal, ils ne savent que protéger leurs sentiments et leur chair. En dehors de ce niveau de relations charnelles particulièrement superficiel, leur cœur ne contient que cette idée : « Tant que mes enfants sont en sécurité et en bonne santé, je serai très content et reconnaissant. » C’est tout. Quant au bon chemin dans la vie, aux causes justes ou à la chose la plus précieuse et la plus significative qu’une personne puisse faire dans cette vie, ils ne comprennent rien à tout cela. Ils ne comprennent pas ces choses-là, et ils te réprimandent parce que tu suis le bon chemin. Ils sont vraiment incroyablement confus. Que penses-tu de ce genre de parents ? Ne s’agit-il pas de deux vieux démons ? Dans ton cœur, tu dois réfléchir : « Ces deux vieux démons ! Jusqu’à présent, j’ai subi tant de coups et tant de tortures. Durant cette période, j’ai prié Dieu nuit et jour, et Il a veillé sur moi et m’a protégé, c’est la raison pour laquelle j’ai pu survivre jusqu’à maintenant. J’ai eu beaucoup de mal à rester ferme dans mon témoignage, et en quelques mots, vous l’avez complètement renié. Est-ce mal, que je suive le bon chemin ? Est-ce mal, que j’accomplisse le devoir d’un être créé ? Assurément, ce n’est pas un mal, que je ne sois pas devenu un Judas. Ces deux vieux démons ! Ils disent : “Ton corps t’a été donné par tes parents”, mais tout ce que je possède vient clairement de Dieu, est-ce vous qui me l’avez donné ? Dieu a simplement ordonné que vous me donniez naissance et que vous m’éleviez, Il m’a élevé par votre intermédiaire. Vous êtes dans le désarroi à cause de moi, vous avez de la peine et vous êtes contrariés simplement pour satisfaire vos besoins sur le plan émotionnel. Vous craignez que si je meurs, personne ne prenne soin de vous quand vous serez vieux, ni n’organise vos obsèques. Vous craignez que les gens rient et pensent que je vous ai mis dans l’embarras. » Si tu allais en prison parce que tu as commis un crime, parce que tu as volé quelque chose, ou que tu as détroussé, trompé ou escroqué quelqu’un, il se pourrait qu’ils se battent pour toi, et qu’ils disent : « Mon enfant est un bon garçon, il n’a rien fait de mal. Il n’a pas une nature mauvaise, il est bon et gentil. Simplement, les tendances malfaisantes de ce monde ont eu une influence négative sur lui. J’espère que le gouvernement sera indulgent avec lui. » Ils se battraient pour toi, mais comme tu suis le chemin de la croyance en Dieu, parce que tu suis le bon chemin, ils te méprisent du fond de leur cœur. De quelle façon te méprisent-ils ? En disant : « Regarde dans quel état tu t’es mis. Agis-tu bien envers nous ? » Dans ton cœur, tu devrais penser : « Que veulent-ils dire par “Regarde dans quel état tu t’es mis” ? Je ne fais que suivre le bon chemin dans la vie, c’est ce que l’on appelle être une vraie personne ! C’est ce que l’on appelle posséder de bonnes actions et de bons témoignages, c’est de la force. Seules de telles personnes possèdent vraiment une conscience et de la raison, et ne sont pas des lâches, des bonnes à rien ou des Judas. Dans quel état je me suis mis ? C’est cela la véritable ressemblance humaine ! Non seulement vous n’êtes pas contents pour moi, mais vous me faites des reproches. Quel genre de parents êtes-vous ? Vous êtes indignes d’être des parents, vous devriez être maudits ! » Si tu pensais de cette façon, pleurerais-tu encore en entendant tes parents dire : « Ton corps t’a été donné par tes parents, comment as-tu pu te laisser détruire pareillement ? » (Non.) Que penserais-tu après avoir entendu ce discours ? Tu penserais : « Quel ramassis d’inepties. Ce sont vraiment deux vieux imbéciles ! Vous dites : “Ton corps t’a été donné par tes parents”, mais vous ne savez même pas qui vous a donné votre corps, et vous employez ces mots pour me faire des reproches, vous êtes vraiment confus ! Ce sont clairement des démons et des Satans qui me persécutent. Comment pouvez-vous confondre le blanc et le noir et me critiquer ainsi ? Ai-je enfreint la loi ? Ai-je volé quelque chose, ai-je détroussé quelqu’un, ai-je trompé ou escroqué quelqu’un ? Quelles lois ai-je violées ? Je n’ai violé aucune loi, j’ai été persécuté par Satan au point d’être dans un état pareil parce que je suis le bon chemin. Je n’ai pas lâché un seul mot jusqu’à maintenant, je ne suis pas devenu un Judas, qui d’autre possède ce genre de force ? Non seulement vous ne me louez pas et vous ne m’encouragez pas, mais vous me faites des reproches. Vous êtes des démons ! » Si tu penses de cette façon, tu ne pleureras pas et tu ne deviendras pas faible, n’est-ce pas ? Tes parents ne savent pas distinguer le bien du mal, ils confondent le blanc et le noir, parce qu’ils ne croient pas en Dieu et parce qu’ils ne comprennent pas la vérité. Tu comprends la vérité, alors tu ne devrais donc pas être influencé par ces paroles et ces idées fausses diaboliques qu’ils expriment. Au contraire, tu devrais continuer à t’accrocher à la vérité. Ainsi, tu seras vraiment ferme dans ton témoignage. N’est-ce pas le cas ? (Si.)

Dis-Moi, est-il facile de rester ferme dans son témoignage ? Tout d’abord, tu dois te libérer de tes sentiments. Ensuite, tu dois comprendre la vérité. C’est alors seulement que tu n’éprouveras aucune faiblesse, que tu seras capable de rester ferme dans ton témoignage et d’être reconnu et accepté par Dieu dans ce type de circonstances particulières. Ce n’est qu’alors que Dieu te reconnaîtra comme un vainqueur et comme Son disciple. Quand tu auras prévalu, quand tu n’auras pas déçu Dieu, au lieu de ne pas décevoir tes parents, tu pourras abandonner toutes les attentes de tes parents à ton égard, n’est-ce pas ? Les attentes de tes parents ne sont pas importantes, elles ne comptent pas. Être à la hauteur des attentes de Dieu et rester ferme dans ton témoignage à Dieu est ce qu’il y a de plus important, ces choses sont l’attitude et les poursuites qu’un être créé devrait avoir. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Quand tu te sens faible, quand tu perds ton chemin, et en particulier quand tu es assailli et persécuté par des Satans tandis que tu suis le bon chemin, ou que tu es abhorré, raillé et rejeté par les gens du monde séculier, alors ton entourage – parents, amis et connaissances – pensera que tu as fait quelque chose d’embarrassant, et personne ne te comprendra, ne t’encouragera, ne te soutiendra ou ne te réconfortera. Et encore moins de gens t’aideront, te guideront ou te montreront le chemin de la pratique, y compris tes parents. Comme tu n’es pas à leurs côtés, à faire preuve de piété filiale, et comme tu ne peux pas les aider à bien vivre ni leur rendre leur bonté étant donné que tu crois en Dieu et que tu accomplis ton devoir, ils ne te comprendront pas. Leur point de vue sera le même que celui des gens du monde séculier. Ils penseront que tu les as embarrassés, qu’ils t’ont élevé mais qu’ils n’ont rien obtenu en contrepartie, qu’ils n’ont reçu aucun bénéfice de ta part, que tu n’as pas répondu à leurs attentes, que tu les as déçus et que tu es un ingrat insensible. Tes parents ne te comprendront pas et ils ne pourront pas te donner les moindres conseils positifs, sans parler de ta famille et de tes amis. Pendant que tu suis le bon chemin, seul Dieu t’encourage, t’aide, te réconforte et te nourrit sans relâche. Quand tu seras torturé et tourmenté en prison, seules la parole de Dieu et la foi qu’Il t’a donnée, te soutiendront, chaque seconde, chaque minute et chaque jour. Ainsi, quand tu endureras de violents passages à tabac, tu pourras continuer à persévérer dans la fermeté de ton témoignage à Dieu, à t’abstenir de devenir un Judas, et à vouloir glorifier le nom de Dieu et humilier Satan, grâce à la parole de Dieu et à la foi que Dieu t’a donnée. Tu pourras faire ces choses d’une part grâce à ta détermination, et d’autre part, ce qui est plus important, grâce aux conseils de Dieu, à Sa protection et à Sa direction. Alors que tes parents, quand tu auras le plus besoin de réconfort et d’aide, ne penseront encore qu’à eux-mêmes, et diront que tu es un ingrat insensible, qu’ils ne peuvent jamais compter sur toi dans cette vie et qu’ils t’ont élevé pour rien. Tes parents n’oublient pas pour autant qu’ils t’ont élevé, qu’ils voulaient pouvoir compter sur toi pour que tu les aides à avoir une bonne vie, pour rendre gloire à tes ancêtres, et pour leur permettre de garder la tête haute et de se sentir fiers de toi devant leur famille et leurs amis. Les parents qui ne croient pas en Dieu ne se sentent jamais honorés et chanceux en raison de ta croyance. Au contraire, ils te reprochent souvent de ne pas trouver le temps de leur rendre visite ou de t’occuper d’eux parce que tu crois en Dieu et que tu es occupé à accomplir ton devoir. Non seulement ils te font des reproches, mais ils te réprimandent souvent, en te traitant d’« ingrat insensible » et d’« enfant ingrat ». N’as-tu pas le sentiment qu’il t’est difficile de suivre le bon chemin tout en ayant cette mauvaise réputation ? N’as-tu pas le sentiment qu’on te fait du tort ? N’as-tu pas besoin du soutien, des encouragements et de la compréhension de tes parents quand tu fais l’expérience de ces choses ? N’as-tu pas souvent le sentiment que tu as déçu tes parents ? C’est ainsi que certaines personnes ont même des pensées stupides : « Dans cette vie, je ne suis pas destiné à faire preuve de piété filiale à l’égard de mes parents ou à vivre avec eux. Je ferai preuve de piété filiale dans ma prochaine vie, alors ! » Cette pensée n’est-elle pas stupide ? (Si.) Tu ne devrais pas avoir de telles pensées. Tu devrais les résoudre à la racine. Tu suis le bon chemin, tu as choisi d’accomplir le devoir d’un être créé et de venir devant le Créateur pour accepter le salut de Dieu. C’est le seul chemin correct dans ce monde. Tu as fait le bon choix. Peu importe que ceux qui ne croient pas, y compris tes parents, aient du mal à te comprendre ou soient déçus par toi, cela ne devrait pas affecter ton choix de suivre le chemin de la croyance en Dieu ou ta détermination à accomplir ton devoir, pas plus que cela ne devrait affecter ta foi en Dieu. Tu dois persévérer, parce que tu suis le bon chemin. A fortiori, tu dois abandonner les attentes de tes parents. Ces attentes ne doivent pas devenir des fardeaux pour toi quand tu suis le bon chemin. Tu suis le bon chemin, tu as fait le choix le plus correct que l’on puisse faire dans la vie. Si tes parents ne te soutiennent pas, s’ils te réprimandent sans cesse en te reprochant d’être un ingrat insensible, alors tu devrais encore plus faire preuve de discernement à leur égard, les abandonner sur un plan émotionnel et ne pas être contraint par eux. Même s’ils ne te soutiennent pas, même s’ils ne t’encouragent pas ou ne te réconfortent pas, tout ira bien pour toi, tu ne gagneras rien et tu ne perdras rien, avec ou sans ces choses. Le plus important, ce sont les attentes de Dieu à ton égard. Dieu t’encourage, te nourrit et te guide. Tu n’es pas seul. Sans les attentes de tes parents, tu peux encore bien faire le devoir d’un être créé, malgré tout, et sur cette base, tu resteras une bonne personne. Abandonner les attentes de tes parents ne signifie pas que tu as perdu ton éthique et ta morale, et cela ne signifie certainement pas que tu as renoncé à ton humanité, ou à la moralité et à la justice. La raison pour laquelle tu n’as pas été à la hauteur des attentes de tes parents, c’est que tu as choisi des choses positives et que tu as choisi d’accomplir le devoir d’un être créé. Il n’y a aucun mal à cela, c’est le chemin le plus correct. Tu dois persévérer et rester ferme dans ta croyance. Il est possible que tu ne reçoives pas le soutien de tes parents, et tu ne recevras assurément pas leur bénédiction, parce que tu crois en Dieu et parce que tu accomplis le devoir d’un être créé, mais peu importe. Ce n’est pas important, tu n’as rien perdu. Le plus important, c’est que, lorsque tu as choisi de suivre le chemin de la croyance en Dieu et de l’accomplissement du devoir d’un être créé, Dieu a commencé à avoir des attentes et de grands espoirs te concernant. En vivant dans ce monde, si les gens s’éloignent de leurs amis et de leurs parents, ils peuvent malgré tout bien vivre. Bien entendu, ils peuvent aussi vivre normalement après s’être éloignés de leurs parents. C’est seulement lorsqu’ils s’éloignent de la direction et des bénédictions de Dieu qu’ils tombent dans les ténèbres. Les attentes parentales, comparées aux attentes de Dieu vis-à-vis des gens et à Sa direction, sont tout simplement insignifiantes, et elles ne valent pas la peine d’être mentionnées. Quelles que soient les attentes de tes parents quant à ce tu deviens ou la vie que tu mènes sur un plan émotionnel, ils ne te guident pas le long du bon chemin, ou du chemin du salut. Par conséquent, tu dois inverser ton point de vue et abandonner les attentes de tes parents du fond du cœur, et sur le plan émotionnel. Tu ne dois pas continuer à assumer ce genre de fardeau, ou te sentir le moins du monde coupable vis-à-vis de tes parents parce que tu as choisi de faire le devoir d’un être créé. Tu n’as rien fait pour décevoir quiconque. Tu as choisi de suivre Dieu et d’accepter Son salut. Tu ne déçois pas tes parents ainsi, au contraire, ceux-ci devraient être fiers et honorés que tu aies choisi d’accomplir le devoir d’un être créé et d’accepter le salut du Créateur. S’ils en sont incapables, ce ne sont pas de bonnes personnes. Ils ne sont pas dignes de ton respect, ils sont encore moins dignes de ta piété filiale et, bien entendu, ils sont encore moins dignes que tu t’inquiètes à leur sujet. N’est-ce pas le cas ? (Si.)

