En quoi consiste la poursuite de la vérité (11)

À chaque période et à chaque étape, certaines choses particulières se produisent dans l’Église qui sont en contradiction avec les notions des gens. Par exemple, certaines personnes tombent malades, des dirigeants et des ouvriers sont remplacés, certaines personnes sont exposées et chassées, certaines font face à l’épreuve de la vie ou de la mort, certaines Églises ont même des gens malfaisants et des antéchrists qui provoquent des perturbations, etc. Ces choses arrivent de temps à autre, mais elles ne sont en aucun cas accidentelles. Toutes ces choses sont le résultat de la souveraineté et des arrangements de Dieu. Une période très paisible peut soudainement être interrompue par plusieurs incidents ou événements inhabituels, qui se produisent autour de vous ou qui vous arrivent à vous personnellement, et le fait que ces choses se produisent interrompt l’ordre normal et la normalité de la vie des gens. En apparence, ces choses ne sont pas conformes aux notions et à l’imagination des gens. Les gens ne veulent pas que ces choses leur arrivent et ils ne veulent pas en être témoins. Alors, le fait que ces choses se produisent profite-t-il aux gens ? Comment les gens devraient-ils gérer, vivre et comprendre ces choses ? Quiconque parmi vous y a-t-il réfléchi ? (Nous devons comprendre que c’est le résultat de la souveraineté de Dieu.) S’agit-il juste de comprendre que c’est le résultat de la souveraineté de Dieu ? En avez-vous tiré des leçons ? Pouvez-vous mieux comprendre comment Dieu détient la souveraineté sur toutes ces choses ? Qu’implique spécifiquement la souveraineté de Dieu ? Quelles choses spécifiques se manifestent chez les gens, qu’ils devraient connaître et comprendre ? Avez-vous tiré des leçons des choses qui se sont passées autour de vous ? Pouvez-vous les accepter de Dieu, puis gagner quelque chose grâce à cette situation ? Ou bien est-ce que vous vous embrouillez, en pensant : « Tout cela est le résultat de la souveraineté de Dieu, soumettez-vous simplement à Dieu, il n’y a rien là-dedans qui nécessite d’y réfléchir », et en laissant passer cela pendant que vous avez des pensées aussi simples ? Laquelle de ces situations s’applique à vous ? Parfois, des événements majeurs se produisent dans l’Église, par exemple, dans la diffusion de l’œuvre de l’Évangile, et de bons résultats inattendus sont obtenus, ou bien il y a des difficultés inattendues, des hauts et des bas, des obstacles, ou même des perturbations et des destructions dues à des forces extérieures. Parfois, quelque chose d’inhabituel se produit dans une certaine Église ou parmi certaines personnes accomplissant leurs devoirs. Que ce soit en des temps ordinaires ou inhabituels, avez-vous jamais contemplé ces choses extraordinaires qui se produisent ? Quelle conclusion finale en avez-vous tirée ? Ou est-ce que la plupart du temps, vous n’en avez absolument aucune compréhension ? Certains y réfléchissent simplement intérieurement, puis se contentent de dire une brève prière, sans même chercher la vérité pour gagner une certaine compréhension de ces choses. Ils admettent simplement que ces choses viennent de Dieu, et c’est tout. N’est-ce pas faire les choses pour la forme ? La plupart des gens se contentent de faire dans l’à-peu-près. Et lorsque des personnes de calibre extrêmement faible rencontrent ces choses, ces personnes nourrissent beaucoup d’incompréhension et de confusion, et peuvent facilement nourrir des notions et des malentendus au sujet de Dieu, et des doutes quant à la souveraineté et à l’orchestration de Dieu. Les gens n’avaient aucune compréhension de Dieu au départ, et quand ils rencontrent certaines choses qui sont en contradiction avec leurs notions, ils ne cherchent pas la vérité ni ne trouvent des personnes avec qui échanger, mais ils les traitent uniquement en se basant sur leurs notions et leur imagination, avant d’en arriver finalement à cette conclusion : « Que ces choses viennent ou non de Dieu reste incertain », et ils se mettent à avoir des doutes sur Dieu, et même à douter de Ses paroles. En conséquence, leurs doutes, leurs spéculations et leur méfiance à l’égard de Dieu deviennent de plus en plus graves, et ils perdent toute motivation pour accomplir leurs devoirs. Ils ne sont pas disposés à souffrir et à faire des sacrifices et ils se relâchent, font dans l’à-peu-près au jour le jour. Lorsqu’ils ont vécu quelques incidents particuliers, le peu d’enthousiasme, de détermination et de désir qu’ils avaient auparavant les a abandonnés et s’est évanoui, et tout ce qui en reste, ce sont des pensées sur la façon de faire leurs propres projets pour l’avenir et de chercher une porte de sortie. De telles personnes ne sont pas minoritaires. Parce que les gens n’aiment pas la vérité et qu’ils ne la cherchent pas, chaque fois que quelque chose leur arrive, ils le voient à leur façon, sans jamais apprendre à l’accepter de Dieu. Ils ne cherchent pas la vérité dans les paroles de Dieu afin de trouver les réponses, et ils ne cherchent pas des personnes qui comprennent la vérité pour échanger et résoudre ces problèmes. Au lieu de cela, ils utilisent toujours leurs propres connaissances et leur expérience des relations avec le monde pour analyser et juger les choses qui leur arrivent. Et quel est le résultat final ? Ils s’enferment dans un état inconfortable, sans nulle part où aller : c’est la conséquence de ne pas chercher la vérité. Rien n’arrive par hasard, tout est gouverné par Dieu. Bien que les gens puissent le comprendre et l’accepter en théorie, comment doivent-ils traiter la souveraineté de Dieu ? Voilà la vérité que les gens devraient poursuivre et comprendre, et ils devraient la pratiquer de manière spécifique. Si les gens ne reconnaissent la souveraineté de Dieu qu’en théorie, mais qu’ils n’en ont pas une réelle compréhension et que leurs propres notions et leur imagination n’ont pas été résolues, alors quel que soit le nombre d’années depuis lequel ils croient en Dieu et le nombre de choses qu’ils vivent, ils ne pourront quand même pas obtenir la vérité au bout du compte. Si les gens ne poursuivent pas la vérité, ils ne peuvent pas connaître l’œuvre de Dieu. Plus ils expérimenteront de choses, plus ils auront de notions sur Dieu, plus ils Le remettront en question et, bien sûr, leurs spéculations, leurs incompréhensions et leur méfiance à l’égard de Dieu deviendront d’autant plus graves. Le fait est que tout ce qui arrive est le résultat de la souveraineté et de l’arrangement de Dieu. Le but et la signification, lorsque Dieu fait toutes ces choses, ce n’est pas d’augmenter ton incompréhension et tes doutes à Son sujet, mais d’éclaircir et de résoudre tes notions et ton imagination intérieures, ainsi que tes doutes, ton incompréhension et ta méfiance à Son égard, ainsi que d’autres choses négatives du même genre. Si tu ne résous pas les problèmes en temps opportun lorsqu’ils surviennent, une fois que ces problèmes qui sont en toi s’accumuleront et deviendront de plus en plus graves, et que ton enthousiasme et ta détermination ne seront alors plus suffisants pour te soutenir dans l’accomplissement de tes devoirs, tu sombreras dans la négativité, au point même que tu risqueras de quitter Dieu, et tu ne pourras certainement pas tenir bon. Maintenant, certaines personnes font à contrecœur un effort symbolique dans l’accomplissement de leurs devoirs, mais uniquement dans le but de gagner des bénédictions, sans poursuivre la vérité le moins du monde, et elles deviennent négatives chaque fois qu’elles rencontrent des difficultés. Voilà à quoi ressemblent les gens qui ne poursuivent pas la vérité. Parce qu’ils ne comprennent pas tout à fait clairement la vérité des visions et qu’ils n’ont pas une véritable compréhension de l’œuvre de Dieu, même s’ils font leurs devoirs et se dépensent pour Dieu, ils n’ont pas de force dans leur cœur, et le peu de doctrine qu’ils comprennent ne peut les soutenir longtemps avant qu’ils ne chutent. Si les gens ne se réunissent pas régulièrement, s’ils n’écoutent pas régulièrement les sermons ou ne cherchent pas la vérité pour résoudre leurs problèmes, ils sont incapables de rester fermes. Par conséquent, ceux qui accomplissent des devoirs doivent régulièrement échanger sur la vérité, et chaque fois que certains problèmes leur arrivent et qu’ils se mettent à avoir des notions, ils doivent corriger cela en cherchant la vérité en temps opportun. Ce n’est qu’ainsi qu’ils pourront être sûrs de rester loyaux dans l’accomplissement de leur devoir et de pouvoir suivre Dieu jusqu’au bout.

La route de la croyance en Dieu est rocailleuse et inégale. C’est ordonné par Dieu. Quoi qu’il arrive, que ce soit ou non comme le souhaitent les gens, que ce soit conforme ou non à leurs notions et à leur imagination, ou que cela soit prévisible ou non pour eux, ce qui arrive ne peut être dissocié de la souveraineté de Dieu et de Son orchestration. Que Dieu fasse tout ce qu’Il fait est significatif, en ce sens que cela permet aux gens d’en tirer une leçon et de connaître la souveraineté de Dieu. Le but de la connaissance de la souveraineté de Dieu n’est pas que les gens résistent à Dieu, ni que les gens, ayant compris Dieu, aient plus de pouvoir et de capital pour rivaliser avec Lui. C’est plutôt que lorsqu’il leur arrive quelque chose, les gens doivent apprendre à l’accepter de Dieu, chercher la vérité pour le comprendre, puis pratiquer la vérité pour parvenir à une véritable soumission et développer une vraie foi en Lui. Comprenez-vous cela ? (Oui.) Eh bien, comment le mettez-vous en pratique ? Votre chemin de pratique concernant de telles choses est-il correct ? Traitez-vous chaque chose qui vous arrive avec un cœur de soumission et une attitude de recherche de la vérité ? Si vous êtes quelqu’un qui poursuit la vérité, vous aurez un tel état d’esprit. Quoi qu’il vous arrive, vous l’accepterez de Dieu et vous continuerez à chercher la vérité, à saisir Sa volonté et à considérer les gens et les choses sur la base de Ses paroles. Dans toutes les choses qui vous arrivent, vous pourrez expérimenter et connaître l’œuvre de Dieu, et vous serez capables de vous soumettre à Lui. Si vous n’êtes pas quelqu’un qui cherche la vérité, alors quoi qu’il vous arrive, vous n’y ferez pas face conformément aux paroles de Dieu et vous ne chercherez pas non plus la vérité. Vous ferez dans l’à-peu-près, sans gagner aucune vérité. Dieu rend les gens parfaits en arrangeant nombre de choses qui ne sont pas conformes à leurs notions, afin de les entraîner à chercher la vérité, à comprendre Ses actes et à voir Sa toute-puissance et Sa sagesse, de sorte que leur vie grandisse peu à peu. Pourquoi ceux qui poursuivent la vérité font-ils l’expérience de l’œuvre de Dieu, gagnent-ils la vérité et sont-ils parfaits par Dieu, alors que ceux qui ne le font pas sont chassés ? C’est parce que ceux qui poursuivent la vérité peuvent la chercher quoi qu’il leur arrive, ils ont donc l’œuvre et l’éclairage du Saint-Esprit et peuvent par conséquent pratiquer la vérité, entrer dans la réalité des paroles de Dieu et être parfaits par Lui. Tandis que ceux qui n’aiment pas la vérité voient que l’œuvre de Dieu n’est pas conforme à leurs notions et pourtant, ils ne résolvent pas cela en cherchant la vérité et ils peuvent même devenir négatifs et se plaindre. Au fil du temps, leurs notions sur Dieu augmentent et ils commencent à douter de Lui et à Le renier. En conséquence, ils sont rejetés et chassés par l’œuvre de Dieu. C’est pourquoi l’attitude des gens envers la vérité devrait être de la chercher, de la pratiquer et de s’efforcer de répondre aux exigences de Dieu, plutôt que d’être négatifs et passifs. Pour faire l’expérience de l’œuvre de Dieu, ils doivent faire face à de nombreuses choses et les voir toutes selon les paroles de Dieu, et ils doivent aussi passer plus de temps à contempler, à chercher la vérité et à échanger à son sujet, afin de pouvoir connaître l’œuvre de Dieu et suivre son rythme. C’est seulement de cette façon qu’ils pourront comprendre la vérité et l’approfondir jour après jour, et ce n’est qu’ainsi que les paroles de Dieu et chaque aspect de la vérité pourront s’enraciner en eux. L’expérience de l’œuvre de Dieu ne peut être séparée de la vie réelle, encore moins des environnements des diverses personnes, des questions et choses que Dieu présente, sinon les gens ne seront pas en mesure de comprendre et de gagner la vérité. La plupart des gens ne savent pas comment