Poursuivez encore plus la vérité à un âge avancé

2 avril 2024

Par Jinru, Chine

Je suis née dans une famille chrétienne et j’ai accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours à l’âge de 60 ans. Je me suis trouvée vraiment chanceuse de pouvoir accueillir le Seigneur dans les derniers jours et d’accepter l’œuvre de Dieu de la fin des temps, et que mon rêve d’être sauvée et d’entrer dans le royaume se réalise bientôt. Aussi longtemps que je travaillerais dur dans mon devoir et ferais des sacrifices, j’aurais la chance de recevoir le salut de Dieu. Après cela, je me suis entièrement consacrée à tous les devoirs que l’Église arrangeait pour moi. Même à l’âge de 70 ans, j’étais encore capable d’aller faire des courses en vélo pour l’Église. Je grimpais et descendais les escaliers en faisant mon devoir, sans jamais me sentir fatiguée. J’étais heureuse de pouvoir encore accomplir un devoir. En vieillissant davantage, mes fonctions corporelles ont été affectées par ce vieillissement et je n’ai plus été la même, du point de vue physique. Tenant compte de ma santé, l’Église m’a affectée à des devoirs d’hébergement, chez moi. Cela m’a un peu déçue. En vieillissant, ma vue avait baissé et je ne pouvais plus faire mon devoir à vélo comme avant. Tout ce que je pouvais faire, c’était assumer un devoir d’hébergement. Si je ne pouvais plus faire aucun devoir en vieillissant, pourrais-je encore être sauvée ? Je me disais que ce serait formidable d’être plus jeune de quelques années, et j’enviais vraiment les frères et sœurs plus jeunes qui pouvaient voyager en travaillant pour Dieu.

En mars 2022, le dirigeant d’Église a arrangé pour moi que j’aille soutenir Sœur Yu Xin. Âgée de 78 ans, elle avait du mal à se déplacer, du fait de sa santé, et elle ne pouvait accomplir absolument aucun devoir. Voir dans quel état elle était m’a attristée et bouleversée. J’avais déjà plus de 80 ans, j’étais plus âgée que Sœur Yu Xin, ma santé n’était plus ce qu’elle avait été, et je ne savais pas si, moi aussi, je n’allais pas tomber malade un jour et être incapable de faire un devoir, à quoi servirais-je, alors ? Pourrais-je espérer le salut si j’étais incapable de faire le moindre devoir ? Plus j’y réfléchissais, plus cela me contrariait. Puis je suis tombée malade, moi aussi. Un jour, j’ai été prise de vertige en me levant au milieu de la nuit pour aller aux toilettes, et au matin, je n’ai pas pu sortir du lit. J’étais tellement hébétée que je n’arrivais même pas à ouvrir les yeux. Je vomissais, j’avais de la diarrhée, et même l’eau ne passait pas. Mon mari a appelé notre fille, pour qu’elle vienne s’occuper de moi, et au bout de deux jours, j’ai finalement commencé à me rétablir. Je n’étais pas en retard dans mon devoir, mais je me sentais vraiment faible, je n’avais pas assez d’énergie pour faire quoi que ce soit. Je vomissais tout ce que je mangeais et j’étais hébétée et nauséeuse. Je me suis inquiétée : étant une vieille personne, et ma santé déclinant de jour en jour, si je tombais de nouveau malade comme ça, allais-je pouvoir me rétablir aussi vite ? Et si je ne récupérais pas rapidement et que j’avais besoin qu’on s’occupe de moi, je ne pourrais plus accomplir le moindre devoir. Cela ne me rendrait-il pas inutile ? Pourrais-je entrer dans le royaume sans faire un devoir ? Comme ce serait formidable d’être plus jeune de quelques années, comme je l’étais il y a 20 ans, alors que je venais d’accepter cette étape de l’œuvre, et que rien ne me faisait peur. Toutes les tâches que l’Église me confiait, qu’elles soient proches ou lointaines, je pouvais les effectuer. Avec un devoir, j’avais davantage d’espoir d’être bénie. Mais je ne pouvais pas remonter le temps et je n’étais plus capable de faire quoi que ce soit. Alors je me suis contentée de faire dans l’à-peu-près, jour après jour. Bientôt, j’ai commencé à vivre dans un état de négativité et d’incompréhension. Et mon état a continué à décliner. Je n’avais plus à cœur de lire les paroles de Dieu, je n’avais pas l’énergie nécessaire pour faire quoi que ce soit. Je ne mettais pas tout mon cœur dans mon devoir, comme avant. Alors j’ai prié Dieu : « Mon Dieu ! J’ai l’impression, maintenant que je suis plus vieille et que je ne peux pas faire de nombreux devoirs, de n’avoir aucun espoir d’entrer dans le royaume et d’être sauvée. Je suis vraiment déprimée. Ô Dieu, s’il Te plaît, donne-moi la foi et guide-moi, pour que je ne sois pas freinée par la vieillesse, pour que je puisse comprendre Ta volonté et que je sorte de cet état. »

