Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité

Ces derniers temps, nous avons surtout échangé sur certaines déclarations se rapportant à la conduite morale. Nous avons analysé, disséqué et exposé les déclarations portant sur tous les aspects de la conduite morale qui ont été avancées par la culture traditionnelle les unes après les autres. Cela a permis aux gens de faire preuve de discernement à l’égard des diverses déclarations sur la conduite morale qui sont considérées comme des choses positives dans la culture traditionnelle et de percevoir leurs essences. Quand une personne a une compréhension claire de ces déclarations, elle se met à en être dégoûtée et à pouvoir les rejeter. Ensuite, elle peut progressivement renoncer à ces choses dans la vie réelle. En mettant de côté son approbation de la culture traditionnelle, sa foi aveugle en elle et son adhésion à cette culture, cette personne sera capable d’accepter les paroles de Dieu et d’accepter dans son cœur les exigences de Dieu et les vérités-principes qu’un individu doit posséder, de sorte que ces exigences et ces principes pourront supplanter dans son cœur la culture traditionnelle. Ainsi, cette personne pourra vivre une ressemblance humaine et gagner l’approbation de Dieu. En résumé, le but de la dissection de ces diverses déclarations sur la conduite morale embrassées par la culture traditionnelle de l’humanité est d’apporter aux gens un discernement et une connaissance clairs de l’essence qui se cache derrière ces déclarations sur la conduite morale et de la façon dont Satan s’en sert pour corrompre, séduire et contrôler l’humanité. Les gens pourront ainsi discerner exactement ce qu’est la vérité et ce que sont les choses positives. Pour être précis, après avoir vu clairement au-delà de ces déclarations sur la conduite morale, jusqu’à leur essence, leur vraie nature, et la ruse de Satan, les gens devraient être capables de savoir exactement ce qu’est la vérité. Il ne faut pas confondre la culture traditionnelle et les déclarations sur la conduite morale qu’elle inculque aux gens avec la vérité. Ces choses ne sont pas la vérité, elles ne peuvent pas remplacer la vérité et elles n’ont assurément rien à voir avec la vérité. La culture traditionnelle, quoi qu’elle aborde et quelles que soient ses déclarations et exigences spécifiques, ne représente que les consignes, l’endoctrinement et la tromperie de Satan, et le lavage de cerveau de l’humanité par Satan. Elle représente la ruse de Satan, ainsi que la nature-essence de Satan. Elle n’a aucun rapport avec la vérité et les exigences de Dieu. Donc, quelle que soit la qualité de ta pratique, pour ce qui est de la conduite morale, ou de ta mise en œuvre et de ta compréhension de celle-ci, cela ne signifie pas que tu pratiques la vérité ou que tu es une personne pourvue d’humanité et de bon sens, et cela ne veut certainement pas dire que tu es capable de satisfaire la volonté de Dieu. Aucune déclaration ou exigence se rapportant à la conduite morale, quel que soit le genre de personne ou de comportement que celle-ci vise, n’a quoi que ce soit à voir avec les exigences de Dieu à l’égard de l’homme. Tout cela n’a rien à voir avec la vérité que Dieu demande à l’homme de pratiquer, ni avec les principes auxquels l’homme devrait adhérer. Avez-vous réfléchi à cette question ? La comprenez-vous clairement, maintenant ? (Oui.)

Sans échange minutieux sur ces diverses déclarations de la culture traditionnelle et sans dissection détaillée de ces déclarations, les gens ne peuvent pas voir que les déclarations faites par la culture traditionnelle sont fausses, trompeuses et erronées. Par conséquent, dans les profondeurs de leur cœur, les gens continuent de considérer que ces diverses déclarations de la culture traditionnelle font partie du credo ou des règles auxquelles ils devraient adhérer dans leur façon d’agir et de se comporter. Ils traitent encore les comportements et la conduite morale qui sont jugés positifs dans la culture traditionnelle comme la vérité et ils les respectent en tant que tel, les confondant même avec la vérité. Pire encore, les gens les prêchent et les promeuvent comme s’ils avaient raison, comme s’il s’agissait de choses positives et même comme s’il s’agissait de la vérité. Ils égarent les autres, ils les perturbent et ils les empêchent de venir devant Dieu pour accepter la vérité. C’est un problème particulièrement réel, que tout le monde peut voir. Les gens prennent souvent pour la vérité les déclarations sur la conduite morale qui sont perçues comme bonnes et positives par l’homme. Ils vont même jusqu’à citer des déclarations et des paroles issues de la culture traditionnelle pour échanger et prêcher quand ils sont dans des réunions et qu’ils communient au sujet des paroles de Dieu. Il s’agit là d’un problème très grave. Ce genre de problème ou d’événement ne devrait pas survenir dans la maison de Dieu, pourtant, c’est souvent le cas, c’est un problème très fréquent. Cela démontre qu’il y a un autre problème : quand les gens ne comprennent pas la véritable essence de la culture traditionnelle et les déclarations sur la conduite morale, ils traitent souvent les déclarations de la culture traditionnelle sur la conduite morale comme des choses positives qui peuvent remplacer ou supplanter la vérité. Cela arrive-t-il fréquemment ? (Oui.) Par exemple, des déclarations de la culture traditionnelle telles que : « Soyez bons avec les autres », « L’harmonie est un trésor, la patience, c’est du génie », « Si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts », « Les exécutions n’ont d’autre effet que de faire rouler des têtes, soyez cléments dans toute la mesure du possible », « La gentillesse d’une goutte d’eau devrait être récompensée par une source jaillissante », et des déclarations encore plus appréciées, comme : « Je prendrais une balle pour un ami » et « Un sujet loyal ne peut pas servir deux rois, une honnête femme ne peut pas se remarier », sont déjà devenues des credos, en fonction desquelles les gens se comportent, et des critères et des normes à l’aune desquels on juge de la noblesse d’une personne. Donc, même après avoir entendu une grande partie de la parole de Dieu et de la vérité, les gens se servent encore des déclarations et des théories de la culture traditionnelle comme s’il s’agissait de normes à l’aune desquelles ils évaluent les autres et considèrent les choses. Quel est le problème ici ? Cela démontre un problème très grave, qui est que la culture traditionnelle occupe une place excessivement importante dans les profondeurs du cœur de l’homme. N’est-ce pas ce que cela démontre ? (Si.) Toutes les diverses idées que Satan a inculqué aux gens se sont profondément enracinées dans leur cœur. Ces idées l’ont emporté et sont devenues le courant dominant dans la vie, les environnements et les sociétés de toute l’humanité. Donc, non seulement la culture traditionnelle occupe une place importante dans les profondeurs du cœur des hommes, mais elle influence et contrôle profondément les principes et les attitudes, les perspectives et les méthodes à l’aide desquels les hommes considèrent les gens et les choses, se comportent et agissent. Même quand les hommes ont accepté la conquête des paroles de Dieu, ainsi que leur exposition, leur jugement et leur châtiment, ces idées de la culture traditionnelle occupent encore une place importante dans leur monde spirituel et dans les profondeurs de leur cœur. Cela signifie que ces idées contrôlent l’orientation, les objectifs, les principes, les attitudes et les perspectives qui sous-tendent leur façon de considérer les gens et les choses, leur façon de se comporter et d’agir. Cela ne signifie-t-il pas que les gens sont complètement devenus les prisonniers de Satan ? N’est-ce pas là un fait ? (Si.) C’est un fait. La façon dont les gens vivent, et leurs objectifs dans la vie, les opinions et les attitudes avec lesquelles ils abordent toutes choses, tout cela est entièrement basé sur la culture traditionnelle, que Satan encourage en eux et qu’il leur inculque. La culture traditionnelle occupe la position dominante dans la vie des gens. On peut dire qu’après que les gens sont venus devant Dieu et qu’ils ont entendu Ses paroles, et même après qu’ils ont accepté certaines déclarations et opinions correctes émanant de Lui, diverses pensées issues de la culture traditionnelle occupent encore une position dominante et importante dans leur monde spirituel et dans les profondeurs de leur cœur. À cause de ces pensées, les gens ne peuvent pas s’empêcher de considérer Dieu, Ses paroles et Son œuvre à l’aide des méthodes, des opinions et des attitudes de la culture traditionnelle. Ils vont même jusqu’à juger, analyser et étudier les paroles, l’œuvre, l’identité et l’essence de Dieu en se basant sur cela. N’est-ce pas le cas ? (Si.) C’est un fait incontestable. Même quand les gens ont été conquis par les paroles et l’œuvre de Dieu, par Ses actes, Son essence, Sa puissance et Sa sagesse, la culture traditionnelle occupe encore une place importante dans les profondeurs de leur cœur, à tel point que rien ne peut la supplanter. Naturellement, c’est également vrai des paroles de Dieu et de la vérité. Même quand les gens ont été conquis par Dieu, Ses paroles et la vérité ne peuvent remplacer la culture traditionnelle dans leur cœur. Voilà qui est vraiment triste et effrayant. Les gens s’accrochent à la culture traditionnelle tout en suivant Dieu, tout en écoutant Ses paroles, tout en acceptant la vérité et diverses idées émanant de Lui. En apparence, ces gens semblent suivre Dieu, mais les diverses idées, opinions et perspectives que la culture traditionnelle et Satan leur ont inculqué occupent, de façon inébranlable et sans qu’il soit possible de les remplacer, une place dans leur cœur. Bien que les gens puissent manger et boire les paroles de Dieu tous les jours, et qu’ils puissent souvent prier et lire, et souvent contempler ces paroles, les idées, principes et méthodes de base qui sous-tendent la façon dont ils voient les gens et les choses, ainsi que la façon dont ils se comportent et agissent, sont encore basés sur la culture traditionnelle. Par conséquent, la culture traditionnelle affecte les gens en les soumettant à ses manipulations, à ses orchestrations et à son contrôle dans leur vie quotidienne, C’est aussi inébranlable et inéluctable que leur propre ombre. Pourquoi cela ? Parce que les gens ne peuvent pas découvrir, disséquer ni exposer, dans les profondeurs de leur cœur, les diverses idées et opinions que la culture traditionnelle et Satan ont instillées en eux. Ils ne peuvent pas reconnaître ces choses, les percer à jour, se rebeller contre elles ni les abandonner. Ils ne peuvent pas considérer les gens et les choses, se comporter ou agir de la manière dont Dieu leur dit de le faire, ni de la manière qu’Il enseigne et montre. Dans quel genre de situation difficile la plupart des gens vivent-ils encore à cause de cela ? Une situation dans laquelle ils ont, au fond du cœur, le désir de considérer les gens et les choses, de se comporter et d’agir, en se basant sur les paroles de Dieu, le désir de ne pas enfreindre la volonté de Dieu et de ne pas aller à l’encontre de la vérité. Pourtant, sans se défendre et involontairement, ils continuent d’interagir avec les autres, de se conduire et traiter les choses selon les méthodes enseignées par Satan. Fondamentalement, les gens désirent ardemment la vérité et ils souhaitent posséder un immense désir de Dieu, considérer les gens et les choses, se comporter et agir conformément aux paroles de Dieu et ne pas violer les vérités-principes. Néanmoins, tout se termine toujours de manière contraire à leurs souhaits. Même lorsqu’ils ont redoublé d’efforts, le résultat qu’ils obtiennent n’est toujours pas celui qu’ils désiraient. Quels que soient la façon dont les gens luttent, les efforts qu’ils déploient et l’étendue de ce qu’ils résolvent et de leur désir d’atteindre l’amour des choses positives, en fin de compte, la vérité qu’ils sont capables de pratiquer et les critères de la vérité qu’ils sont capables de suivre dans la vraie vie sont rares. C’est ce qui désole le plus les gens, au fond de leur cœur. Quelle en est la raison ? L’une des raisons n’est autre que celle-ci : les diverses idées et opinions que la culture traditionnelle enseigne aux gens dominent encore leur cœur et contrôlent leurs paroles, leurs actes, leurs idées, ainsi que leurs méthodes et la manière dont ils se comportent et agissent. Par conséquent, les gens doivent se soumettre à un processus afin de reconnaître la culture traditionnelle, de la disséquer et de l’exposer, de la discerner et de la percer à jour, et finalement, de l’abandonner à jamais. Il est très important de le faire, ce n’est pas quelque chose de facultatif. La raison en est que la culture traditionnelle domine déjà les profondeurs du cœur des gens, elle domine même entièrement les gens. Cela signifie que, dans leur vie, les gens ne peuvent pas s’empêcher de violer la vérité dans leur façon de se conduire et de gérer les choses, et qu’ils ne peuvent éviter d’être contrôlés et influencés par la culture traditionnelle, comme ils l’ont été jusqu’à aujourd’hui.