faire l’expérience de l’œuvre de Dieu chaque fois qu’un problème leur arrive. Ils ne savent pas comment chercher la vérité afin de résoudre leurs notions et leur imagination, ni comment corriger leurs compréhensions erronées et leurs idées grotesques. En conséquence, bien qu’ils aient vécu beaucoup de choses, ils ne peuvent pas comprendre la vérité, au contraire, ils n’y gagnent rien : c’est une perte de temps. Quel que soit le problème qu’ils rencontrent, ce que les gens devraient pratiquer, en fin de compte, c’est la soumission à l’orchestration et aux arrangements de Dieu. Cette soumission ne signifie pas que les gens doivent se soumettre négativement, passivement ou en dernier recours, mais plutôt qu’ils ont une intention positive et proactive, et un chemin de pratique de la vérité. Que signifie se soumettre à l’orchestration et aux arrangements de Dieu ? Cela signifie que quoi que Dieu arrange, quoi qu’il t’arrive, tu dois laisser Dieu le faire et apprendre à te soumettre à Lui. N’aie pas de désirs ou de projets personnels, et n’essaie pas de faire les choses à ta façon. Tout ce que les gens aiment, poursuivent et désirent ardemment est grotesque et absurde. Les gens désobéissent trop à Dieu. Il demande aux gens d’aller vers l’est, mais ils ne veulent pas aller vers l’est. Même s’ils se soumettent à contrecœur, intérieurement ils pensent tout de même à aller vers l’ouest. Ce n’est pas la vraie soumission. La vraie soumission signifie que lorsque Dieu te dit d’aller vers l’est, tu dois aller vers l’est, abandonner et rejeter toute pensée d’aller vers le sud, le nord ou l’ouest, et être capable de renoncer à la volonté de la chair, puis aller pratiquer en suivant le chemin et la direction que Dieu t’a montrés. Voilà ce que signifie la soumission. Quels sont les principes pour pratiquer la soumission ? Il s’agit d’écouter les paroles de Dieu et de se soumettre, et de pratiquer conformément à ce que Dieu dit. Ne nourris pas tes propres intentions, et tu ne peux pas non plus être capricieux. Que tu comprennes clairement ou non les paroles de Dieu, tu dois les mettre en pratique avec docilité et faire les choses conformément à Ses exigences. Grâce au processus de pratique et d’expérience, tu en arriveras inconsciemment à comprendre la vérité. Si ta bouche dit que tu te soumets à Dieu, mais que tu ne lâches jamais prise et que tu ne renonces jamais à tes projets et désirs intérieurs, n’est-ce pas dire une chose et en penser une autre ? (Si.) Ce n’est pas la vraie soumission. Si tu ne te soumets pas vraiment, tu auras de nombreuses exigences à l’égard de Dieu chaque fois qu’il t’arrivera des choses et intérieurement, tu seras impatient que Dieu réponde à tes exigences. Si Dieu ne fait pas ce que tu souhaites, tu seras très angoissé et contrarié, tu souffriras beaucoup et tu ne pourras pas te soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, ni aux environnements que Dieu a mis en place pour toi. Pourquoi cela ? Parce que tu as toujours tes propres exigences et tes propres souhaits, que tu ne peux pas abandonner tes propres idées personnelles et que tu veux être celui qui mène le jeu. Par conséquent, chaque fois que tu rencontres des choses qui sont en contradiction avec tes notions, tu ne peux pas te soumettre, et il t’est difficile de te soumettre à Dieu. Bien que les gens sachent en théorie qu’ils doivent se soumettre à Dieu et renoncer à leurs propres idées, ils n’en sont tout simplement pas capables, craignant constamment d’être désavantagés et de subir des pertes. Dis-Moi, cela ne les met-il pas en grande difficulté ? Leur angoisse n’augmente-t-elle pas, alors ? (Si.) Si tu peux tout abandonner, renoncer aux choses que tu aimes et que tu exiges, mais qui sont contraires aux intentions de Dieu, si tu peux les abandonner de manière proactive et volontaire et ne pas fixer de conditions à Dieu, mais que tu es prêt à faire ce que Dieu demande, alors la difficulté en toi sera bien moindre et les obstacles seront bien plus petits. Si les obstacles à la soumission d’une personne vis-à-vis de Dieu sont atténués, son angoisse ne s’en trouvera-t-elle pas atténuée ? Au fur et à mesure que son angoisse diminue, les souffrances auxquelles elle est inutilement soumise diminuent considérablement. Allez-vous vivre les choses de cette manière ? Pas encore, probablement. Lorsque certaines personnes voient un individu rencontrer des difficultés, elles prennent aussitôt soin d’elles-mêmes, en se mettant à la place de cet individu. Chaque fois qu’elles voient quelqu’un affronter une quelconque angoisse, maladie, tribulation ou calamité, elles pensent immédiatement à elles-mêmes et se demandent : « Si cela m’arrivait, que ferais-je ? Il s’avère que les croyants peuvent encore rencontrer ces choses et endurer ces tourments. Alors, quel genre de Dieu est-Il, exactement ? Si Dieu a si peu d’égards pour les sentiments de ce type, me traitera-t-Il de la même manière ? Cela montre que Dieu n’est pas fiable. N’importe où et à n’importe quel moment, Il met en place un environnement inattendu pour les gens et Il peut les mettre dans des situations embarrassantes constamment et dans n’importe quelles circonstances. » Ces personnes ont peur de ne pas gagner de bénédictions si elles ne croient pas, et d’aller droit au désastre si elles continuent à croire. Et donc, lorsque les gens prient devant Dieu, ils disent simplement : « Ô Dieu, je Te supplie de me bénir » et ils n’osent pas dire : « Ô Dieu, je Te demande de me tester, de me discipliner et de faire ce que Tu veux, je suis prêt à l’accepter ». Ils n’osent pas prier ainsi. Quand les gens subissent quelques revers et échecs, leur détermination et leur courage diminuent, ils ont une « compréhension » différente du tempérament juste de Dieu, de Son châtiment, de Son jugement et de Sa souveraineté, et ils se mettent également à éprouver de la méfiance envers Dieu. De cette façon, il y a un mur, un éloignement entre les gens et Dieu. Est-il acceptable que les gens aient ces états ? (Non.) Ces états ont-ils donc tendance à se développer en vous ? Vous arrive-t-il de vivre dans ces états ? (Oui.) Comment de tels problèmes devraient-ils être résolus ? Est-il acceptable de ne pas chercher la vérité ? Si vous ne comprenez pas la vérité et n’avez pas la foi, il vous sera difficile de suivre Dieu jusqu’au bout et vous chuterez chaque fois que vous rencontrerez des catastrophes et des calamités, qu’elles soient naturelles ou créées par l’homme.

Après avoir subi une épreuve, Job prononça ces paroles : « L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! » (Job 1:21). De nos jours, beaucoup de gens apprennent à réciter cette phrase et ils le font avec éloquence. Cependant, chaque fois qu’ils la récitent, tout ce à quoi ils pensent, c’est que c’est l’Éternel qui donne, mais ils ne pensent jamais à ce qui se passera quand l’Éternel ôtera, ni au genre d’angoisse, de difficulté et de situation embarrassante que les gens éprouveront alors et à la manière dont le cœur des gens changera avec l’environnement. Ils n’y ont jamais réfléchi, ils ne cessent de réciter : « L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! », au point même d’utiliser cette phrase comme un slogan et une doctrine qu’ils ressortent à chaque occasion. Dans leur esprit, à chacun, la seule chose à laquelle ils peuvent penser, ce sont toutes les grâces, les bénédictions et les promesses que l’Éternel accorde aux gens, mais ils ne pensent jamais au genre de scène qui se produira lorsque l’Éternel leur ôtera toutes ces choses, ou bien ils ne peuvent pas l’imaginer. Quiconque en vient à croire en Dieu est seulement prêt à accepter Sa grâce, Ses bénédictions et Ses promesses et n’est disposé à accepter que Sa bonté et Sa compassion. Mais personne n’attend ni ne se prépare à accepter le châtiment et le jugement de Dieu, Ses épreuves et Son épurement, ou le fait qu’Il prive de quelque chose, et pas une seule personne ne fait des préparatifs en vue d’accepter le jugement et le châtiment de Dieu, le fait qu’Il prive de quelque chose, ou Ses malédictions. Cette relation entre les gens et Dieu est-elle normale ou anormale ? (Anormale.) Pourquoi dites-vous qu’elle est anormale ? En quoi pèche-t-elle ? Elle pèche en ce sens que les gens n’ont pas la vérité. C’est parce que les gens ont trop de notions et d’imagination, qu’ils se méprennent constamment sur Dieu et ne résolvent pas ces problèmes en cherchant la vérité, ce qui rend plus probable que des problèmes surviennent. En particulier, les gens ne croient en Dieu que pour être bénis. Ils veulent seulement conclure un marché avec Dieu et exiger des choses de Lui, mais ne poursuivent pas la vérité. C’est très dangereux. Dès qu’ils rencontrent quelque chose qui est en contradiction avec leurs notions, ils se mettent immédiatement à avoir des notions, des griefs et des incompréhensions en ce qui concerne Dieu, et peuvent même aller jusqu’à Le trahir. Les conséquences en sont-elles graves ? Quel chemin la plupart des gens suivent-ils dans leur foi en Dieu ? Même si vous avez peut-être écouté bien des sermons et éprouvez le sentiment d’avoir compris bon nombre de vérités, le fait est que vous suivez quand même le chemin de la croyance en Dieu uniquement pour vous rassasier de pain. Si ton esprit est déjà prêt à accepter le jugement et le châtiment, les épreuves et l’épurement, et que tu t’es également préparé mentalement à subir un désastre et si, quelle que soit la mesure dans laquelle tu te dépenses pour Dieu et fais des sacrifices dans l’accomplissement de ton devoir, tu affrontais réellement les épreuves de Job et que Dieu te privait de tous tes biens, au point même que ta vie soit près de se terminer, que ferais-tu alors ? Comment dois-tu faire face à la souveraineté et aux arrangements de Dieu ? Comment dois-tu aborder ton devoir ? Comment dois-tu aborder ce que Dieu t’a confié ? As-tu la bonne compréhension et la bonne attitude ? Est-il facile de répondre à ces questions, ou non ? Voilà un grand obstacle placé devant vous. Puisqu’il s’agit d’un obstacle et d’un problème, ne faudrait-il pas le résoudre ? (Si.) Comment le résoudre ? Est-il facile à résoudre ? Supposons que, croyant en Dieu depuis de nombreuses années et ayant lu de nombreuses paroles de Dieu, écouté de nombreux sermons et compris de nombreuses vérités, tu sois déjà prêt à laisser Dieu orchestrer toutes choses, qu’il s’agisse de bénédictions ou de désastres. Supposons aussi que, bien que tu renonces et que tu te dépenses, et malgré les sacrifices que tu as faits et toute une vie d’énergie, tout ce que tu obtiennes en retour soit que Dieu te maudisse ou te dépossède. Si, même alors, tu n’as aucune parole de plainte, aucun désir ou aucune exigence propres, mais que tu cherches seulement à te soumettre à Dieu et à te mettre à la merci de Ses orchestrations, et que tu éprouves le sentiment qu’en étant capable d’avoir ne serait-ce qu’un peu de compréhension et de soumission vis-à-vis de la souveraineté de Dieu, ta vie en vaut quand même la peine, si tu as une telle attitude correcte, n’est-il pas facile alors de résoudre certaines difficultés ? Avez-vous désormais une véritable connaissance de la souveraineté et des arrangements de Dieu ? Avez-vous encore des projets pour votre avenir et votre destinée personnels au plus profond de votre cœur ? Pouvez-vous tout laisser derrière vous et vous dépenser sincèrement pour Dieu ? Avez-vous consacré du temps et de l’énergie à méditer soigneusement ces questions et à y réfléchir ? Ou avez-vous fait l’expérience de certaines choses pour parvenir à comprendre des vérités et à connaître la souveraineté de Dieu ? Si vous n’avez même jamais pensé à un problème aussi concret que la façon dont les gens qui suivent Dieu doivent faire face à Sa souveraineté et à l’orchestration et aux arrangements du Créateur, qui est aussi le plus gros problème auquel vous êtes confrontés, et que vous ne vous rendez pas compte que c’est la plus grande vérité des visions, alors, si un jour un événement majeur ou un désastre devait se produire, seriez-vous capables de rester fermes dans votre témoignage ? C’est difficile à dire, et c’est encore une inconnue, n’est-ce pas ? (Oui.) Cette question ne devrait-elle pas faire l’objet d’une réflexion approfondie ? (Si.) Alors, comment peux-tu avoir une stature suffisante pour faire face à un avenir que tu ne peux pas prévoir ? Comment peux-tu rester ferme dans ton témoignage dans les environnements que Dieu présente ? N’est-ce