Mon état a commencé à s’inverser quand j’ai lu certaines paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Il y a aussi, parmi les frères et sœurs, des personnes âgées qui ont entre 60 ans et environ 80 ou 90 ans et qui, en raison de leur âge avancé, connaissent également certaines difficultés. Malgré leur âge, leur pensée n’est pas nécessairement très correcte ou très rationnelle, et leurs idées et points de vue ne correspondent pas nécessairement à la vérité. Ces gens âgés, eux aussi, ont des problèmes et ils s’inquiètent toujours : “Ma santé n’est plus très bonne et je suis limité dans les devoirs que je peux accomplir. Si j’accomplis simplement ce petit devoir, Dieu Se souviendra-t-Il de moi ? Parfois, je tombe malade et j’ai besoin que quelqu’un s’occupe de moi. Quand il n’y a personne pour s’occuper de moi, je ne suis pas en mesure d’accomplir mon devoir, alors que puis-je faire ? Je suis âgé, je ne retiens pas des paroles de Dieu quand je les lis et il m’est difficile de comprendre la vérité. Lorsque j’échange sur la vérité, je parle de manière confuse et illogique, et je n’ai aucune expérience qui mérite d’être partagée. Je suis âgé et je n’ai plus assez d’énergie, ma vue n’est plus très bonne et je ne suis plus fort. Tout est difficile pour moi. Non seulement je ne peux pas accomplir mon devoir, mais j’oublie des choses et me trompe facilement. Parfois, je suis confus et je cause des problèmes à l’Église et à mes frères et sœurs. Je veux obtenir le salut et poursuivre la vérité, mais c’est très difficile. Que puis-je faire ?” […] En particulier, il y a des gens âgés qui ont envie de consacrer tout leur temps à se dépenser pour Dieu et à accomplir leur devoir, mais qui ne se sentent pas bien physiquement. Certains souffrent d’hypertension artérielle, d’autres, d’hyperglycémie, d’autres encore ont des problèmes gastro-intestinaux, et leur force physique ne peut pas répondre aux exigences de leur devoir, et donc, ils s’inquiètent. Ils voient des jeunes capables de manger et boire, de courir et sauter, et ils sont envieux. Plus ils voient des jeunes faire de telles choses, plus ils éprouvent du désarroi, pensant : “Je veux faire bien mon devoir, poursuivre et comprendre la vérité, et je veux aussi mettre en pratique la vérité, alors pourquoi est-ce si difficile ? Je suis si vieux et inutile ! Dieu ne veut-Il pas des personnes âgées ? Les personnes âgées sont-elles vraiment inutiles ? Ne pouvons-nous pas obtenir le salut ?” Ils sont tristes et incapables d’être heureux, quoi qu’ils pensent. Ils ne veulent pas manquer un moment aussi merveilleux et une si belle opportunité, pourtant ils sont incapables de se dépenser et d’accomplir leur devoir de tout leur cœur et de toute leur âme comme le font les jeunes. Ces gens âgés sombrent dans un désarroi, une angoisse et une inquiétude profonds en raison de leur âge. Chaque fois qu’ils rencontrent une difficulté, un revers, une adversité ou un obstacle, ils blâment leur âge et même, ils se détestent et n’ont aucune estime d’eux-mêmes. Mais de toute façon, cela ne sert à rien, il n’y a pas de solution et ils n’ont aucun moyen d’avancer. Se pourrait-il qu’ils n’aient vraiment aucun moyen d’avancer ? N’y a-t-il pas une solution ? (Les personnes âgées devraient également accomplir leurs devoirs autant qu’elles le peuvent.) Il est acceptable que les personnes âgées accomplissent leurs devoirs autant qu’elles le peuvent, n’est-ce pas ? Les gens âgés ne peuvent-ils plus poursuivre la vérité en raison de leur âge ? Ne sont-ils pas capables de comprendre la vérité ? (Si.) Les gens âgés peuvent-ils comprendre la vérité ? Ils peuvent en comprendre une partie, mais même les jeunes ne peuvent pas non plus tout comprendre. Les gens âgés ont toujours une idée fausse, croyant qu’ils sont confus, que leur mémoire est mauvaise et qu’ils ne peuvent donc pas comprendre la vérité. Ont-ils raison ? (Non.) Bien que les jeunes aient beaucoup plus d’énergie que les personnes âgées et soient physiquement plus forts, leur capacité de percevoir, comprendre et connaître est en réalité la même que celle des gens âgés. Les gens âgés n’ont-ils pas aussi été jeunes ? Ils ne sont pas nés vieux, et les jeunes vieilliront tous un jour également. Les personnes âgées ne doivent pas toujours penser que parce qu’elles sont vieilles, physiquement faibles, malades et avec de mauvais souvenirs, elles sont différentes des jeunes. En fait, il n’y a pas de différence. Qu’est-ce que Je veux dire quand Je dis qu’il n’y a pas de différence ? Que quelqu’un soit vieux ou jeune, ses tempéraments corrompus sont les mêmes, ses attitudes et ses opinions sur toutes sortes de choses sont les mêmes, et ses perspectives et points de vue sur toutes sortes de choses sont les mêmes. Ainsi, les personnes âgées ne doivent pas penser que parce qu’elles sont vieilles, qu’elles ont moins de désirs extravagants que les jeunes et qu’elles sont capables d’être stables, elles n’ont ni ambitions ni désirs débridés et qu’elles ont moins de tempéraments corrompus : c’est une idée fausse. Si les jeunes peuvent se battre pour un statut, les personnes âgées ne peuvent-elles pas se battre pour un statut ? Si les jeunes peuvent faire des choses contraires aux principes et agir de manière arbitraire, les personnes âgées ne peuvent-elles pas faire de même ? (Si, elles le peuvent.) Si les jeunes peuvent être arrogants, les personnes âgées ne peuvent-elles pas aussi être arrogantes ? Cependant, lorsque les personnes âgées sont arrogantes, en raison de leur âge avancé, elles ne sont pas très agressives et ce n’est pas une arrogance