Si l’on souhaite accepter complètement la vérité dans sa croyance en Dieu, et pratiquer et gagner totalement la vérité, on doit commencer par mettre au jour, découvrir et connaître, en profondeur et spécifiquement, les diverses idées et opinions de la culture traditionnelle. Bien entendu, ces idées de la culture traditionnelle occupent une place importante dans le cœur de toute personne, pourtant différentes personnes s’accrochent à différents aspects de l’endoctrinement de la culture traditionnelle. Chaque personne se focalise sur une partie différente de cet endoctrinement. Certains prônent particulièrement la déclaration : « Je prendrais une balle pour un ami. » Ces gens sont très loyaux vis-à-vis de leurs amis, et la loyauté est plus importante pour eux que quoi que ce soit d’autre. La loyauté est leur vie. Dès leur naissance, ils vivent pour la loyauté. Certains accordent vraiment de l’importance à la bonté. S’ils font l’objet d’un acte de bonté de la part de quelqu’un, que cet acte soit petit ou grand, ils prennent cela à cœur et rendre cet acte de bonté devient la chose la plus importante dans leur vie, cela devient leur mission dans la vie. Certains accordent de l’importance à l’idée de faire bonne impression aux autres. Ils se focalisent sur le fait de devenir quelqu’un d’honorable, de noble, de convenable et d’amener les autres à les respecter et à avoir une haute opinion d’eux. Ils veulent que les autres disent du bien d’eux, ils veulent avoir une bonne réputation, ils veulent qu’on les loue, ils veulent que tout le monde les approuve. Chaque personne se concentre sur quelque chose de différent dans sa poursuite des diverses déclarations de la culture traditionnelle et de la conduite morale. Certains accordent de l’importance à la célébrité et à la richesse, d’autres à l’intégrité, d’autres encore à la pureté, et certains accordent de l’importance au fait de rendre les actes de bonté. Certains accordent de l’importance à la loyauté, d’autres à la bienveillance, et d’autres encore à la bienséance, ils se montrent respectueux et bien élevés avec tout le monde, ils cèdent toujours la priorité aux autres et les laissent passer en premier, et ainsi de suite. Tout le monde se focalise sur quelque chose de différent. Donc, si tu souhaites comprendre comment la culture traditionnelle t’a affecté et comment elle te contrôle, si tu souhaites savoir quel poids elle a dans les profondeurs de ton cœur, tu dois analyser le genre de personne que tu es et ce à quoi tu accordes de l’importance. Te soucies-tu de la « bienséance » ou de la « bienveillance » ? Accordes-tu de l’importance à la « fiabilité » ou à « l’indulgence » ? Examine les choses sous différents angles et regarde ton comportement réel afin de disséquer quel aspect de la culture traditionnelle a eu l’influence la plus profonde sur toi et de savoir pourquoi tu poursuis la culture traditionnelle. Quelle que soit l’essence de la culture traditionnelle que tu poursuis, voilà le genre de personne que tu es. Quel que soit le genre de personne que tu es, c’est ce qui domine ta vie, et quelle que soit la chose qui domine ta vie, c’est ce que tu dois reconnaître, disséquer, élucider, c’est ce contre quoi tu dois te rebeller et ce à quoi tu dois renoncer. Après avoir découvert cette chose et en avoir gagné une compréhension, tu pourras progressivement rompre avec la culture traditionnelle, véritablement y renoncer, et finalement t’en détacher complètement et l’extirper des profondeurs de ton cœur. Alors, tu seras capable d’y renoncer entièrement et de l’éradiquer. Quand tu auras fait cela, la culture traditionnelle ne jouera plus le rôle le plus important dans ta vie. Au contraire, les paroles de Dieu et la vérité commenceront lentement à jouer un rôle prépondérant dans les profondeurs de ton cœur et elles deviendront ta vie. Les paroles de Dieu et la vérité occuperont lentement une place importante dans ton cœur et les paroles de Dieu et Dieu Lui-même s’assiéront sur le trône, dans ton cœur, et régneront en tant que ton Roi. Ils occuperont chaque partie de toi. La détresse liée au fait de vivre ne te semblera-t-elle pas alors moindre ? Ta vie ne deviendra-t-elle pas de moins en moins éprouvante ? (Si.) Ne te sera-t-il pas plus facile de considérer les gens et les choses, de te comporter et d’agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère ? (Si.) Ce sera bien plus facile. Je vois que vous êtes tous très occupés par vos devoirs chaque jour. En plus de lire les paroles de Dieu, vous devez également échanger sur la vérité chaque jour, lire, écouter, mémoriser et écrire. Vous y consacrez beaucoup de temps et d’énergie, vous payez un prix énorme, vous souffrez énormément, et peut-être que vous comprenez une grande partie de la doctrine. Cependant, quand il s’agit d’accomplir votre devoir, il est dommage que vous ne puissiez pas pratiquer la vérité et que vous ne puissiez pas saisir les principes. Vous avez écouté divers aspects de la vérité et échangé à ce sujet de nombreuses fois, mais quand il vous arrive quelque chose, vous ne savez pas comment faire l’expérience des paroles de Dieu, comment les pratiquer ou comment vous en servir. Vous ne savez pas comment pratiquer la vérité, vous devez encore la chercher et en discuter avec les autres. Pourquoi faut-il autant de temps pour que les paroles de Dieu prennent racine dans le cœur d’une personne ? Pourquoi est-ce aussi difficile de comprendre la vérité et d’agir conformément aux principes grâce aux paroles de Dieu ? On ne peut exclure, comme cause principale de tout cela, l’énorme influence que la culture traditionnelle exerce sur les gens. La culture traditionnelle occupe une place importante dans le cœur des gens depuis très longtemps et elle contrôle les pensées et l’esprit des gens. La culture traditionnelle laisse libre cours aux tempéraments corrompus de l’homme. L’homme se sent à l’aise en les révélant, comme un boucher avec son couteau, comme un poisson dans l’eau. N’est-ce pas le cas ? (Si.) La culture traditionnelle est étroitement liée aux tempéraments corrompus de l’homme. Les deux vont ensemble et se renforcent mutuellement. Quand des tempéraments corrompus rencontrent la culture traditionnelle, ils peuvent, comme des poissons dans l’eau, exhiber toutes leurs capacités. Les tempéraments corrompus aiment et ont besoin de la culture traditionnelle. Donc, sous l’influence du conditionnement exercé pendant des millénaires par la culture traditionnelle, l’homme a été corrompu encore plus profondément par Satan, et les tempéraments corrompus de l’homme sont devenus de plus en plus graves et excessifs. Sous prétexte de culture traditionnelle et dans les limites de ce que celle-ci présente, ces tempéraments deviennent non seulement de plus en plus graves, mais aussi de plus en plus déguisés. Des tempéraments comme l’arrogance, la malhonnêteté, la méchanceté, l’intransigeance et le dégoût de la vérité deviennent de plus en plus dissimulés et masqués. Ils se révèlent de façon de plus en plus rusée, ce qui fait que les gens ont du mal à les repérer. Alors, sous l’influence du conditionnement, des consignes, de la tromperie et du contrôle de la culture traditionnelle, qu’est devenu progressivement le monde de l’humanité ? Ce monde est devenu un monde de démons. Les gens ne vivent pas comme des êtres humains, ils n’ont aucune ressemblance humaine, aucune humanité. Et pourtant, les gens qui s’accrochent à la culture traditionnelle et qui, depuis longtemps, sont endoctrinés, imprégnés et possédés par cette culture sont de plus en plus convaincus de leur propre grandeur, de leur noblesse et de leur transcendance. Ils sont incroyablement égocentriques. Aucun d’entre eux ne pense qu’il est insignifiant, qu’il est sans valeur, qu’il n’est qu’un minuscule être créé. Aucun d’entre eux n’est disposé à être un individu normal. Ces gens-là veulent tous être célèbres, éminents et sages. Sous l’influence du conditionnement de la culture traditionnelle, non seulement les gens veulent se surpasser, mais ils veulent également surpasser le monde entier et toute l’humanité. Tu as déjà entendu cette chanson que chantent les incroyants : « Je veux voler plus haut, voler plus haut », et la chanson qui dit : « Je ne suis qu’un petit oiseau, je veux voler, mais je ne peux voler haut. » Ces paroles ne sont-elles pas dépourvues de raison, privées de toute humanité, de tout bon sens ? Ces chansons ne sont-elles pas les hurlements sauvages de Satan ? (Si.) Ces chansons sont le bruit que font les hurlements sauvages de Satan. Donc, quelle que soit la façon dont on examine les choses, le poison de la culture traditionnelle s’est infiltré depuis longtemps dans le cœur des hommes, et ce n’est pas quelque chose qui peut être éliminé du jour au lendemain. Ce n’est pas aussi facile que de surmonter un défaut personnel ou une mauvaise habitude, tu dois découvrir tes pensées, tes opinions et ton tempérament corrompu, et éradiquer de ta vie la racine vénéneuse de la culture traditionnelle, conformément à la vérité. Ensuite, tu dois considérer les gens et les choses, te comporter et agir selon les paroles et les exigences de Dieu, et faire de la vérité de Ses paroles ta vie. Ce n’est qu’en faisant cela que tu emprunteras vraiment le bon chemin en suivant Dieu et en croyant en Lui.