Dans ce monde, qui sont les personnes les plus dignes de respect ? Ne s’agit-il pas de celles qui suivent le bon chemin ? À quoi renvoie « le bon chemin » ? Cela ne signifie-t-il pas poursuivre la vérité et accepter le salut de Dieu ? Les gens qui empruntent le bon chemin ne sont-ils pas ceux qui suivent Dieu et qui se soumettent à Lui ? (Si.) Si tu es une telle personne, ou si tu t’efforces de l’être, et que tes parents ne te comprennent pas, et même qu’ils te maudissent sans cesse ; si, quand tu es faible, déprimé et perdu, non seulement ils ne te soutiennent pas, ne te réconfortent pas et ne t’encouragent pas, mais exigent souvent que tu reviennes leur témoigner ta piété filiale, que tu gagnes beaucoup d’argent et que tu t’occupes d’eux, que tu ne les déçoives pas, que tu leur permettes de se réjouir de ton succès avec toi et d’avoir une bonne vie avec toi, de tels parents ne devraient-ils pas être rejetés ? (Si.) De tels parents sont-ils dignes de ton respect ? Sont-ils dignes de ta piété filiale ? Sont-ils dignes que tu t’acquittes de tes responsabilités envers eux ? (Non.) Pourquoi ? Parce qu’ils ont de l’aversion pour les choses positives. N’est-ce pas un fait ? (Si.) C’est parce qu’ils détestent Dieu. N’est-ce pas un fait ? (Si.) C’est parce qu’ils te méprisent, toi qui suis le bon chemin. N’est-ce pas un fait ? (Si.) Ils méprisent les gens qui défendent de justes causes. Ils te méprisent et te prennent de haut parce que tu suis Dieu et parce que tu accomplis ton devoir. Quel genre de parents sont-ils ? Ne sont-ils pas des parents méprisables et vils ? Ne sont-ils pas des parents égoïstes ? Ne sont-ils pas des parents malveillants ? (Si.) Tu as été pourchassé et traqué par le grand dragon rouge du fait de ta croyance en Dieu, tu as dû prendre la fuite, tu as été dans l’impossibilité de rentrer chez toi, et certains croyants ont même dû partir à l’étranger. Ta famille, tes amis et tes camarades de classe disent tous que tu es devenu un fugitif, et à cause de ces rumeurs et de ces ragots venus de l’extérieur, tes parents pensent que tu les as fait souffrir injustement et que tu les as mis dans l’embarras. Non seulement tes parents ne te comprennent pas, ne te soutiennent pas et ne compatissent pas avec toi, non seulement ils ne font aucun reproche à ceux qui répandent ces rumeurs et à ceux qui te méprisent et te discriminent, mais ils te haïssent, et ils disent les mêmes choses sur toi que ces gens qui ne croient pas en Dieu et qui sont au pouvoir. Que penses-tu de tels parents ? Sont-ils bons ? (Non.) Alors, penses-tu encore que tu leur es redevable ? (Non.) Si de temps à autre, tu appelles ta famille, ils penseront que c’est comme s’ils recevaient l’appel d’un fugitif. Ils auront le sentiment que c’est une grande humiliation et que tu n’oses même pas rentrer chez toi, comme un rat traqué. Ils se diront qu’il est embarrassant de t’avoir pour enfant. De tels parents sont-ils dignes de respect ? (Non.) Ils ne sont pas dignes de respect. Alors, quelle est la nature de leurs attentes vis-à-vis de toi ? Ces attentes valent-elles la peine que tu les gardes à l’esprit ? (Non.) Quel est l’objectif principal des attentes de tes parents vis-à-vis de toi ? Tes parents veulent-ils vraiment que tu suives le bon chemin et que tu finisses par atteindre le salut ? Ils espèrent que tu suivras les tendances de la société et que tu atteindras un meilleur statut social, que tu seras un bon point pour eux, que tu leur permettras de faire face au monde avec dignité, que tu feras leur fierté et leur joie. Quoi d'autre ? Ils veulent pouvoir profiter de ton succès avec toi, bien manger et bien boire, porter de beaux vêtements et être couverts d’or et d’argent. Ils veulent partir sur des bateaux de croisière de luxe et voyager dans le monde entier. Si tu avais un meilleur statut social, obtenant gloire et argent dans ce monde, et qu’ainsi tu leur permettais de profiter de tes succès avec toi, ils parleraient de toi partout où ils iraient, et diraient : « Mon fils, ma fille est untel ou unetelle. » Parlent-ils de toi, à l’heure actuelle ? (Non.) Tu suis le bon chemin, mais ils ne parlent pas de toi. Ils pensent que tu es sans le sous et indigent, que tu es une source d’embarras, et que parler de toi reviendrait à se couvrir de honte, alors ils ne parlent pas de toi. Par conséquent, quel est le but des attentes de tes parents ? Le but est que tes parents puissent profiter de tes succès avec toi, ce n’est pas uniquement dans ton propre intérêt. Ils ne seront contents que lorsqu’ils pourront profiter de tes succès. Maintenant que tu es revenu devant le Créateur et que tu as accepté Dieu, Son salut et Ses paroles, maintenant que tu as assumé le devoir d’un être créé, et que tu t’es engagé sur le bon chemin dans la vie, ils ne tirent aucun bénéfice ou avantage de toi, et ils se disent qu’ils ont perdu au change en t’élevant. C’est comme s’ils faisaient du commerce et qu’ils avaient subi des pertes. Par conséquent, ils sont pleins de regrets. Certains parents disent souvent : « T’élever est pire qu’élever un chien. Quand on élève un chien, celui-ci se montre très amical et remue la queue quand il voit son maître. À quoi puis-je m’attendre en t’élevant ? Tu passes tes journées à croire en Dieu et à accomplir ton devoir, tu ne fais pas d’affaires, tu ne vas pas travailler, tu ne veux même pas d’un gagne-pain stable, et au bout du compte, tous nos voisins ont commencé à se moquer de nous. Qu’ai-je gagné grâce à toi ? Je n’ai rien tiré de bon de toi, je n’ai pas profité du moindre de tes succès. » Si tu suivais les tendances malfaisantes du monde séculier et que tu t’efforçais d’y réussir, il est probable que tes parents te soutiendraient, t’encourageraient et te réconforteraient si tu devais souffrir, tomber malade ou te sentir triste. Et pourtant, ils ne sont pas contents et ne se réjouissent pas du fait que tu croies en Dieu et que tu aies une chance d’être sauvé. Au contraire, ils te haïssent et te maudissent. Si l’on se base sur leur essence, ces parents sont tes adversaires et tes ennemis jurés, ce ne sont pas des gens du même genre que toi, et ils ne suivent pas le même chemin que toi. Même si, en apparence, vous formez une famille, si l’on se base sur votre essence, vos poursuites, vos préférences, les chemins que vous suivez et les diverses attitudes que vous adoptez vis-à-vis des choses positives, de Dieu et de la vérité, on voit que tes parents ne sont pas des gens du même genre que toi. Par conséquent, tu auras beau dire : « J’ai l’espoir d’être sauvé, je me suis engagé sur le bon chemin dans la vie, », tes parents resteront de marbre, ils ne seront pas contents pour toi et ne se réjouiront pas pour toi. Au contraire, ils auront honte. Sur le plan émotionnel, ces parents constituent ta famille, mais si l’on se base sur vos natures-essences, ils ne sont pas ta famille, ce sont tes ennemis. Réfléchis-y, si les enfants apportent cadeaux et argent quand ils rentrent chez eux et qu’ils permettent à leurs parents de bien manger et de vivre dans de beaux endroits, leurs parents seront fous de joie, ils seront si heureux qu’ils ne sauront quoi dire. Dans leur cœur, ils se diront sans cesse : « Mon fils est tellement formidable, ma fille est tellement formidable. Je ne les ai pas élevés et aimés pour rien. Ils sont sensés, ils savent faire preuve de piété filiale, et nous occupons une place dans leur cœur. Ce sont de bons enfants. » Mais disons que tu rentres chez toi les mains vides, sans rien acheter, parce que tu crois en Dieu et que tu accomplis ton devoir. Supposons que tu échanges sur la vérité avec tes parents, que tu leur parles de la parole de Dieu et que tu leur dises que tu t’es engagé sur le chemin de la poursuite de la vérité, alors tes parents penseront aussitôt : « Qu’est-ce que tu racontes ? Je ne te comprends pas. Je t’ai élevé pendant toutes ces années et tu n’as répondu à aucune de mes attentes. Tu es finalement revenu nous rendre visite, tu aurais au moins pu nous acheter une paire de chaussettes ou des fruits. Tu n’as rien apporté, tu es venu les mains vides. » Tes parents ne diront pas : « En t’entendant dire ces choses, je vois que tu as beaucoup changé. Autrefois, tu étais jeune et arrogant, mais maintenant, tu as vraiment changé. Il est clair que toutes les choses dont tu parles sont de vraies questions. Tu as fait des progrès. Tu es prometteur et il y a de l’espoir pour toi, tu es capable de suivre le bon chemin, de suivre Dieu et de gagner le salut. Tu es un bon garçon. Tu as souffert là-bas, je vais te faire quelque chose de bon à manger. Nous avons quelques poules et, habituellement, nous ne voulons pas les tuer, nous préférons attendre de manger leurs œufs, mais maintenant que tu es rentré à la maison, je vais tuer une poule et te faire de la soupe. Tu as eu raison de choisir ce chemin, tu pourras atteindre le salut. Je suis si content pour toi ! Tu m’as beaucoup manqué ces dernières années. Même si nous n’avons pas été en contact, tu es revenu nous rendre visite et je me sens serein. Tu as grandi. Tu es plus mûr et plus sensé que tu ne l’étais. Toutes les choses que tu dis et que tu fais sont appropriées. » En voyant leur enfant suivre le bon chemin et avoir des pensées et opinions correctes, ces parents peuvent eux aussi en tirer profit et développer leurs connaissances. Puisque leur enfant est capable d’accomplir un devoir et de poursuivre la vérité, ces parents devraient soutenir leur enfant. Si, à l’avenir, leur enfant atteignait le salut et entrait dans le royaume, et s’il n’était plus meurtri par leurs tempéraments sataniques et corrompus, ce serait une chose merveilleuse. Même si ces parents sont âgés et lents à comprendre la vérité, et même s’ils ne comprennent pas vraiment ces questions, ils se disent : « Mon enfant peut suivre le bon chemin, c’est formidable. C’est un bon gamin. Il n’y a pas de poste gouvernemental de haut rang ou de richesses qui soient aussi positifs ou précieux que cela ! » Dis-Moi, ces parents sont-ils de bons parents ? (Oui.) Sont-ils dignes de respect ? (Oui.) Ils sont dignes de ton respect. Alors, comment devrais-tu leur témoigner du respect ? Tu dois prier pour eux, dans ton cœur. S’ils croient en Dieu, tu dois prier Dieu pour qu’Il les guide et qu’Il les protège, afin qu’ils puissent rester fermes dans leur témoignage face aux épreuves et aux tentations. S’ils ne croient pas en Dieu, tu dois respecter leur décision, malgré tout, et espérer qu’ils auront une vie stable, qu’ils ne feront