Je ne choisis plus mes devoirs à ma guise

10 juillet 2025

Par Yang Yi, Chine

J’ai toujours pensé que les frères et sœurs qui étaient dirigeants ou ouvriers au sein de l’Église, ou qui faisaient des devoirs textuels, avaient une croissance de vie rapide. En particulier, dans l’exécution des devoirs textuels, on est chaque jour au contact d’articles de témoignages d’expérience et l’on échange sur des sujets liés à l’entrée dans la vie, alors j’espérais désespément pouvoir faire des devoirs textuels. Je croyais que, de cette façon, ma croissance de vie serait rapide et que j’aurais un plus grand espoir d’être sauvé et de survivre à l’avenir. Je me souviens qu’une fois, j’ai rencontré un frère qui avait fait des devoirs textuels pendant plusieurs années. J’ai vu que son échange sur les paroles de Dieu était assez pertinent et qu’il parlait avec profondeur. Quand il lui arrivait quelque chose, il était capable de chercher la vérité pour réfléchir sur lui-même et apprendre à se connaître, et son entrée dans la vie était plutôt bonne. Si d’autres frères et sœurs avaient des problèmes ou des difficultés, il était en général capable d’échanger et de les résoudre en intégrant les paroles de Dieu. J’étais très envieux à l’époque, et je me suis dit : « Ce serait formidable si je pouvais avoir ce genre de calibre ! De cette façon, ma croissance de vie serait plus rapide, et j’aurais un plus grand espoir d’être sauvé et de survivre à l’avenir. » Plus tard, j’ai appris que ce frère avait non seulement fait des devoirs textuels pendant plusieurs années, mais qu’il avait aussi écrit des scénarios. Il a dit qu’avant d’avoir fait des devoirs textuels, il ne savait pas comment s’exprimer quand il parlait ou échangeait, et son entrée était assez superficielle quand des choses lui arrivaient ; après avoir fait des devoirs textuels, il avait fait quelques progrès. En l’entendant dire ça, j’ai cru encore plus fermement que faire des devoirs textuels signifiait une croissance de vie rapide, et que si je voulais être sauvé, je devrais faire des devoirs textuels. Dès lors, j’ai attendu avec encore plus d’impatience d’avoir l’occasion de faire des devoirs textuels.

Début décembre 2021, je faisais un devoir de technicien en informatique, mais comme moins de personnes étaient requises pour ce devoir, le superviseur m’a demandé si je voulais faire des devoirs textuels. J’ai été ravi intérieurement quand j’ai entendu ça, en me disant que j’avais enfin l’occasion de faire des devoirs textuels. Je l’ai accepté avec beaucoup de joie. Au début, j’étais responsable du travail textuel d’une Église, mais plus tard, j’ai voulu être responsable de plusieurs autres Églises afin de pouvoir m’entraîner davantage et que ma croissance de vie soit plus rapide, et j’aurais un plus grand espoir d’être sauvé et de survivre à l’avenir. Par conséquent, j’ai partagé mes pensées avec les dirigeants, et ils ont été d’accord. Peu de temps après, j’ai reçu une lettre des dirigeants, qui me demandait de leur envoyer une liste écrite des compétences informatiques que je maîtrisais dans les deux jours. J’ai trouvé ça un peu étrange, et je me suis demandé : « Je fais des devoirs textuels maintenant. Pourquoi me demandent-ils d’écrire ça ? Veulent-ils m’affecter de nouveau au devoir de technicien en informatique ? » J’ai repensé au moment où je faisais le devoir de technicien en informatique. Chaque jour, je ne faisais que des recherches technologiques ou des recherches d’informations en ligne. J’étais toujours occupé à faire des tâches et je n’ai obtenu aucune entrée dans la vie. Si je reprenais ce devoir, je ne serais à l’avenir que celui qui trime et se donne du mal et au final, je serais éliminé par Dieu. Je ne voulais plus faire ce devoir, alors je n’ai pas rédigé la liste. Quelques jours plus tard, les dirigeants m’ont écrit pour me demander si j’avais fini de rédiger la liste. J’ai dit que non, et je leur ai demandé s’ils voulaient me réaffecter au devoir de technicien en informatique. J’ai aussi échangé avec eux, en intégrant les paroles de Dieu, pour leur dire que mon affectation au devoir textuel avait été évaluée conformément aux principes. Après que j’ai répondu cela, les dirigeants n’ont rien dit de plus. Toutefois, les jours suivants, je me sentais mal à l’aise chaque fois que je pensais à cette affaire. Est-ce que ce que je faisais était conforme à l’intention de Dieu ? Je devais prier et chercher, afin d’éviter de faire quelque chose de mal et d’offenser Dieu.