pas une question qui devrait être sérieusement considérée et méditée ? Si tu te dis constamment : « Je suis une bonne personne par nature et j’ai beaucoup profité de la grâce, des bénédictions et de la protection de Dieu. Lorsque les autres rencontrent des difficultés, ils sont dans une position d’impuissance, mais chaque fois que je rencontre des difficultés, j’ai la provision, les conseils et l’aide de Dieu. Maintenant, je suis capable d’endurer des souffrances et de faire des sacrifices dans l’accomplissement de mon devoir, ma foi en Dieu s’est renforcée et j’accomplis également un devoir important. Je vois que Dieu est particulièrement miséricordieux envers moi et j’ai Sa protection et Sa bénédiction. Pour autant que je continue ainsi, même si à l’avenir je subis un châtiment, un jugement, des épreuves et un épurement, je devrais pouvoir les surmonter. Au bout du compte, je ferai certainement partie de ceux qui seront bénis, je serai certainement amené dans le royaume par Dieu et je verrai certainement le jour où Dieu sera glorifié ! » Penser de cette façon, qu’est-ce que cela veut dire ? Tu crois que tu es différent, que Dieu t’accorde une faveur particulière et que si Dieu chasse ou abandonne quelqu’un, ce ne sera pas toi. Ces pensées sont-elles justes ? (Non.) Pourquoi ne sont-elles pas justes ? (Ce n’est pas objectif de penser de cette façon.) Ces paroles équivalent-elles à une véritable connaissance de Dieu ? Ou est-ce là se montrer trop subjectif et spéculatif ? Les gens qui ont ces pensées sont-ils des gens qui poursuivent la vérité ? (Non.) Alors peuvent-ils vraiment se soumettre à Dieu ? (Non.) Sont-ils prêts à accepter le châtiment, le jugement, les épreuves et l’épurement de Dieu, et même Ses malédictions ? (Non.) Que feront-ils lorsque le châtiment, le jugement, les épreuves et l’épurement de Dieu leur arriveront vraiment ? Vont-ils se mettre à avoir des notions ou se plaindre de Dieu ? Peuvent-ils accepter ces choses de Dieu et vraiment se soumettre ? (Non.) Ce serait difficile à réaliser, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est parce qu’ils ne croient en Dieu que pour rechercher la grâce ou pour se rassasier de pain. Ils ne savent pas que Dieu a aussi de la colère et de la majesté et que le tempérament de Dieu ne peut être offensé. Dieu traite tout le monde équitablement et, vis-à-vis de n’importe quel être créé, le tempérament de Dieu est la compassion et l’amour, mais aussi la majesté et la colère. Dans les relations que Dieu a avec chaque personne, la compassion, l’amour, la majesté et la colère dans Son tempérament juste sont immuables. Dieu ne montrera jamais de la compassion et de l’amour à certaines personnes seulement, et de la majesté et de la colère à d’autres seulement. Dieu ne fera jamais cela, car c’est un Dieu juste et Il est juste envers tout le monde. La compassion, l’amour, la majesté et la colère de Dieu existent pour toute personne. Il peut accorder la grâce et des bénédictions aux gens et Il peut leur donner Sa protection. En même temps, Dieu peut aussi juger et châtier les gens, les maudire et leur ôter tout ce qu’Il leur a donné. Dieu peut donner aux gens, mais il peut aussi tout leur ôter. C’est le tempérament de Dieu et c’est ce qu’Il doit faire avec chaque personne. Par conséquent, si tu penses : « Je suis précieux aux yeux de Dieu, comme la prunelle de Ses yeux. Il ne peut absolument pas supporter de me châtier et de me juger, et Il n’aura absolument pas le cœur de m’ôter tout ce qu’Il m’a donné, de peur que je sois contrarié ou affligé », cette pensée n’est-elle pas erronée ? N’est-ce pas une notion au sujet de Dieu ? (Si.) Alors, avant que tu en viennes à comprendre ces vérités, ne penses-tu pas seulement à profiter de la grâce, de la compassion et de l’amour de Dieu ? En conséquence, tu continues d’oublier que Dieu a aussi de la majesté et de la colère. Bien que tes lèvres disent que Dieu est juste, et que tu sois capable de remercier et de louer Dieu quand Il te montre de la compassion et de l’amour, chaque fois que Dieu montre de la majesté et de la colère en te châtiant et en te jugeant, tu es très contrarié. « Si seulement un tel Dieu n’existait pas », penses-tu. « Si seulement ce n’était pas Dieu qui avait fait cela, si seulement Dieu ne me prenait pas pour cible, si seulement ce n’était pas l’intention de Dieu, si seulement ces choses étaient faites aux autres. Parce que je suis une personne qui a bon cœur, que je n’ai rien fait de mal et que j’ai payé un lourd tribut pour croire en Dieu depuis de nombreuses années, Dieu ne devrait pas être aussi impitoyable. Je devrais être autorisé et qualifié pour ce qui est de profiter de la compassion et de l’amour de Dieu, ainsi que de Sa grâce et de Ses bénédictions abondantes. Dieu ne me jugera ni ne me châtiera, et Il n’a pas non plus le cœur de le faire. » Est-ce juste un vœu pieux et incorrect ? (Oui.) En quoi est-ce mal ? Ce qui ne va pas ici, c’est que tu ne te considères pas comme un être créé, comme un membre de l’humanité créée. Tu te détaches par erreur de l’humanité créée et tu te considères comme appartenant à un groupe spécial ou à un type spécial d’être créé, te conférant un statut spécial. N’est-ce pas arrogant et présomptueux ? N’est-ce pas déraisonnable ? S’agit-il là d’une personne qui se soumet vraiment à Dieu ? (Non.) Absolument pas.

Dans la maison de Dieu, parmi les frères et sœurs, aussi élevé que soit ton statut ou aussi bonne que soit ta renommée, et quels que soient l’importance de ton devoir, l’ampleur de ton talent et de tes contributions, et le temps depuis lequel tu crois en Dieu, aux yeux de Dieu tu es un être créé, un être créé ordinaire, et les nobles titres et appellations que tu t’es attribués n’existent pas. Si tu les considères toujours comme des couronnes, ou comme un capital qui te permet d’appartenir à un groupe spécial ou d’être un personnage spécial, alors en faisant cela, tu résistes aux points de vue de Dieu, tu es en conflit avec eux et tu es incompatible avec Dieu. Quelles en seront les conséquences ? Cela t’amènera-t-il à résister aux devoirs qu’un être créé devrait accomplir ? Aux yeux de Dieu, tu n’es qu’un être créé, mais tu ne te considères pas comme tel. Peux-tu vraiment te soumettre à Dieu avec un tel état d’esprit ? Tu penses toujours, avec espoir : « Dieu ne devrait pas me traiter comme cela, Il ne pourrait jamais me traiter ainsi. » Cela ne crée-t-il pas un conflit avec Dieu ? Lorsque Dieu agira en contradiction avec tes notions, ta mentalité et tes besoins, que penseras-tu dans ton cœur ? Comment feras-tu face aux environnements que Dieu a arrangés pour toi ? Te soumettras-tu ? (Non.) Tu ne te soumettras pas et assurément, tu résisteras, tu t’opposeras, tu râleras et tu te plaindras, t’interrogeant dans ton cœur, encore et encore, en pensant : « Mais Dieu me protégeait et me traitait avec grâce. Pourquoi a-t-Il changé maintenant ? Je ne peux plus vivre ! » Alors tu commenceras à être irritable et à faire des tiennes. Si, à la maison, tu te comportais ainsi envers tes parents, ce serait excusable et ils ne te feraient rien. Mais ce n’est pas acceptable dans la maison de Dieu. Parce que tu es adulte et croyant, même les autres ne toléreront pas tes bêtises. Penses-tu que Dieu tolérerait un tel comportement ? Approuvera-t-Il que tu Lui fasses cela ? Non, Il ne l’approuvera pas. Pourquoi ne l’approuvera-t-Il pas ? Dieu n’est pas ton parent, Il est Dieu, Il est le Créateur, et le Créateur ne permettrait jamais à un être créé d’être irritable et déraisonnable, ou de piquer des crises de colère devant Lui. Quand Dieu te châtie et te juge, qu’Il t’éprouve ou t’ôte quelque chose, quand Il te place dans l’adversité, Il veut voir l’attitude d’un être créé dans la façon dont cet être créé traite le Créateur, Il veut voir quel genre de chemin un être créé choisit et Il ne te permettra jamais d’être irritable et déraisonnable, ni de débiter des justifications absurdes. En comprenant ces choses, les gens ne devraient-ils pas réfléchir à la manière dont ils doivent faire face à tout ce que fait le Créateur ? Tout d’abord, les gens doivent assumer leur juste place en tant qu’êtres créés et reconnaître leur identité en tant qu’êtres créés. Peux-tu reconnaître que tu es un être créé ? Si tu peux le reconnaître, alors tu dois assumer ta juste place en tant qu’être créé et te soumettre aux arrangements du Créateur, et même si tu souffres un peu, tu le fais sans te plaindre. Voilà ce que signifie être quelqu’un de sensé. Si tu ne penses pas être un être créé, mais que tu estimes que tu as des titres et une auréole au-dessus de ta tête et que tu es une personne de statut, un grand dirigeant, un grand chef d’orchestre, un grand éditeur ou un grand réalisateur dans la maison de Dieu, et que tu es quelqu’un qui a apporté une digne contribution au travail de la famille de Dieu, si c’est ce que tu penses, alors tu es une personne des plus déraisonnables et effrontément éhontée. Êtes-vous des personnes ayant un statut, une position distinguée et une valeur ? (Nous ne le sommes pas.) Alors qu’es-tu ? (Je suis un être créé.) C’est exact, tu n’es qu’un être créé ordinaire. Parmi les gens, tu peux étaler tes qualifications, jouer la carte de l’ancienneté, te vanter de tes contributions ou parler de tes exploits héroïques. Mais devant Dieu, ces choses n’existent pas et tu ne dois jamais en parler, ni les afficher, ni prendre des airs de vieux briscard. Les choses iront de travers si tu fais l’étalage de tes qualifications. Dieu te considérera comme totalement déraisonnable et arrogant à l’extrême. Tu Le répugneras et Le dégoûteras, Il te mettra à l’écart et tu auras alors des ennuis. Tu dois d’abord reconnaître ton identité et ta position en tant qu’être créé. Quels que soient ton statut parmi les autres, ta position distinguée, les avantages dont tu bénéficies ou le talent spécial, de quelque sorte qu’il soit, que Dieu a pu te donner afin que tu puisses jouir d’un ample sentiment de supériorité parmi les hommes, lorsque tu te présentes devant Dieu, ces choses n’ont aucune valeur et aucune signification. Par conséquent, tu ne dois pas te vanter, mais plutôt être un être créé docile devant Dieu. Devant Dieu, tu n’es qu’un membre de l’humanité créée. Tu auras beau être réputé, doué ou talentueux, et quelle que soit l’importance de ce que tu entreprendras parmi les gens, devant Dieu ces choses ne valent pas la peine d’être mentionnées, encore moins d’être affichées, et tu dois simplement assumer ta juste place en tant qu’être créé. C’est la première chose. La deuxième chose est de ne pas chercher uniquement à profiter de la grâce et des bénédictions de Dieu tout en résistant au châtiment et au jugement de Dieu et en les rejetant intérieurement, ou en craignant les épreuves et l’épurement que Dieu te réserve. Ces peurs et cette résistance sont vaines. Certains disent : « Si je suis prêt à accepter le jugement, le châtiment, les épreuves et l’épurement de Dieu, peut-on alors m’épargner ces souffrances ? » Dieu ne fait pas toutes ces choses selon qu’elles te plaisent ou non, ou selon ton désir subjectif ou ton choix, mais selon Sa volonté, Ses pensées et Ses plans. Par conséquent, en tant qu’être créé, en plus d’accepter la grâce et les bénédictions de Dieu, tu dois également être capable d’accepter et d’expérimenter véritablement dans ton cœur le châtiment, le jugement, les épreuves et l’épurement des paroles de Dieu. Il y a des gens qui demanderont : « Veux-Tu dire que la grâce de Dieu peut être accordée aux gens n’importe où et à n’importe quel moment, mais que le châtiment, le jugement, les épreuves, l’épurement et les calamités de Dieu peuvent également s’abattre sur les gens n’importe où et à n’importe quel moment ? » Pensez-vous que le châtiment, le jugement, les épreuves et l’épurement de Dieu arriveraient aux gens de manière arbitraire, si bien qu’il leur serait impossible de les éviter ? (Non.) Absolument pas, ce n’est pas du tout le cas. Les êtres humains corrompus ne sont pas dignes du jugement et du châtiment de Dieu : c’est quelque chose dont tu devrais être conscient. Mais il faut que tu comprennes que le fait que Dieu te révèle et t’expose, te discipline, te réprimande et te châtie, ainsi que Son jugement, Ses épreuves et Son épurement, et même Sa malédiction, sont basés sur ta stature, sur tes circonstances et bien entendu sur tes poursuites personnelles. Si Dieu t’approuve, alors Son jugement, Son châtiment, Ses épreuves et Son