Nous avons déjà beaucoup fait pour disséquer et exposer le sujet de la culture traditionnelle, et nous avons longuement échangé sur cette culture. Peu importe l’ampleur et la durée de nos échanges, l’objectif reste de résoudre les diverses difficultés qui surviennent quand les gens poursuivent la vérité, ou les difficultés et problèmes divers qui se présentent lors de leur entrée dans la vie. Le but est d’éliminer toutes les barrières, tous les obstacles et toutes les difficultés – parmi lesquels prédominent les diverses déclarations, idées et opinions de la culture traditionnelle – qui empêchent les gens de poursuivre la vérité. À ce jour, nous avons, pour l’essentiel, terminé notre échange sur le sujet de la culture traditionnelle. Alors, avons-nous fini d’échanger sur des sujets liés à la poursuite de la vérité ? (Non.) Notre échange sur la culture traditionnelle et notre dissection de celle-ci étaient-ils liés à la poursuite de la vérité ? (Oui.) Ils étaient liés à la poursuite de la vérité. La culture traditionnelle constitue la plus grande difficulté que les gens rencontrent sur le chemin de la poursuite de la vérité. Maintenant que nous avons fini d’échanger sur la culture traditionnelle, qui est le plus grand obstacle à la poursuite de la vérité par l’homme, nous allons échanger aujourd’hui sur la question : « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? » Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? Avons-nous déjà échangé sur cette question ? Pourquoi devons-nous échanger sur cette question ? Est-ce une question importante ? (Oui.) Pourquoi est-elle importante ? Partagez vos réflexions. (Ma compréhension en est que la poursuite de la vérité est directement liée au salut de l’homme. Parce que nous avons tous des tempéraments gravement corrompus et que nous avons été endoctrinés et profondément empoisonnés par la culture traditionnelle depuis notre plus jeune âge, nous devons poursuivre la vérité ou nous ne pourrons pas discerner les choses négatives qui émanent de Satan. Nous ne serons pas non plus capables de pratiquer la vérité et nous ne saurons pas comment agir de façon positive, en accord avec la volonté de Dieu. Nous n’aurons d’autre choix que d’agir et de nous comporter selon notre tempérament corrompu. Si c’est ainsi que l’on croit en Dieu, en fin de compte, on restera un Satan vivant et on ne sera pas une personne que Dieu sauvera. Par conséquent, poursuivre la vérité est très important. De plus, notre tempérament corrompu ne peut être purifié que grâce à la poursuite de la vérité. C’est également la seule façon de corriger nos idées erronées sur la façon dont nous devons considérer les gens et les choses, et la seule façon de nous comporter et d’agir. C’est seulement après avoir compris et gagné la vérité qu’une personne peut faire son devoir avec compétence et devenir quelqu’un qui se soumet à Dieu. Sinon, cette personne suivra involontairement son tempérament corrompu et fera des choses dans son devoir qui interrompent et perturbent le travail de l’Église.) Tu as fait deux remarques pertinentes. Quelle était Ma question ? (Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ?) Est-ce là une question simple ? Cette question semble être une question simple, une question de cause à effet. Partagez-vous tous l’opinion que poursuivre la vérité est lié, dans un sens, au salut d’une personne et, dans un autre sens, au fait de ne pas provoquer d’interruptions ou de perturbations ? (Oui.) Quand vous dites les choses de cette façon, la question semble effectivement assez simple. Est-elle vraiment si simple que ça ? Partagez vos réflexions. (Je pense qu’il est plus simple de répondre à la question « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? » d’un point de vue théorique, mais quand cette question implique de réellement pratiquer et d’entrer dans la réalité, elle n’est pas simple.) « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? » : combien d’autres questions cette question englobe-t-elle ? Elle englobe des questions comme celles-ci : quelle est la signification de la poursuite de la vérité, quelles en sont les raisons ? Quoi d’autre ? (L’importance de la poursuite de la vérité.) C’est exact : cette question englobe également l’importance de la poursuite de la vérité, elle comprend ces autres questions. Si l’on tient compte de ces choses, la question « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? » est-elle simple ? (Non.) Réfléchissez de nouveau à cette question : « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? », à la lumière de ces choses. D’abord, repensez-y : que signifie poursuivre la vérité ? Comment doit-on définir cela ? (Voir les gens et les choses, et se comporter et agir selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère.) Est-ce exact ? Il vous manque le terme « entièrement ». Relisez cela. (Voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère.) La question : « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? » est liée aux opinions des individus sur les gens et les choses, et à leur comportement et à leurs actes. Elle traite de la façon dont les individus devraient considérer les choses et les gens, et de la façon dont ils devraient se comporter et agir, et de la raison pour laquelle ils devraient considérer les choses et les gens, ainsi que se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu et avec la vérité comme critère. La raison pour laquelle ils devraient poursuivre cette façon de faire les choses, n’est-ce pas là la racine de cette question ? N’est-ce pas là la question fondamentale ? (Si.) Vous avez désormais compris le sens fondamental de la question. Revenons à la question elle-même : « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? » Cette question n’est pas simple. Elle englobe la signification et la valeur de la poursuite de la vérité, et elle comporte un autre aspect qui est de la plus haute importance : si l’on se base sur l’essence et les instincts de l’humanité, cette dernière a besoin de la vérité en tant que vie et donc, l’humanité doit poursuivre la vérité. Naturellement, ceci est également lié à l’avenir et à la survie de l’humanité. Pour dire les choses simplement, la poursuite de la vérité est liée au salut des gens et au changement de leur tempérament corrompu. Naturellement, cette poursuite est également liée aux différentes choses que les gens vivent, à leurs déversements et à leurs comportements dans leur vie quotidienne. Si les gens ne poursuivent pas la vérité, on peut dire précisément que leurs chances d’être sauvés sont nulles. Si les gens ne poursuivent pas la vérité, il y a cent pour cent de chances qu’ils résistent à Dieu, Le trahissent et Le rejettent. Ils peuvent résister à Dieu et Le trahir à tout moment et en tout lieu. Et naturellement, ils peuvent perturber le travail de l’Église et de la maison de Dieu, ou faire quelque chose qui provoque une perturbation ou une interruption, également à tout moment et en tout lieu. Voilà quelques-unes des raisons les plus simples et les plus élémentaires pour lesquelles les gens doivent poursuivre la vérité, raisons que l’on peut voir et comprendre dans leur vie quotidienne. Mais aujourd’hui, nous allons seulement échanger sur certains aspects cruciaux de la question « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? » Nous avons déjà échangé sur les aspects les plus fondamentaux de cette question, que les gens ont compris et reconnus en tant que doctrine, alors aujourd’hui, nous n’allons pas échanger sur ces questions élémentaires et simples. Nous nous contenterons d’échanger sur plusieurs éléments principaux. Pourquoi échangeons-nous à propos de la poursuite de la vérité ? Clairement, ce sujet contient des questions plus importantes, des questions que les gens ne peuvent pas tirer au clair, qu’ils ne connaissent pas et ne comprennent pas, mais qui nécessitent leur entendement et leur compréhension.

Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? Nous ne commencerons pas par les aspects élémentaires de cette question que les gens saisissent et comprennent déjà, ni par la doctrine que les gens connaissent déjà. Alors, par quoi allons-nous commencer ? Nous devons commencer à la racine de cette question, par le plan de gestion de Dieu et la volonté de Dieu. Que signifie commencer à la racine de cette question ? Cela veut dire que nous commencerons par le plan de gestion de Dieu et la création de l’humanité par Dieu. Depuis que les gens existent, depuis qu’un être vivant – c’est-à-dire l’humanité créée – a reçu le souffle de Dieu, Dieu a prévu de gagner un groupe parmi l’humanité. Ce groupe sera capable de saisir, de comprendre et de respecter Ses paroles. Il sera capable de faire office d’intendant pour toutes choses, pour les myriades de la création de Dieu, de ses plantes, animaux, forêts, océans, rivières, lacs, montagnes, ruisseaux, plaines et ainsi de suite, conformément à Ses paroles. Après avoir conçu ce plan, Dieu a commencé à placer Ses espoirs dans l’humanité en conséquence. Dieu espère qu’un jour, les gens seront capables de faire office d’intendants pour cette humanité, pour toutes les choses qui existent dans le monde et pour les différentes créatures qui vivent parmi eux, et qu’ils pourront le faire de manière ordonnée, selon les méthodes, les règles et les lois qu’Il a arrangées. Même si Dieu a déjà conçu ce plan et ces attentes, Son objectif final mettra longtemps à se réaliser. Ce n’est pas quelque chose qui peut être accompli en dix ou vingt ans, ni en cent ou deux cents ans, et certainement pas en mille ou deux mille ans. Il faudra six mille ans. Au cours de ce processus, l’humanité doit faire l’expérience de différentes périodes, ères, époques et de différentes étapes de l’œuvre de Dieu. Elle doit faire l’expérience des étoiles qui se déplacent dans le ciel, des mers qui s’assèchent et des rochers qui s’effritent. Elle doit faire l’expérience d’un changement spectaculaire. Dès les premiers êtres humains, qui étaient très peu nombreux, l’humanité a connu des hauts et des bas gigantesques, et les vicissitudes et changements de ce monde, après quoi, les gens sont devenus progressivement plus nombreux et ils ont, peu à peu, gagné de l’expérience, et l’agriculture, l’économie et les modes de vie et de survie de l’humanité ont progressivement changé et engendré de nouvelles méthodes. Ce n’est que lorsqu’une certaine période et une certaine ère auront été atteintes que les gens pourront parvenir au niveau auquel Dieu les jugera, les châtiera et les conquerra, et auquel Dieu exprimera, à leur intention, la vérité, Ses paroles et Sa volonté. Pour atteindre ce niveau, l’humanité a fait l’expérience d’un formidable bouleversement, comme toutes choses en ce monde. Naturellement, un changement spectaculaire a également eu lieu dans le ciel et dans le cosmos. Cette série de changements est survenue et est apparue progressivement, en même temps que la gestion de Dieu. Il a fallu beaucoup de temps pour que les gens atteignent le stade où ils viennent devant Dieu et acceptent Sa conquête, Son jugement et Son châtiment, et la provision de Ses paroles. Mais c’est une bonne chose, Dieu peut attendre, parce qu’il s’agit là de Son plan et que c’est Son souhait. Dieu doit attendre longtemps du fait de Son plan et de Son souhait. À ce jour, Il attend depuis vraiment très, très longtemps.