Un matin, pendant mes dévotions, j’ai lu les paroles de Dieu : « Comment quelqu’un qui poursuit la vérité doit-il considérer les gens ? Ses opinions sur les gens et les choses, ainsi que son comportement et ses actes, doivent tous être selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère. Alors, comment considérez-vous chaque personne selon les paroles de Dieu ? Regarde si les gens ont une conscience et une raison, s’ils sont bons ou malfaisants. Dans ton contact avec eux, tu constateras peut-être que bien qu’ils aient leur part de petits défauts et d’insuffisances, ils sont assez bons dans leur humanité. Ils sont tolérants et patients dans leurs interactions avec les autres, et quand quelqu’un est négatif et faible, ils sont chaleureux avec lui et peuvent subvenir à ses besoins et l’aider. Telle est leur attitude envers les autres. Quelle est alors leur attitude envers Dieu ? Dans leur attitude envers Dieu, on peut encore mieux évaluer s’ils ont de l’humanité. Il se peut qu’avec tout ce que Dieu fait, ils soient soumis, recherchent et aspirent, et dans le cadre de l’accomplissement de leur devoir et de leurs interactions avec les autres, lorsqu’ils agissent, ils ont un cœur qui craint Dieu. Ce n’est pas qu’ils soient des casse-cous, agissant de manière scandaleuse, et ce n’est pas qu’ils feraient n’importe quoi et diraient n’importe quoi. Quand quelque chose arrive qui implique Dieu ou Son œuvre, ils sont très prudents. Une fois que tu as vérifié qu’ils ont ces manifestations, comment, sur la base des choses qui se dégagent de leur humanité, vas-tu évaluer s’ils sont bons ou mauvais ? Évalue cela en fonction des paroles de Dieu, et évalue-le en fonction de leur conscience, de leur raison et de leur attitude envers la vérité et envers Dieu. En les évaluant à ces deux égards, tu verras que bien qu’il y ait quelques problèmes et quelques défauts dans leur comportement, ils peuvent encore être des gens dotés de conscience et de raison, qui ont un cœur de soumission et de crainte envers Dieu et une attitude d’amour et d’acceptation envers la vérité. Si c’est le cas, alors aux yeux de Dieu, ce sont des gens qui peuvent être sauvés, des gens qu’Il aime » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (3)). En méditant sur les paroles de Dieu, j’ai compris que, pour évaluer si une personne a de l’humanité et si elle poursuit la vérité, il faut regarder si elle traite avec prudence les questions relatives à Dieu et à l’œuvre de la maison de Dieu, et si elle a un cœur qui craint Dieu et qui cherche Dieu. En m’examinant, par contraste, quand les dirigeants m’ont demandé d’écrire les compétences informatiques que je maîtrisais, j’ai deviné qu’ils voulaient peut-être m’affecter au devoir de technicien en informatique, et je n’étais donc pas disposé à le faire. Je croyais que je n’avais pas obtenu d’entrée dans la vie quand je faisais ce devoir auparavant, et que son exécution ne consistait qu’à trimer et à se donner du mal sans aucune chance d’être sauvé à l’avenir. Par conséquent, je ne voulais tout simplement pas faire le devoir de technicien en informatique. En revanche, je croyais qu’en faisant des devoirs textuels, j’aborderais chaque jour des questions liées à l’entrée dans la vie, que ma croissance de vie serait rapide, et que j’aurais plus d’espoir d’être sauvé à l’avenir. C’est pourquoi je voulais faire des devoirs textuels. Quand il s’agissait du travail de l’Église, je ne me souciais que de savoir si je pourrais obtenir des bénédictions à l’avenir, et je n’avais ni l’attitude de quelqu’un qui cherche, ni un cœur qui craint Dieu. L’Église arrange toujours les devoirs en fonction des besoins du travail, et en accord avec les points forts et le calibre de chaque individu. Je ne devrais pas avoir de préférences ou de choix personnels, mais donner la priorité aux intérêts de l’Église. Quand j’ai compris cela, mon cœur s’est éclairé, et j’ai su que je ne pouvais plus faire de choix selon mes propres goûts dans cette affaire. J’ai écrit une lettre aux dirigeants de district, exprimant ma volonté de me soumettre aux arrangements de l’Église. Deux jours plus tard, les dirigeants de district ont écrit pour dire qu’on avait un besoin urgent de quelqu’un pour accomplir le devoir de technicien en informatique, et qu’ils voulaient faire en sorte que je le fasse. J’ai accepté.