épurement s’abattront sur toi au moment opportun. Au fil de ta croyance en Dieu, Ses bénédictions et Sa grâce t’accompagnent à tout moment et en tout lieu, tout comme Ses révélations, Ses réprimandes, Sa discipline, Son châtiment et Son jugement, Ses épreuves et Son épurement, etc. Bien sûr, en tout temps et en tout lieu signifie dans une juste mesure, au bon moment et selon le plan de Dieu. Cela n’arrive pas aux gens arbitrairement et cela ne signifie pas qu’une calamité majeure s’abattra soudainement sur les gens dès qu’ils cesseront d’être prudents. Il n’en va pas du tout ainsi. Si tu n’as pas une certaine stature et que Dieu n’a pas encore prévu de faire de toi quoi que ce soit, ne t’inquiète pas, il se pourrait que tu sois seulement accompagné par la grâce, la bénédiction et la présence de Dieu dans ta vie. Si tu n’as pas une stature suffisante ou si tu résistes particulièrement et que tu as peur du châtiment, du jugement, des épreuves et de l’épurement de Dieu, alors Dieu ne t’imposera pas des choses contre ta volonté et tu n’as donc pas à t’inquiéter à ce sujet. Que ces choses arrivent ou non, les gens doivent connaître l’œuvre de Dieu et comprendre Sa volonté. Ce n’est qu’avec une connaissance précise des paroles de Dieu que les gens peuvent avoir une attitude correcte et un état normal, et être capables de faire face correctement à tout ce qui leur arrive. Êtes-vous prêts désormais à accepter le châtiment, le jugement, les épreuves et l’épurement de Dieu ? Êtes-vous disposés à accepter ? (Nous le sommes.) Votre bouche dit oui, mais vous avez très peur dans votre cœur. Si, juste après que tu as dit oui, une calamité s’abattait soudainement sur toi à l’improviste, comment ferais-tu face à cela ? Fondrais-tu en larmes ? Aurais-tu peur de la mort ? Craindrais-tu de ne pas être béni ? T’inquièterais-tu de ne pas pouvoir voir le jour où Dieu sera glorifié ? Ce sont là autant de problèmes auxquels les gens sont confrontés lorsqu’il leur arrive des choses. En bref, si l’on souhaite rester ferme au milieu des épreuves et des tribulations, on doit posséder deux choses. Premièrement, assume ta juste place en tant qu’être créé. Tu dois clairement reconnaître au fond de toi que tu es un être créé ordinaire, une personne ordinaire parmi l’humanité corrompue, rien d’extraordinaire ni de spécial, et tu dois assumer ta juste place en tant qu’être créé. Deuxièmement, aie un cœur sincère qui se soumet à Dieu et sois prêt à tout moment à accepter les bénédictions et la grâce de Dieu, ainsi que le châtiment, le jugement, les épreuves et l’épurement de Sa part. Comme Job l’a dit : « Nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! » (Job 2:10), et « L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! » (Job 1:21). C’est un fait, et c’est un fait qui ne changera jamais. Tu comprends, n’est-ce pas ? (Oui.) Si tu possèdes ces deux choses, tu seras fondamentalement capable de rester ferme et de traverser les calamités et les tribulations générales. Tu ne seras peut-être pas en mesure de porter un témoignage fort et retentissant, mais, à tout le moins, il sera peu probable que tu t’égares, que tu trébuches ou que tu fasses quelque chose de traître. Ne seras-tu pas alors en sécurité ? (Si.) Ensuite, vous devrez pratiquer selon ces deux choses et voir s’il est facile d’y parvenir, et si vous pouvez les accepter au plus profond de votre cœur. Une fois que vous connaîtrez ces choses, lorsque vous rencontrerez des épreuves, à quel point vous les verrez et les comprendrez différemment sera votre propre affaire. Ici se termine notre échange sur ce sujet.

En ce qui concerne les dictons sur la conduite morale dans la culture traditionnelle, sur quels dictons avons-nous échangé la dernière fois ? (Nous avons échangé sur trois dictons : « La gentillesse d’une goutte d’eau devrait être récompensée par une source jaillissante », « N’impose pas aux autres ce que tu ne désires pas toi-même » et « Je prendrais une balle pour un ami ».) La dernière fois, nous avons échangé sur ces trois exigences et dictons sur la conduite morale, ainsi que sur l’essence des dictons sur la conduite morale. Sur quoi avons-nous échangé concernant l’essence des dictons sur la conduite morale ? (Dieu a parlé des différences entre les dictons sur la conduite morale et la vérité. Les dictons sur la conduite morale ne font que restreindre le comportement des gens et les obligent à se conformer uniquement aux règles, alors que la vérité des paroles de Dieu indique aux gens les vérités-principes qu’ils doivent comprendre et elle leur indique des chemins de pratique, afin qu’ils aient des principes et une direction dans leur pratique chaque fois qu’il leur arrive quelque chose. Ce sont les aspects dans lesquels les paroles sur la conduite morale diffèrent de la vérité.) La dernière fois, nous avons échangé sur le fait que les dictons sur la conduite morale exigent principalement que les gens respectent certaines pratiques et règles, et sur le fait que ces dictons mettent davantage l’accent sur l’utilisation de règles pour restreindre le comportement des gens. Alors que les exigences de Dieu vis-à-vis des gens leur indiquent principalement des chemins de pratique en fonction de ce que l’humanité normale peut accomplir, et ces chemins de pratique de grande envergure sont appelés des principes. Cela signifie que, chaque fois qu’il t’arrive un problème, Dieu t’indiquera le chemin de pratique précis et positif, ainsi que les principes, les objectifs et la direction de ta pratique. Il ne veut pas que tu respectes des règles, mais que tu adhères à ces principes. De cette façon, les gens vivent la vérité-réalité et le chemin qu’ils empruntent sera correct. Aujourd’hui, voyons plus avant quels autres problèmes de nature essentielle posent les dictons sur la conduite morale. De nombreux dictons sur la conduite morale non seulement limitent les pensées des gens, mais confondent et engourdissent également leur réflexion. En même temps, il y a des dictons plus radicaux qui coûtent la vie aux gens. Par exemple, le dicton sinistre de notre dernier échange : « Je prendrais une balle pour un ami ». Non seulement ce dicton contrôle et confine les pensées des gens, mais il leur coûte également la vie en les rendant à la fois incapables de chérir leur propre vie, mais aussi enclins à donner impétueusement leur vie pour des raisons arbitraires, de manière impulsive et négligente. N’est-ce pas coûter la vie aux gens ? (Si.) Avant même que les gens aient compris ce qu’est la vie et qu’ils aient trouvé le bon chemin dans la vie, ils l’abandonnent arbitrairement pour un soi-disant ami, en échange de la moindre gentillesse, et ils considèrent leur propre vie comme étant extrêmement vile et sans valeur. C’est la conséquence d’un type de pensée que la culture traditionnelle enseigne aux gens. Si l’on se penche sur la manière dont les dictons sur la conduite morale peuvent confiner les pensées des gens, il n’y a rien de positif à leur sujet, et si l’on regarde comment ces dictons coûtent arbitrairement la vie aux gens, ils n’ont assurément aucun effet positif sur eux et ne leur apportent aucun avantage. De plus, les gens sont trompés et engourdis par ces idées. Au nom de leur vanité et de leur orgueil, et pour ne pas être condamnés par l’opinion publique, ils sont contraints d’agir selon les exigences d’une conduite morale. Les gens sont déjà complètement entravés, contraints et enchaînés par ces divers dictons et idées sur la conduite morale, ce qui ne leur laisse pas d’autre choix. L’humanité est prête à vivre sous les chaînes des dictons sur la conduite morale et n’a pas le libre choix, uniquement dans le but de mener une vie plus respectable, de bien paraître devant les autres, d’être tenue en haute estime et d’obtenir des commentaires favorables des gens, ainsi que d’éviter d’être la cible de médisances et pour faire honneur à sa famille. Quand on examine ces idées et points de vue des gens, ainsi que ces phénomènes qui font que les gens sont contrôlés par des dictons sur la conduite morale, même si, dans une certaine mesure, de tels dictons restreignent et contraignent le comportement humain, ils cachent, dans une large mesure, le fait que Satan corrompt les gens et que les gens ont des tempéraments corrompus et des natures sataniques. Ces dictons utilisent un comportement apparent pour masquer les gens, afin qu’ils mènent en apparence une vie respectable, cultivée, élégante, bienveillante, distinguée et honorable. Par conséquent, les autres peuvent déterminer quel genre de personne ils sont – s’ils sont honorables ou humbles, bons ou mauvais – uniquement d’après leur comportement apparent. Dans de telles circonstances, tout le monde jauge et juge si quelqu’un est bon ou mauvais sur la base des diverses exigences en matière de conduite morale, mais personne ne peut percer à jour la conduite morale superficielle des gens jusqu’à leur essence corrompue, ni voir clairement tout le caractère insidieux et toute la méchanceté que cache le vernis de la conduite morale. Ainsi, les gens utilisent la conduite morale comme un voile pour dissimuler davantage leur essence corrompue. Par exemple, une femme est en apparence vertueuse, gentille, douce et d’une grande moralité, recevant les louanges et l’admiration des gens qui l’entourent. Elle se comporte correctement, a de bonnes manières, fait particulièrement preuve de patience dans ses interactions avec les autres, ne garde pas de rancune, se montre prévenante avec ses parents, est aux petits soins pour son mari et élève ses enfants, peut endurer les épreuves et est considérée comme un modèle pour les autres femmes. Aucun problème ne peut être détecté d’après son apparence extérieure, mais personne ne sait à quoi ni comment elle pense au fond d’elle-même. Elle ne dit jamais quels sont ses désirs et ses ambitions, elle n’ose pas non plus le dire. Pourquoi n’ose-t-elle pas le dire ? Parce qu’elle veut se comporter comme une femme vertueuse, gentille, douce et d’une grande moralité. Si elle s’ouvre vraiment et expose son cœur et sa laideur, alors elle ne pourra pas être une femme vertueuse, gentille, douce et d’une grande moralité, et elle sera même critiquée et méprisée par les autres. Elle ne peut donc que se dissimuler sous une apparence trompeuse. Se dissimuler derrière ce comportement apparent qui consiste à se montrer vertueuse, gentille, douce et d’une grande moralité signifie que les gens ne voient que ses bonnes actions et la louent, et ainsi elle a atteint son objectif. Mais quelle que soit la manière dont elle se déguise et trompe les autres, est-elle vraiment aussi bonne que ce pour quoi les gens la font passer ? Absolument pas. A-t-elle réellement un tempérament corrompu ? A-t-elle l’essence de la corruption ? Est-elle malhonnête ? Arrogante ? Intransigeante ? Malfaisante ? (Oui.) Elle est certainement tout cela, mais ces choses sont toutes cachées, c’est un fait. Certains personnages historiques chinois sont vénérés comme des saints et des sages antiques. Sur quoi se fonde cette assertion ? Ils sont loués en tant que saints et sages uniquement sur la base de quelques archives et légendes limitées et sans fondement. Le fait est que personne ne sait exactement quelles étaient leurs actions et leur conduite sous-jacentes. Avez-vous une compréhension approfondie de ces problèmes, maintenant ? Certains d’entre vous devraient avoir une compréhension quelque peu approfondie, car vous avez écouté de nombreux sermons et vu très clairement l’essence et la vérité de la corruption humaine. Tant que les gens comprennent certaines vérités, ils sont capables de gagner une compréhension approfondie de certaines personnes, de certains sujets et de certaines choses. Une femme vertueuse, gentille, douce et d’une grande moralité – aussi exemplaires que soient son comportement apparent et sa conduite morale, et quelle que soit la manière dont elle se déguise et se donne une apparence trompeuse – révélera-t-elle son tempérament arrogant ? (Oui.) Absolument. Alors a-t-elle un tempérament intransigeant ? (Oui.) Elle pense qu’elle a raison et elle a le sentiment qu’elle est vertueuse, gentille, douce et d’une grande moralité, et qu’elle est une bonne personne, ce qui prouve qu’elle est très suffisante et aussi très intransigeante. Le fait est qu’au fond d’elle-même, elle reconnaît sa vraie personnalité et ses défauts, mais elle peut tout de même claironner ses propres vertus. N’est-ce pas de l’intransigeance ? N’est-ce pas