L’humanité ayant traversé son premier stade d’ignorance, d’illusion et de confusion, Dieu l’a faite entrer dans l’ère de la Loi. Même si l’humanité était entrée dans une nouvelle ère, une ère du plan de gestion de Dieu, même si les gens ne vivaient plus des vies sans contrainte ni discipline, comme des troupeaux de moutons, même s’ils étaient entrés dans un environnement de vie qui avait la direction, les consignes et les dispositions de la loi, les gens ne savaient que quelques choses simples, que la loi leur avait enseignées, qu’elle leur avait dites ou dont elle les avait informés, ou qui étaient déjà connues dans le cadre de la vie humaine : ce qu’est le vol, par exemple, ou ce qu’est l’adultère, ce qu’est le meurtre, comment les gens seront tenus pour responsables en cas de meurtre, comment interagir avec ses voisins, comment les gens seront tenus pour responsables de tel ou tel acte. L’humanité était passée de ses circonstances initiales, dans lesquelles elle ne savait rien et ne comprenait rien, à l’apprentissage des lois simples et essentielles de la conduite humaine et dont Dieu l’avait informée. Dieu ayant proclamé ces lois, les gens qui vivaient sous la loi savaient qu’ils devaient suivre les règles et respecter la loi, et dans leur esprit et dans leur monde intérieur, la loi faisait office de contrainte et de guide pour ce qui était de leur conduite, et l’humanité a eu une ressemblance initiale avec l’homme. Ces gens comprenaient qu’ils devaient suivre certaines règles et respecter certaines lois. Quelle que soit la façon dont ils les suivaient et la rigueur avec laquelle ils les respectaient, en tout état de cause, ces gens avaient davantage de ressemblance humaine que ceux qui venaient avant la loi. Pour ce qui était de leur comportement et de leur vie, ils agissaient et vivaient selon certaines normes et avec certaines contraintes. Ils n’étaient plus aussi perdus et ignorants qu’ils l’avaient été, ni plus aussi dépourvus d’objectifs dans la vie. Les lois de Dieu et toutes les déclarations que Dieu leur avait faites avaient pris racines dans leur cœur et y occupaient une certaine place. L’humanité n’était plus perdue, pour ce qui était de ce qu’elle devait faire. Elle ne vivait plus sans objectifs, sans orientation ou sans contrainte. Malgré cela, elle était encore très éloignée des gens des plans de Dieu et des souhaits de Dieu. Elle était encore loin de pouvoir agir en maître de toutes choses. Dieu devait encore attendre et Se montrer patient. Même si les gens qui vivaient sous la loi savaient qu’ils devaient adorer Dieu, ils ne le faisaient que pour la forme. La place et l’image de Dieu dans les profondeurs de leur cœur différaient complètement de la véritable identité et de la véritable essence de Dieu. Ces gens n’étaient donc pas encore les êtres humains créés que Dieu voulait et ils n’étaient toujours pas ceux que Dieu avait envisagés, des gens capables de faire office d’intendants pour toutes choses. Dans les profondeurs de leur cœur, l’essence, l’identité et le statut de Dieu étaient simplement ceux du Souverain de l’humanité, et les gens n’étaient que les sujets ou les bénéficiaires de ce Souverain, rien de plus. Dieu devait donc encore guider ces gens, qui vivaient sous la loi et ne connaissaient que la loi, pour qu’ils continuent d’aller de l’avant. Ces gens ne comprenaient rien, à part la loi. Ils ne savaient pas comment agir en tant qu’intendants pour toutes choses. Ils ne savaient pas qui était Dieu. Et ils ne connaissaient pas la bonne manière de vivre. Ils ne savaient pas comment se comporter et vivre selon les exigences de Dieu, et ils ne savaient pas non plus comment vivre de façon plus significative qu’ils ne le faisaient, ni ce que les gens devaient poursuivre dans leur vie, et ainsi de suite. Les gens vivant sous la loi étaient complètement ignorants de ces choses. En dehors de la loi, ces gens ne savaient rien des exigences de Dieu, de la vérité ou des paroles de Dieu. Parce qu’il en était ainsi, Dieu devait continuer à tolérer l’humanité, tandis que celle-ci existait sous la loi. Ces gens avaient fait un grand pas par rapport à ceux qui étaient venus avant eux. Ces gens, au moins, comprenaient ce qu’était le péché et qu’ils devaient respecter et suivre la loi, et vivre dans le cadre de la loi, mais ils étaient encore très en deçà des exigences de Dieu. Néanmoins, Dieu espérait encore ardemment et attendait.

Avec le développement des ères, avec le développement de l’humanité, avec les opérations de toutes choses, et avec les arrangements des mains de Dieu et Sa souveraineté, Son orientation et Sa direction, l’humanité, toutes choses et l’univers lui-même vont toujours de l’avant. L’humanité sous la loi, après avoir été contrainte par la loi pendant des milliers d’années, n’a plus été capable de défendre celle-ci, et l’humanité a suivi l’œuvre de Dieu dans l’ère suivante, que Dieu a initié : l’ère de la Grâce. Avec l’arrivée de l’ère de la Grâce, Dieu a débuté Son œuvre, basée sur le fait qu’Il avait envoyé des prophètes prédire cette ère. Cette phase de l’œuvre n’a pas été aussi douce ou aussi désirée que l’homme avait imaginé qu’elle le serait dans ses notions, et elle n’a pas non plus semblé aussi bonne qu’ils l’avaient pensé. Au contraire, en apparence, tout semblait aller à l’encontre de la prophétie. De ces conditions, un fait que l’homme n’aurait jamais deviné a émergé : le fait que la chair dans laquelle Dieu S’était incarné – le Seigneur Jésus – soit clouée sur la croix. Tout cela était au-delà de ce que l’homme avait prévu. En apparence, tout cela semblait être un événement cruel et sanglant, horrible à contempler, néanmoins, Dieu commençait à mettre un terme à l’ère de la Loi et initiait une nouvelle ère. Cette nouvelle ère est l’ère de la Grâce, que vous connaissez tous, à présent. L’ère de la Grâce semblait être venue au mépris des prophéties de Dieu à l’ère de la Loi. Assurément, elle est venue également dans la forme de la chair incarnée de Dieu se faisant clouer sur la croix. Tous ces événements ont eu lieu très soudainement et très naturellement, dans des conditions qui leur était propices. Tels ont été les moyens que Dieu a employé pour mettre fin à l’ancienne ère et en inaugurer une nouvelle, pour en provoquer une nouvelle. Même si tout ce qui est survenu au début même de cette ère était vraiment cruel et sanglant, inimaginable, voire soudain dans son arrivée, et rien n’était aussi merveilleux ou tendre que l’homme l’avait imaginé, même si la scène d’ouverture de l’ère de la Grâce était horrible à contempler et fendait le cœur, quelle était la seule chose dans cette scène qui valait la peine d’être célébrée ? La fin de l’ère de la Loi signifiait que Dieu n’avait plus à tolérer les divers comportements de l’humanité sous la loi. Cela signifiait que l’humanité avait fait un grand pas en avant, conforme à l’œuvre de Dieu et à Son plan, pour entrer dans une nouvelle ère. Bien entendu, cela signifiait aussi que les jours d’attente de Dieu avaient été raccourcis. L’humanité entrait dans une nouvelle ère, une nouvelle époque, ce qui signifiait que l’œuvre de Dieu avait fait un grand pas en avant, et que Son désir allait progressivement se réaliser, au fur et à mesure que Son œuvre allait de l’avant. L’arrivée de l’ère de la Grâce n’était pas très agréable à ses débuts, mais de la façon dont Dieu voyait les choses, l’humanité qui allait bientôt émerger, qui était l’humanité qu’Il voulait, s’approchait de plus en plus de Ses exigences et de Ses objectifs. Il s’agissait là de quelque chose de merveilleux et de louable, quelque chose qui valait la peine d’être célébré. Même si l’humanité avait cloué Dieu sur la croix, ce qui, pour l’homme, était triste à voir, l’instant même où Christ a été cloué sur la croix signifiait que l’ère suivante de Dieu, l’ère de la Grâce, était arrivée et, bien entendu, que l’œuvre de Dieu dans cette ère était sur le point de débuter. De plus, cela signifiait que la grande œuvre de cette occurrence de l’incarnation de Dieu avait été accomplie. Dieu allait faire face aux gens en tant que vainqueur, avec un nouveau nom et une nouvelle image, et le contenu de Sa nouvelle œuvre allait être ouvert et révélé à l’humanité. Et pendant ce temps, pour ce qui était de l’humanité, celle-ci n’allait plus être continuellement contrariée par de fréquentes violations de la loi, et en outre, elle n’allait plus être punie par la loi pour l’avoir violée. L’arrivée de l’ère de la Grâce a permis à l’humanité d’émerger de l’œuvre précédente de Dieu et d’entrer dans un environnement de travail tout nouveau, avec de nouvelles étapes pour l’œuvre et une nouvelle méthode de travail. Cela offrait à l’humanité une nouvelle entrée et une nouvelle vie, et, bien entendu, cela a permis l’émergence d’une nouvelle relation entre Dieu et l’homme, relation qui devenait un peu plus proche. En raison de l’incarnation de Dieu, l’homme a pu se confronter à Lui. L’homme entendait la voix et les paroles véritables et réelles de Dieu. L’homme a vu la manière dont Il a œuvré, ainsi que Son tempérament, et ainsi de suite. L’homme a entendu cela de ses propres oreilles et il l’a vu de ses propres yeux, dans tous les domaines. Il a fait l’expérience saisissante que Dieu était vraiment et effectivement venu parmi les hommes, que Dieu avait vraiment et effectivement été face à face avec l’homme, que Dieu était vraiment et effectivement venu vivre parmi l’humanité. Même si l’œuvre de Dieu dans cette incarnation n’a pas duré très longtemps, elle a permis à l’humanité de l’époque de faire l’expérience ferme et solide de ce que l’homme ressent vraiment quand il vit avec Dieu. Et même si ceux qui ont fait l’expérience de telles choses ne l’ont pas faite longtemps, Dieu a prononcé de nombreuses paroles dans cette occurrence de Son incarnation et ces paroles étaient tout à fait spécifiques. Il a beaucoup œuvré également et beaucoup de gens L’ont suivi. L’humanité a définitivement mis un terme à sa vie sous la loi de l’ancienne ère et elle est arrivée dans une ère complètement nouvelle : l’ère de la Grâce.