aussi hautaine. Les jeunes montrent des manifestations d’arrogance plus évidentes en raison de la souplesse de leurs membres et de leur esprit, tandis que les personnes âgées montrent des manifestations d’arrogance moins évidentes en raison de leurs membres rigides et de leur esprit inflexible. Cependant, leur essence d’arrogance et leurs tempéraments corrompus sont les mêmes. Peu importe depuis quand une personne âgée croit en Dieu ou depuis combien d’années elle accomplit son devoir, si elle ne recherche pas la vérité, alors ses tempéraments corrompus persisteront. […] Ainsi, ce n’est pas que les personnes âgées n’aient rien à faire, ni qu’elles ne soient pas capables d’accomplir leurs devoirs, et encore moins qu’elles soient incapables de poursuivre la vérité : elles ont beaucoup de choses à faire. Les diverses hérésies et erreurs que tu as accumulées au cours de ta vie, ainsi que les diverses idées et notions traditionnelles, les choses ignorantes et obstinées, les choses conservatrices, les choses irrationnelles et les choses absurdes que tu as accumulées se sont toutes amoncelées dans ton cœur, et tu devrais consacrer encore plus de temps que les jeunes à creuser, disséquer et reconnaître ces choses. Ce n’est pas que tu n’aies rien à faire, ni que tu devrais éprouver du désarroi, de l’angoisse ou de l’inquiétude lorsque tu es dans un moment creux : ce n’est ni ta tâche, ni ta responsabilité. Tout d’abord, les personnes âgées doivent avoir le bon état d’esprit. Même si tu vieillis et que tu es relativement âgé physiquement, tu dois néanmoins avoir un état d’esprit jeune. Même si tu vieillis, que ta réflexion est ralentie et que ta mémoire est mauvaise, si tu peux encore te connaître, comprendre les paroles que Je dis et comprendre la vérité, alors cela prouve que tu n’es pas âgé et que tu ne manques pas de calibre. Si quelqu’un a 70 ans mais n’est pas capable de comprendre la vérité, cela montre que sa stature est trop petite et qu’il n’est pas à la hauteur. Par conséquent, l’âge n’a aucune importance lorsqu’il s’agit de la vérité » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (3)). J’ai relu ce passage bon nombre de fois. Ces paroles de Dieu me sont vraiment allées droit au cœur, elles révélaient mon état exact. J’ai compris que j’étais vieille, désormais, et que je n’étais plus dans la même condition, je ne pouvais donc pas continuer à courir dans tous les sens en faisant un devoir, je pouvais seulement être hôte à la maison. Quand je voyais la condition de Sœur Yu Xin, chez elle, incapable de faire un devoir, je m’inquiétais vraiment de mon âge, et je me disais que si un jour je ne pouvais vraiment plus me déplacer ou faire un devoir, je ne pourrais pas être sauvée. Penser que je n’entrerai pas dans le royaume me faisait vraiment souffrir et me contrariait, et cela m’amenait à m’inquiéter de ma destination. Je vivais dans un état négatif, pessimiste, et je perdais la volonté de faire quoi que ce soit. Lire ces paroles de Dieu m’a émue et a éclairci mon cœur. Ce n’est pas que les gens âgés n’ont aucun choix et qu’ils ne peuvent pas être sauvés, qu’ils ne peuvent rien faire ni assumer aucun devoir. Le grand âge ne signifie pas que notre cœur est vieux et qu’il n’y a rien que nous puissions faire. Les gens âgés peuvent encore faire des choses, comme avant, lire les paroles de Dieu et prier quand ils devraient le faire, et accomplir tous les devoirs qu’ils peuvent accomplir, comme d’habitude. Dieu n’a jamais dit qu’Il n’approuvait pas les gens âgés parce qu’ils ne peuvent pas faire autant de devoirs qu’avant. En outre, les vieux comme les jeunes ont des tempéraments corrompus et nous devons tous chercher la vérité pour les résoudre. En particulier pour ce qui est des gens âgés, comme moi, en passant notre vie à la maison, à l’école et dans la société, nous avons accumulé toutes sortes de pensées, de notions et de philosophies sur la vie. Beaucoup de ces philosophies, hérésies et idées fausses sataniques s’étaient empilées dans ma tête. J’étais croyante depuis des années, mais ces poisons sataniques étaient encore enracinés en moi et ils étaient devenus pour moi des règles de survie. Parfois, quand j’étais dans une réunion avec d’autres, je remarquais quelqu’un qui vivait dans un état incorrect ou qui répandait de la négativité. Je voyais très clairement que ce que cette personne disait aux autres n’était pas édifiant, mais je me taisais, pour protéger mes relations interpersonnelles. Je vivais selon la philosophie satanique « Ne pas parler des défauts de bons amis engendre une longue et bonne amitié. » Je rechignais à pratiquer la vérité, pour éviter d’offenser. Et dans les réunions, quand nous discutions de certaines figures et de certains épisodes de la Bible, certains frères et sœurs n’y comprenaient rien, et je manifestais un tempérament arrogant. Je me disais qu’en tant que vieille chrétienne, j’en savais davantage qu’eux, alors je n’arrêtais pas de leur expliquer les choses, et j’utilisais cela comme un capital pour me mettre en avant. Avec autant de tempéraments