de l’arrogance ? De plus, qu’elle prétende être une personne vertueuse, gentille, douce et d’une grande moralité est entièrement destiné à laisser derrière elle une bonne réputation et à faire honneur à sa famille. De telles pensées et poursuites ne sont-elles pas grotesques et malfaisantes ? Elle est complimentée et gagne une bonne réputation, mais au fond d’elle-même, elle cache constamment ses intentions, ses pensées et les choses honteuses qu’elle a faites, et elle n’en dit rien à personne. Elle a peur que les gens fassent des commentaires sur elle, qu’ils la jugent et la rejettent après l’avoir percée à jour. De quel tempérament s’agit-il ? N’est-ce pas de la malhonnêteté ? (Si.) Donc, son comportement apparent a beau être convenable et respectable et sa conduite morale honorable, son tempérament corrompu existe bel et bien, c’est juste que les incroyants qui n’ont jamais entendu les paroles de Dieu et ne comprennent pas la vérité ne peuvent pas le percevoir ni le savoir. Elle peut être capable de tromper les incroyants, mais elle ne peut pas tromper ceux qui croient en Dieu et qui comprennent la vérité. N’est-ce pas ? (En effet.) C’est parce qu’elle a été soumise à la corruption de Satan et qu’elle a un tempérament corrompu et une essence corrompue. C’est un fait. Aussi exemplaire que puisse être sa conduite morale et aussi élevée que puisse être la norme qu’elle atteint, le fait qu’elle a un tempérament corrompu est indéniable et immuable. Une fois que les gens comprendront la vérité, ils pourront la discerner pour ce qu’elle est. Cependant, Satan exploite ces dictons sur la conduite morale pour tromper les êtres humains, et bien sûr aussi pour engourdir et confiner leurs pensées, leur faisant croire à tort que s’ils satisfont à ces exigences et à ces normes de conduite morale, ils sont de bonnes personnes et suivent le bon chemin. En fait, c’est le contraire qui est vrai. Même si certains manifestent de bons comportements qui sont conformes aux dictons sur la conduite morale, ils ne se sont pas engagés sur le bon chemin dans la vie. Au lieu de cela, ils se sont engagés sur le mauvais chemin et vivent dans le péché. Ils se sont engagés sur le chemin de l’hypocrisie et sont tombés dans le filet de Satan. C’est parce que les tempéraments corrompus et l’essence corrompue des êtres humains ne seront pas changés le moins du monde uniquement du fait de la bonne conduite morale de ces êtres humains. La conduite morale apparente n’est qu’une décoration, c’est juste pour la galerie, et la vraie nature et le vrai tempérament des êtres humains seront malgré tout révélés. Satan entreprend de restreindre et de contrôler les gens par le biais de leur comportement et de leur apparence extérieure, les obligeant à se déguiser et à se mettre en valeur au moyen d’un bon comportement, tout en utilisant en même temps le bon comportement des gens pour dissimuler le fait que Satan a corrompu l’humanité et bien sûr, pour dissimuler également le fait que les gens ont des tempéraments corrompus. Le but de Satan est, en un sens, de soumettre les gens au contrôle de ces dictons sur la conduite morale, afin de leur faire faire plus de bonnes actions et moins de mauvaises actions, et certainement pas des choses qui s’opposent à la classe dirigeante. Cela profite encore plus à la domination et au contrôle que la classe dirigeante exerce sur l’humanité. Dans un autre sens, quand les êtres humains acceptent ces dictons sur la conduite morale comme base théorique de leur comportement et de leurs actes, ils ont tendance à s’éloigner de la vérité et des choses positives, et à leur résister. Bien sûr, quand il s’agit des paroles prononcées par Dieu et des choses positives ou des vérités que Dieu enseigne aux gens, il leur devient alors difficile de comprendre et d’appréhender, ou bien ils peuvent se mettre à avoir toutes sortes de résistances et de notions. Une fois que les gens sont en possession de ces idées sur la conduite morale, il leur devient plus difficile d’accepter les paroles de Dieu et la vérité, et bien sûr, il leur devient également plus difficile de comprendre les tempéraments corrompus et de les changer. Par conséquent, tous les différents dictons et toutes les différentes idées sur la conduite morale ont considérablement entravé l’acceptation et la compréhension des paroles de Dieu par les gens, et bien sûr, ils ont également affecté la mesure dans laquelle les gens acceptent la vérité. Satan emploie cette méthode d’endoctrinement des gens avec des dictons sur la conduite morale pour leur faire trouver toutes sortes d’idées et de points de vue inappropriés et négatifs, afin qu’ils voient les gens et les choses, et qu’ils se comportent et agissent en fonction de ces idées et points de vue. Lorsque les gens adoptent les idées qui se trouvent derrière ces dictons sur la conduite morale comme base théorique et comme norme pour leurs opinions sur les gens et les choses, et pour leur comportement et leurs actes, non seulement leurs tempéraments corrompus ne peuvent pas être atténués ou changés, mais au contraire, dans une certaine mesure, ils s’aggraveront, et leur désobéissance et leur résistance à Dieu deviendront encore pires. Par conséquent, lorsque Dieu sauve les gens, lorsque les paroles de Dieu leur sont transmises, le plus grand obstacle n’est pas leur tempérament corrompu, mais les diverses philosophies sataniques, les dictons sur la conduite morale et les diverses idées et opinions sataniques qui viennent de Satan. C’est une conséquence de la corruption de l’humanité par Satan et c’est aussi l’impact négatif que les divers dictons concernant la conduite morale ont sur les humains corrompus. C’est le véritable objectif que Satan veut atteindre en prêchant et en préconisant des dictons sur la conduite morale.

Lors de notre dernière réunion, nous avons principalement échangé sur trois dictons sur la conduite morale, à savoir : « La gentillesse d’une goutte d’eau devrait être récompensée par une source jaillissante », « N’impose pas aux autres ce que tu ne désires pas toi-même » et « Je prendrais une balle pour un ami ». Aujourd’hui, nous allons échanger sur ce dicton : « On ne devrait jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force ». Ce dicton sur la conduite morale est également apparu au sein de l’humanité, issu des idées et des opinions d’êtres humains corrompus. Bien sûr, il provient plus précisément de la corruption et de la tromperie de l’humanité par Satan. Il a le même effet et la même nature que les dictons sur la conduite morale à propos desquels nous avons échangé précédemment, bien qu’avec une approche différente. Ce sont des déclarations tout aussi audacieuses et grandioses, vraiment ferventes, passionnées et héroïques. Si les gens n’avaient jamais entendu les paroles de Dieu et ne comprenaient pas la vérité, ils auraient l’impression que ces déclarations sont très émouvantes et qu’elles procurent des émotions. Après avoir entendu ces mots, ils seraient instantanément renforcés et serreraient les poings. Ils ne seraient pas capables de rester assis plus longtemps ni de contenir leur humeur d’excitation intérieure et sentiraient que c’est de cela qu’il s’agit dans la culture chinoise et l’esprit des dragons. Est-ce que vous éprouvez encore ce sentiment, maintenant ? (Non.) Que ressentez-vous en entendant ces mots, désormais ? (Maintenant, j’ai le sentiment qu’ils ne sont ni bons ni positifs.) Pourquoi ressentez-vous les choses différemment, à présent ? Est-ce parce qu’une fois que les gens vieillissent et qu’ils ont traversé beaucoup de souffrances, ils perdent leur vigueur juvénile et impétueuse ? Ou est-ce parce qu’une fois que les gens ont compris certaines vérités, ils peuvent discerner que ces dictons sur la conduite morale sont trop creux, irréalistes et inutiles ? (C’est principalement que ces dictons ne s’accordent pas avec la vérité et qu’ils ne sont pas pratiques.) En effet, ces dictons sur la conduite morale sont trop creux et irréalistes. Donc, pour ce qui est du dicton sur la conduite morale « On ne devrait jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force », analysons et disséquons en quoi il pose problème, en considérant les principes sur lesquels nous avons précédemment échangé, afin d’exposer spécifiquement l’absurdité de ce dicton et les fourbes manigances de Satan qui s’y cachent. Savez-vous comment le disséquer ? Parlez-Moi du sens exact de cette phrase. (Il s’agit des trois critères proposés par Mencius pour devenir un homme viril. L’interprétation moderne est celle-ci : la gloire et la richesse ne doivent pas perturber la détermination de quelqu’un, la pauvreté et les circonstances modestes ne doivent pas changer sa forte volonté, et les menaces du pouvoir et la violence ne doivent pas le faire se soumettre.) Le dicton sur la conduite morale que nous avons mentionné précédemment, « Une femme doit être vertueuse, gentille, douce et d’une grande moralité », s’adresse aux femmes, mais celui-ci s’adresse évidemment aux hommes. Qu’il s’agisse d’une vie de gloire et de richesses, ou de circonstances appauvries, ou d’être confronté au pouvoir et à la violence, des exigences s’imposent aux hommes dans toutes sortes d’environnements. Combien d’exigences sont imposées aux hommes, au total ? On demande aux hommes d’avoir une forte volonté, une détermination inflexible et d’être inébranlables face au pouvoir et à la violence. Demandez-vous si ces exigences qui sont avancées tiennent compte de l’humanité normale et si elles tiennent compte des environnements réels dans lesquels les gens vivent. En d’autres termes, demandez-vous si ces exigences imposées aux hommes sont creuses et irréalistes. Les exigences de la culture traditionnelle en ce qui concerne la conduite morale des femmes sont qu’une femme doit être vertueuse, gentille, douce et d’une grande moralité. « Vertueuse » signifie posséder des vertus féminines, « gentille » signifie avoir bon cœur, « douce » signifie être une femme de qualité, et « d’une grande moralité » signifie être une personne douée de moralité et avoir une bonne conduite morale. Chacune de ces exigences est vraiment modérée. Les hommes n’ont pas besoin d’être vertueux, gentils, doux et d’une grande moralité, tandis que les femmes n’ont pas besoin d’avoir une forte volonté et une détermination inflexible, et peuvent céder chaque fois qu’elles sont confrontées au pouvoir et à la violence. C’est-à-dire que cette exigence concernant la conduite morale, « On ne devrait jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force », laisse une marge de manœuvre suffisante aux femmes, dans la mesure où elle est particulièrement tolérante et prévenante à leur égard. Quel est le sens de cette tolérance et de cette prévenance ? Peut-on les comprendre différemment ? (Il s’agit d’une forme de discrimination.) Je le pense aussi. Le fait est qu’il s’agit de discrimination à l’égard des femmes, c’est la croyance que les femmes n’ont pas une forte volonté, qu’elles sont lâches, que ce sont des personnes craintives et qu’on se contente d’attendre d’elles qu’elles portent des enfants, qu’elles soient aux petits soins pour leur mari et qu’elles élèvent leurs enfants, qu’elles s’occupent des tâches ménagères, qu’elles ne se querellent pas avec les autres et qu’elles ne se livrent pas à des commérages. Il serait impossible de leur demander de faire carrière et d’avoir une forte volonté, elles en sont incapables. Donc, considérées d’un autre point de vue, ces exigences imposées aux femmes sont purement et simplement discriminatoires et dégradantes. Ce dicton sur la conduite morale, « On ne devrait jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force », s’adresse aux hommes. Il exige des hommes une forte volonté et une détermination irrépressible, ainsi qu’un esprit viril qui ne cède pas face au pouvoir et à la violence. Cette exigence est-elle correcte ? Est-elle raisonnable ? Ces exigences envers les hommes montrent que la personne qui a proposé ce dicton sur la conduite morale a une haute opinion des hommes, car ses exigences envers les hommes sont plus élevées que celles envers les femmes. Cela peut être compris comme signifiant que, compte tenu à la fois de l’essence de leur genre, de leur statut social et de leurs instincts masculins, les hommes devraient être au-dessus des femmes. Ce dicton sur la conduite morale a-t-il été formulé dans cette perspective ? (Oui.) De toute évidence, c’est le produit d’une société dans laquelle