Un mois plus tard, j’ai vu que tout ce que je faisais chaque jour était de répondre à des lettres ou de mettre en œuvre et d’assurer le suivi de certains travaux techniques. J’ai eu l’impression que je ne faisais que des tâches et que mon entrée dans la vie ne progressait pas. Si ça continuait, je deviendrais vraiment celui qui ne fait que trimer et se donner du mal, et mon espoir d’être sauvé à l’avenir serait réduit à néant. Quand j’ai pensé à ça, je n’ai simplement pas pu trouver la moindre motivation dans mon cœur. Même si je faisais tout ce qu’on me demandait de faire, je ne portais aucun fardeau dans mon devoir, et je ne réfléchissais pas à la manière de bien faire ce devoir ; j’étais aussi très passif dans l’apprentissage des compétences. J’ai commencé à regretter le temps où je faisais des devoirs textuels, et je me disais qu’il vaudrait mieux faire des devoirs textuels. Alors, après une période de formation, j’atteindrais une croissance de vie et j’apprendrais à chercher la vérité pour résoudre mes propres problèmes quand des choses m’arriveraient. Je ne vivrais pas entouré de tâches sans fin, sans pouvoir faire l’expérience de l’œuvre de Dieu et sans atteindre une croissance de vie notable. Plus je pensais ainsi, plus je me sentais faible. J’ai même regretté d’avoir accepté quand les dirigeants m’ont demandé de faire le devoir de technicien en informatique. Cependant, je ne pouvais plus revenir en arrière maintenant. Je ne pouvais que continuer, en me sentant impuissant. Néanmoins, je ne parvenais tout simplement pas à trouver la moindre motivation ni à me soumettre complètement. Je priais souvent Dieu dans mon cœur pour chercher : « Cher Dieu, je ne comprends pas quelle est Ton intention derrière cet environnement qui s’abat sur moi. Quelles leçons veux-Tu que j’apprenne dans cet environnement ? Quels aspects de mon tempérament corrompu doivent être purifiés et transformés ? Puisses-Tu m’éclairer et me guider. »

Plus tard, j’ai lu les paroles de Dieu : « Les antéchrists n’obéissent jamais aux arrangements de la maison de Dieu et ils font toujours un lien étroit entre, d’une part, leur devoir, leur renommée, le gain et leur statut et, d’autre part, leur espoir de gagner des bénédictions et leur future destination, comme si, dans le cas où ils perdraient leur réputation et leur statut, ils n’avaient aucun espoir de gagner des bénédictions et des récompenses, et pour eux, ce serait comme s’ils perdaient la vie. Ils se disent : “Je dois faire attention, je ne dois pas être imprudent ! On ne peut pas se fier à la maison de dieu, aux frères et sœurs, aux dirigeants et aux ouvriers, ni même à dieu. Je ne peux faire confiance à aucun d’entre eux. La personne à laquelle tu peux le plus te fier et qui est la plus digne de confiance, c’est toi-même. Si tu ne fais pas de projets pour toi-même, alors qui va s’occuper de toi ? Qui va réfléchir à ton avenir ? Qui va se demander si, oui ou non, tu vas recevoir des bénédictions ? Par conséquent, je dois faire des projets et des calculs avec soin dans mon propre intérêt. Je ne peux pas faire d’erreurs ou même être le moins du monde imprudent, sinon, que ferais-je si quelqu’un essayait de profiter de moi ?” Et donc, ils se méfient des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu, craignant que quelqu’un les discerne ou voie dans leur jeu, craignant d’être ensuite renvoyés et de voir leur rêve de bénédictions gâché. Ils se disent qu’ils doivent préserver leur réputation et leur statut, pour qu’ils aient l’espoir de gagner des bénédictions. Un antéchrist considère qu’être béni, c’est plus vaste que les cieux, plus vaste que la vie, plus important que la poursuite de la vérité, le changement de tempérament, ou le salut personnel, et plus important que de bien faire son devoir et d’être un être créé qui soit à la hauteur des normes. Il pense qu’être un être créé qui soit à la hauteur, bien faire son devoir et être sauvé sont autant de choses dérisoires qui valent à peine d’être mentionnées ni remarquées, tandis que gagner des bénédictions est la seule chose de toute la vie qui ne puisse jamais être oubliée. Face à ce qu’il rencontre, peu importe que ce soit grand ou petit, il relie tout au fait d’être béni, il est extrêmement prudent et attentif, et il se ménage toujours une issue » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 12 : Ils veulent se retirer lorsqu’ils n’ont aucun statut ou aucun espoir de gagner des bénédictions). « Ce n’est pas un hasard si les antéchrists sont capables de faire leur devoir – de manière absolue, ils accomplissent leur devoir avec leurs propres intentions et buts et le désir de gagner des bénédictions. Quel que soit le devoir qu’ils font, leur but et