corrompus qui n’avaient pas été résolus, j’aurais dû avoir un plus grand sentiment d’urgence, et j’aurais dû faire des efforts pour poursuivre la vérité. Au cours des années qui me restaient, je devais chercher davantage la vérité pour résoudre ma corruption. Il y avait tant de choses que je devais faire et de vérités dans lesquelles je devais entrer. Néanmoins, j’enviais sans cesse les jeunes gens, parce qu’ils étaient en bonne santé et avaient la possibilité de faire de nombreux devoirs, en me disant qu’ils avaient davantage d’espoir de salut. Maintenant que je ne pouvais plus me déplacer et que mes devoirs étaient limités, je m’inquiétais de ne pas avoir de place dans le royaume. Je sombrais dans un état négatif dont je n’arrivais pas à sortir. Quand j’y repense, à présent, je me dis que c’était vraiment stupide. Il fallait que j’aie une attitude correcte. Même si je suis plus âgée et que ma chair vieillit, je peux encore comprendre les paroles de Dieu et j’ai, malgré tout, du bon sens et une raison normale, je ne dois donc pas perdre de temps dans ma poursuite de la vérité et je ne peux pas continuer à vivre dans l’angoisse et l’anxiété. Cela transparaît vraiment dans ce passage des paroles de Dieu : « Même si tu vieillis, que ta réflexion est ralentie et que ta mémoire est mauvaise, si tu peux encore te connaître, comprendre les paroles que Je dis et comprendre la vérité, alors cela prouve que tu n’es pas âgé et que tu ne manques pas de calibre » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (3)). Ces paroles de Dieu ont éclairci mon cœur et j’ai immédiatement senti que j’avais quelque chose à atteindre. Dieu dit que je ne suis pas vieille et que je dois donc encore plus poursuivre la vérité avec assiduité au cours des années qui me restent.

J’ai également lu ceci dans les paroles de Dieu : « Je décide de la destination de chaque homme, non en fonction de l’âge, de l’ancienneté, du degré de souffrance et encore moins du degré auquel il inspire la pitié, mais plutôt selon qu’il possède ou non la vérité. Il n’y a pas d’autre option que celle-ci » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Prépare suffisamment de bonnes actions pour ta destination). « La volonté de Dieu est que tout le monde soit perfectionné, soit finalement gagné par Lui, soit complètement purifié par Lui et devienne des gens qu’Il aime. Peu importe si Je dis que vous êtes attardés ou de mauvais calibre – c’est un fait. Le dire ne prouve pas que J’ai l’intention de vous abandonner, que J’ai perdu espoir en vous, que Je ne suis pas, encore moins, disposé à vous sauver. Je suis venu aujourd’hui accomplir l’œuvre de votre salut, ce qui veut dire que l’œuvre que Je fais est la continuité de l’œuvre du salut. Tout le monde a une chance d’être perfectionné : pourvu que tu sois prêt, pourvu que tu poursuives, à la fin tu seras capable d’atteindre ce résultat, et personne parmi vous ne sera abandonné. Si tu es de petit calibre, Mes exigences envers toi seront proportionnelles à ton petit calibre ; si tu es de gros calibre, Mes exigences envers toi seront proportionnelles à ton gros calibre ; si tu es ignorant et illettré, Mes exigences s’accorderont avec ton analphabétisme ; si tu sais lire et écrire, Mes exigences s’accorderont avec cela ; si tu es âgé, Mes exigences envers toi seront en rapport avec ton âge ; si tu es capable de donner l’hospitalité, Mes exigences envers toi seront fonction de cette capacité ; si tu dis que tu ne peux pas offrir l’hospitalité et que tu ne peux que remplir un certain devoir, que ce soit répandre l’Évangile, t’occuper de l’Église ou t’occuper d’autres affaires d’ordre général, le perfectionnement que Je te réserve dépendra de la fonction que tu remplis. Être fidèle, obéissant jusqu’à la fin, et chercher à avoir un amour suprême pour Dieu : voilà ce que tu dois accomplir, et il n’y a pas de meilleures pratiques que ces trois choses » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Restaurer la vie normale de l’homme et l’emmener vers une merveilleuse destination). Ces paroles de Dieu m’ont vraiment émue. Dieu n’a jamais déterminé la fin de quelqu’un en Se basant sur le calibre ou l’âge de cette personne, ou sur le nombre de devoirs qu’elle a fait. Dieu regarde simplement si les gens sont ou non dévoués et obéissants envers Lui. Tant que quelqu’un est déterminé à poursuivre la vérité, qu’il a une vraie foi et aime la vérité, Dieu ne l’abandonnera pas. J’ai vu que Dieu était juste et que Ses exigences n’étaient pas identiques pour tous. Il a des exigences à l’égard des gens en Se basant sur leur stature et sur ce qu’ils sont capables d’accomplir. Ceux qui peuvent héberger devraient héberger, ceux qui peuvent prêcher l’Évangile devraient le faire. Les gens devraient faire tous les devoirs dont ils sont capables. Tant que nous pouvons poursuivre la vérité et agir en nous basant sur les paroles de Dieu, nous avons une chance de salut. Mais j’avais l’impression qu’à mon âge avancé, je ne pouvais faire aucun devoir, et que Dieu ne m’approuverait pas. Je pensais à Dieu comme