rien de mal, et qu’ils commettront moins d’actes malfaisants, afin qu’au mieux ils subissent moins de punitions après leur mort. De plus, tu dois faire tout ton possible pour échanger avec eux sur certaines choses, pensées et opinions positives. C’est ce que l’on appelle le respect et on peut également dire que c’est la meilleure forme de piété filiale et la meilleure façon d’assumer tes responsabilités. Peux-tu y parvenir ? (Oui.) Encourage-les sur le plan spirituel et psychologique, et soutiens-les. Sur le plan physique, quand tu leur tiens compagnie à la maison, fais tout ton possible pour les aider à accomplir certaines tâches, et échange avec eux sur certaines choses que tu comprends et que tes parents peuvent saisir. Aide-les à se ménager, à ne pas se fatiguer autant, à ne pas faire toute une histoire de leurs finances et de toutes autres choses, et à laisser les choses suivre leur cours. C’est ce que l’on appelle le respect. Traite tes parents comme des personnes bonnes et respectables, assume une partie des responsabilités que tu as envers eux, fais preuve d’un peu de piété filiale à leur égard et remplis certaines de tes obligations envers eux. C’est ce que l’on appelle le respect. Seuls les parents qui comprennent et soutiennent ta croyance en Dieu de cette façon sont dignes de respect. À part eux, aucun autre parent n’est digne de respect. Outre t’amener à gagner de l’argent, ces autres parents veulent que tu atteignes un meilleur statut social, que tu te fasses un nom et que tu fasses ceci ou cela. Ces parents-là ne s’occupent pas de leurs propres affaires et ils ne sont pas dignes d’être respectés.

Désormais, vous comprenez tous ce qu’est l’abandon des attentes parentales et vous êtes capables d’abandonner les attentes de vos parents. Quelles sont les autres choses que vous êtes incapables d’abandonner ? En ce qui concerne la vie de tes parents, ou tes parents eux-mêmes, à quoi tiens-tu le plus ? Autrement dit, de quoi as-tu le plus de mal à te séparer, ou qu’est-ce qui t’est le plus difficile à abandonner sur le plan émotionnel ? « Tes parents ne sont pas tes créanciers ; tes parents ne sont pas les maîtres de ta vie ni de ton destin » : n’avons-nous pas fini d’échanger sur ce sujet, pour l’essentiel ? Comprenez-vous ce sujet ? (Oui.) Tes parents ne sont pas tes créanciers : autrement dit, tu ne dois pas sans cesse te demander comment leur rendre la pareille, simplement parce qu’ils ont passé beaucoup de temps à t’élever. Si tu n’es pas à même de leur rendre la pareille, si tu n’as pas l’occasion, ou si les circonstances ne conviennent pas pour le faire, alors tu te sentiras constamment triste et coupable, jusqu’à te sentir même triste quand tu vois quelqu’un avec ses parents, prenant soin d’eux ou leur témoignant sa piété filiale. Dieu a ordonné que tes parents t’élèveraient, ce qui t’a permis de devenir adulte, mais ce n’était pas pour que tu passes ta vie à leur rendre la pareille. Tu as des responsabilités et des obligations à assumer dans cette vie, un chemin à prendre, tu as ta propre vie. Dans cette vie, tu ne devrais pas consacrer toute ton énergie à rendre leur bonté à tes parents. C’est simplement quelque chose qui t’accompagne dans ta vie et sur ton chemin de vie. En termes d’humanité et de relations émotionnelles, c’est quelque chose d’inévitable. Mais quant au type de relation que toi et tes parents êtes destinés à avoir, que vous puissiez vivre ensemble pendant le reste de ta vie ou que vous soyez séparés, et que vous ne soyez pas liés par le destin, tout cela dépend des orchestrations et des arrangements de Dieu. Si Dieu a orchestré et arrangé que tu te trouves dans un lieu différent de tes parents durant cette vie, que tu sois très éloigné d’eux, et que vous soyez souvent dans l’impossibilité de vivre ensemble, alors assumer tes responsabilités envers eux n’est pour toi qu’une sorte d’aspiration. Si Dieu a arrangé pour toi que tu vives à proximité de tes parents dans cette vie, et que tu puisses rester à leurs côtés, alors assumer un peu de tes responsabilités envers eux, et leur témoigner une certaine piété filiale, sont des choses que tu devrais faire dans cette vie, ce n’est en rien critiquable. Mais si tu te trouves dans un endroit différent de tes parents, et que tu n’as pas la possibilité de leur témoigner ta piété filiale, ou que les circonstances ne s’y prêtent pas, alors tu n’as pas à considérer cela comme honteux. Tu ne dois pas avoir honte de faire face à tes parents parce que tu n’es pas à même de leur témoigner ta piété filiale. Simplement, les circonstances dans lesquelles tu te trouves ne le permettent pas. En tant qu’enfant, tu dois comprendre que tes parents ne sont pas tes créanciers. Tu dois faire de nombreuses choses dans cette vie, et toutes ces choses sont celles qu’un être créé devrait faire, ce sont des choses qui t’ont été confiées par le Créateur et qui n’ont aucun rapport avec le fait que tu rendes leur bonté à tes parents. Faire preuve de piété filiale à l’égard de tes parents, leur rendre la pareille, leur rendre leur bonté, tout cela n’a aucun rapport avec ta mission dans la vie. On peut également dire que tu n’es pas obligé de faire preuve de piété filiale vis-à-vis de tes parents, de leur rendre la pareille ni d’assumer les moindres responsabilités envers eux. Pour dire les choses simplement, tu peux le faire en partie, et assumer un peu de tes responsabilités quand les circonstances le permettent, mais quand ce n’est pas possible, tu n’as pas à t’évertuer à le faire. Si tu ne peux pas assumer ta responsabilité qui consiste à faire preuve de piété filiale, ce n’est pas grave, cela va simplement un peu à l’encontre de ta conscience, de ta moralité humaine et des notions humaines. Mais à tout le moins, cela ne s’oppose pas à la vérité, et Dieu ne te condamnera pas pour cela. Quand tu comprendras la vérité, ta conscience ne se sentira pas fautive à cause de cela. Votre cœur ne s’est-il pas calmé, maintenant que vous avez compris cet aspect de la vérité ? (Si.) Certaines personnes disent : « Même si Dieu ne me condamne pas, dans ma conscience, je ne peux toujours pas surmonter tout cela, et je ne suis pas sûr de moi. » Si c’est le cas, alors ta stature est trop faible et tu n’as pas compris ou percé à jour l’essence de cette question. Tu ne comprends pas la destinée de l’homme, tu ne comprends pas la souveraineté de Dieu et tu n’es pas disposé à accepter la souveraineté et les arrangements de Dieu. Tu es constamment possédé par la volonté humaine et tes propres sentiments, et ces choses te dirigent et te dominent. Elles sont devenues ta vie. Si tu choisis la volonté humaine et tes sentiments, alors tu n’as pas choisi la vérité et tu ne pratiques pas la vérité, ou tu ne t’y soumets pas. Si tu choisis la volonté humaine et tes sentiments, alors tu trahis la vérité. Ta situation et ton environnement ne te permettent clairement pas de faire preuve de piété filiale, mais tu penses sans cesse : « J’ai une dette vis-à-vis de mes parents. Je n’ai pas fait preuve de piété filiale. Cela fait tant d’années qu’ils ne m’ont pas vu. Ils m’ont élevé en vain. » Au fond de ton cœur, tu n’es jamais capable d’abandonner tout cela. Cela prouve une chose : tu n’acceptes pas la vérité. Du point de vue de la doctrine, tu reconnais que les paroles de Dieu sont correctes, mais tu ne les acceptes pas comme étant la vérité, ou tu ne les prends pas comme principes de tes actes. Donc, à tout le moins, pour ce qui est de la question de savoir comment tu traites tes parents, tu n’es pas quelqu’un qui poursuit la vérité. C’est parce qu’en la matière, tu n’agis pas en te basant sur la vérité, tu ne pratiques pas conformément aux paroles de Dieu, tu satisfais plutôt tes besoins émotionnels et ceux de ta conscience, en voulant faire preuve de piété filiale à l’égard de tes parents et leur rendre leur bonté. Même si Dieu ne te condamne pas pour ce choix, et même s’il s’agit de ton choix, en fin de compte, c’est toi qui seras perdant, surtout en ce qui concerne la vie. Tu es constamment soumis à cette question, tu penses constamment que tu as trop honte de faire face à tes parents, que tu ne leur as pas rendu leur bonté. Un jour, quand Dieu verra que ton désir de rendre à tes parents leur bonté est trop puissant, Il n’hésitera pas à orchestrer un environnement pour toi, et tu pourras alors simplement rentrer chez toi. Ne penses-tu pas que tes parents sont au-dessus de tout, au-dessus de la vérité ? Afin de faire preuve de piété filiale et de satisfaire les besoins de ta conscience, et tes sentiments, tu préférerais perdre Dieu, abandonner la vérité et renoncer à la possibilité d’atteindre le salut. Eh bien, ce n’est pas grave, c’est ton choix. Dieu ne te condamnera pas pour cela. Dieu orchestrera un environnement pour toi, Il te rayera de Sa liste et Il renoncera à toi. Si tu choisis de rentrer chez toi pour faire preuve de piété filiale, et que tu choisis de ne pas accomplir ton devoir, alors tu fuis et tu t’écartes du devoir que Dieu t’a confié, tu renonces à la commission de Dieu et aux attentes qu’Il a vis-à-vis de toi, tu renonces au devoir que Dieu t’a donné et tu renonces à la possibilité d’accomplir un devoir. Si tu rentres chez toi pour retrouver tes parents, afin de satisfaire les besoins de ta conscience et les attentes de tes parents, c’est acceptable, tu peux choisir de rentrer chez toi. Si tu ne peux vraiment pas abandonner tes parents, tu peux prendre l’initiative de lever la main et de dire : « Mes parents me manquent trop. Ma conscience me fait constamment des reproches, je suis incapable de satisfaire mes sentiments, et mon cœur souffre. J’ai hâte de voir mes parents et je ne cesse de penser à eux. Si je ne rentre pas pour faire preuve de piété dans cette vie, je crains de ne plus jamais en avoir l’occasion, j’ai peur de le regretter. » Alors tu peux entrer chez toi. Si tes parents sont le ciel et la terre pour toi, s’ils sont plus importants pour toi que ta propre vie, s’ils sont tout pour toi, alors tu peux choisir de ne pas les abandonner. Personne ne te forcera à le faire. Tu peux choisir de rentrer chez toi pour faire preuve de piété filiale et leur tenir compagnie, pour leur permettre d’avoir une vie agréable et leur rendre leur bonté. Mais il faut que tu y réfléchisses soigneusement. Si tu fais ce choix aujourd’hui et que, au bout du compte, tu rates l’occasion d’atteindre le salut, alors tu seras le seul à assumer ce résultat. Personne d’autre ne peut supporter ce genre de