leur attitude sont bien entendu inséparables du gain de bénédictions, d’une bonne destination, de bonnes perspectives et du destin de qualité auxquels ils pensent et qui les préoccupent jour et nuit. Ils sont semblables à des hommes d’affaires qui ne parlent de rien d’autre que de leur travail. Quoi que fassent les antéchrists, tout est lié à la gloire, au gain et au statut – tout est lié au gain de bénédictions, de perspectives et d’un destin. Au fond, leur cœur est empli de telles choses ; telle est la nature-essence des antéchrists. C’est précisément à cause de ce genre de nature-essence que les autres sont capables de voir clairement que leur fin ultime est d’être éliminés » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VII)). Dieu expose que les antéchrists amènent leurs intentions et leurs buts personnels dans leur croyance en Dieu et l’accomplissement de leur devoir. Pour obtenir des bénédictions, dans tout ce qu’ils font, ils se montrent prudents et attentifs, en calculant habilement. Quand des ajustements dans l’affectation de leur devoir surviennent et qu’ils affectent leur désir d’obtenir des bénédictions, c’est comme s’ils perdaient leur vie. C’est la nature-essence des antéchrists. En réfléchissant sur moi-même à la lumière des paroles de Dieu, j’ai vu que mon comportement était identique à celui d’un antéchrist. En faisant mon devoir, je songeais à obtenir des bénédictions à chaque instant. J’avais toujours cru que faire des devoirs textuels permettrait une croissance de vie rapide, et me donnerait un plus grand espoir d’être sauvé à l’avenir. En revanche, je croyais que faire d’autres devoirs signifierait une croissance de vie lente et un faible espoir de survie. Quand j’avais l’occasion de faire des devoirs textuels, en apparence, j’assurais activement le suivi du travail textuel ; je voulais même que mes dirigeants fassent en sorte que je sois responsable de quelques autres Églises. Cependant, mon intention et mon but en agissant ainsi n’étaient pas de porter un fardeau authentique dans mon devoir ; et encore moins de bien faire mon devoir et de faire preuve de considération envers les intentions de Dieu. C’était plutôt pour obtenir des bénédictions. Quand les dirigeants m’ont écrit pour me demander de dresser la liste des compétences informatiques que je maîtrisais, j’ai deviné qu’ils voulaient s’arranger pour que je fasse le devoir de technicien en informatique, et je me suis senti très réfractaire. J’ai eu le sentiment que faire le devoir de technicien en informatique se réduisait à trimer et exécuter des tâches, et que je n’atteindrais pas l’entrée dans la vie, que ce n’était qu’un simple labeur et que ma probalilité d’être sauvé et de survivre à l’avenir était très faible. Les émotions qui se révélaient dans mon cœur étaient toutes de l’aversion et de la résistance, mais je brandissais même des principes tout en échangeant avec les dirigeants avec présomption sur le fait que j’étais apte à faire des devoirs textuels. Plus tard, bien que j’aie accepté de faire le devoir de technicien, après l’avoir fait pendant un certain temps, j’avais l’impression de simplement exécuter des tâches chaque jour et de ne pas atteindre d’entrée dans la vie. Je craignais que si ça continuait, il n’y aurait aucun espoir de salut pour moi, alors je vivais au milieu des plaintes et de la négativité. J’ai perdu tout intérêt à faire mes devoirs ou à apprendre des compétences, et j’étais très passif. J’ai même regretté d’avoir fait ce devoir. En réalité, l’Église assigne toujours les devoirs en fonction des besoins du travail. L’Église avait un besoin urgent de personnes pour faire les devoirs liés à la technologie informatique, et c’est un devoir pour lequel je suis qualifié. Quiconque est doté de conscience, de raison et d’humanité aurait dû renoncer à ses intérêts personnels et considérer le travail global de l’Église pour qu’il ne soit pas affecté. Cependant, à chaque instant, je considérais comment obtenir des bénédictions et comment être sauvé et survivre. Je calculais habilement comment obtenir des bénédictions, j’étais mécontent des arrangements des dirigeants et j’y étais réfractaire, et j’étais négatif et me relâchais en faisant mon devoir. En apparence, je semblais être mécontent des dirigeants, mais pour l’essentiel, j’étais réfractaire à l’environnement que Dieu avait arrangé. C’était résister à Dieu et se rebeller contre Lui ! J’ai pensé à Paul, de l’ère de la Grâce. En apparence, il semblait renoncer à des choses, se dépenser, souffrir et payer un prix dans sa croyance en Dieu. Cependant, il essayait de marchander avec Dieu depuis le début ; il essayait de tromper Dieu et de L’utiliser pour obtenir la couronne de la justice