Étant entrée dans la nouvelle ère, l’humanité n’a plus vécu sous les contraintes de la loi, mais sous de nouvelles exigences et de nouvelles paroles de Dieu. Du fait de ces nouvelles paroles et exigences de Dieu, l’humanité a développé une nouvelle vie, dont la forme était différente, une vie de croyance en Dieu dont a forme et le contenu étaient différents. Cette vie était plus près de satisfaire aux normes des exigences de Dieu vis-à-vis de l’homme que la vie précédente sous la loi. Dieu a présenté des nouveaux commandements à l’humanité et Il a présenté à l’humanité de nouvelles normes comportementales qui étaient plus précises et plus adaptées à l’humanité qu’elles ne l’étaient alors, ainsi que des critères et des principes concernant les opinions de l’homme sur les gens et les choses, et son comportement et ses actes. Les paroles que Dieu avait prononcées alors n’étaient pas aussi spécifiques que celles de maintenant, et elles n’étaient pas non plus en aussi grand nombre que maintenant, néanmoins, pour l’homme, à ce moment-là, qui venait à peine de s’extraire de sous la loi, ces paroles et ces exigences étaient suffisantes. Étant donné la stature des gens de l’époque, et ce dont ils étaient équipés, c’étaient les seules choses qu’ils pouvaient accomplir et atteindre. Par exemple, Dieu avait dit aux gens d’être humbles, d’être patients, d’être tolérants, de prendre la croix, et ainsi de suite. Il s’agissait là d’exigences qui étaient toutes très spécifiques, d’exigences que Dieu avait, vis-à-vis de l’homme, dans le sillage de la loi. Il s’agissait d’exigences qui touchaient à la façon dont l’humanité devait être vécue. En outre, l’homme, qui avait vécu sous la loi, profitait d’un flot abondant et régulier de grâces, de bénédictions et d’autres choses du même genre émanant de Dieu, du fait de l’arrivée de l’ère de la Grâce. Durant cette ère, l’humanité vivait une véritable partie de plaisir. Les gens étaient tous heureux et tous étaient la prunelle des yeux de Dieu, des bébés dans la paume de Sa main. Les gens devaient respecter les commandements et avoir en plus quelques bons comportements, des comportements alignés avec les notions et l’imagination de l’homme, mais pour l’humanité, la jouissance de la grâce de Dieu était là dans une plus grande mesure. Les gens étaient guéris de maladies provoquées par la possession démoniaque, par exemple, et les infâmes démons et les esprits malfaisants qui se trouvaient en eux étaient chassés. Quand les gens avaient des difficultés ou des besoins, Dieu faisait des exceptions pour eux et Il montrait des signes et des miracles, pour qu’ils soient guéris de leurs diverses maladies, que leur chair soit rassasiée et qu’ils soient nourris et vêtus. Il y avait tant de grâce et tant de bénédictions dont l’homme pouvait profiter durant cette ère. Outre simplement adhérer aux commandements, l’humanité devait, tout au plus, être patiente, tolérante, aimante, et ainsi de suite. L’homme n’avait aucune idée de quoi que ce soit d’autre qui impliquait la vérité ou les exigences de Dieu vis-à-vis de lui. Comme l’homme était complètement résolu à profiter de la grâce et des bénédictions de Dieu, et du fait de la promesse de l’époque faite à l’homme par le Seigneur Jésus, l’homme a commencé à profiter de la grâce de Dieu de façon habituelle, sans en entrevoir la fin. Les membres de l’humanité pensaient que s’ils croyaient en Dieu, ils devraient profiter de la grâce de Dieu, que c’était là la part qui leur revenait de droit. Cependant, ils ne savaient pas adorer le Seigneur de la création, ni assumer le statut d’êtres créés, ni accomplir le devoir d’êtres créés, ni être de bons êtres créés. Ils ne savaient pas non plus comment se soumettre à Dieu, ni comment Lui être loyaux, ni comment accepter Ses paroles et les utiliser comme base de leurs opinions sur les gens et les choses, et de leur comportement et de leurs actes. L’homme était tout à fait ignorant de telles choses. Et en plus de profiter de la grâce de Dieu automatiquement, l’homme voulait aller au ciel après la mort, automatiquement, et y profiter des bonnes bénédictions en compagnie du Seigneur. De plus, l’humanité qui vivait à l’ère de la Grâce, qui vivait au milieu de la grâce et des bénédictions, croyait à tort que Dieu était uniquement un Dieu miséricordieux et aimant, que Son essence était la compassion et l’affection, et rien d’autre. Pour l’humanité, la compassion et l’affection étaient emblématiques de l’identité, du statut et de l’essence de Dieu. Ce que signifiaient pour elle la vérité, le chemin et la vie, c’étaient la grâce et les bénédictions de Dieu, ou peut-être une façon de simplement prendre la croix et de suivre le chemin de la croix. Il n’y avait rien d’autre, à l’ère de la Grâce, dans la connaissance que les gens avaient de Dieu et dans leur orientation vers Lui, de même que dans leur orientation vers l’humanité et les gens eux-mêmes et dans leur connaissance de l’humanité et des gens. Alors, pour se tourner vers les causes et s’attaquer à la racine du problème : qu’est-ce qui a mené à ces circonstances, exactement ? Personne n’est à blâmer. On ne peut pas reprocher à Dieu de ne pas avoir œuvré ou de n’avoir pas parlé de façon plus concrète ou plus approfondie, et on ne peut pas non plus rejeter la responsabilité sur l’homme. Pourquoi ? Parce que l’homme est l’humanité créée, un être créé. Il a émergé de la loi et est arrivé à l’ère de la Grâce. Quel que soit le nombre d’années d’expérience que l’homme ait pu avoir de l’œuvre de Dieu tandis que celle-ci progressait, ce que Dieu avait accordé à l’homme, ce qu’Il avait fait, c’était ce que l’homme pouvait obtenir et ce qu’il pouvait savoir. Mais en dehors de cela, étant donné ce qui n’avait pas été fait par Dieu, ce qu’Il n’avait pas dit, et ce qu’Il n’avait pas révélé, l’humanité n’avait pas la capacité de comprendre ou de savoir de quoi il retournait. Mais pour examiner les circonstances objectives et prendre du recul, quand l’humanité, qui avait progressé pendant des milliers d’années, était arrivée à l’ère de la Grâce, sa compréhension ne pouvait pas aller plus loin, et Dieu ne pouvait faire que l’œuvre qu’Il faisait. La raison en est que ce dont avait besoin l’humanité, qui avait émergé de l’ère de la Loi, n’était pas d’être châtiée ou jugée, ni d’être conquise et encore moins d’être rendue parfaite. Il n’y avait qu’une seule chose dont l’humanité avait besoin à ce moment-là. De quoi s’agissait-il ? D’un sacrifice d’expiation, du précieux sang de Dieu. Le précieux sang de Dieu : ce sacrifice d’expiation était la seule chose dont l’humanité avait besoin, tandis qu’elle émergeait de l’ère de la Loi. Donc, à cette époque, du fait des besoins et des circonstance réelles de l’humanité, l’œuvre que Dieu devait alors faire était d’offrir en sacrifice le précieux sang de Sa propre incarnation comme sacrifice d’expiation. C’était la seule façon de racheter l’humanité de l’ère de la Loi. Avec Son précieux sang comme prix et comme sacrifice d’expiation, Dieu a expurgé le péché de l’humanité. Et ce n’est que lorsque le péché de l’homme a été expurgé que l’homme a eu le statut nécessaire pour venir sans péché devant Dieu, et accepter Sa grâce et Sa direction continuelle. Le précieux sang de Dieu a été offert à l’humanité et, comme ce sang était offert en sacrifice pour l’humanité, l’humanité a pu être rachetée. Qu’aurait pu comprendre l’humanité qui venait tout juste d’être rachetée ? De quoi avait besoin l’humanité qui venait tout juste d’être rachetée ? L’humanité, si elle avait été immédiatement conquise, jugée et châtiée, n’aurait pas eu la capacité de l’accepter. Elle n’avait pas une telle capacité d’acceptation et sa condition n’était pas non plus telle qu’elle aurait pu comprendre tout cela. Alors, outre le sacrifice d’expiation de Dieu, ainsi que Sa grâce, Ses bénédictions, Sa tolérance, Sa patience, Sa miséricorde et Son affection, l’humanité, telle qu’elle l’était à ce moment-là, ne pouvait accepter davantage que quelques exigences simples que Dieu avait concernant le comportement de l’homme. Ces exigences, mais pas plus. Quant à toutes les vérités qui touchent plus profondément au salut de l’homme – quelles idées et opinions erronées l’humanité a, quels tempéraments corrompus elle a, quelles essences de rébellion contre Dieu elle a, quelle essence de la culture traditionnelle l’humanité défend (sujet sur lequel nous avons récemment échangé), comment Satan corrompt l’humanité, et ainsi de suite – l’humanité, à ce moment-là, n’aurait absolument pas pu comprendre quoi que ce soit à tout cela. Dans de telles circonstances, Dieu ne pouvait qu’admonester l’humanité et avoir des exigences vis-à-vis d’elle de la façon la plus simple et la plus directe qui soit, avec des exigences particulièrement rudimentaires concernant le comportement. Par conséquent, l’humanité à l’ère de la Grâce pouvait seulement profiter de la grâce et profiter sans limite du précieux sang de Dieu en tant que sacrifice d’expiation. Cependant, à l’ère de la Grâce, la plus