conséquence à ta place, tu dois le faire toi-même. Comprends-tu ? (Oui.) Si tu préfères renoncer à l’occasion d’accomplir un devoir et d’atteindre le salut, juste pour que tes parents puissent être tes créanciers, et pour que tu puisses rembourser tes dettes envers eux, c’est ton choix. Personne ne t’y oblige. Supposons que quelqu’un au sein de l’Église soumette une demande, en disant : « C’est trop dur, de vivre loin de chez moi. Mes parents me manquent trop. Je suis incapable de les abandonner dans mon cœur. Je rêve souvent d’eux. Dans mon esprit et dans mon cœur, je ne pense qu’à leur ombre, et je me sens de plus en plus coupable à cause de tout ce qu’ils ont fait pour moi. Maintenant qu’ils vieillissent, je me dis encore plus qu’il est vraiment difficile pour des parents d’élever un enfant, et que je devrais leur rendre la pareille, leur apporter un peu de joie et les réconforter par ma présence pendant le restant de mes jours. Je préfère renoncer à la chance d’être sauvé pour pouvoir rentrer chez moi et faire preuve de piété filiale à leur égard. » Dans ce cas, cette personne peut soumettre une demande, en disant : « Je viens me présenter ! Je veux rentrer chez moi pour pouvoir faire preuve de piété filiale, je ne veux pas accomplir mon devoir. » L’Église doit alors approuver cette demande et personne ne doit essayer de convaincre cette personne ou échanger avec elle. Il serait stupide de lui dire quoi que ce soit de plus. Quand les gens ne comprennent vraiment rien, tu peux leur parler un peu plus, et échanger sur la vérité jusqu’à ce que celle-ci soit claire pour eux. Si tu n’as pas échangé clairement à ce sujet, et que la personne fait le mauvais choix en conséquence, alors tu en es responsable. Cependant, si la personne comprend tout en termes de doctrine, alors personne n’a à essayer de la convaincre. Ainsi, certaines personnes disent : « Je comprends tout, tu n’as pas à me dire quoi que ce soit. » C’est parfait, tu n’auras pas à gaspiller ta salive pour elles, tu t’épargneras quelques difficultés. Tu dois laisser de telles personnes rentrer chez elles immédiatement. Tout d’abord, ne les en empêche pas. Ensuite, soutiens-les. Et finalement, apporte-leur un peu de réconfort et encourage-les, en leur disant : « Rentre chez toi et fais preuve d’une véritable piété filiale. Ne les mets pas en colère, ne contrarie pas tes parents. Si tu veux faire preuve de piété filiale et leur rendre la pareille, alors tu dois être un enfant qui fait preuve d’amour filial. Mais ne sois pas rempli de regrets quand, au bout du compte, tu ne pourras pas atteindre le salut. Bon voyage, j’espère que tout ira bien ! » D’accord ? (Oui.) Si une personne veut rentrer chez elle pour faire preuve de piété filiale, très bien, cette personne ne doit pas refouler ce désir. Accomplir un devoir est quelque chose de volontaire et personne n’insistera pour que tu le fasses. Tu ne seras pas condamné parce que tu n’accomplis pas un devoir. Si tu accomplis un devoir, parviendras-tu forcément au salut ? Pas nécessairement. Tout dépend de l’attitude que tu as envers l’accomplissement d’un devoir. Alors, seras-tu détruit, si tu n’accomplis pas un devoir ? Personne n’a dit cela. Dans tous les cas, ton espoir de salut aura probablement disparu. Certaines personnes disent : « Est-ce une bonne ou une mauvaise chose de faire preuve de piété filiale ? » Je ne sais pas. Si tu veux faire preuve de piété filiale, alors fais-le. Nous n’évaluerons pas cela, le faire n’aurait aucun sens. Il s’agit là d’une question qui concerne l’humanité et les sentiments. Le tout est de choisir ta méthode d’existence. Cela n’a rien à voir avec la vérité. Toute personne qui veut rentrer chez elle et faire preuve de piété filiale peut librement choisir de le faire. La maison de Dieu n’insistera pas pour que cette personne reste, et la maison de Dieu ne s’en mêlera pas. Les dirigeants de l’Église et ceux qui les entourent ne doivent pas empêcher cette personne de rentrer chez elle. Ils ne doivent pas essayer de convaincre ce genre de personne, ou échanger sur la vérité avec elle. Si tu veux rentrer chez toi, alors pars. Tout le monde te fera ses adieux, on mangera des raviolis chinois avec toi et on te souhaitera bon voyage.

Les plus grandes attentes des parents vis-à-vis de leurs enfants sont, d’une part, l’espoir que leurs enfants auront une belle vie, et d’autre part, l’espoir que leurs enfants seront à leurs côtés et veilleront sur eux quand ils seront âgés. Par exemple, si des parents tombent malades ou rencontrent certaines difficultés dans la vie, ils espèrent que leurs enfants pourront les aider à écarter leurs soucis et difficultés, et partager leur fardeau. Ils espèrent que leurs enfants seront à leurs côtés quand ils quitteront ce monde, afin qu’ils puissent les revoir une dernière fois. Ce sont généralement les deux plus grandes attentes des parents vis-à-vis de leurs enfants, et il est difficile d’abandonner ces attentes. Si les parents d’une personne tombent malades ou rencontrent des difficultés, et que cette personne ne l’apprend pas, il est possible que la situation se résolve sans son intervention. Mais si la personne en est informée, elle a en général beaucoup de mal à surmonter la situation, surtout si l’état de ses parents devient sérieux et qu’ils tombent gravement malades. Dans ces moments-là, les gens ont encore plus de mal à lâcher prise. Si, au fond de ton cœur, tu te dis que tes parents ont encore la condition physique qu’ils avaient il y a 10 ou 20 ans, qu’ils peuvent vivre et travailler comme à cette époque, qu’ils peuvent prendre soin d’eux-mêmes et vivre normalement, qu’ils sont encore en bonne santé, jeunes et robustes, et si tu as l’impression qu’ils n’ont pas besoin de toi, tu ne seras pas très inquiet à leur sujet dans ton cœur. Mais si tu apprends que tes parents se font vieux, que leur constitution s’est affaiblie et qu’ils ont besoin que l’on s’occupe d’eux et qu’on leur tienne compagnie, et que tu te trouves ailleurs, tu seras probablement contrarié et affecté par cette nouvelle. Certaines personnes abandonnent même leur devoir et veulent rentrer chez elles pour voir leurs parents. Certaines personnes émotives font des choix encore plus irrationnels, et disent : « Si je pouvais, je donnerais dix ans de ma vie à mes parents. » Il y a aussi des personnes qui sont résolues à rechercher des bénédictions pour leurs parents. Elles achètent toutes sortes de produits de santé et de compléments alimentaires pour leurs parents, et quand elles apprennent que ces derniers sont gravement malades, elles ne peuvent éviter d’être piégées par leurs sentiments, et souhaitent courir immédiatement au chevet de leurs parents. Certaines personnes disent : « Je serais même prêt à avoir cette maladie à la place de mes parents », sans se demander quel devoir elles devraient accomplir, et ignorant la commission de Dieu. Par conséquent, dans ces circonstances, les gens sont très susceptibles de devenir faibles et de céder à la tentation. Pleureriez-vous si vous appreniez que vos parents sont tombés gravement malades ? En particulier, certaines personnes reçoivent des lettres de chez elles, qui disent que le médecin a déjà annoncé la mort prochaine de leurs parents. Que signifie « annoncer la mort prochaine » ? Cette expression est facile à interpréter. Elle signifie que les parents de ces personnes vont mourir dans quelques jours. À un moment pareil, tu penserais : « Mes parents n’ont qu’une cinquantaine d’années. Cela ne devrait pas arriver. De quelle maladie sont-ils atteints ? » Et si la réponse était : « Ils ont un cancer », tu penserais aussitôt : « Comment l’ont-ils attrapé ? Je suis parti depuis toutes ces années, je leur ai manqué et leur vie a été si dure, est-ce pour cette raison qu’ils ont attrapé cette maladie ? » Tu te précipiterais alors pour rejeter toute la faute sur toi-même : « Mes parents ont eu une vie si dure et je ne les ai pas aidés en partageant leur fardeau. Je leur ai manqué et ils se sont inquiétés pour moi, et je ne suis pas resté à leurs côtés. Je les ai laissé tomber et je leur ai fait endurer des souffrances parce que je leur manquais sans cesse. Mes parents ont passé tant de temps à m’élever, et tout ça pour quoi ? Tout ce que j’ai fait, c’est les faire souffrir ! » Plus tu y penserais, plus tu croirais que tu les as laissé tomber et que tu leur es redevable. Puis tu penserais : « Non, ce n’est pas exact. Je crois en Dieu, j’accomplis le devoir d’un être créé et je mène à bien la commission de Dieu. Je n’ai laissé tomber personne. » Mais ensuite, tu penserais : « Mes parents sont si âgés et ils n’ont aucun enfant à leurs côtés pour prendre soin d’eux. À quoi bon m’avoir élevé, alors ? » Tu hésiterais sans cesse, incapable de surmonter cette situation, quelle que soit ta façon d’y réfléchir. Non seulement tu pleurerais, mais tu sombrerais dans l’imbroglio de tes sentiments à l’égard de tes parents. Est-il facile d’abandonner tout cela, dans ces circonstances ? Tu dirais : « Mes parents m’ont donné naissance et ils m’ont élevé. Ils ne s’attendaient pas à ce que je devienne très riche et ils ne m’ont jamais rien demandé d’excessif. Ils espéraient simplement que je serais à leurs côtés quand ils tomberaient malades et auraient besoin de moi, que je leur tiendrais compagnie et que j’atténuerais leurs souffrances. Je ne l’ai jamais fait ! » Tu pleurerais, du jour où tu aurais appris que tes parents étaient très gravement malades jusqu’au jour de leur mort. Seriez-vous tristes, si vous vous trouviez dans ce genre de situation ? Pleureriez-vous ? Verseriez-vous des larmes ? (Oui.) À ce moment-là, ta détermination et tes aspirations vacilleraient-elles ? Éprouverais-tu l’envie irrépressible de retourner en hâte aux côtés de tes parents, inconsidérément et imprudemment ? Penserais-tu, au fond de ton cœur, que tu es un ingrat insensible et que tes parents t’ont élevé en vain ? Continuerais-tu à avoir honte de faire face à tes parents ? Te souviendrais-tu sans cesse de la bonté dont tes parents ont fait preuve à ton égard en t’élevant, et à quel point ils ont été bons avec toi ? (Oui.) Abandonnerais-tu ton devoir ? Ferais-tu tout ton possible pour avoir des nouvelles récentes de tes parents par le biais d’amis ou de frères et sœurs ? Tout le monde présenterait ces manifestations, n’est-ce pas ? Alors, ce problème est-il facile à résoudre ? Comment dois-tu comprendre de telles questions ? Comment dois-tu considérer la question de la maladie ou du grand