à l’avenir. Tous ses actes étaient considérés comme des actes malfaisants aux yeux de Dieu, et il a finalement été éliminé et puni par Dieu. Mon comportement était le même que celui de Paul. Je renonçais à des choses, me dépensais, souffrais et payais un prix en faisant mon devoir uniquement pour obtenir des bénédictions. J’essayais de marchander avec Dieu et de L’utiliser pour obtenir une merveilleuse destination en échange. J’apportais ces impuretés dans ma croyance en Dieu et dans mon devoir ; aux yeux de Dieu, c’était mal. Si je ne me repentais jamais, je serais éliminé par Dieu. J’ai songé à Dieu qui venait œuvrer et exprimer Ses paroles pour sauver les gens aujourd’hui, demandant aux gens de faire des devoirs dans Sa maison. En cela, Il espère que nous poursuivrons la vérité en faisant nos devoirs, que nous accepterons le jugement et le châtiment de Ses paroles, et qu’en fin de compte, nous obtiendrons la vérité et parviendrons à un changement de tempérament, en manifestant une véritable ressemblance humaine. Il espère que nous deviendrons finalement des gens qui se soumettent vraiment à Dieu et Le vénèrent. Le tempérament de Dieu est juste et saint ; les personnes souillées ne sont pas autorisées à entrer dans le royaume. Dieu n’acceptera encore moins ceux qui essaient de marchander avec Lui, de le duper ou de L’utiliser, et dont le tempérament n’aurait pas changé. En faisant mon devoir, j’avais constamment poursuivi les bénédictions, et non la vérité ou un changement de tempérament. Comment quelqu’un comme moi, rempli de tempéraments sataniques corrompus, pourrait-il entrer dans le royaume de Dieu ? Si je continuais à poursuivre de cette manière, alors même si on me laissait faire des devoirs textuels, je serais finalement éliminé par Dieu parce que mon tempérament n’aurait pas changé. Quand j’ai compris cela, j’ai ressenti de la peur dans mon cœur, et j’ai pris conscience que je ne pouvais plus poursuivre ainsi.

Plus tard, j’ai aussi réfléchi : j’avais toujours pensé que ce n’est qu’en faisant des devoirs textuels que l’on pouvait avoir une croissance de vie rapide, tandis que notre croissance de vie serait lente en faisant un devoir de technicien en informatique. Ce point de vue était-il correct ? J’ai cherché les vérités pertinentes à ce sujet. J’ai lu les paroles de Dieu : « Tout devoir que tu accomplis concerne l’entrée dans la vie. Que ton devoir soit plutôt régulier ou bien imprévisible, morne ou animé, tu dois toujours obtenir l’entrée dans la vie » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, L’entrée dans la vie commence par l’accomplissement de son devoir). « Comprenez-vous maintenant de quoi dépendent l’obtention de la vérité et l’entrée dans la vérité-réalité ? Elles dépendent de la recherche de la vérité et de la pratique de la vérité, Rien que ces deux choses, c’est aussi simple que cela. Bien que la vérité exprimée par Dieu soit consignée par écrit, la réalité de la vérité n’est pas écrite et elle est encore moins compréhensible ou intelligible pour l’homme à partir de ses mots écrits. Que faut-il donc faire pour comprendre la vérité ? Comprendre et acquérir la vérité se fait principalement en pratiquant et en faisant l’expérience des paroles de Dieu, en faisant l’expérience de Son œuvre, à travers le fait de chercher la vérité, et à travers l’éclairage du Saint-Esprit. La réalité de la vérité se réalise à travers le fait que les gens la pratiquent et l’expérimentent ; c’est quelque chose qui découle de l’expérience, quelque chose que l’homme vit. La vérité n’est pas une théorie creuse, ni une expression simple et agréable. C’est un langage riche en force de vie, ce sont des maximes éternelles de la vie, c’est la chose la plus concrète et la plus précieuse qui puisse accompagner quelqu’un dans sa vie, pendant toute la durée de sa vie. Qu’est-ce que la vérité ? La vérité est le fondement de l’existence dans la vie de l’homme, les principes de pratique pour se conduire et gérer les choses. La vérité donne une direction et un but aux gens dans leur vie ; elle leur permet de vivre à l’image d’une personne authentique et de vivre devant Dieu dans la soumission et l’adoration envers Lui. C’est pourquoi les gens ne peuvent pas vivre sans la vérité. Alors, sur quoi te reposes-tu actuellement pour vivre ? Quelles sont tes pensées et tes points de vue ? Dans quelle direction vas-tu et quelles sont tes motivations quand tu fais quelque chose ? Si tu as la vérité-réalité, tu as des principes, une direction et un but. Dans le cas contraire, ta vie n’a ni principes, ni direction, ni but. Tu vis sans aucun doute selon la philosophie de Satan, selon ces choses de la culture traditionnelle. C’est ainsi que vivent les