s’il s’agissait d’un patron dans ce monde, qui vous garde si vous pouvez travailler et avez de la valeur, mais qui, sinon, vous bannit. C’était ne pas avoir la crainte de Dieu. C’était également moi qui comprenais mal la volonté de Dieu, du fait de mes notions et de mon imagination erronées. En outre, Dieu n’a jamais dit que les gens âgés ne pouvaient pas être sauvés ou perfectionnés. J’ai repensé aux antéchrists et aux malfaiteurs expulsés de l’Église. Certains étaient plus jeunes que moi et avaient renoncé à leur maison et à leur emploi pour faire leurs devoirs. Selon les normes humaines, ils avaient travaillé dur, mais ils n’avaient pas poursuivi la vérité et leurs tempéraments corrompus n’avaient pas changé du tout. Ils avaient fait des choses poussés par leurs nature satanique, perturbant le travail de la maison de Dieu, sans jamais se repentir, et ils avaient finalement été bannis par Dieu. Quant aux membres plus âgés, certains restent chez eux et font des devoirs d’hébergement, d’autres stockent les livres de l’Église, mais tous jouent leur rôle comme il se doit. Dieu ne leur tourne pas le dos ni ne les bannit à cause de leur grand âge ou parce qu’ils ne peuvent plus faire autant de devoirs qu’avant. J’ai compris que Dieu bannissait les gens à cause de leur nature-essence, et non en fonction de leur âge. Maintenant que je suis vieille, je ne peux plus soutenir l’Église comme je le faisais auparavant. Je reçois les autres chez moi. Je dois donc bien faire mon devoir d’hébergement et préserver un environnement sûr pour les réunions sous mon toit, afin que les frères et sœurs puissent aller et venir en paix. C’est me dévouer à mon devoir. Ma voisine, Sœur Yu Xin, est souffrante et a besoin de soutien, je dois donc faire tout ce que je peux, me réunir et échanger avec elle. Et chaque fois que je fais face à un défi ou à des problèmes, je dois prier et lire les paroles de Dieu pour les résoudre. Si je peux porter trois kilos, je porterai trois kilos et si je peux en porter neuf kilos, j’en porterai neuf. Fais vraiment de ton mieux et fais tout ce que tu peux faire, c’est le plus important. Quand j’ai compris cela, je me suis sentie honteuse et humiliée. Je n’avais pas compris la volonté de Dieu et je n’examinais pas les choses ni n’agissais en me basant sur Ses paroles. Au contraire, je vivais selon mes propres opinions erronées, en comprenant mal Dieu. J’étais vraiment rebelle.

J’ai réfléchi à la raison pour laquelle je m’inquiétais sans cesse de mon grand âge, de mon incapacité à faire un devoir et d’être bannie. Quelle motivation était à l’œuvre derrière cela ? En cherchant, j’ai lu plusieurs passages des paroles de Dieu : « Certaines personnes deviennent pleines de vigueur dès qu’elles voient que la foi en Dieu leur apporte des bénédictions, mais perdent toute énergie dès qu’elles voient qu’elles doivent endurer des épurements. Est-ce cela croire en Dieu ? Finalement, tu dois atteindre une obéissance complète et totale devant Dieu dans ta foi. Tu crois en Dieu, mais tu continues à formuler des exigences envers Lui, tu as de nombreuses notions religieuses que tu ne peux pas mettre de côté, des intérêts personnels que tu ne peux pas abandonner, et tu continues à chercher des bénédictions de la chair et tu veux que Dieu sauve ta chair, qu’Il sauve ton âme : ce sont là tous les comportements des personnes qui ont une perspective erronée. Même si les personnes ayant des croyances religieuses ont foi en Dieu, elles ne cherchent pas à changer leurs tempéraments et ne recherchent pas la connaissance de Dieu, mais au contraire, elles ne recherchent que les intérêts de leur chair. Beaucoup parmi vous ont des croyances qui relèvent de la catégorie des convictions religieuses. Ce n’est pas la vraie foi en Dieu. Pour croire en Dieu, les gens doivent avoir un cœur prêt à souffrir pour Lui et la détermination de renoncer à eux-mêmes. À moins qu’ils réunissent ces deux conditions, leur foi en Dieu n’est pas valide, et ils ne seront pas en mesure d’atteindre un changement dans leur tempérament. Seules les personnes qui poursuivent réellement la vérité, qui cherchent la connaissance de Dieu et poursuivent la vie sont celles qui croient véritablement en Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ceux qui doivent être rendus parfaits doivent subir l’épurement). « Les gens croient en Dieu pour être bénis, récompensés, couronnés. Ce désir n’existe-t-il pas dans le cœur de chacun ? C’est un fait. Bien que les gens n’en parlent pas souvent, et qu’ils dissimulent même leur motivation et leur désir d’obtenir des bénédictions, ce désir et cette motivation, au plus profond du cœur des gens, ont toujours été inébranlables. Quels que soient leur compréhension de la théorie spirituelle, leur expérience et leurs connaissances, le devoir qu’ils peuvent accomplir, les souffrances qu’ils endurent ou le prix qu’ils paient, ils n’abandonnent jamais cette motivation d’obtenir des bénédictions qui est cachée au plus profond de leur cœur et ils travaillent toujours silencieusement à son service. N’est-ce