les hommes et les femmes sont inégaux. Dans cette société, les hommes continuent à discriminer et rabaisser les femmes, à réduire le champ de la vie des femmes, à ignorer la valeur de l’existence des femmes, à exagérer constamment leur propre valeur, à améliorer leur propre statut social et à laisser leurs propres droits l’emporter sur ceux des femmes. Quels en sont les effets et les conséquences dans la société ? Cette société est gouvernée et dominée par les hommes. C’est une société patriarcale, dans laquelle les femmes doivent être soumises à la direction, à la répression et au contrôle des hommes. Dans le même temps, les hommes peuvent s’engager dans n’importe quel type de travail, alors que l’éventail des professions que les femmes peuvent exercer doit être réduit et restreint. Les hommes doivent jouir pleinement de tous les droits dans la société, alors que l’étendue des droits dont jouissent les femmes est résolument limitée. Les tâches que les hommes ne veulent pas faire ou qu’ils ne choisissent pas de faire, ou pour lesquelles ils seraient discriminés s’ils les faisaient, peuvent être laissées aux femmes. Par exemple, faire la lessive, la cuisine, travailler dans des industries de service et exercer certaines professions aux revenus assez faibles et au statut social assez bas, ou qui font l’objet de discriminations, est réservé aux femmes. En d’autres termes, les hommes peuvent jouir pleinement de leurs droits en tant qu’hommes, en termes de choix de profession et de statut social, et jouir des droits particuliers que la société accorde aux hommes. Dans une telle société, les hommes passent en premier, tandis que les femmes sont de seconde classe, au point même qu’elles n’ont absolument aucune latitude pour faire des choix, ni même le droit de choisir. Elles ne peuvent qu’attendre passivement d’être choisies et en fin de compte, elles sont chassées et rejetées par cette société. Par conséquent, les exigences de cette société envers les femmes sont relativement modérées, alors que les exigences envers les hommes sont relativement strictes et dures. Cependant, que ces exigences s’adressent aux hommes ou aux femmes, la motivation et l’objectif, en proposant ces exigences de conduite morale, sont de faire en sorte que les gens servent mieux la société, la nation, le pays, et bien sûr, en fin de compte, la classe dirigeante et les dirigeants. Il est facile de voir à partir de ce dicton « On ne devrait jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force » que la personne qui a proposé cette exigence de conduite morale a un parti pris contre les hommes. Aux yeux de cette personne, les hommes doivent avoir une forte volonté, une détermination inébranlable et un esprit qui ne cède pas face au pouvoir et à la violence. À partir de ces exigences, pouvez-vous voir quel était le but de la personne qui a proposé ce dicton ? Il s’agissait de rendre les hommes utiles et les hommes déterminés de cette société plus aptes à servir la société, la nation et le pays, de les rendre finalement capables de mieux servir ceux au pouvoir, et de mettre à profit la valeur et la fonction des hommes dans cette société. Seuls de tels hommes peuvent être qualifiés de virils. Si les hommes ne satisfont pas à ces exigences, alors aux yeux de ces moralistes et dirigeants, ils ne sont pas qualifiés de virils, mais ne peuvent être qualifiés que de gens médiocres et de parias, et ils sont discriminés. C’est-à-dire que si un homme n’a pas une forte volonté, une détermination inébranlable et un esprit qui ne cède pas face au pouvoir et à la violence, comme ils l’exigent, mais qu’il est juste une personne ordinaire, médiocre, sans réalisations, et qu’il ne peut vivre que sa propre vie, qu’il ne peut pas apporter sa valeur à la société, à la nation et au pays, et qu’il ne peut pas être affecté à un poste important par les dirigeants, le pays ou la nation, alors une telle personne ne sera pas acceptée et estimée par la société, et elle ne sera pas non plus estimée par ceux qui sont au pouvoir, et elle sera considérée par les dirigeants ou par ces moralistes comme une personne médiocre, un paria et un dégénéré parmi les hommes. N’est-ce pas le cas ? (Si.) Êtes-vous d’accord avec ce dicton ? Ce dicton est-il approprié ? Est-il juste pour les hommes ? (Non, il est injuste.) Les hommes doivent-ils jeter leur dévolu sur le monde entier, le pays et sur de grandes entreprises au profit de la nation ? Ne peuvent-ils pas simplement être des hommes ordinaires et dévoués ? Ne peuvent-ils pas pleurer, se languir d’amour, avoir des motivations égoïstes de manière modeste, ou mener une vie simple en compagnie de leurs proches ? Doivent-ils avoir le monde en ligne de mire pour être décrits comme des hommes virils ? Doivent-ils être qualifiés de virils pour être considérés comme des hommes tout court ? Est-ce la définition de l’homme, que de devoir être viril ? (Non.) Ces idées sont une insulte aux hommes, elles équivalent à une attaque personnelle contre les hommes. Est-ce que quiconque parmi vous ressent la même chose ? (Oui.) Est-il acceptable, que les hommes n’aient pas une forte volonté ? Est-il acceptable, que les hommes n’aient pas une détermination inébranlable ? Lorsque les hommes se heurtent au pouvoir et à la violence, est-il acceptable qu’ils cèdent et recherchent des compromis pour survivre ? (Oui.) Est-il également acceptable que les hommes n’aient pas ce que les femmes n’ont pas ? Est-il acceptable que les hommes s’accordent un peu de répit en n’étant pas virils, et en étant simplement des hommes ordinaires ? (Oui.) De cette façon, les gens seront libérés, le chemin pour être un homme se trouvera élargi, les hommes ne seront pas aussi fatigués dans la vie et ils pourront vivre normalement.

Il y a encore bon nombre de pays où des idées de la culture traditionnelle telles que « On ne devrait jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force » confinent les hommes. Ces pays sont encore des sociétés patriarcales dans lesquelles les hommes mènent le jeu et règnent en maîtres, que ce soit au sein de la famille, de la société ou du pays dans son ensemble, et ont la priorité dans tous les domaines, ils l’emportent dans toutes les situations et ont un sentiment général de supériorité. En même temps, ces sociétés, nations et pays ont des exigences élevées envers les hommes, si bien que ces derniers subissent une grande pression et que cela entraîne de nombreuses conséquences néfastes. Certains hommes qui perdent leur emploi n’osent même pas le dire à leur famille. Jour après jour, ils chargent leur sac sur leur épaule et font semblant d’aller travailler, mais en réalité, ils vont traîner dans les rues. Parfois, ils rentrent tard le soir et mentent même aux membres de leur famille, en leur disant qu’ils ont fait des heures supplémentaires au bureau. Puis, le lendemain, ils continuent de faire semblant en retournant arpenter les rues. Ces idées de la culture traditionnelle, ainsi que les responsabilités sociales et le positionnement des hommes dans la société, sont une source de pression et même d’humiliation, et tout cela déforme également l’humanité des hommes, ce qui amène nombre d’entre eux à être agités, déprimés et souvent au bord de l’effondrement chaque fois qu’ils sont en proie à des difficultés. Pourquoi est-ce le cas ? Parce qu’ils pensent qu’ils sont des hommes, que les hommes doivent gagner de l’argent pour subvenir aux besoins de leur famille, qu’ils doivent assumer leurs responsabilités d’hommes, que les hommes ne doivent pas pleurer ni être tristes et qu’ils ne doivent pas être au chômage, mais qu’ils doivent être des piliers de société et l’épine dorsale de la famille. À l’instar de ce que disent les incroyants : « Les hommes ne versent pas facilement des larmes », un homme ne devrait pas avoir de faiblesses ni de défauts. Ces idées et opinions sont causées par le fait que les hommes sont catalogués à tort par les moralistes, ainsi que par le fait que ces moralistes élèvent continuellement le statut des hommes. Non seulement ces idées et points de vue soumettent les hommes à toutes sortes de troubles, de vexations et d’angoisses, mais ils deviennent également des entraves dans leur esprit, rendant leur position, leur situation et leurs rencontres dans la société de plus en plus embarrassantes. À mesure que la pression sur les hommes augmente, les effets négatifs de ces idées et points de vue sur les hommes augmentent également. Certains hommes se considèrent même comme de grands hommes à cause de la mauvaise interprétation du positionnement du sexe masculin dans la société, pensant que les hommes sont de grands hommes et les femmes de petites femmes, et que les hommes doivent donc diriger en toutes choses et être les maîtres de maison, et que lorsque les choses ne vont pas bien, ils peuvent se livrer à des violences domestiques sur les femmes. Ces problèmes sont tous liés à la façon dont le sexe masculin est catalogué à tort par l’humanité, n’est-ce pas ? (En effet.) Tu peux voir que dans la plupart des pays du monde, le statut social des hommes est supérieur à celui des femmes, en particulier au sein de la famille. Les hommes n’ont rien d’autre à faire que d’aller travailler et gagner de l’argent, tandis que les femmes font toutes les corvées ménagères et qu’elles ne peuvent pas argumenter ni se plaindre, qu’elles n’osent pas en parler aux autres, même si leurs tâches sont fatigantes et ardues. Dans quelle mesure le statut des femmes est-il inférieur ? Par exemple, les hommes peuvent choisir en premier la nourriture la plus savoureuse sur la table à manger, tandis que les femmes passent en second, et dans les livrets de famille, l’homme est mentionné comme le chef de famille et la femme comme un membre de la famille. Ne serait-ce que grâce à ces questions triviales, nous pouvons voir la disparité de statut entre les hommes et les femmes. La division du travail entre les hommes et les femmes est différente en raison des différences entre les sexes, mais n’est-il pas injuste que la disparité entre le statut des hommes et celui des femmes au sein de la famille soit aussi grande ? N’est-ce pas dû à l’éducation dans la culture traditionnelle ? Dans la société, non seulement les femmes pensent que les hommes sont plus distingués et plus nobles, mais même les hommes pensent qu’ils sont nobles et de haut rang par rapport aux femmes, parce que les hommes peuvent créer plus de valeur et mettre davantage leurs capacités à profit dans la société, la nation et le pays, alors que les femmes ne le peuvent pas. N’est-ce pas déformer les faits ? Comment une telle déformation des faits s’est-elle produite ? Est-ce directement lié à l’inculcation et à l’influence de l’éducation sociétale et de la culture traditionnelle ? (Oui.) C’est directement lié à l’éducation de la culture traditionnelle. Au sein de l’humanité, que ce soit dans la société réelle ou dans une nation ou un pays, quels que soient les problèmes aberrants qui apparaissent, ces problèmes sont tous causés par quelques idées fausses défendues par une poignée de sociologues ou de dirigeants, et ils sont directement liés aux idées fausses défendues par les dirigeants de la société, de la nation ou du pays. Si les idées et les opinions que ces derniers défendent sont très positives et proches de la vérité, alors il y aura relativement moins de problèmes au sein de l’humanité. Si les idées qu’ils défendent sont biaisées, dévoyées et qu’elles déforment l’humanité, alors de nombreuses choses aberrantes se produiront au sein de la société, d’un groupe ethnique ou d’un pays. Si les sociologues défendent les droits des hommes, valorisent les hommes et minimisent la valeur et la dignité des femmes, alors dans cette société, il y aura évidemment une énorme disparité entre le statut social des hommes et celui des femmes, disparité accompagnée de diverses inégalités, notamment en termes de métiers, de statut social et de protection sociale, ainsi qu’une énorme disparité dans le statut des sexes au sein de la famille et une division du travail complètement différente : tout cela est aberrant. L’émergence de ces problèmes aberrants est liée aux personnes qui défendent ces idées et points de vue, et elle est causée par ces politiciens et sociologues. Si l’humanité avait des points de vue corrects et des dictons corrects sur ces questions dès le départ, alors il y aurait une réduction relative de ces problèmes aberrants dans les différents pays ou nations.