chose la plus formidable avait déjà été accomplie. De quoi s’agissait-il ? C’était que l’humanité, que Dieu devait sauver, avait vu ses péchés pardonnés par le précieux sang de Dieu. C’est quelque chose qui mérite d’être célébré. C’était la chose la plus formidable que Dieu ait faite à l’ère de la Grâce. Même si le péché de l’homme était pardonné, et que l’homme n’allait plus venir devant Dieu dans la ressemblance de la chair pécheresse ou en tant que pécheur, ayant au contraire été pardonné pour ses péchés par le sacrifice d’expiation, et étant désormais qualifié pour venir devant Dieu, la relation entre l’homme et Dieu n’avait pas encore atteint le niveau de celle d’un être créé avec le Créateur. Cette relation n’était pas encore celle de l’humanité créée avec le Créateur. L’humanité sous la grâce était encore loin, très loin de jouer le rôle que Dieu exigeait d’elle, celui de maître et d’intendant de toutes choses. Dieu a donc dû attendre. Il a dû se montrer patient. Qu’est-ce que cela signifiait, que Dieu attende ? Cela signifiait que l’humanité devait alors continuer à vivre au milieu de la grâce de Dieu, au milieu des diverses façons dont Dieu œuvre à l’ère de la Grâce. Dieu veut sauver bien davantage qu’une poignée de membres de l’humanité, ou une seule race. Son salut est loin de se limiter à une seule race ou à ceux d’une seule confession. L’ère de la Grâce devait donc être subie pendant des milliers d’années, exactement comme l’ère de la Loi l’avait été. L’humanité devait continuer à vivre dans la nouvelle ère dirigée par Dieu, année après année, génération après génération. Combien d’époques l’homme doit subir de cette façon, combien de changements dans les étoiles, combien de mers qui s’assèchent et de rochers qui disparaissent, combien d’océans qui cèdent la place à des terres fertiles ? Et l’homme doit subir les différents changements de l’humanité à diverses périodes et les différents changements qui ont lieu dans les myriades de choses de la terre. Et tandis que l’homme faisait l’expérience de tout cela, les paroles de Dieu, Son œuvre, et le fait de la rédemption de l’humanité par le Seigneur Jésus à l’ère de la Grâce se sont répandus jusqu’aux confins de la terre, dans toutes les rues et les ruelles, dans chaque recoin, jusqu’à ce que tout cela soit connu de chaque maisonnée. Et c’est à ce moment-là que cette ère, l’ère de la Grâce, qui a suivi l’ère de la Loi, était censée arriver à son terme. L’œuvre que Dieu a faite durant cette période ne consistait pas simplement à attendre en silence. Alors que Dieu attendait, Il a œuvré sur l’humanité de l’ère de la Grâce de différentes façons. Il a continué Son œuvre basée sur la grâce, accordant grâce et bénédictions à l’humanité de cette ère, de sorte que Ses actes, Son œuvre, Son discours, les faits qu’Il mettait en œuvre et Sa volonté à l’ère de la Grâce parviennent aux oreilles de toutes les personnes qu’Il choisissait. Il a permis à tous les individus qu’Il choisissait de profiter de Son sacrifice d’expiation, pour qu’ils ne viennent plus devant Lui dans la ressemblance de la chair pécheresse, en tant que pécheurs. Et même si la relation entre l’homme et Dieu n’était plus celle qui consistait à ne L’avoir jamais vu, comme à l’ère de la Loi, mais qu’elle avait fait un pas au-delà de ça, en tant que relation entre les croyants et le Seigneur, entre les chrétiens et Christ, malgré tout, une telle relation n’était pas la relation que Dieu voulait, en fin de compte, entre l’humanité et Dieu, entre les êtres créés et le Créateur. Leur relation était donc clairement encore assez éloignée de la relation entre les êtres créés et le Seigneur de la création mais, comparée à la relation entre l’humanité et Dieu à l’ère de la Loi, cette relation représentait une grande avancée. C’était un motif de joie et de célébration. Quoi qu’il en soit, Dieu devait encore guider l’humanité. Il devait guider l’humanité, dont le cœur, dans ses profondeurs, était plein de notions sur Dieu et plein de choses imaginées, de requêtes, d’exigences, de rébellion et de résistance, pour que l’humanité aille de l’avant. Pourquoi ? Parce qu’une telle humanité savait peut-être profiter de la grâce de Dieu et qu’elle savait peut-être que Dieu était miséricordieux et aimant, mais qu’à part cela, elle ne savait rien de la véritable identité, du véritable statut et de la véritable essence de Dieu. Comme une telle humanité a subi la corruption de Satan, même si elle profitait de la grâce de Dieu, son essence et les diverses notions et pensées au fond de son cœur restaient contraires à Dieu et s’opposaient à Lui. L’homme ne savait pas comment se soumettre à Dieu ni comment accomplir le devoir d’un être créé, et encore moins comment être un être créé satisfaisant. Bien entendu, il y avait encore moins de gens qui savaient comment adorer le Seigneur de la création. Si les myriades de choses du monde avaient été confiées à l’humanité corrompue, corrompue comme elle l’était, cela serait revenu à confier ces choses à Satan. Les conséquences auraient été entièrement les mêmes, sans rien pour les distinguer. Dieu devait donc continuer Son œuvre, Il devait continuer à guider l’humanité jusqu’à l’étape suivante de l’œuvre qu’Il allait faire. Cette étape était quelque chose que Dieu attendait depuis longtemps, quelque chose qu’Il attendait avec impatience depuis longtemps, et quelque chose qu’Il a payé avec Sa patience antérieure pendant longtemps.

Maintenant que, finalement, l’humanité a profité de la grâce suffisante et abondante de Dieu, ce monde et cette humanité, quel que soit l’angle sous lequel on les considère, ont atteint un niveau suffisant pour que Dieu fasse Sa véritable œuvre de salut de l’humanité. L’humanité est arrivée au point où Dieu va la conquérir, la châtier et la juger, où Il va exprimer de nombreuses vérités pour perfectionner l’humanité et pour gagner un groupe de personnes issues de l’humanité, qui pourront être les intendants de toutes choses parmi ces choses. Ce moment étant venu, Dieu n’a plus besoin d’être patient, ni de continuer à guider l’humanité de l’ère de la Grâce pour qu’elle vive dans la grâce. Dieu n’a plus besoin de continuer à approvisionner l’humanité de l’ère de la Grâce, ni de la guider, de veiller sur elle ou de la préserver. Il n’a plus besoin d’approvisionner de grâce et de bénédictions l’humanité, sans relâche et de manière inconditionnelle. Il n’a plus besoin de Se montrer inconditionnellement patient avec l’humanité dans la grâce, tandis qu’elle sollicite Sa grâce, avec avidité et sans honte, sans L’adorer du tout. Ce que Dieu fera, à la place, c’est exprimer Sa volonté, Son tempérament, la véritable voix de Son cœur et Son essence. Durant cette période, Dieu, tout en approvisionnant l’humanité des vérités et des paroles variées dont elle a besoin, déverse et exprime Son véritable tempérament, un tempérament juste. Et en exprimant Son tempérament juste, ce n’est pas comme s’Il offrait, d’un air absent, quelques formules de jugement et de condamnation, sans plus s’y intéresser. Au contraire, Il Se sert de faits pour exposer la corruption de l’humanité, son essence et sa hideur satanique. Il expose la rébellion, la résistance et le rejet de l’humanité à Son encontre, ainsi que les diverses notions de l’humanité à Son sujet et ses trahisons à Son égard. Durant cette période, une plus grande partie de ce qu’Il exprime est au-delà de la miséricorde et de l’affection dont Il fait preuve vis-à-vis de l’humanité : il s’agit de la haine, de la répulsion, de l’aversion qu’Il éprouve à l’égard de l’humanité, et de Sa condamnation de l’humanité. Ce tournant ou ce changement abrupt, à cent-quatre-vingts degrés, dans le tempérament et la position de Dieu prend l’humanité au dépourvu et la rend incapable d’acceptation. Dieu exprime Son tempérament et Ses paroles avec toute la force subite de l’éclair. Bien entendu, Il fournit également à l’humanité tout ce dont elle a besoin, avec une patience et une tolérance immenses. De différentes manières et à partir de différents points de vue, Dieu parle et exprime Son tempérament à l’intention de l’humanité des façons les plus appropriées, convenables, concrètes et directes pour ce qui est de traiter les êtres créés, du point de vue de Sa position en tant que Créateur. Voilà les façons, en paroles comme en œuvre, que Dieu attend ardemment depuis six mille ans. Six mille ans à désirer ardemment. Six mille ans d’attente : ces années témoignent des six mille ans de patience de Dieu, elles renferment Ses six mille ans d’anticipation. L’humanité reste l’humanité créée par Dieu, mais, ayant traversé six mille ans de changements incessants, qui redistribuent les étoiles et engloutissent les mers, elle n’est plus l’humanité telle que créée par Dieu au commencement, avec cette même essence. Par conséquent, alors que Dieu commence à œuvrer en ce jour, l’humanité qu’Il voit maintenant, même si elle est ce à quoi Il S’attendait, est également exécrée par Lui, et elle est, bien entendu, trop tragique pour que Dieu la