pas la chose la plus profondément enfouie dans le cœur des gens ? Sans cette motivation qui vise à recevoir des bénédictions, comment vous sentiriez-vous ? Quelle serait votre attitude en accomplissant votre devoir et en suivant Dieu ? Qu’adviendrait-il des gens si cette motivation visant à recevoir des bénédictions, qui est cachée dans leur cœur, se trouvait éliminée ? Il est possible que beaucoup de gens deviennent négatifs, tandis que d’autres se montreraient démotivés dans leurs devoirs. Ils se désintéresseraient de leur croyance en Dieu, comme si leur âme avait disparu. Ils donneraient l’impression que leur cœur a été arraché. C’est pourquoi Je dis que la motivation qui vise les bénédictions est quelque chose de profondément caché dans le cœur des gens » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Six indicateurs de croissance de vie). Ce que Dieu révélait et jugeait dans ces paroles, c’était précisément mon état. Dieu scrute réellement le cœur et l’esprit de l’homme. Cela a exposé mes motivations et mes espoirs fermement ancrés d’être bénie, et le fait que ma foi ne visait que les bénédictions. Au moment où j’avais accepté cette étape de l’œuvre, j’étais motivée par la possibilité d’entrer dans le royaume. J’étais prête à faire tout ce que l’Église voulait que je fasse. J’aurais fait mon devoir qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente. Je pensais que, si je payais un prix, Dieu m’approuverait, et qu’ensuite, je serais sauvée et gagnerais les bénédictions du royaume des cieux. Mais maintenant que je comprenais que je vieillissais, que toutes mes fonctions corporelles étaient affectées par l’âge, et que je ne pouvais plus faire les devoirs que j’avais été capable de faire auparavant, je m’inquiétais de tomber malade un jour et de ne plus pouvoir faire aucun devoir. Cela m’attristait et me bouleversait. Et quand je repensais à ces deux jours pendant lesquels j’avais été malade et alitée, je me disais encore plus que si je tombais de nouveau malade et que je ne récupérais pas rapidement, je ne pourrais plus faire aucun devoir et ne pourrais pas être sauvée. J’avais l’impression que mon cœur était vide et j’étais d’humeur sombre et déprimée. Je n’avais plus la volonté de lire les paroles de Dieu ou de prier, je me disais que j’allais juste faire dans l’à-peu-près chaque jour. J’ai vraiment compris que j’avais la motivation d’être bénie, que cette motivation était cachée au fond de mon cœur, fermement ancrée, et que je me donnais sans cesse du mal en m’efforçant d’atteindre cet objectif. En apparence, je faisais un devoir et je voulais satisfaire Dieu, mais en fait, je voulais échanger mon devoir contre les bénédictions du royaume des cieux. Je travaillais à ma destination. J’étais vraiment très malfaisante et fourbe par nature. Née dans une famille chrétienne, j’avais suivi mes parents, et je croyais au Seigneur Jésus depuis mon enfance. À l’âge de 60 ans, j’avais accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours. J’avais déjà gagné tant de choses. Dieu a clairement échangé sur tous les aspects de la vérité dans les derniers jours, et grâce au jugement et au châtiment de Sa parole, j’ai gagné une certaine compréhension de ma propre nature corrompue et des poisons sataniques, je suis capable de me mépriser moi-même, et mon tempérament corrompu a un peu changé. Voilà les fruits de mon expérience du jugement et du châtiment des paroles de Dieu. C’est une grâce tellement incroyable de la part de Dieu ! J’ai reçu un salut tellement formidable. Même si Dieu devait me retirer ce souffle à l’instant même, je n’aurais pas de regrets et je Lui serais reconnaissante. Mais je suis encore en vie et j’ai encore ce souffle. Je devrais poursuivre la vérité et le changement de tempérament, de tout mon cœur. Que je sois bénie ou que j’endure le désastre, à l’avenir, je devrais me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu. Voilà la raison dont je devrais faire preuve en tant qu’être créé. Mais même après avoir gagné tant de nourriture des paroles de Dieu, je ne savais toujours pas Lui rendre Son amour. Je voulais utiliser mon devoir pour faire un échange avec Dieu contre les bénédictions du royaume. Je devenais négative et comprenais mal Dieu quand je me disais que je n’obtiendrais pas cela. Je n’avais ni conscience ni raison. Où était mon humanité ? J’étais tellement égoïste, méprisable et pitoyable. Mes motivations et mes perspectives dans la foi n’étaient pas justes. Je voulais seulement entrer dans le royaume des cieux et je ne poursuivais que les gains charnels et les bénédictions. Je suivais le même chemin que Paul. J’ai songé à la façon dont Paul avait accompli tant de choses, mais il n’avait la foi que pour être récompensé et couronné. Il se servait de son travail pour conclure un marché avec Dieu, pour échanger ce travail contre les bénédictions du ciel. Il ne cherchait pas à connaître Dieu. Il suivait un chemin de résistance à Dieu. Au bout du compte, il avait été puni par Dieu. Ma poursuite était la même que celle de Paul. Je ne poursuivais