non-croyants » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). « On ne peut pas dire que les gens se mettent à posséder les vérités-réalités dès qu’ils commencent à accomplir leur devoir. Accomplir son devoir n’est qu’une méthode et un canal à suivre. Dans l’accomplissement de leurs devoirs, les gens utilisent la poursuite de la vérité pour faire l’expérience de l’œuvre de Dieu, comprendre et accepter progressivement la vérité, puis pratiquer la vérité. Ils atteignent alors un état dans lequel ils rejettent leur tempérament corrompu, se débarrassent des liens et du contrôle du tempérament corrompu de Satan, et ainsi ils deviennent des gens qui ont la vérité-réalité et une humanité normale. Ce n’est que lorsque tu auras une humanité normale que l’accomplissement de ton devoir et tes actions seront édifiants pour les gens et satisfaisants pour Dieu. Et ce n’est que lorsque les gens sont approuvés par Dieu pour l’accomplissement de leur devoir qu’ils peuvent être des êtres créés acceptables. Ainsi, en ce qui concerne l’accomplissement de votre devoir, bien que ce que vous dépensez et faites ressortir dans la dévotion, ce soient les diverses compétences, les divers apprentissages et les diverses connaissances que vous avez acquis, c’est précisément par ce biais d’accomplissement de votre devoir que vous pouvez comprendre la vérité, et savoir ce que c’est que d’accomplir son devoir, ce que c’est que de se présenter devant Dieu et ce que c’est que de se dépenser de tout son cœur pour Dieu. Par ce biais, vous saurez comment vous débarrasser de votre tempérament corrompu et comment vous rebeller contre vous-mêmes, ne pas être arrogants ni suffisants, vous soumettre à la vérité et à Dieu. Ce n’est qu’ainsi que vous pourrez obtenir le salut » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Pour gagner la vérité, on doit apprendre des gens, des évènements et des choses proches de soi). En méditant sur les paroles de Dieu, j’ai compris que si les gens veulent obtenir la vérité et entrer dans la vérité-réalité, cela dépend principalement du fait qu’ils cherchent la vérité et pratiquent la vérité. Cela n’a absolument rien à voir avec les devoirs que fait une personne. Le devoir n’est qu’une plateforme sur laquelle les gens peuvent s’entraîner ; c’est un chemin pour qu’ils obtiennent la vérité. Le fait qu’une personne puisse finalement obtenir la vérité et être sauvée dépend de sa poursuite personnelle. Si une personne ne poursuit pas la vérité, alors elle ne la poursuivra pas, peu importe le devoir qui lui est assigné ; à l’inverse, si une personne poursuit la vérité, alors elle la poursuivra, peu importe le devoir qui lui est assigné ou l’environnement dans lequel elle se trouve. J’avais toujours pensé auparavant que faire des devoirs textuels signifiait une croissance de vie rapide, et que faire un devoir de technicien informatique signifiait une croissance de vie lente. Ce point de vue est complètement erroné et absolument indéfendable. Dieu ne traite personne injustement. Quiconque cherche la vérité et pratique la vérité pourra finalement obtenir la vérité ; quiconque ne cherche pas la vérité ou ne pratique pas la vérité n’obtiendra pas la vérité. C’est la justice de Dieu. J’ai pensé à quelqu’un qui avait fait des devoirs textuels dans le passé. Elle faisait ses devoirs en se fiant à ses dons et à son calibre. Lorsque des choses se sont abattues sur elle, elle n’a ni cherché la vérité ni n’a tiré de leçons, et ne s’est pas concentrée sur son entrée dans la vie. Finalement, elle a été relevée de son devoir parce qu’elle ne poursuivait pas la vérité. Plus tard, elle a commencé à poursuivre les tendances malfaisantes du monde et n’était même plus disposée à assister aux réunions, elle a donc été révélée et éliminée. Certains frères et sœurs qui font un devoir lié aux affaires générales cherchent la vérité, prient Dieu, et se concentrent sur la pratique de la vérité face aux situations. Après un certain temps, on peut voir que leur vie a connu une croissance et qu’ils peuvent comprendre certaines vérités. J’ai pensé au temps où je faisais le devoir de technicien en informatique. Normalement, quand je mettais en œuvre et assurais le suivi du travail technique, je traitais ces choses comme des affaires extérieures. Je n’y cherchais pas le principe de vérité, et je ne faisais mon devoir qu’en me fiant à mes dons et à mon calibre. Comment pouvais-je atteindre une entrée dans la vie de cette façon ? La raison pour laquelle je n’ai pas atteint l’entrée dans la vie quand je faisais le devoir de technicien en informatique était entièrement due au fait que je ne poursuivais pas la vérité. En donnant aux gens l’occasion de faire leur devoir, l’intention