malheur, quel qu’il soit, qui frappent tes parents ? Si tu peux percer à jour tout cela, tu pourras l’abandonner. Tu penses constamment que tout ce que tes parents ont enduré et affronté est lié à toi, et que tu devrais partager ces fardeaux. Tu rejettes constamment la faute sur toi-même, tu penses toujours que ces choses ont un rapport avec toi, tu veux toujours t’en mêler. Cette idée est-elle juste ? (Non.) Pourquoi ? Comment devrais-tu considérer ces choses ? Quelles manifestations sont normales ? Quelles manifestations sont anormales, irrationnelles et ne se conforment pas à la vérité ? Nous allons d’abord parler des manifestations normales. Les gens sont tous mis au monde par leurs parents. Ils sont de la chair, et ils possèdent des sentiments. Les sentiments font partie de ce qui est humain et personne ne peut les éviter. Toute personne a des sentiments. Même les petits animaux ont des sentiments, sans parler des gens. Néanmoins, les sentiments de certaines personnes sont un peu plus intenses et les sentiments d’autres personnes sont un peu plus ténus. Mais quelles que soient les circonstances, tout le monde a des sentiments. Que cela émane de leurs sentiments, de leur humanité ou de leur rationalité, tous les individus seraient contrariés s’ils apprenaient que leurs parents sont tombés malades, qu’ils sont frappés par un grand malheur ou qu’ils endurent des souffrances. Tous les individus seraient contrariés. Il est tout à fait normal d’être contrarié, il s’agit là d’un instinct humain, c’est quelque chose que les gens possèdent dans leur humanité et leurs sentiments. Il est tout à fait normal que cela se manifeste chez les gens. Quand leurs parents tombent gravement malades ou sont frappés par un grand malheur, il est tout à fait normal que les gens se sentent tristes, qu’ils pleurent, qu’ils se sentent oppressés, qu’ils cherchent des façons de résoudre ces problèmes et qu’ils partagent ce fardeau avec leurs parents. Chez certaines personnes, cela a même des répercussions sur leur corps : elles seront incapables de manger, elles auront l’estomac noué et auront le moral en berne toute la journée. Toutes ces manifestations sont des manifestations des émotions, et tout cela est parfaitement normal. Les gens ne devraient pas te critiquer pour ces manifestations normales. Tu ne devrais pas essayer d’éviter ces manifestations et tu ne devrais certainement pas accepter les critiques de quiconque à leur sujet. Si tu présentes ces manifestations, cela prouve que tes sentiments pour tes parents sont authentiques, que tu es une personne capable de tenir compte de sa conscience et que tu es une personne normale et ordinaire. Personne ne devrait te reprocher ces débordements affectifs ou d’avoir ces besoins sur le plan émotionnel. Ces manifestations relèvent toutes de la rationalité et de la conscience. Alors, quelles manifestations ne sont pas normales ? Les manifestations anormales sont celles qui sortent du cadre de la rationalité. Par exemple quand les gens deviennent impulsifs dès que ces choses leur arrivent, qu’ils veulent tout abandonner immédiatement pour retourner aux côtés de leurs parents, qu’ils se précipitent pour rejeter toute la faute sur eux-mêmes et pour abandonner les idéaux, les aspirations et la détermination qu’ils avaient autrefois, et même pour abandonner les serments qu’ils ont prêtés devant Dieu. Ces manifestations sont anormales et elles sortent du cadre de la rationalité, elles sont trop impulsives ! Quand les gens choisissent un chemin, ce n’est pas comme s’ils pouvaient choisir le chemin correct, le bon chemin, dans un accès d’impétuosité. Le fait que tu choisisses de suivre le chemin de l’accomplissement d’un devoir et que tu choisisses de faire le devoir d’un être créé n’est pas une mince affaire et c’est quelque chose que rien d’autre ne peut remplacer. Ce n’est assurément pas un choix qui peut être fait dans un accès d’impétuosité. De plus, il s’agit là du bon chemin, tu ne dois pas revenir sur ta décision de suivre le bon chemin dans la vie à cause des environnements, des gens, des événements et des choses qui t’entourent. Voilà la rationalité dont tu devrais faire preuve. Qu’il s’agisse de tes parents ou de n’importe quel grand changement, tout cela ne devrait pas affecter ce qu’il y a de plus important : accomplir le devoir d’un être créé. Voilà un aspect du problème. Un autre aspect est de savoir si tu peux décider de la façon dont tes parents contractent une maladie, le moment où ils commencent à en souffrir, et le type de conséquences que cette maladie peut entraîner. Il se peut que tu dises : « Tout cela est sans doute arrivé parce que je n’ai pas fait preuve d’amour filial. Si j’avais passé toutes ces années à gagner de l’argent et à travailler avec application, et si j’étais à l’aise financièrement, mes parents auraient pu se faire soigner plus tôt et leur état n’aurait pas autant empiré. C’est parce que je n’ai pas fait preuve d’amour filial. » Cette pensée est-elle correcte ? (Non.) Si une personne a de l’argent, cela veut-il dire nécessairement qu’elle pourra s’acheter une bonne santé et éviter de tomber malade ? (Non.) Dans ce monde, les gens riches ne tombent-ils jamais malades ? Entre le moment où une personne se dit qu’elle est en train de tomber malade et le moment où elle est effectivement malade, et jusqu’à ce qu’elle meure, tout est prédéterminé par Dieu. Comment une personne pourrait-elle décider de cela ? Comment le fait d’avoir de l’argent ou de ne pas en avoir pourrait-il déterminer tout cela ? Comment l’environnement des gens pourrait-il déterminer tout cela ? Tout cela a été déterminé par la souveraineté et les arrangements de Dieu. Par conséquent, tu n’as pas à analyser ou à investiguer excessivement le fait que tes parents tombent gravement malades ou qu’ils affrontent un grand malheur, et tu ne devrais certainement pas y consacrer de l’énergie. Cela ne servirait à rien. Que les gens naissent, vieillissent, tombent malades, meurent et rencontrent divers problèmes, grands et petits, dans la vie est tout ce qu’il y a de normal. Si tu es adulte, alors tu dois penser avec maturité et tu dois aborder cette question calmement et correctement : « Mes parents sont malades. Certains disent que c’est parce que je leur ai beaucoup manqué. Est-ce possible ? Je leur ai certainement manqué, comment un enfant pourrait-il ne pas manquer à ses parents ? Mes parents m’ont manqué, eux aussi, alors pourquoi ne suis-je pas tombé malade ? » Quiconque peut-il tomber malade parce que ses enfants lui manquent ? Ce n’est pas le cas. Alors, que se passe-t-il quand tes parents rencontrent ces problèmes significatifs ? On peut seulement dire que Dieu a orchestré ce genre de problème dans leur vie. Cela a été orchestré de la main de Dieu – tu ne peux pas te focaliser sur des raisons et des causes objectives – tes parents étaient censés rencontrer ce problème quand ils ont atteint cet âge, ils étaient censés être frappés par cette maladie. Auraient-ils pu l’éviter, si tu avais été là ? Si Dieu n’avait pas arrangé qu’ils tombent malades dans le cadre de leur destin, alors il ne leur serait rien arrivé, même si tu ne t’étais pas trouvé avec eux. S’ils étaient destinés à être confrontés à ce genre de grand malheur dans leur vie, quel effet aurais-tu pu avoir si tu avais été à leurs côtés ? Ils n’auraient quand même pas pu l’éviter, n’est-ce pas ? (En effet.) Pense à ces gens qui ne croient pas en Dieu : toute leur famille n’est-elle pas réunie, année après année ? Quand ces parents sont confrontés à de grands malheurs, les membres de leur famille élargie et leurs enfants sont tous avec eux, n’est-ce pas ? Quand ces parents tombent malades, ou quand leur maladie s’aggrave, est-ce parce que leurs enfants les ont quittés ? Ce n’est pas le cas, c’était une fatalité. Simplement, en tant que leur enfant, parce que tu as ce lien du sang avec tes parents, tu seras contrarié quand tu apprendras qu’ils sont malades, alors que les autres ne ressentiront rien. C’est tout à fait normal. Cependant, que tes parents soient confrontés à ce genre de grand malheur ne signifie pas que tu dois l’analyser et l’investiguer, ou réfléchir à la façon de t’en débarrasser ou de le résoudre. Tes parents sont adultes, ils ont été confrontés à tout cela plus d’une fois au sein de la société. Si Dieu arrange un environnement pour les débarrasser de ce problème, alors, tôt ou tard, il disparaîtra complètement. Si ce problème constitue pour eux un obstacle dans la vie et qu’ils doivent en faire l’expérience, alors c’est à Dieu de décider pendant combien de temps ils doivent en faire l’expérience. C’est quelque chose dont ils doivent faire l’expérience et ils ne peuvent pas l’éviter. Si tu souhaites, à toi seul, résoudre ce problème, analyser et investiguer la source, les causes et les conséquences de ce problème, il s’agit là d’une pensée stupide. Cela ne sert à rien et c’est superflu. Tu ne devrais pas agir ainsi, ni analyser, ni investiguer, ni contacter tes camarades de classe et tes amis pour leur demander de l’aide, ni contacter l’hôpital pour tes parents, contacter les meilleurs médecins, prendre des dispositions pour que tes parents aient le meilleur lit d’hôpital, tu n’as pas à te creuser la cervelle en faisant tout cela. Si tu as vraiment de l’énergie en trop, alors tu dois bien faire le devoir que tu es censé accomplir à l’heure actuelle. Tes parents ont leur propre destin. Personne ne peut échapper à l’âge auquel on est censé mourir. Tes parents ne sont pas les maîtres de ton destin, et de la même manière, tu n’es pas le maître du destin de tes parents. Si c’est leur destin que quelque chose leur arrive, que peux-tu y faire ? Quel effet peut avoir le fait que tu sois angoissé et que tu cherches des solutions ? Cela ne peut rien accomplir. Tout dépend de la volonté de Dieu. Si Dieu veut les emmener et te permettre d’accomplir ton devoir sans être perturbé, peux-tu t’en mêler ? Peux-tu discuter des conditions avec Dieu ? Que dois-tu faire à ce stade ? Si tu te creuses la cervelle pour trouver des solutions, si tu investigues, analyses, rejettes la faute sur toi-même, et que tu as honte de faire face à tes parents, s’agit-il là des pensées qu’une personne devrait avoir et des actes qu’elle devrait accomplir ? Tout cela constitue des manifestations d’un manque de soumission à Dieu et à la vérité. Tout cela est irrationnel, peu sage et rebelle envers Dieu. Les gens ne devraient pas présenter ces manifestations. Comprends-tu ? (Oui.)