pas un changement de tempérament pour satisfaire Dieu, et je ne faisais mon devoir que pour obtenir des bénédictions. En apparence, j’accomplissais un devoir, mais par essence, je trompais Dieu. Je n’étais pas une vraie croyante. Un vrai croyant est quelqu’un qui poursuit la vérité, qui cherche à connaître et à aimer Dieu. Il n’y a pas de conditions ou de marché dans sa façon de faire son devoir. Il n’y a pas de motivations ou d’objectifs personnels ni de désirs extravagants. Il fait tout son possible pour satisfaire Dieu. Exactement comme Pierre : Pierre ne travaillait pas autant que Paul, mais il était capable d’accepter le jugement et le châtiment de Dieu, de se connaître lui-même et de chercher à connaître et à aimer Dieu. Finalement, Pierre s’était soumis jusqu’à la mort, il avait été crucifié la tête en bas pour Dieu, il avait porté témoignage pour glorifier Dieu. Avec une foi comme la mienne, m’accrochant sans cesse à des motivations et à des désirs infâmes, quel que soit mon nombre d’années de croyance, je ne gagnerais jamais l’approbation de Dieu. Je finirais seulement par être rejetée et détestée par Dieu. Si je ne me repentais pas, et que je restais transactionnelle dans ma foi et mon devoir, je ne gagnerais pas la vérité et mon tempérament ne changerait pas, en fin de compte. Je finirais exactement comme Paul, exposée et bannie par Dieu.

J’ai pensé à ce que Dieu disait : « Il n’y a pas de corrélation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il soit béni ou maudit. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et ce devoir ne devrait pas dépendre de récompenses, de conditions ou de raisons. C’est alors seulement qu’il fait son devoir » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme). À ce stade, j’ai compris qu’un devoir était ce qu’un être créé devait faire, et que ce devoir n’était pas lié au fait de recevoir des bénédictions ou du malheur. En tant que membre de la maison de Dieu, je ne devais pas poser de conditions à Dieu. Je devais assumer mes responsabilités. Il en va de même au sein d’une famille. Quand les enfants font tout ce qu’ils peuvent pour leur famille, peuvent-ils vraiment demander une compensation financière à leurs parents ? Ce ne serait pas être un membre de la famille, mais un employé. En tant que membre de la famille de Dieu, et en tant qu’être créé, faire un peu de devoir pour le Créateur était simplement ce que je devais faire, c’était juste et naturel. Je devais montrer ma dévotion, sans penser à poser des conditions ou à obtenir des récompenses. Voilà ce que je devais faire. Je suis plus âgée, à présent, et ma santé n’est pas formidable, mais Dieu ne m’a pas abandonnée. Il continue à me nourrir et à me guider avec Ses paroles. Je ne peux pas être dépourvue de conscience et je ne peux pas continuer à vivre dans un état négatif, en m’abandonnant au désespoir. Je dois avoir une attitude appropriée, et tant que j’ai toute ma tête et que j’ai encore toute ma raison, je dois lire davantage les paroles de Dieu pour me connaître moi-même et poursuivre le changement de mon tempérament, faire tout devoir que je suis encore capable de faire maintenant, et me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu. J’ai alors lu quelque chose d’autre dans les paroles de Dieu : « Comme toute personne, quel que soit ton calibre, quel que soit ton âge ou la durée de ta croyance en Dieu, tu dois t’efforcer de te diriger vers le chemin de la poursuite de la vérité. Tu ne devrais pas mettre l’accent sur la moindre logique objective, tu devrais poursuivre la vérité de manière inconditionnelle. Ne perds pas ton temps. Si tu cherches la vérité et consacres tes efforts à la poursuite de la vérité en tant que grande affaire de ta vie, il se peut que la vérité que tu gagneras et que tu pourras atteindre dans ta poursuite ne soit pas ce que tu as souhaité. Mais si Dieu dit qu’Il te donnera une destination appropriée en fonction de ton attitude dans ta poursuite et de ta sincérité, alors comme ce sera merveilleux ! Pour l’instant, ne te concentre pas sur ce que seront ta destination ou ta fin, ou sur ce qui se passera et sur ce que l’avenir te réserve, ou sur le fait de savoir si tu seras ou non capable d’éviter le désastre et de ne pas mourir. Ne pense pas à ces choses et ne pose pas de questions à leur sujet. Concentre-toi seulement sur la poursuite de la vérité dans les paroles de Dieu et dans Ses exigences, sur le fait de bien accomplir ton devoir, et de satisfaire la volonté de Dieu, pour ne pas t’avérer indigne des six mille ans d’attente de Dieu, de Ses six mille ans d’anticipation. Apporte un certain réconfort à Dieu. Laisse-Le voir qu’il y a un certain espoir pour toi, et laisse Ses souhaits se réaliser en toi. Dis-Moi, Dieu te maltraiterait-Il si tu faisais cela ? Bien sûr que non ! Et même si, en fin de compte, le résultat final n’est pas ce que l’on aurait souhaité, comment les gens devraient-ils traiter ce fait, en tant qu’êtres créés ? Ils devraient se soumettre en toutes choses aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, sans