À la lumière de ce sur quoi nous avons échangé tout à l’heure, quel devrait être le point de vue correct pour traiter les hommes ? Quels types de comportements, d’humanité, de poursuites et de statut social les hommes devraient-ils avoir pour être normaux ? Comment les hommes devraient-ils aborder leurs responsabilités sociales ? Outre les différences entre les sexes, devrait-il y avoir des différences entre les hommes et les femmes en termes de responsabilité sociale et de statut social ? (Non.) Alors, comment les hommes devraient-ils être traités d’une manière correcte, objective, humaine et conforme aux vérités-principes ? C’est précisément ce que nous devons comprendre dès maintenant. Parlons donc de la manière exacte dont les hommes doivent être traités. Faut-il différencier les responsabilités sociales des hommes et des femmes ? Les hommes et les femmes doivent-ils avoir un statut social égal ? Est-il juste d’élever indûment le statut des hommes et de minimiser les femmes ? (Non, c’est inéquitable.) Alors, comment exactement le statut social des hommes et des femmes devrait-il être traité de manière juste et rationnelle ? Quel est le principe pour cela ? (Les hommes et les femmes sont égaux et doivent être traités équitablement.) Le traitement équitable est la base théorique, mais comment devrait-il être mis en pratique d’une manière qui reflète l’équité et la rationalité ? Cela n’a-t-il pas quelque chose à voir avec des problèmes pratiques ? Tout d’abord, il faut déterminer que le statut des hommes et des femmes est égal, c’est incontestable. Par conséquent, la division sociale du travail entre hommes et femmes devrait également être égale et devrait être considérée et organisée en fonction de leur calibre et de leur capacité à accomplir le travail. Il doit y avoir égalité, notamment en matière de droits de l’homme, dans la mesure où les femmes doivent également bénéficier de ce dont peuvent bénéficier les hommes, afin de garantir l’égalité de statut entre les hommes et les femmes dans la société. Quiconque peut faire le travail ou quiconque est compétent pour être dirigeant devrait y être autorisé, qu’il soit homme ou femme. Que pensez-vous de ce principe ? (C’est bien.) Cela reflète l’égalité entre les hommes et les femmes. Par exemple, s’il y a deux hommes et deux femmes qui postulent pour un emploi de pompier, qui doit être embauché ? Traiter équitablement les gens constitue la base théorique et le principe. Alors, comment doit-on s’y prendre concrètement ? Comme Je viens de le dire, que celui qui est à la hauteur pour faire le travail le fasse, selon ses capacités et son calibre. Il suffit de faire un choix selon ce principe, en regardant qui, parmi ces candidats, est physiquement apte et n’est pas maladroit. La lutte contre les incendies consiste à agir rapidement en cas d’urgence. Si tu es trop maladroit, lent d’esprit et paresseux, comme une tortue ou une vieille vache, tu retarderas les choses. Après avoir vérifié les caractéristiques de chaque candidat en termes de calibre, d’aptitudes, d’expérience, de degré de compétence dans le travail de pompier, etc., la conclusion à laquelle on arrive est qu’un homme et une femme conviennent tout à fait. L’homme est grand, fort physiquement, il a de l’expérience dans la lutte contre les incendies et a participé à plusieurs opérations de lutte contre les incendies et de sauvetage. La femme est agile, elle a suivi une formation rigoureuse, connaît bien la lutte contre les incendies et les procédures de travail connexes, a du calibre et s’est distinguée dans d’autres emplois, et elle a reçu des prix. Donc, finalement, les deux candidats sont retenus. Est-ce légitime ? (Oui.) C’est ce qu’on appelle choisir le meilleur des meilleurs, sans favoriser quiconque. Lors de la sélection de ce type de personne, cela signifie ne pas avoir à l’esprit une règle selon laquelle il faut être un homme ou une femme : les hommes et les femmes sont tous pareils et quiconque est à la hauteur fera l’affaire. Par conséquent, au moment de décider de choisir un homme ou une femme pour faire quoi que ce soit, outre le principe primordial de traitement équitable, le principe spécifique à mettre en pratique est celui qui consiste à laisser faire le travail par quiconque est capable de le faire et est à la hauteur pour le faire, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme. En faisant cela, tu ne seras plus contraint ni lié par l’idée que « les hommes sont supérieurs aux femmes », et aucune idée dépassée n’affectera ton jugement ou ton choix à ce propos. De ton point de vue, quiconque est à la hauteur du travail devrait être autorisé à le faire, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme : n’est-ce pas là être juste ? D’abord et avant tout, lorsque tu traites une affaire, tu n’as aucun préjugé contre les hommes ou les femmes. Tu penses qu’il existe de nombreuses femmes exceptionnelles et talentueuses et tu connais un bon nombre de ces personnes. Par conséquent, ta perspicacité te convainc que la capacité des femmes à travailler n’est pas inférieure à celle des hommes et que la valeur que les femmes apportent à la société n’est pas inférieure à celle qu’apportent les hommes. Une fois que tu auras cette perspicacité et cette compréhension, tu porteras des jugements et tu feras des choix précis basés sur ce fait chaque fois que tu agiras à l’avenir. En d’autres termes, si tu ne favorises personne et que tu n’as aucun préjugé sexiste, alors ton humanité sera relativement normale à cet égard et tu pourras agir équitablement. Les interdits de la culture traditionnelle, dans le sens où les hommes sont considérés comme supérieurs aux femmes, seront levés, tes pensées ne seront plus confinées et tu ne seras plus influencé par cet aspect de la culture traditionnelle. En bref, quels que soient les courants de pensée et les conventions qui prévalent dans la société, tu auras déjà transcendé ces conventions, tu ne seras plus confiné et influencé par elles, et tu pourras faire face aux faits et à la vérité. Encore mieux que cela, bien sûr, tu pourras voir les gens et les choses, te comporter et agir conformément aux paroles de Dieu et aux vérités-principes, avec pour résultat que des idées et des points de vue tels que « les hommes doivent être virils alors que les femmes sont des personnes craintives » n’existeront pas en ce qui te concerne. Alors, tes pensées et tes points de vue sont-ils relativement progressistes parmi les êtres humains ? (Oui.) C’est un progrès, relativement parlant. Homme ou femme, vieux ou jeune, tout le monde peut être traité équitablement lorsqu’il vient à toi. C’est, en effet, édifier les gens plutôt que de leur faire du mal. Si tu t’accroches encore aux points de vue de la culture traditionnelle, en affirmant : « Depuis les temps anciens, les hommes ont un statut supérieur à celui des femmes et dans tous les milieux, il y a plus d’hommes remarquables et talentueux que de femmes remarquables et talentueuses. Par conséquent, on peut affirmer que les hommes sont plus forts que les femmes et que la valeur des hommes pour la société est supérieure à celle des femmes. Si la valeur des hommes pour la société est plus grande, leur statut social ne doit-il pas être plus élevé ? Par conséquent, dans cette société, les hommes doivent avoir le dernier mot et assumer une position dominante, tandis que les femmes doivent écouter les hommes et être réglementées et dirigées par eux », alors ce genre de pensée est trop arriéré et décadent, et n’est pas conforme aux vérités-principes le moins du monde. Si tu as de telles idées et de tels points de vue, tu ne peux que discriminer et réprimer les femmes et tu seras condamné et rejeté par les tendances sociales. L’égalité entre les hommes et les femmes est un point de vue juste, déjà universellement reconnu, et qui est tout à fait conforme à la volonté de Dieu. Les gens doivent être traités équitablement, les hommes ne doivent pas être admirés, les femmes ne doivent pas être méprisées, leur valeur ne doit pas être ignorée, pas plus que leur capacité de travail ou leur calibre ne doivent être ignorés. C’est déjà le consensus de base parmi la population informée de tous les pays. Si tes idées dominantes sont encore influencées par la culture traditionnelle et que tu as encore le sentiment que les hommes sont distingués, tandis que les femmes sont inférieures, alors chaque fois que tu agiras, ta vision et tes choix seront bien prédisposés envers le sexe masculin et tu offriras aux hommes relativement plus d’opportunités. Tu penseras que même si certains hommes sont un peu moins compétents, ils sont néanmoins plus forts que les femmes, et que les femmes ne peuvent pas égaler ni réaliser ce que les hommes peuvent faire. Si tu penses ainsi, ton point de vue sera biaisé, et ton jugement et tes décisions finales seront par conséquent biaisés en raison de ta façon de penser. Par exemple, en ce qui concerne la sélection des pompiers que nous venons d’évoquer, tu te poseras cette question : « Les femmes peuvent-elles grimper sur des échelles ? Jusqu’où les femmes peuvent-elles aller ? À quoi sert l’agilité chez une femme ? Même si elle a suivi un entraînement rigoureux, cela ne sert à rien du tout. » Mais ensuite, tu penseras à traiter les gens équitablement, alors tu sélectionneras finalement deux hommes et une femme. Le fait est qu’en choisissant une femme dans ce cas, tu agiras pour la forme et tu feras un geste symbolique pour apaiser la femme et épargner sa fierté. Que dire de cette façon de faire ? Non seulement tu sélectionnes ainsi les personnes, mais tu adoptes, lors de l’attribution du travail, un point de vue qui sous-estime la femme, allant jusqu’à lui confier des tâches subalternes et légères. Tu penses encore que tu as la touche humaine et que tu prends soin de la femme en lui accordant un traitement préférentiel et en la protégeant. Le fait est que du point de vue de la femme, tu as grandement nui à son amour-propre. De quelle façon lui as-tu nui ? Comme tu penses que les femmes sont faibles et vulnérables, que les femmes sont des personnes craintives et que les hommes sont virils, et que les femmes doivent donc être protégées. Comment sont nées ces idées ? Sont-elles dues à l’influence de la culture traditionnelle ? (Oui.) C’est là que réside la cause profonde. Quoi que tu dises sur le traitement équitable des gens, si l’on regarde tes actes, il est indéniable que tu es encore entravé et confiné par cette idée de la culture traditionnelle selon laquelle « les hommes sont supérieurs aux femmes ». Il ressort clairement de tes actes que tu ne t’es pas débarrassé de cette idée. Est-ce le cas ? (Oui.) Si tu veux te débarrasser de ces entraves, tu dois chercher la vérité, comprendre entièrement l’essence de ces idées et ne pas agir sous l’influence ou le contrôle de ces idées de la culture traditionnelle. Tu dois les abandonner et y renoncer une fois pour toutes, cesser de voir les gens et les choses, de te comporter et d’agir selon les idées et les points de vue de la culture traditionnelle, ne plus porter de jugements et ne plus faire de choix basés sur la culture traditionnelle. Au contraire, vois les gens et les choses, comporte-toi et agis conformément aux paroles de Dieu et aux vérités-principes. De cette façon, tu suivras le bon chemin et tu seras un véritable être créé approuvé par Dieu. Sinon, tu seras encore contrôlé par Satan, tu continueras à vivre sous le pouvoir de Satan et tu ne pourras pas vivre dans les paroles de Dieu : tels sont les faits.

Maintenant, comprenez-vous l’essence de ce dicton sur la conduite morale : « On ne devrait jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force » ? Et comprenez-vous également le contexte social dans lequel ce dicton a été avancé ? (Oui.) Afin d’améliorer le statut social des hommes et de leur accorder davantage de droits, il est nécessaire de leur imposer des exigences plus élevées, d’établir l’image des hommes dans l’esprit des gens et de façonner cette image en une image de virilité. C’est l’image véhiculée par le dicton « On ne devrait jamais être corrompu par la richesse, changé par la pauvreté ou soumis par la force » dont parlent les gens. Un aspect de ce que les moralistes qui ont proposé ce dicton sur la conduite morale disent aux gens, c’est que ceux qui sont à la hauteur de ce dicton sont de vrais hommes virils, ce qui signifie que ces moralistes donnent aux gens la définition d’un homme. Un autre aspect est qu’ils préconisent que les hommes s’affirment dans la société, qu’ils apparaissent ostensiblement comme étant non conformistes, qu’ils imposent fermement leur statut social et qu’ils exercent leur pouvoir sur le courant social dominant. Cette idée selon laquelle « les hommes sont supérieurs aux femmes » a persisté jusqu’à présent. Même si certains pays ou ethnies ont fait des progrès à cet égard, de telles idées occupent encore une place dominante dans de nombreux autres pays et nations, où elles contrôlent et dominent encore les tendances nationales et sociétales, et dominent la division du travail entre les hommes et les femmes dans la société, ainsi que leur statut social et leur valeur sociale, et même à ce jour, peu de choses ont changé. C’est-à-dire que dans de nombreux pays et nations, les femmes sont encore discriminées et exclues. C’est une chose bien lamentable et c’est la plus grande inégalité du monde. Le fait que les femmes soient discriminées et exclues, ou au contraire égales aux hommes, est un repère clair pour évaluer si un pays ou une nation est progressiste ou arriéré.