contemple. J’ai parlé de trois choses : vous en souvenez-vous ? Une telle humanité, même si elle est ce à quoi Dieu S’attendait, est également exécrée par Lui. Quelle était l’autre chose dont J’ai parlé ? (L’humanité est trop tragique pour que Dieu la contemple.) Elle est également trop tragique pour que Dieu la contemple. Ces trois choses sont toutes présentes en l’homme, en même temps. À quoi Dieu S’attendait-Il ? Il S’attendait à ce qu’une telle humanité, après avoir fait l’expérience de la loi, puis de la rédemption, marche finalement jusqu’à aujourd’hui sur un fondement de compréhension de certaines lois fondamentales et de certains commandements fondamentaux – lois et commandements que l’homme doit respecter – et qu’elle ne soit plus une simple humanité avec un vide au fond du cœur, comme c’était le cas d’Adam et d’Ève. Au contraire, l’humanité aurait une dose de nouvelles choses dans le cœur. Ces choses sont ce que Dieu S’attendait à voir l’humanité posséder. Pourtant, en même temps, l’humanité est une humanité que Dieu exècre également. Alors, qu’est-ce donc que Dieu exècre ? Ne le savez-vous pas tous ? (La rébellion et la résistance de l’homme.) Les membres de l’humanité sont pleins du tempérament corrompu de Satan, ils vivent une vie épouvantable, ni tout à fait hommes ni tout à fait démons. L’humanité n’est plus simple au point d’être incapable de résister aux sollicitations du serpent. Même si l’humanité a ses propres pensées et points de vue, ses propres opinions précises et ses propres façons de considérer les myriades d’évènements et de choses, il n’y a absolument rien de ce que Dieu veut dans les points de vue de l’humanité sur les gens et les choses, ou dans son comportement et ses actes. L’humanité peut penser et exprimer des points de vue, et elle a ses raisons, ses méthodes et ses attitudes pour agir, mais tout ce qu’elle possède trouve ses origines dans la corruption de Satan. Tout cela est basé sur les points de vue et les philosophies de Satan. Quand l’homme vient devant Dieu, il n’y a aucune trace de soumission envers Dieu dans son cœur, ni aucune sincérité. L’homme est saturé des toxines de Satan, rempli de son éducation et de ses pensées, ainsi que de son tempérament corrompu. Qu’est-ce que cela montre ? Cela montre que Dieu doit prononcer de nombreuses paroles et qu’Il doit beaucoup œuvrer pour l’homme afin de changer le mode d’existence et l’attitude de celui-ci envers Dieu, et plus spécifiquement, bien entendu, afin de changer ses façons de faire et ses critères en ce qui concerne ses points de vue sur les gens et les choses, et son comportement et ses actes. Avant que tout cela n’ait pris effet, l’humanité est un objet d’exécration aux yeux de Dieu. De quoi Dieu a-t-Il besoin quand Il sauve un objet de Son exécration ? Y a-t-il de la joie dans Son cœur ? Y a-t-il du bonheur ? Y a-t-il du réconfort ? (Non.) Il n’y a absolument aucun réconfort, ni aucun bonheur. Son cœur est rempli de dégoût. La seule chose que Dieu fera dans de telles circonstances, excepté parler, parler infatigablement, c’est faire preuve de patience. Voilà le deuxième élément de ce que Dieu éprouve vis-à-vis d’une telle humanité, telle qu’Il la voit : l’exécration. Le troisième élément, c’est que l’humanité est trop tragique pour être contemplée. À la lumière de l’intention originelle de Dieu en créant l’humanité, la relation entre Dieu et l’homme est celle d’un parent avec son enfant, un rapport familial. Cette dimension de la relation n’est peut-être pas comme les liens du sang au sein de l’humanité, mais pour Dieu, cette relation dépasse celle des liens du sang charnels de l’humanité. L’humanité que Dieu a créée initialement est entièrement différente, du point de vue de la ressemblance, de l’humanité qu’Il voit dans les derniers jours. Au commencement, l’homme avait une ressemblance simple et juvénile, et même s’il était ignorant, son cœur était pur et propre. On pouvait voir dans ses yeux la clarté et la transparence au fond de son cœur. L’homme n’avait pas les tempéraments corrompus de toutes sortes qu’il a aujourd’hui. Il n’avait aucune intransigeance, aucune arrogance, aucune méchanceté ou malhonnêteté, et il n’avait assurément pas un tempérament d’être écœuré par la vérité. En regardant le discours et les actes, les yeux, le visage de l’homme, on pouvait voir que cette humanité était celle que Dieu avait créée au commencement et celle qu’Il préférait. Mais en fin de compte, tandis que Dieu considère de nouveau l’humanité, le cœur de l’homme n’est plus aussi clair dans ses profondeurs, et ses yeux ne sont plus aussi clairs. Le cœur de l’homme est plein du tempérament corrompu de Satan, et quand l’homme rencontre Dieu, son visage, son discours et ses actes Lui sont détestables. Cependant, il y a un fait que personne ne peut nier, et c’est en raison de ce fait que Dieu dit qu’à Ses yeux une telle humanité est trop tragique pour être contemplée. De quel fait s’agit-il ? De celui-ci, que personne ne peut nier : Dieu a créé de Ses propres mains cette humanité, qui est venue une fois de plus devant Lui, mais elle n’est plus l’humanité qu’elle était au commencement. De ses yeux à ses pensées, et jusqu’aux profondeurs de son cœur, l’homme est rempli de résistance et de trahison vis-à-vis de Dieu. De ses yeux à ses pensées, et jusqu’aux profondeurs de son cœur, ce n’est rien de moins que le tempérament de Satan qui jaillit de l’homme. Les tempéraments sataniques de l’homme – des tempéraments d’intransigeance, d’arrogance, de malhonnêteté, de méchanceté et d’être écœuré par la vérité – jaillissent du regard de l’homme comme de ses expressions, sans déguisements et naturellement. Même confronté aux paroles de Dieu ou face à face avec Dieu, le tempérament satanique corrompu de l’homme, ainsi que son essence, qui est corrompue par Satan, jaillissent de cette façon, sans déguisements. Il n’y a qu’une expression qui peut saisir ce que fait ressentir à Dieu l’émergence de ce fait, cette expression c’est : « trop tragique pour être contemplée. » L’humanité qui est parvenue jusqu’à aujourd’hui et jusqu’à cette époque a atteint le niveau des exigences de Dieu pour la troisième et dernière étape de Son œuvre, celle du salut de l’humanité, autant pour ce qui est de l’environnement de l’homme en général que pour ce qui est de chaque aspect particulier des situations et des conditions dans lesquelles les gens se trouvent. Pourtant, alors même que Dieu est plein d’attentes vis-à-vis de cette humanité, Il est aussi plein de haine pour elle. Dieu, bien entendu, Se dit encore que l’humanité est trop tragique pour être contemplée quand Il voit un exemple après l’autre de sa corruption. Pourtant, ce qui mérite d’être célébré, c’est que Dieu n’a plus besoin de faire preuve de patience inutile et d’attendre inutilement au nom de l’homme. Ce qu’Il doit faire, c’est l’œuvre pour laquelle Il a attendu pendant six mille ans et qu’Il attend avec impatience depuis six mille ans : celle qui consiste à exprimer Ses paroles, Son tempérament et toutes les vérités. Bien sûr, cela signifie également que, parmi cette humanité que Dieu a choisie, émergera le groupe d’individus que Dieu attend depuis longtemps, ceux qui seront les intendants de toutes choses et deviendront les maîtres de toutes choses. Pour examiner la situation dans son ensemble, tout s’est tellement éloigné de ce qui était prévu, tout a été si douloureux et triste. Mais ce qui justifie le plus le bonheur de Dieu, c’est que, du fait du passage du temps et des différentes ères, les jours de sujétion de l’humanité à la corruption de Satan sont déjà terminés. L’humanité a traversé le baptême de la loi et la rédemption de Dieu. Finalement, elle en est arrivée à l’étape finale de l’œuvre que Dieu va faire : l’étape durant laquelle l’humanité est sauvée, en résultat final de son acceptation du châtiment et du jugement de Dieu, et de Sa conquête. Pour l’humanité, c’est une grande nouvelle, sans aucun doute, et pour Dieu, c’est assurément quelque chose qui s’est fait attendre pendant longtemps. Quel que soit l’angle sous lequel on regarde les choses, c’est là l’avènement de la plus grande ère de toute l’humanité. Quel que soit l’angle sous lequel on regarde les choses, que ce soit sous l’angle de la corruption de l’humanité, des tendances du monde, des structures sociales, des opinions politiques de l’humanité, des ressources du monde entier ou sous l’angle des désastres actuels, la fin de l’humanité est proche, cette humanité est arrivée au bout de la ligne. Néanmoins, c’est là le moment le plus paroxystique de l’œuvre de Dieu, le moment qui mérite le plus d’être commémoré et célébré par l’homme, et bien entendu, c’est également l’avènement du moment le plus important et le plus essentiel, le moment où le sort de l’humanité est décidé, lors des six mille ans de l’œuvre de Dieu sur Son plan de gestion. Par conséquent, quoi qu’il soit arrivé à l’humanité et quel que soit le temps que Dieu a passé à attendre et à faire preuve de patience, tout cela en a valu la peine.