de Dieu est qu’ils assument leurs responsabilités dans chaque type de devoir, qu’ils s’entraînent, qu’ils atteignent une entrée dans la vie, et qu’ils fassent leurs devoirs conformément à Ses paroles et à Ses exigences. Il ne veut pas que les gens se contentent de trimer et de remplir des tâches. Par la suite, j’ai aussi réfléchi : Dans la maison de Dieu, chaque devoir implique de nombreux aspects de la vérité et exige que les gens atteignent l’entrée dans la vie. Alors, quelles vérités sont impliquées dans l’exécution du devoir de technicien en informatique ? En réfléchissant, j’ai pris conscience qu’il y a des vérités liées à l’exécution loyale de son devoir et à la coopération harmonieuse avec les autres, et que l’étude des techniques et l’apprentissage des compétences professionnelles impliquent également des vérités sur le fait de s’en remettre à Dieu et de tourner ses regards vers Lui. Sans l’éclairage et la direction de Dieu, il y a de nombreuses techniques que je ne pourrais jamais découvrir par moi-même. J’ai découvert qu’il y a de nombreuses vérités dans lesquelles entrer. Ces vérités sont en fait impliquées dans l’accomplissement de chaque devoir, et elles sont toutes interconnectées. L’idée selon laquelle « on peut atteindre l’entrée dans la vie en faisant des devoirs textuels, mais pas en exécutant des devoirs techniques » est complètement indéfendable, chaque devoir implique l’entrée dans la vie. Après avoir compris cela, mon cœur s’est senti libéré, et j’ai pu accepter du fond du cœur et traiter correctement le devoir de technicien en informatique que je faisais maintenant.

Peu de temps après, j’ai reçu une lettre des dirigeants qui organisaient mon affectation dans un autre endroit pour faire le devoir de technicien en informatique. J’ai été un peu secoué et j’ai pensé : « Après ça, je n’aurai peut-être plus jamais l’occasion de faire des devoirs textuels à nouveau ! » Je n’ai pas pu m’empêcher de me sentir un peu abattu. Cependant, je savais que Dieu scrutait mon cœur, et je ne pouvais pas agir comme la dernière fois. Je devais pratiquer la vérité et abandonner ces points de vue fallacieux et l’intention d’obtenir des bénédictions, alors j’ai prié Dieu, exprimant ma volonté de me soumettre aux arrangements de l’Église.

Plus tard, j’ai aussi cherché concernant la question de savoir comment prêter attention à l’entrée dans la vie en faisant mon devoir, et j’ai trouvé un chemin de pratique après avoir lu les paroles de Dieu. Dieu dit : « Alors, en quoi consiste la poursuite de la vérité ? Voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement en se basant sur les paroles de Dieu, selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère, voilà en quoi consiste la poursuite de la vérité » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (2)). « Lisez encore une fois ce en quoi consiste la poursuite de la vérité. (En quoi consiste la poursuite de la vérité ? Voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère.) Vous devez inscrire ces mots dans votre cœur et les utiliser comme devise de votre vie. Sortez-les souvent afin de pouvoir y réfléchir et les méditer. Comparez-les avec votre comportement, votre attitude dans la vie, vos opinions sur les choses, vos intentions et vos objectifs. Tu pourras alors ressentir clairement quel est ton véritable état et quelle est le tempérament-essence que tu manifestes. Compare-les à ces paroles et considère ces paroles comme tes principes de pratique, et comme le chemin et la direction de ta pratique. Lorsque tu poursuivras de cette manière, lorsque tu seras capable d’entrer entièrement dans ces paroles et de les vivre, tu comprendras en quoi consiste la poursuite de la vérité. Naturellement, lorsque tu entreras dans la réalité de ces paroles, tu te seras déjà engagé sur le chemin de la poursuite de la vérité » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (2)). « Juste, comment la poursuite de la vérité doit-elle être pratiquée ? Faites-vous l’expérience de l’œuvre de Dieu dans l’accomplissement quotidien de votre devoir ? Avez-vous prié Dieu lorsque vous avez été confrontés à des problèmes, et pouvez-vous les résoudre en cherchant la vérité ? Ceci est lié à la question de l’entrée dans la vie. Lorsque vous révélez votre corruption en accomplissant votre devoir, êtes-vous capable de réfléchir sur vous-mêmes et de résoudre le problème de votre tempérament corrompu selon les paroles de Dieu ? Si vous ne pouvez pas le pratiquer et en faire l’expérience de cette façon, alors cela n’a rien à voir avec la croyance en Dieu. Quel que soit le devoir que tu accomplis ou ce que tu fais, tu dois essayer de sonder quels aspects des paroles de Dieu sont concernés, ainsi que tes