Certains disent : « Je sais que je ne devrais pas analyser ou investiguer le fait que mes parents tombent malades ou qu’ils soient confrontés à un grand malheur. Je sais qu’il est inutile de le faire et que je devrais aborder cette question en me basant sur les vérités-principes, mais je ne peux pas m’empêcher d’analyser et d’investiguer ce problème. » Alors, résolvons cette question de la retenue, pour que tu n’aies plus à te retenir de faire quelque chose. Comment peut-on y parvenir ? Dans cette vie, les gens en bonne santé commencent à ressentir les symptômes de la vieillesse après avoir atteint l’âge de 50 ou 60 ans. Leurs muscles et leurs os se détériorent, ils perdent leur force, ne dorment pas bien, ne mangent pas beaucoup, et ils n’ont pas assez d’énergie pour travailler, lire ou accomplir la moindre tâche. Diverses maladies se déclarent, telles que l’hypertension, le diabète, les affections cardiaques, les maladies cardiovasculaires, les maladies cérébrovasculaires, et ainsi de suite. Ceux dont la santé est légèrement meilleure, même s’ils ressentent ces symptômes de l’âge, peuvent faire tout ce qu’ils ont à faire, et ces symptômes ne les empêchent ni de vivre ni de travailler normalement. C’est une bonne chose. Quant à ceux qui sont en moins bonne santé, ces symptômes les empêchent de travailler et de vivre normalement, et ils doivent parfois se rendre à l’hôpital pour consulter un médecin. Certains de ces individus attrapent des rhumes ou souffrent de migraines, d’autres souffrent de gastro-entérites ou de diarrhées. Ils doivent rester au lit pendant deux jours chaque fois qu’ils souffrent d’une crise de diarrhée. Certaines personnes font de l’hypertension et ont des vertiges au point qu’elles ne peuvent pas marcher, conduire ou s’éloigner de chez elles. D’autres encore souffrent d’incontinence urinaire, ce qui les empêche de sortir. Elles quittent donc rarement leur domicile et ne peuvent pas voyager avec leurs parents et amis. D’autres ont constamment des réactions allergiques à ce qu’elles mangent. D’autres encore dorment mal et ne peuvent pas se reposer dans les endroits bruyants. Dès qu’elles ne sont pas chez elles, elles ont encore plus de mal à dormir. Toutes ces choses ont un impact important sur la vie et le travail de ces personnes. Certaines personnes ne peuvent même pas travailler plus de trois ou quatre heures d’affilée. Et puis, il y a des cas encore plus graves où les gens entrent en phase terminale à 50 ou 60 ans parce qu’ils souffrent de cancer, de diabète, de rhumatisme cardiaque, de démence, de maladie de Parkinson, et autres. Que ces maladies soient dues à ce que ces gens ont mangé, à un environnement pollué, à de l’air ou à de l’eau pollués, la loi qui régit la chair de l’homme est qu’après 45 ans pour les femmes, et 50 ans pour les hommes, leur corps se détériore peu à peu. Chaque jour, ces gens disent que telle partie de leur corps les gêne et que telle autre leur fait mal. Ils vont chez le médecin se faire examiner et il s’agit d’un cancer en phase terminale. Le médecin finit par dire : « Rentrez chez vous, ça ne se soigne pas. » Tout le monde sera confronté à ces maladies charnelles. Aujourd’hui, c’est eux, demain, ce sera vous et nous. En fonction de l’âge, et dans cet ordre chronologique, tout le monde nait, devient vieux, tombe malade et meurt. Les gens passent de la jeunesse à la vieillesse, de la vieillesse, ils passent à la maladie et de la maladie à la mort, c’est la loi. Simplement, quand tu apprends que tes parents sont tombés malades, comme il s’agit des personnes les plus proches de toi, pour lesquelles tu te fais le plus de souci, et de celles qui t’ont élevé, tu seras incapable de franchir l’obstacle de tes sentiments, et tu te diras : « Je ne ressens rien quand les parents des autres meurent, mais mes parents ne peuvent pas tomber malades, parce que cela me rendrait triste. Je ne le supporte pas, mon cœur souffre, je n’arrive pas à surmonter mes sentiments ! » Simplement parce qu’il s’agit de tes parents, tu penses qu’ils ne devraient pas devenir vieux, ni tomber malades, et qu’ils ne devraient certainement pas mourir. Cela a-t-il un sens ? Cela n’a aucun sens, et ce n’est pas une vérité. Le comprends-tu ? (Oui.) Chaque individu fera face au fait que ses parents vieillissent, qu’ils tombent malades. Dans certains cas graves, les parents de ces personnes sont même paralysés et alités, et certains sombrent dans un état végétatif. Les parents de certaines personnes font de l’hypertension, souffrent de paralysie partielle, font un AVC, ou contractent une maladie grave et meurent. Toute personne verra, entendra parler ou sera personnellement témoin du processus de vieillissement, de maladie, et de mort de ses parents. Simplement, certaines personnes l’apprennent plus tôt, quand leurs parents ont la cinquantaine. Certaines personnes apprennent cette nouvelle quand leurs parents ont la soixantaine. Et d’autres encore ne l’apprennent que lorsque leurs parents ont 80, 90 ou 100 ans. Mais quel que soit le moment auquel tu apprends cette nouvelle, en tant que fils ou fille, un jour, tôt ou tard, tu accepteras ce fait. Si tu es adulte, tu dois penser en faisant preuve de maturité et avoir une attitude correcte vis-à-vis du fait que les gens naissent, vieillissent, tombent malades et meurent, et ne pas être impulsif. Tu ne dois pas être incapable de le supporter quand tu apprends que tes parents sont malades ou que l’hôpital les a informés qu’ils sont dans un état de santé critique. Naître, devenir vieux, tomber malade et mourir sont des choses que toute personne doit accepter. Sur quelle base es-tu incapable de le supporter ? C’est la loi que Dieu a ordonnée quant à la naissance et à la mort de l’homme, pourquoi veux-tu l’enfreindre ? Pourquoi ne l’acceptes-tu pas ? Quelles sont tes intentions ? Tu ne veux pas laisser tes parents mourir, tu ne veux pas qu’ils vivent selon la loi de la naissance, de la vieillesse, de la maladie et de la mort que Dieu a établie. Tu veux empêcher tes parents de tomber malades et de mourir. Qu’est-ce que cela ferait d’eux ? Cela n’en ferait-il pas des gens artificiels ? Seraient-ils alors encore des personnes ? Par conséquent, tu dois accepter ce fait. Avant d’apprendre que tes parents vieillissent, qu’ils sont tombés malades et qu’ils sont morts, tu dois t’y préparer dans ton cœur. Un jour, tôt ou tard, toute personne vieillira, s’affaiblira et mourra. Comme tes parents sont des gens normaux, pourquoi ne peuvent-ils pas faire l’expérience de cette difficulté ? Ils doivent la vivre et tu dois l’aborder correctement. Ce problème a-t-il été résolu ? Peux-tu désormais faire face à de telles choses rationnellement ? (Oui.) Alors, quand tes parents tomberont gravement malades ou qu’ils seront confrontés à un grand malheur à l’avenir, comment aborderas-tu cette situation ? Il ne faut pas non plus l’ignorer. Si tu le faisais, les gens diraient : « Es-tu un crapaud ou un serpent ? Comment peux-tu être aussi dépourvu de sentiments qu’un animal à sang froid ? » Tu es une personne normale, tu devrais donc réagir. Tu devrais te dire : « Mes parents ont eu une vie difficile, et ils ont contracté cette maladie alors qu’ils étaient encore jeunes. Ils n’ont profité d’aucune bénédiction et ils n’ont pas été assidus dans leur croyance en Dieu. C’est ainsi que leur vie s’est déroulée. Ils n’ont rien compris, ils n’ont pas suivi le bon chemin, ni poursuivi la vérité. Ils se sont contentés de laisser passer le temps. Ils ne sont pas différents des animaux, ils sont semblables à de vieilles vaches ou de vieux chevaux. Maintenant qu’ils sont gravement malades, ils vont simplement devoir se débrouiller seuls, mais j’espère que Dieu pourra atténuer une partie de leurs souffrances. » Prie pour eux dans ton cœur, c’est suffisant. Que peut-on y faire ? Si tu n’es pas avec tes parents, tu ne peux rien y faire. Et même si tu es à leurs côtés, que peux-tu y faire ? Combien de personnes ont-elles personnellement vu leurs parents passer de la jeunesse à la vieillesse, puis passer de la vieillesse à la maladie, en contractant diverses affections, puis passer de ces diverses maladies à l’échec de leur traitement médical, jusqu’à ce que ces parents soient déclarés morts et emmenés à la morgue ? Ces personnes ne manquent pas. Ces enfants restent tous avec leurs parents, mais que peuvent-ils faire ? Ils ne peuvent rien faire. Ils ne peuvent que regarder. Ne pas assister à ce processus maintenant t’épargnera des difficultés. Il vaut mieux ne pas y assister, y assister ne serait pas bon pour toi. N’est-ce pas vrai ? (Si.) En ce qui concerne cette question, d’une part, tu dois comprendre clairement que les gens naissent, vieillissent, tombent malades et meurent, et que c’est une loi établie par Dieu ; d’autre part, tu dois voir clairement les responsabilités que les gens doivent assumer, ainsi que leur destin, tu ne dois pas être irrationnel et tu ne dois pas agir de manière impulsive ou stupide. Pourquoi ne dois-tu pas agir de manière impulsive ou stupide ? Parce que même si tu le fais, cela ne servira à rien, cela ne fera que révéler ta stupidité. Plus grave encore, lorsque tu agis de manière stupide, tu te rebelles contre Dieu, et Dieu n’aime pas ça, Il déteste ça. Tu vois clairement et tu comprends toutes ces vérités en termes de doctrine, mais tu es encore attaché à ton propre chemin, et tu agis de manière obstinée et délibérée, de sorte que Dieu ne t’aime pas, Il t’abhorre. Qu’est-ce qu’Il abhorre en toi ? Il abhorre ta stupidité entêtée et ta rébellion. Tu crois posséder des sentiments humains, mais Dieu dit que tu es entêté et stupide. Tu es entêté, stupide, bête et intransigeant, tu n’acceptes pas la vérité et tu ne te soumets pas aux orchestrations et aux arrangements de Dieu. Dieu t’a clairement indiqué l’essence, la source et les principes de pratique spécifiques que renferme cette question, mais tu veux, malgré tout, faire face à tout cela selon tes sentiments, de sorte que Dieu ne t’aime pas. En fin de compte, si Dieu n’enlève pas la maladie de tes parents, alors ils tomberont gravement malades et mourront, si c’est ce qui est censé leur arriver. Personne ne peut changer ce fait. Si tu souhaites changer ce fait, cela prouve seulement que tu veux changer la souveraineté de Dieu, de tes propres mains et en employant tes propres méthodes. C’est là la plus grande des rébellions et tu t’opposes à Dieu. Si tu ne veux pas t’opposer à Dieu, quand tu apprends que ces choses sont arrivées à tes parents, tu dois rester calme et trouver un endroit où tu peux être seul pour pleurer, penser et prier. Ou bien tu dois parler de tes sentiments de nostalgie aux frères et sœurs qui t’entourent. C’est tout ce que tu as à faire. Tu ne dois pas songer à changer quelque chose, et tu ne dois certainement pas agir de manière stupide. Ne prie pas Dieu en Lui demandant de retirer la maladie de tes parents, et de leur permettre de vivre quelques années de plus, ou de prendre deux années de ta propre vie pour les donner à tes parents, simplement parce que tu crois en Dieu, ou en te basant sur le fait que tu as renoncé à ta famille et à ta carrière pour accomplir ton devoir pendant tant d’années. Ne fais pas ce genre de choses. Dieu n’écoutera pas ce genre de prières et Il abhorre ce genre de pensées et de prières. Ne contrarie pas Dieu et ne Le mets pas en colère. Dieu a vraiment de l’aversion pour les gens qui souhaitent manipuler le destin de quelqu’un, qui veulent changer le fait de la souveraineté de Dieu sur le destin d’une personne, changer certains faits établis par Dieu depuis longtemps ou la trajectoire du destin des gens. Voilà ce que Dieu déteste le plus.