aucune arrière-pensée personnelle. N’est-ce pas le point de vue que les êtres créés devraient adopter ? (Si.) Il s’agit là du bon état d’esprit » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité). « La poursuite de la vérité est une question considérable de la vie humaine. Aucune autre question n’est aussi importante que la poursuite de la vérité, et aucune autre question ne surpasse, en valeur, l’obtention de la vérité. A-t-il été facile de suivre Dieu jusqu’à aujourd’hui ? Dépêche-toi, et fais de ta poursuite de la vérité une question d’importance ! Cette étape de l’œuvre dans les derniers jours est l’étape la plus importante de l’œuvre que Dieu fait sur les gens dans Son plan de gestion de six mille ans. La poursuite de la vérité est la plus haute attente que Dieu a vis-à-vis de Son peuple élu. Il espère que les gens suivront le chemin correct, qui est la poursuite de la vérité » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité). Lire cela m’a vraiment inspirée et émue. Dieu nous a tout dit de Sa volonté, de ce qu’Il exige et de ce qu’Il espère des hommes. Il ne Se soucie pas de savoir si notre calibre est fort ou faible, ni de notre âge ou du nombre de devoirs que nous avons accomplis, et Il Se soucie simplement de savoir si nous poursuivons la vérité, si nous sommes dévoués et obéissants dans notre foi. Exactement comme à l’ère de la Grâce, quand une veuve n’avait offert en sacrifice que deux petites pièces, et qu’elle avait pourtant gagné l’approbation de Dieu, parce qu’elle Lui avait donné tout ce qu’elle possédait. Dieu avait vu sa sincérité. Même si je suis âgée, maintenant, et que je ne peux pas égaler les jeunes dans quelque domaine que ce soit, je ne suis pas négative. Je veux aller de l’avant et profiter de chaque journée. Tant que j’ai encore tous mes moyens et ma raison, je dois vraiment poursuivre la vérité davantage et lire davantage les paroles de Dieu, pratiquer la moindre chose que je comprenne et faire de mon mieux dans mon devoir. Ainsi, quand je mourrai, mon cœur sera en paix et je ne décevrai pas Dieu alors qu’Il m’aura nourrie toute ma vie. Dieu m’a permis de naître dans les derniers jours. J’ai pu accepter Son œuvre des derniers jours à l’âge de 60 ans, assister à l’apparition de Dieu, entendre Sa voix en personne, et faire l’expérience du jugement et du châtiment de Ses paroles. C’étaient là l’immense grâce et l’immense bénédiction de Dieu pour moi. Si je continuais à vivre embourbée dans la tristesse de la vieillesse, sans me dire qu’il était urgent de saisir cette chance de poursuivre la vérité, j’allais rater l’occasion de faire l’expérience de l’œuvre de Dieu et d’être sauvée. Si je voulais poursuivre la vérité par la suite, j’aurais déjà laissé passer ma chance, et il serait alors trop tard pour avoir des regrets. J’ai donc prié Dieu : « Ô Dieu ! Je suis prête à me repentir. Je ne veux plus vivre dans un état de négativité, d’anxiété et d’incompréhension. Je veux mettre Tes paroles en pratique, faire tout mon possible pour poursuivre la vérité tant que je serai en vie et prendre le bon chemin dans la vie. Je veux mettre en pratique tout ce que je comprends de Tes paroles, faire mon devoir et satisfaire Ta volonté. Que je sois bénie ou que j’endure le malheur, je suis prête à me soumettre à Ta souveraineté et à Tes arrangements. »

À partir de ce moment-là, je me suis attachée à lire plus souvent les paroles de Dieu et à y réfléchir davantage. Je consacre toute mon énergie au moindre devoir que l’Église a besoin que j’accomplisse. J’ai gagné en expérience et en connaissance grâce à mes années de croyance, alors j’ai pratiqué la rédaction d’articles pour rendre témoignage à Dieu. En particulier parce que ceux qui prêchent l’Évangile ont maintenant besoin de bons articles pour résoudre les notions des gens religieux, et en tant que personne de foi de longue date, j’aimerais en rédiger davantage, pour contribuer à la diffusion de l’Évangile du Règne. En outre, comme j’ai un tempérament assez arrogant et que j’ai tendance à contraindre ma famille du fait de cette arrogance, je cherche la vérité pour résoudre cet aspect de ma corruption et vivre une humanité normale devant ma famille. Dans mes interactions habituelles avec les frères et sœurs, quand je vois quelqu’un faire quelque chose qui s’oppose aux principes, si j’ai peur de dire quelque chose qui pourrait offenser cette personne, ou lui donner une mauvaise image de moi, je prie Dieu en Lui disant que je refuse de vivre selon des philosophies sataniques, et je me concentre sur la pratique de la vérité, en défendant les intérêts de l’Église, au lieu d’être simplement une bénie-oui-oui. Maintenant, je m’entraîne à pratiquer la vérité à la moindre petite occasion, et je me sens vraiment en paix et emplie de joie. Si j’ai pu échapper à l’angoisse, à l’anxiété et à l’inquiétude, c’est entièrement dû à la direction et à la grâce de Dieu. Je suis vraiment reconnaissante à Dieu ! Que toute la gloire revienne à Dieu Tout-Puissant !

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