propres pensées, opinions ou intentions erronées, qui font toutes partie de l’état de l’homme. Qu’est-ce que l’état de l’homme comprend ? Il comprend les positions, les attitudes, les intentions et les points de vue des gens, ainsi que certaines philosophies, logiques et connaissances sataniques, et toutes ces choses, en bref, sont liées aux habituels modes et méthodes d’action et de traitement des autres. Confronté à une situation, on doit d’abord examiner son point de vue : c’est la première étape. La deuxième étape consiste à examiner si ce point de vue est correct. Comment, alors, devrait-on déterminer si son point de vue est correct ou non ? C’est déterminé d’une part avec les paroles de Dieu et d’autre part selon les principes du type de situation en question : par exemple, les arrangements de travail, intérêts et règles de la maison de Dieu, de même que les paroles explicites de Dieu. Ces éléments pour déterminer si un point de vue est correct. Ce sont les normes d’évaluation » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, L’attitude que l’homme doit avoir envers Dieu). En méditant sur les paroles de Dieu, j’ai compris que la chose la plus essentielle dans la poursuite de la vérité est de considérer les gens et les choses, et de se conduire et d’agir en se fondant sur les paroles de Dieu et en ayant la vérité pour critère. Que ce soit en faisant son devoir ou dans la vie quotidienne, son comportement, sa conduite et son point de vue sur les choses doivent être fondés sur les paroles de Dieu ; il faut pratiquer conformément aux exigences de Dieu ; il faut prier Dieu lorsque des choses arrivent ; et il faut évaluer, selon la vérité-principe si les points de vue et les intentions de ses actions sont corrects, s’ils sont conformes aux intentions de Dieu et s’alignent sur Ses exigences. Si l’on fait son devoir de cette manière, on obtiendra l’entrée dans la vie. J’ai pensé à la manière dont Dieu exige que les gens accomplissent leur devoir : « de tout son cœur, de toute son âme et de toute sa pensée » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seul celui qui accomplit bien son devoir de tout son cœur, de tout son esprit et de toute son âme aime Dieu). J’ai donc appliqué ces paroles de Dieu dans l’accomplissement de mon devoir. Face aux questions de mes frères et sœurs, je les ai méditées avec soin, et quand des difficultés que je ne savais pas gérer ou que je ne comprenais pas s’abattaient sur moi, je priais Dieu pour chercher. En pratiquant ainsi, j’ai senti l’autorité et la direction de Dieu dans mon devoir, et je suis devenu progressivement capable de percer à jour quelque peu certains problèmes, en trouvant des chemins pour les résoudre. J’étais aussi souvent venu devant Dieu en prière, examinant quels problèmes existaient encore dans l’accomplissement de mon devoir, et quelles choses je ne faisais pas correctement. Parfois, je lisais un passage des paroles de Dieu dans mes dévotions, ce qui m’aidait à voir plus clairement les problèmes dans l’accomplissement de mon devoir. Je me suis également concentré sur la résolution de mon propre tempérament corrompu dans la vie quotidienne, et j’examinais ce que mes paroles et mes actions révélaient dans mes relations avec mes frères et sœurs. J’ai découvert que mon tempérament arrogant était assez grave. En particulier, quand je pensais avoir raison, je voulais vraiment que les autres soient d’accord avec moi et je devenais mécontent s’ils ne l’étaient pas. Après une période de recherche et d’introspection, je suis parvenu à comprendre quelque peu mon propre tempérament arrogant, et je me suis rebellé consciemment contre moi-même pour accepter les suggestions de mes frères et sœurs. Après avoir pratiqué de cette manière pendant un certain temps, j’ai senti que j’avais atteint une certaine entrée dans la vie en exécutant mon devoir.

À travers cette expérience, j’ai trouvé quelques chemins pour atteindre l’entrée dans la vie en exécutant mon devoir. J’ai repensé à l’époque où j’avais eu peur de faire le devoir de technicien, et je sentais constamment qu’en faisant ce genre de devoir, j’étais susceptible de me laisser entraîner à effectuer des tâches et à ne pas atteindre d’entrée dans la vie. Maintenant, en y repensant, je vois que tout cela était dû au fait que je ne poursuivais pas la vérité ou que je ne cherchais pas la vérité. Atteindre l’entrée dans la vie n’a absolument rien à voir avec le devoir que l’on fait. Le fait que j’aie pu gagné cette petite compréhension et cette entrée est un résultat obtenu grâce à la direction des paroles de Dieu. Dieu soit loué !

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

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