J’ai fini d’échanger sur l’attitude, les pensées et la compréhension que les gens devraient avoir quant au fait que leurs parents tombent malades. De même, quand il s’agit du décès de leurs parents, les gens devraient également adopter une attitude correcte et rationnelle. Certaines personnes sont séparées de leurs parents depuis des années, elles n’ont pas été aux côtés de leurs parents ou n’ont pas vécu avec eux, et quand elles apprennent que leurs parents sont morts subitement, c’est un choc pour elles, et cela leur semble incroyablement brutal. Comme ces personnes n’étaient pas aux côtés de leurs parents, ou qu’elles n’ont pas vécu avec eux pendant tant d’années, elles nourrissent une sorte d’idée fausse dans leurs pensées et leurs notions. Quel genre d’idée fausse ? Quand tu as quitté tes parents, ils se portaient bien. Après avoir vécu loin d’eux pendant des années, dans ton esprit, tes parents ont gardé le même âge, ils sont restés dans le même état physique, le même état de vie que dans ton souvenir. Cela sème le désordre. Tu en viens à croire que tes parents ne vieilliront jamais et qu’ils vivront assez longtemps pour fêter de nombreux anniversaires. Autrement dit, dès que leur visage est mémorisé dans ton cœur, dès que leur vie, leurs paroles et leur comportement laissent une impression, une empreinte dans ton esprit et dans ta mémoire, tu penses que tes parents resteront comme ça à jamais, qu’ils ne changeront pas, qu’ils ne vieilliront pas et qu’ils ne mourront certainement pas. À quoi fait référence « ne mourront pas » ? D’une part, cela signifie que leur corps physique ne disparaîtra pas. D’autre part, cela signifie que leur visage, les sentiments qu’ils ont pour toi, et ainsi de suite, ne disparaîtront pas. Il s’agit là d’une idée fausse, qui te vaudra bien des ennuis. Par conséquent, quel que soit l’âge de tes parents, qu’ils meurent de vieillesse, à cause d’une maladie ou à la suite de certains incidents, cela te portera un coup et te paraîtra très brutal. Étant donné que dans ton esprit, tes parents se portent encore bien, et qu’ensuite, ils disparaissent soudainement, tu penseras : « Comment peuvent-ils avoir disparu ? Comment des êtres vivants pourraient-ils simplement devenir poussière ? Dans mon cœur, je me dis sans cesse que mes parents sont encore en vie, que ma mère prépare encore les repas dans la cuisine, qu’elle est très occupée, et que mon père travaille dehors chaque jour, ne rentrant à la maison que le soir. » Ces scènes tirées de leur vie ont laissé une trace dans ton esprit. Donc, à cause de tes sentiments, ta conscience contient quelque chose qu’elle ne devrait pas contenir, à savoir la croyance que tes parents vivront à jamais dans ton cœur. De ce fait, tu crois que tes parents ne devraient pas mourir, et quelles que soient les circonstances dans lesquelles tes parents décèdent, tu sentiras que c’est un coup dur, et tu ne pourras pas l’accepter. Il te faudra du temps pour surmonter cette situation, n’est-ce pas ? Que tes parents tombent malades serait déjà un choc important pour toi, alors qu’ils décèdent serait un choc encore plus important. Donc, avant que cela n’arrive, comment devrais-tu résoudre le choc inattendu que cela te fera, pour que ce choc n’ait pas d’impact, d’interférence ou d’incidence sur l’accomplissement de ton devoir ou sur le chemin que tu suis ? D’abord, examinons ce qu’est exactement la mort, et ce qu’est exactement le décès. Cela ne signifie-t-il pas qu’une personne quitte ce monde ? (Si.) Cela signifie que la vie qu’une personne possède, qui a une présence physique, est retirée du monde matériel que les êtres humains peuvent voir, et qu’elle disparaît. Cette personne continue alors à vivre dans un autre monde, sous une autre forme. Que la vie de tes parents s’en aille signifie que la relation que tu as avec eux dans ce monde s’est évanouie, qu’elle a disparu et qu’elle a pris fin. Tes parents vivent dans un autre monde, sous une autre forme. Quant à savoir comment leur vie se passera dans cet autre monde, s’ils reviendront dans ce monde, s’ils te retrouveront ou s’ils auront une quelconque relation charnelle ou le moindre engagement émotionnel avec toi, tout cela est ordonné par Dieu et n’a aucun rapport avec toi. En résumé, le décès de tes parents signifie que leur mission dans ce monde est achevée, et qu’un point final a été mis à leur vie. Leur mission dans cette vie et dans ce monde a pris fin, de sorte que ta relation avec eux a également pris fin. Quant à savoir si tes parents se réincarneront à l’avenir, ou s’ils recevront une sanction ou une restriction, ou s’ils bénéficieront d’une prise en charge et d’arrangements, de quelque sorte que ce soit, dans l’autre monde, cela a-t-il le moindre rapport avec toi ? Peux-tu en décider ? Cela n’a aucun rapport avec toi, tu ne peux pas en décider et tu ne pourras obtenir aucune information à ce sujet. Ta relation avec tes parents dans cette vie prend fin à ce moment-là. Autrement dit, le destin qui vous a liés quand vous avez vécu les uns aux côtés des autres pendant 10, 20, 30 ou 40 ans prend fin à ce moment-là. Ensuite, tes parents sont tes parents, tu es toi, et aucune relation n’existe entre vous. Même si vous croyez tous en Dieu, tes parents ont accompli leurs propres devoirs et tu as accompli les tiens. Quand tes parents ne vivent plus dans le même environnement spatial que toi, il n’y a plus la moindre relation entre vous. Tes parents ont simplement déjà achevé la mission que Dieu leur avait confiée. Donc, pour ce qui est des responsabilités qu’ils ont assumées vis-à-vis de toi, elles prennent fin le jour où tu commences à exister indépendamment d’eux. Tu n’as alors plus aucun rapport avec tes parents. S’ils décèdent aujourd’hui, tu seras simplement privé de quelque chose sur le plan émotionnel, et tu auras deux personnes proches en moins et elles te manqueront. Tu ne les reverras jamais et tu ne pourras plus jamais avoir des nouvelles d’eux. Ce qu’il adviendra d’eux par la suite, et leur avenir, n’a aucun rapport avec toi, il n’y aura plus aucun lien du sang entre vous, et vous ne serez même plus le même genre d’êtres. C’est comme ça. Les dernières nouvelles que tu auras de tes parents dans ce monde seront simplement qu’ils sont décédés, et ce sera le dernier obstacle les concernant que tu verras, ou dont tu entendras parler, pour ce qui est de leur expérience de la naissance, du vieillissement, de la maladie et de la mort dans leur vie, c’est tout. Leur mort ne t’enlèvera rien ou ne t’apportera rien, tes parents seront simplement morts, leur voyage en tant que personnes sera terminé. Donc, en ce qui concerne leur décès, peu importe que leur mort soit accidentelle, naturelle ou due à la maladie, et ainsi de suite. De toute façon, en dehors de la souveraineté et des arrangements de Dieu, personne ni aucune force n’auraient pu prendre leur vie. Leur décès ne signifie que la fin de leur vie physique. S’ils te manquent et que tu te languis d’eux, ou que tu as honte de toi du fait de tes sentiments, sache que tu ne devrais ressentir aucune de ces choses, et qu’il n’est pas nécessaire de les ressentir. Tes parents ont quitté ce monde, les regretter est donc superflu, n’est-ce pas ? Si tu te dis : « Ai-je manqué à mes parents pendant toutes ces années ? À quel point ont-ils davantage souffert parce que je n’étais pas à leurs côtés à faire preuve de piété filiale pendant toutes ces années ? Pendant toutes ces années, j’ai toujours souhaité pouvoir passer quelques jours avec eux. Je ne me serais jamais attendu à ce qu’ils meurent si tôt. Je me sens triste et coupable. » Tu n’es pas obligé de penser de cette façon, leur mort n’a rien à voir avec toi. Pourquoi leur mort n’a-t-elle rien à voir avec toi ? Parce que, même si tu as fait preuve de piété filiale, ou si tu leur as tenu compagnie, ce n’est pas l’obligation ou la tâche dont Dieu t’a chargé. Dieu a ordonné la mesure de bonne fortune et de souffrances que tes parents rencontreront par ton biais, cela ne dépend absolument pas de toi. Tes parents ne vivront pas plus longtemps parce que tu te trouves avec eux, ils n’auront pas une vie plus courte parce que tu es loin d’eux et que tu n’as pas pu être avec eux souvent. Dieu a ordonné la durée de leur vie, et cela n’a aucun rapport avec toi. Par conséquent, si tu apprends, de ton vivant, que tes parents sont décédés, tu ne dois pas te sentir coupable. Tu dois aborder cette question de la manière correcte et l’accepter. Si tu as déjà versé beaucoup de larmes quand tes parents étaient gravement malades, tu devrais te sentir heureux et libre quand ils décèdent. Après leur avoir fait tes adieux, il est inutile de pleurer. Tu auras déjà assumé tes responsabilités en tant qu’enfant, tu auras prié pour eux, tu te seras senti triste pour eux et tu auras versé d’innombrables larmes pour eux. Et bien entendu, tu auras songé à de nombreuses solutions possibles pour faire soigner leur maladie et tu auras fait tout ton possible pour atténuer leurs souffrances. Tu auras déjà fait tout ce que tu pouvais faire en tant que leur enfant. Lors de leur décès, tu devrais seulement dire : « Vous avez eu une vie assez dure. En tant que votre enfant, j’espère que vous reposerez en paix. Si vous avez fait beaucoup de choses qui ont offensé Dieu dans cette vie, alors vous devrez recevoir une punition dans l’autre monde. Si, après avoir reçu votre punition, Dieu vous donne la possibilité d’être de nouveau réincarnés en tant que personne dans ce monde, j’espère que