Tout à l’heure, nous avons échangé sur la manière dont les hommes et les femmes que Dieu a créés doivent être considérés et sur les opinions correctes que l’on doit avoir à leur égard. Les hommes comme les femmes ont une humanité normale et possèdent une conscience et une raison humaines normales : ces choses sont partagées par les hommes comme par les femmes. À l’exception des différences entre les sexes, les hommes et les femmes sont essentiellement équivalents en termes de pensée, d’instinct, de réaction à divers problèmes, de calibre et de capacités, et selon d’autres types d’aspects. On ne peut pas dire qu’ils soient exactement semblables, mais pour l’essentiel, ils sont plus ou moins similaires. Leurs habitudes de vie et leurs règles de vie, ainsi que leurs idées, points de vue et attitudes envers la société, les tendances mondiales, les personnes, les événements, les choses et toutes les créations de Dieu, ainsi que leurs réactions à certains problèmes particuliers, notamment leurs réactions physiques et mentales, sont identiques. Pourquoi ces choses sont-elles identiques ? Parce que les hommes comme les femmes ont été créés par le seul et unique Créateur et leur souffle de vie, leur libre arbitre, ainsi que toutes les diverses activités qu’ils peuvent entreprendre, leurs routines de vie, etc., viennent tous du Créateur. À la lumière de ces phénomènes, il n’y a rien de différent entre les hommes et les femmes, à l’exception des différences entre les sexes, ainsi que de certaines choses ou compétences professionnelles différentes dans lesquelles ils excellent. Par exemple, de nombreux travaux que les hommes peuvent effectuer peuvent aussi être effectués par des femmes. Il y a des femmes scientifiques, des femmes pilotes ou astronautes, mais aussi des femmes présidentes ou membres de gouvernements, ce qui prouve que les emplois que les hommes et les femmes peuvent exercer sont plus ou moins les mêmes, malgré leurs différences en termes de sexe. En matière d’endurance physique et d’expression des émotions, les hommes et les femmes sont plus ou moins semblables. Quand un parent proche meurt, la femme pleure de chagrin. Quand un homme perd des parents proches ou sa compagne, il se lamente à ébranler tout ce qui l’entoure. En cas de divorce, la femme est découragée, déprimée et triste, et elle peut même se suicider, et l’homme est également déprimé si sa femme le quitte, il peut même pleurer en secret sous ses couvertures. Parce que les hommes sont des hommes, ils n’osent pas se plaindre de cette souffrance devant les autres et doivent faire semblant d’être forts, mais quand personne n’est là, ils pleurent comme une personne normale. Chaque fois que certaines choses se produisent, les hommes comme les femmes sont en proie à des émotions, comme on peut s’y attendre, qu’il s’agisse de pleurer ou de rire. De plus, parmi le personnel qui accomplit divers devoirs et travaux dans la maison de Dieu, les femmes ont l’occasion d’être promues, formées et affectées à des postes importants, et les hommes ont également les mêmes occasions d’être promus, formés et affectés à des tâches importantes. Les chances sont égales. Les diverses corruptions révélées par les femmes dans leur vie quotidienne et dans l’accomplissement de leurs devoirs ne sont pas différentes de celles révélées par les hommes. Même parmi les femmes, il y a des malfaitrices et des antéchrists qui perturbent et interrompent le travail de l’Église : n’est-ce pas la même chose chez les hommes ? C’est parce que les tempéraments corrompus des gens sont les mêmes. S’il s’agit de gens malfaisants qui font le mal, perturbent et interrompent le travail de l’Église, et qui essaient d’établir leur propre royaume indépendant, alors, quand ils seront exclus, une distinction sera-t-elle faite entre les hommes et les femmes ? Non, ils seront tous exclus de la même manière. Pensez-vous que, parmi ceux qui sont exclus, il y ait plus d’hommes que de femmes ? Il y en a à peu près autant de chaque. Tous ceux qui font le mal, perturbent et interrompent, et qui sont considérés comme des antéchrists et des gens malfaisants, qu’ils soient hommes ou femmes, doivent être exclus. Certaines personnes disent : « Les femmes ne peuvent pas faire des choses qui perturbent et interrompent, comme ce serait honteux pour des femmes de faire de telles choses, les femmes doivent être plus soucieuses de préserver leur dignité ! Comment des petites femmes pourraient-elles commettre de si grands maux ? Elles ne le peuvent pas, elles doivent avoir une chance de se repentir. Les hommes sont téméraires, ils sont nés pour faire le mal, ils sont nés pour être des antéchrists et faire le mal. Même s’ils font seulement un peu de mal, et même si nous n’avons pas une compréhension claire des circonstances, ils doivent quand même être expulsés. » La maison de Dieu le fait-elle ? (Non.) La maison de Dieu ne le fait pas. La maison de Dieu exclut les gens sur la base de principes. Elle ne fait pas de distinction entre les hommes et les femmes, et ne se soucie pas de préserver la dignité des femmes ou des hommes, mais les traite équitablement. Si tu es un homme qui a fait le mal et que, selon les principes, tu dois être exclu et expulsé, alors la maison de Dieu t’expulsera selon les principes ; si tu es une femme qui a causé des interruptions et des perturbations, et que tu es une personne malfaisante ou un antéchrist, tu seras également exclue ou expulsée, et tu ne seras pas épargnée simplement parce que tu es une femme et que tu pleures ou verses une larme. La maison de Dieu doit gérer les choses selon des principes. Les croyantes courent après les bénédictions et ont le désir et l’intention d’être bénies. Et les hommes sont-ils dans le même cas ? Oui, de la même manière, les hommes n’ont pas moins d’ambition et de désir d’être bénis que les femmes. Quelle résistance à Dieu est la plus grave, celle des hommes ou celle des femmes ? C’est du pareil au même. Certains diront : « Maintenant que je comprends enfin la vérité, il s’avère que les hommes et les femmes sont également corrompus ! Je pensais autrefois que les hommes étaient virils, qu’ils devaient se comporter en gentlemen et faire tout avec justice, honneur et honnêteté, contrairement aux femmes, dont beaucoup sont étroites d’esprit, font sans cesse des histoires pour des problèmes insignifiants, jasent constamment dans le dos des gens et n’agissent pas honnêtement. Mais je n’avais pas considéré que beaucoup de mauvaises personnes sont des hommes et que les mauvaises choses qu’ils font sont encore plus graves et plus nombreuses. » Maintenant, vous comprenez ces questions. En bref, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme, les tempéraments corrompus sont tous les mêmes, c’est juste l’humanité des gens qui est différente : voilà la seule façon juste de voir les hommes et les femmes. Y a-t-il le moindre parti pris dans ce point de vue ? (Non.) Est-il influencé par l’idée que les hommes seraient supérieurs aux femmes ? (Non.) Il n’est pas du tout influencé par ces choses. Pour jauger si une personne est bonne ou mauvaise, il faut d’abord regarder non pas s’il s’agit d’un homme ou d’une femme, mais quelle est son humanité, puis juger de son essence en se basant sur les manifestations de son tempérament corrompu dans tous ses divers aspects : voilà comment voir les gens correctement.

En examinant les choses en fonction des phénomènes sur lesquels nous avons échangé plus tôt, hormis les différences entre les sexes, il n’y a absolument aucune différence entre les hommes et les femmes, que ce soit dans la manifestation de leurs instincts, dans la révélation de leurs divers tempéraments corrompus ou dans leur nature-essence. Concernant l’essence corporelle des gens et leurs tempéraments, ainsi que l’instinct, la volonté et le libre arbitre dont Dieu les a dotés quand Il les a créés, il n’y a pas de différence entre les gens. Par conséquent, lorsque les gens considèrent les hommes et les femmes, ils ne doivent pas les voir en fonction de leur apparence, encore moins en fonction des idées de la culture traditionnelle que ce monde enseigne aux gens, mais plutôt en se basant sur les paroles de Dieu. Pourquoi doit-on les considérer sur la base des paroles de Dieu ? Pourquoi ne pas les voir en fonction des idées et des points de vue de la culture traditionnelle ? Il y en a qui disent : « Tout au long des millénaires de l’histoire humaine, tant d’affirmations ont été avancées et écrites dans des livres. Aucun des points de vue et des dictons de l’humanité n’est correct ? N’y a-t-il absolument aucune vérité en eux ? » En quoi ces paroles sont-elles absurdes ? Les êtres humains comptent comme des êtres créés, ils ont été corrompus par Satan pendant des millénaires et ils sont emplis de tempéraments sataniques, ce qui cause tant d’obscurité et de mal dans la société humaine. Personne ne peut en voir clairement les causes profondes, ni discerner Satan, ni vraiment connaître Dieu. Par conséquent, les opinions de l’humanité corrompue ne s’accordent pas avec la vérité, et seul le Créateur sait tout à ce sujet. C’est un fait avéré. La vérité ne peut être obtenue que grâce aux paroles de Dieu, alors que la culture du monde humain est produite par la corruption de Satan. Les gens n’ont jamais fait l’expérience de l’œuvre de Dieu et personne ne peut connaître Dieu, il est donc impossible de produire la vérité dans la culture traditionnelle de l’humanité, car toute vérité vient de Dieu et est exprimée par Christ. Ayant été corrompus par Satan, les êtres humains ont tous une nature et des tempéraments sataniques. Ils vénèrent tous des célébrités et des grands personnages, et tous suivent Satan. Les êtres humains ont leurs propres arrière-pensées et objectifs lorsqu’ils considèrent ou définissent certaines choses. Qui que ces motivations et objectifs servent, et quel que soit le but visé, ils sont tous gouvernés par des tempéraments corrompus. Par conséquent, les choses définies par les êtres humains corrompus et les idées qu’ils défendent doivent être influencées par les stratagèmes rusés de Satan. C’en est un aspect. Un autre aspect, d’un point de vue objectif, est que quelles que soient les capacités des êtres humains, personne ne comprend les fonctions, les instincts et l’essence des êtres humains créés. Parce que les êtres humains ne sont pas créés par une personne, parce qu’ils ne sont pas créés par de soi-disant grands personnages, ni par des rois démoniaques, Satan ou des esprits malfaisants, ils ne comprennent pas du tout les instincts, les fonctions et l’essence des gens. Alors, qui connaît le mieux les instincts, les fonctions et l’essence des gens ? Seul le Créateur les connaît le mieux. Celui qui a créé les êtres humains connaît le mieux leurs fonctions, leurs instincts et leur essence et, bien sûr, est le plus qualifié pour définir les êtres humains et déterminer la valeur, l’identité et l’essence des hommes et des femmes. N’est-ce pas un fait objectif ? (Si.) Ce que Dieu utilise pour créer les êtres humains, les instincts qu’Il donne aux gens quand Il les crée, les fonctions et les lois de leur corps, ce qu’ils sont aptes ou non à faire, et même quelle doit être leur durée de vie, tout cela est prédéterminé par Dieu. Dieu seul a la meilleure compréhension des êtres humains qu’Il crée et personne d’autre ne comprend mieux l’humanité créée. N’est-ce pas un fait ? (Si.) Par conséquent, Dieu est le plus qualifié pour définir les êtres humains et pour déterminer l’identité, le statut, la valeur et la fonction des hommes ou des femmes, ainsi que le chemin correct que les gens doivent suivre. Dieu sait mieux que quiconque ce dont les êtres humains qu’Il a créés ont besoin, ce qu’ils peuvent accomplir et ce qui est dans leurs capacités. D’un autre point de vue, ce dont les êtres humains créés ont le plus besoin, ce sont les paroles prononcées par le Créateur. Seul Dieu peut diriger en personne les êtres humains, subvenir à leurs besoins et les guider. Tous ces dictons de l’humanité corrompue qui ne viennent pas de Dieu sont trompeurs, en particulier ceux de la culture traditionnelle, qui induisent en erreur, engourdissent et enferment les gens, et agissent bien sûr comme une sorte de contrainte et de contrôle. Il y a un autre aspect, qui est que Dieu a créé les êtres humains, et la plus grande préoccupation de Dieu pour les êtres humains est de savoir s’ils peuvent suivre le bon chemin dans la vie, alors que les sociétés, les nations et les pays ne considèrent que les intérêts de la classe dirigeante et la stabilité du régime politique, sans se soucier de la vie des classes populaires. En conséquence, cela provoque des choses extrêmes et chaotiques. Les sociétés, les nations et les pays ne guident pas les gens sur le bon chemin, afin que les gens puissent vivre une vie de valeur et de clarté, et se soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, mais plutôt, ils veulent exploiter les gens pour servir leur propre règne, leur propre carrière et leurs propres ambitions et désirs. Quelles que soient les revendications, les idées et les points de vue qu’ils avancent, le but de tout cela est de tromper les gens, de limiter leurs pensées et de contrôler l’humanité, afin que les gens les servent et leur soient fidèles. Ils ne considèrent pas l’avenir ni les perspectives de l’humanité, ni la manière dont les êtres humains peuvent mieux survivre. Mais ce que Dieu fait est complètement différent, dans la mesure où ce que Dieu fait est conforme à Son plan. Après avoir créé les êtres humains, Il les guide vers la compréhension de plus de vérités et de principes pour se comporter, et Il leur fait voir clairement la vérité de la corruption de l’humanité par Satan. Sur cette base, selon ces vérités-principes que Dieu enseigne aux gens et utilise pour les avertir, ils sont alors capables de s’engager sur le bon chemin de la vie.

Ces réglementations et conventions sur la conduite morale dans la culture traditionnelle sont très vastes et influencent la pensée des gens sous toutes sortes d’aspects, confondant et confinant leur pensée. Ce sur quoi nous avons échangé aujourd’hui, ce sont des dictons et des points de vue absurdes et fallacieux de la culture traditionnelle concernant le sexe, qui ont influencé de manière significative les opinions correctes des gens sur le sexe et qui ont également soumis les hommes et les femmes à un grand nombre d’entraves, de chaînes, de contraintes, de discrimination, etc. Ce sont autant de faits que les gens peuvent voir, et ce sont aussi les effets de la culture traditionnelle sur les gens et ses conséquences pour eux.

Le 14 mai 2022

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