vous ferez de votre mieux pour bien vous comporter et suivre le bon chemin. Ne faites plus rien qui puisse offenser Dieu et efforcez-vous de ne recevoir aucune punition dans votre prochaine vie. » C’est tout. N’est-ce pas bien formulé ? C’est tout ce que tu peux faire. Que ce soit pour tes parents ou pour un autre de tes proches, c’est tout ce que tu peux faire. Bien entendu, quand tes parents finissent par décéder, si tu ne peux pas être avec eux ou leur apporter un dernier réconfort, tu n’es pas obligé de te sentir triste. En effet, chaque personne quitte ce monde seule. Même si ses enfants sont avec elle, quand un messager viendra la chercher, elle seule pourra le voir. Quand elle partira, personne ne l’accompagnera, ses enfants ne pourront pas l’accompagner, pas plus que son conjoint. Quand les gens quittent ce monde, ils sont toujours seuls. Dans ses derniers instants, toute personne doit faire face à cette situation, à ce processus et à cet environnement. Par conséquent, si tu es aux côtés de tes parents et qu’ils te regardent droit dans les yeux, cela ne servira, malgré tout, à rien. Quand ils devront partir, s’ils veulent appeler ton nom, ils ne le pourront pas, et tu ne pourras pas l’entendre. S’ils veulent tendre la main et t’agripper, ils n’en auront pas la force, et tu ne pourras pas le sentir. Ils seront seuls. C’est parce que chaque personne entre dans ce monde seule, et au bout du compte, elle doit aussi le quitter seule. Tout cela est ordonné par Dieu. L’existence de ces choses permet aux gens de voir encore plus clairement que leur vie et leur destin se trouvent entre les mains de Dieu, tout comme le fait qu’ils naissent, vieillissent, tombent malades et meurent, et que la vie de chaque personne est indépendante. Même si tout le monde a des parents, des frères et sœurs, et des proches, du point de vue de Dieu, et du point de vue de la vie, la vie de chaque personne est indépendante, les vies ne sont pas regroupées, et aucune vie n’est associée à une autre. Du point de vue des êtres humains créés, chaque vie est indépendante, mais du point de vue de Dieu, pas une vie qu’Il a créée n’est seule, parce que Dieu accompagne chacune d’entre elles et qu’Il les tire vers l’avant. Simplement, quand tu es dans ce monde, tu es né de tes parents, et tu penses que tes parents sont les gens les plus proches de toi, mais en fait, quand tes parents quitteront ce monde, tu te rendras compte qu’ils ne sont pas les gens les plus proches de toi. Quand leur vie prendra fin, tu seras encore vivant. Le fait que la vie de tes parents prenne fin ne t’enlèvera pas la tienne, et cela n’affectera certainement pas ta vie. Tu as été loin de tes parents pendant toutes ces années, et tu vis encore bien. Pour quelle raison ? Parce que Dieu veille sur toi et te guide. Tu vis sous Sa souveraineté. Quand tes parents quitteront ce monde, cela te fera encore plus prendre conscience que, ces dernières années, sans que tes parents t’accompagnent, sans qu’ils prennent soin de toi, sans qu’ils s’occupent de toi et sans qu’ils t’élèvent, tu as grandi jusqu’à l’âge adulte, puis tu as atteint l’âge mûr et la vieillesse, et sous la direction de Dieu, tu as compris de plus en plus de choses dans ta vie, et la direction et le chemin qui se trouvent devant toi sont devenus de plus en plus clairs. C’est pourquoi les gens sont capables de quitter leurs parents. L’existence de leurs parents n’est nécessaire que durant leur enfance, mais une fois que ces gens ont grandi, l’existence de leurs parents n’est qu’une formalité. Leurs parents constituent seulement leur nourriture et leur soutien émotionnels, et ils ne sont pas indispensables. Bien entendu, quand tes parents quitteront ce monde, ces choses te paraîtront de plus en plus claires, et tu ressentiras encore plus que la vie des gens provient de Dieu, et que les gens ne peuvent pas vivre sans s’appuyer sur Dieu, sans Dieu comme nourriture mentale et spirituelle, et comme nourriture de leur vie. Quand tes parents te quitteront, ils te manqueront simplement sur le plan émotionnel, mais en même temps, tu seras libéré, du point de vue émotionnel ou à d’autres égards. Pourquoi seras-tu libéré ? Quand tes parents sont là, ils sont à la fois un souci et un fardeau pour toi. Ce sont des gens vis-à-vis desquels tu peux te montrer obstiné, et ils te donnent l’impression que tu ne peux pas échapper à tes sentiments. Quand tes parents décèderont, tout cela se trouvera résolu. Les gens qui te semblaient les plus proches de toi ne seront plus là et tu n’auras plus à te faire de souci pour eux ni à te languir d’eux. Quand tu briseras cette relation de dépendance que tu as avec tes parents, quand ils quitteront ce monde, quand tu sentiras vraiment, au fond de ton cœur, que tes parents sont déjà partis, et quand tu sentiras que tu as déjà transcendé les liens du sang que tu avais avec tes parents, tu deviendras véritablement mûr et indépendant. Réfléchis-y : quel que soit l’âge des gens, s’ils ont encore leurs parents, chaque fois qu’ils ont un problème, ils se diront : « Je vais demander à ma mère, je vais demander à mon père. » Ils auront toujours un soutien émotionnel à disposition. Quand les gens disposent de ce soutien émotionnel, ils se disent que leur existence dans ce monde déborde de chaleur et de bonheur. Quand tu perds ce sentiment de bonheur et cette chaleur, si tu ne te dis pas que tu es seul, ou que tu as perdu le bonheur et la chaleur, alors tu es mûr et tu es véritablement indépendant pour ce qui est de tes pensées et de tes sentiments. La plupart d’entre vous n’ont sans doute pas encore vécu ces choses. Quand ce sera le cas, vous comprendrez. Réfléchissez-y : quel que soit l’âge des gens, qu’ils aient 40, 50 ou 60 ans, ils deviennent immédiatement bien plus mûrs quand leurs parents décèdent. C’est comme s’ils passaient de l’état d’enfant naïf à celui d’adulte sensé en un instant. Du jour au lendemain, ils en viennent à comprendre les choses, à être indépendants. Par conséquent, pour tout individu, le décès de ses parents est une grande difficulté. Si tu peux aborder et gérer ta relation avec tes parents de manière correcte, et en même temps aborder, gérer et abandonner de manière correcte les diverses attentes de tes parents à ton égard, ou les responsabilités que tu devrais assumer vis-à-vis d’eux sur le plan émotionnel et éthique, alors tu auras véritablement mûri et, à tout le moins, tu seras un adulte devant Dieu. Devenir adulte de cette façon n’est pas chose facile, tu dois endurer une certaine souffrance en matière de sentiments charnels. En particulier, tu dois endurer certains ravages et tourments émotionnels, ainsi que la douleur liée aux choses qui ne se passent pas bien, aux choses qui ne se passent pas comme tu l’aurais espéré, ou qui sont malencontreuses, et ainsi de suite. Quand tu auras fait l’expérience de toute cette douleur, tu comprendras un peu mieux ces questions. Si tu les relies aux vérités sur lesquelles nous avons échangé concernant ces questions, tu comprendras un peu mieux la vie et le destin des gens, vie et destin qui sont ordonnés par Dieu, ainsi que l’affection qui existe entre les gens, de manière très approfondie. Quand tu comprendras mieux ces choses, il te sera facile de les abandonner. Quand tu pourras les abandonner et y faire face correctement, tu pourras les aborder correctement. Tu ne les aborderas pas sur la base de doctrines humaines ou de normes de la conscience humaine. Tu les aborderas conformément aux vérités-principes. Que veut dire « conformément aux vérités-principes » ? Cela signifie que tu peux te soumettre à Dieu. Si tu peux te soumettre à Dieu et à Ses orchestrations, c’est bon signe, c’est de bon augure. Qu’est-ce que cela annonce ? Que tu as un espoir de salut. Par conséquent, en ce qui concerne les attentes de tes parents, peu importe si, à l’heure actuelle, tu es jeune, d’âge moyen, âgé, ou si tu as un âge avancé, et qu’importe si tu n’as pas fait l’expérience de ces attentes, si tu en fais l’expérience en ce moment même, ou si tu en as déjà fait l’expérience. Ce que vous devez faire, ce n’est pas simplement abandonner vos sentiments ou couper les liens avec vos parents et vous déconnecter d’eux, c’est consacrer vos efforts à la vérité et chercher à comprendre ces aspects de la vérité. Voilà ce qui compte le plus. Quand vous comprendrez ces relations différentes et complexes, vous pourrez vous en libérer et vous ne serez plus contraints par elles. Quand tu ne seras plus contraint par ces relations, il te sera bien plus facile de te soumettre aux orchestrations de Dieu et tu rencontreras moins d’obstacles et d’entraves en le faisant. Alors, tu seras moins susceptible de te rebeller contre Dieu, n’est-ce pas ?

Êtes-vous désormais capables de comprendre clairement et de résoudre toutes ces grandes questions qui se rapportent aux parents ? Quand vous aurez du temps libre, réfléchissez à la vérité. Si, plus tard, ou dans les choses que tu vis maintenant, tu peux faire le lien entre ces questions et la vérité, et résoudre ces problèmes en te basant sur la vérité, tu rencontreras bien moins de problèmes et de difficultés, et tu auras une vie tout à fait sereine et joyeuse. Si tu n’abordes pas ces choses en te basant sur la vérité, tu rencontreras nombre de problèmes et ta vie sera très pénible. Voilà le résultat. Je vais cesser d’échanger sur le sujet des attentes parentales ici, aujourd’hui. Au revoir !

29 avril 2023

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