Revenons au sujet que nous avons entrepris de traiter : « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité. » Le plan de gestion de Dieu est divisé en trois étapes de travail parmi l’humanité. Dieu a déjà terminé les deux étapes précédentes. Examinons ces étapes jusqu’au moment présent, qu’il s’agisse de la loi ou des commandements : elles n’avaient d’autre utilité pour l’homme que de permettre de faire respecter la loi, les commandements, le nom de Dieu, la foi dans les recoins du cœur de l’homme, quelques bons comportements et quelques bons principes. Fondamentalement, l’homme ne parvient pas à être à la hauteur de la norme de l’exigence de Dieu, celle qui lui demande d’être l’intendant de toutes choses et de devenir le maître de toutes choses. N’en est-il pas ainsi ? Fondamentalement, l’homme ne parvient pas à être à la hauteur de cela. Si on forçait l’homme, qui a traversé la loi et l’ère de la Grâce, à faire ce que Dieu lui demande de faire, l’homme serait seulement capable de s’investir dans toutes choses par le biais de la loi, ou de la grâce et des bénédictions qui lui ont été accordées à l’ère de la Grâce. C’est très en deçà des exigences de Dieu, selon laquelle l’homme devrait être l’intendant de toutes choses, et l’humanité n’est vraiment pas à la hauteur pour ce qui est d’accomplir les choses que Dieu lui demande de faire et de la responsabilité et du devoir qu’Il lui demande d’assumer. L’homme ne peut tout simplement pas satisfaire à la norme de l’exigence de Dieu, ni être à sa hauteur, norme selon laquelle il devrait être le maître de toutes choses et le maître de la prochaine ère. Par conséquent, à l’étape finale de Son œuvre, Dieu exprime, à l’intention de l’homme, et lui dit toutes les vérités dont l’humanité a besoin et tous les principes de pratique dont elle a besoin, dans tous leurs aspects, pour que l’homme puisse savoir ce que sont les normes des exigences de Dieu, comment il doit s’investir dans toutes choses, comment il doit considérer toutes choses, comment il doit être l’intendant de toutes choses, quel devrait être son mode d’existence, et de quelle manière il devrait vivre devant Dieu, comme un véritable être créé sous le règne du Créateur. Quand l’homme aura compris ces choses, il saura également ce que sont les exigences de Dieu à son égard. Quand il aura accompli ces choses, il aura aussi satisfait aux normes des exigences de Dieu vis-à-vis de lui. Étant donné que la loi, les commandements et les critères simples de comportement ne remplacent pas la vérité, Dieu exprime un grand nombre de paroles et de vérités dans les derniers jours, qui ont à voir avec la pratique de l’homme, son comportement et ses actes, ainsi que ses opinions sur les gens et les choses. Dieu dit à l’homme comment considérer les gens et les choses, et comment se comporter et agir. Que Dieu dise tout cela à l’homme, qu’est-ce que cela signifie ? Cela veut dire que Dieu te demande de considérer les gens et les choses, de te comporter et d’agir conformément à toutes ces vérités, et ainsi, de vivre dans le monde. Quelle que soit la sorte de devoir que tu accomplis et quelle que soit la sorte de mandat que tu acceptes de Dieu, Ses exigences vis-à-vis de toi ne changent pas. Une fois que tu as compris les exigences de Dieu, tu dois pratiquer, faire ton devoir et accomplir le mandat que Dieu t’a confié, conformément à Ses exigences telles que tu les comprends, qu’Il soit à tes côtés ou non et qu’Il te scrute ou non. C’est seulement de cette façon que tu pourras vraiment devenir un maître de toutes choses auquel Dieu fait confiance, qui est qualifié et qui est digne de Son mandat. Tout ceci ne concerne-t-il pas la question de savoir pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? (Si.) Comprenez-vous, maintenant ? Voilà les faits que Dieu fera apparaître. Donc, poursuivre la vérité ne concerne pas simplement le fait de se débarrasser de son tempérament corrompu et de ne pas résister à Dieu. Il y a une plus grande signification et une plus grande valeur dans la poursuite de la vérité dont nous parlons. Véritablement, cela concerne la destination et le destin de l’homme. Comprenez-vous ? (Oui.) Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? Dans un sens restreint, cette question est abordée par ces doctrines les plus élémentaires que l’homme comprend. Dans un sens plus important, la raison principale est que, pour Dieu, poursuivre la vérité implique Sa gestion, les attentes qu’Il a vis-à-vis de l’humanité et les espoirs qu’Il met en l’humanité. C’est là une partie du plan de gestion de Dieu. On peut voir là que, qui que tu sois et quelle que soit la durée de ta croyance en Dieu, si tu ne poursuis pas la vérité ou si tu ne l’aimes pas, tu finiras inévitablement par être celui qui doit être banni. C’est évident. Il y a trois étapes dans l’œuvre que Dieu accomplit. Dieu a eu un plan de gestion depuis qu’Il a créé l’humanité et Il a mis en place chacune des étapes de ce plan, l’une après l’autre, dans l’humanité, et Il a guidé l’humanité, pas à pas, jusqu’au moment présent. Comme Son souci sincère et le prix qu’Il a payé sont formidables, et comme Il a enduré pendant longtemps, en vue de l’objectif ultime d’œuvrer sur l’homme les vérités qu’Il exprime et chaque facette des critères de Ses exigences, qu’Il dit à l’humanité, transformant tout cela en la vie et la réalité de l’homme. Tel que Dieu voit les choses, c’est une question tellement importante. Dieu y accorde une telle importance. Dieu a exprimé tant de paroles, et avant cela, Il a fait beaucoup de travail préparatoire. Si, en fin de compte, tu ne poursuis pas ces paroles ou si tu n’entres pas dans ces paroles, maintenant qu’Il les a exprimées, comment Dieu te considérera-t-Il ? Quel genre de titre Dieu te donnera-t-Il ? C’est clair comme de l’eau de roche. Donc, comme toute personne, quel que soit ton calibre, quel que soit ton âge ou la durée de ta croyance en Dieu, tu dois t’efforcer de te diriger vers le chemin de la poursuite de la vérité. Tu ne devrais pas mettre l’accent sur la moindre logique objective, tu devrais poursuivre la vérité de manière inconditionnelle. Ne perds pas ton temps. Si tu cherches la vérité et consacres tes efforts à la poursuite de la vérité en tant que grande affaire de ta vie, il se peut que la vérité que tu gagneras et que tu pourras atteindre dans ta poursuite ne soit pas ce que tu as souhaité. Mais si Dieu dit qu’Il te donnera une destination appropriée en fonction de ton attitude dans ta poursuite et de ta sincérité, alors comme ce sera merveilleux ! Ne te concentre pas sur ce que seront ta destination ou ta fin, pour le moment. Quant à ce qui se passera et ce que l’avenir te réserve, si tu seras ou non capable d’éviter le désastre et de ne pas mourir, ne pense pas à ces choses et ne pose pas de questions à leur sujet. Concentre-toi seulement sur la poursuite de la vérité dans les paroles de Dieu et dans Ses exigences, sur le fait de bien accomplir ton devoir, de satisfaire la volonté de Dieu, de ne pas t’avérer indigne des six mille ans d’attente de Dieu, de Ses six mille ans d’anticipation. Apporte un certain réconfort à Dieu. Laisse-Le voir qu’il y a un certain espoir pour toi, et laisse Ses souhaits se réaliser en toi. Dis-Moi, Dieu te maltraiterait-Il si tu faisais cela ? Bien sûr que non ! Et même si, en fin de compte, le résultat final n’est pas ce que l’on aurait souhaité, comment les gens devraient-ils traiter ce fait, en tant qu’êtres créés ? Ils devraient se soumettre en toutes choses aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, sans aucune arrière-pensée personnelle. N’est-ce pas le point de vue que les êtres créés devraient adopter ? (Si.) Il s’agit là du bon état d’esprit. Nous allons conclure ainsi notre échange sur l’idée principale de la raison pour laquelle l’homme doit poursuivre la vérité.

À l’instant, notre échange a principalement examiné la raison pour laquelle l’homme doit poursuivre la vérité, en termes du plan de gestion de Dieu, du point de vue de Dieu. Vu de l’autre côté, la question est légèrement plus simple. Pour ce qui est de l’homme lui-même, du point de vue de l’homme, pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ? Très simplement, si la poursuite de l’homme – si celui-ci devait vivre sous la loi et ne pas comprendre la vérité – ne consistait qu’à respecter la loi, qu’en ressortirait-il, en fin de compte ? La seule chose qui pourrait en ressortir, en fin de compte, ce serait la condamnation de l’homme par la loi pour son incapacité à respecter la loi. Ensuite, passons à l’ère de la Grâce : durant cette ère, l’homme a vraiment compris beaucoup de choses et il a gagné beaucoup de nouvelles informations de Dieu au sujet de l’homme : des directives et des commandements concernant le comportement humain. L’homme en a bien tiré profit, pour ce qui est de la doctrine. Cependant, l’homme espérait encore qu’il pourrait bénéficier de plus de protection, de faveurs, de bénédictions et de grâce de la part de Dieu, sans avoir compris la vérité. Le point de vue de l’homme consistait encore à faire des demandes à Dieu, et quand l’homme faisait ces demandes, sa poursuite visait encore la vie de la chair, les réconforts de la chair et une vie charnelle meilleure, et elle tendait encore vers cela. Le but de sa poursuite restait en contradiction avec la vérité et s’y opposait. L’homme n’était pas encore à la hauteur pour ce qui était d’être capable de poursuivre la vérité et il ne pouvait pas entrer dans une vie réelle dans laquelle la vérité sert de fondement à son existence. Voilà les réalités de la vie de l’homme, quand celle-ci est vécue en reposant sur un fondement qui consiste à avoir compris toutes les lois ou les commandements et les restrictions de l’ère de la Grâce, sur un fondement qui consiste à ne pas avoir encore compris la vérité. Quand tout cela constitue les réalités de la vie de l’homme, celui-ci se perd souvent, sans s’en rendre compte. La situation est exactement celle dont parlent les gens : « Je suis désorienté et perdu. » Dans de telles conditions de confusion continuelle, l’homme sombre souvent dans un vide, sa finalité s’effiloche. Il ne sait pas pourquoi il vit ou ce que l’avenir lui réserve, et encore moins comment il devrait faire face aux différentes personnes, aux différents évènements et aux différentes choses que la vie réelle lui présente, ni par quel moyen correct il devrait les affronter. Il y a même de nombreux disciples de Dieu, des croyants, qui, tout en respectant les commandements et en profitant de nombreuses grâces et bénédictions de Dieu, poursuivent le statut, la richesse, un avenir prometteur, les honneurs parmi leurs pairs, des mariages idylliques, l’épanouissement et le bonheur domestiques. Et dans la société actuelle, ils poursuivent les plaisirs de la chair, la vie et la facilité. Ils poursuivent des demeures et des voitures somptueuses, ils poursuivent des voyages à travers le monde, en sondant les mystères et l’avenir de l’humanité. L’humanité, dans son acceptation des règles et des restrictions de nombreuses lois et critères comportementaux, reste incapable de se débarrasser de sa propension à sonder l’avenir, les mystères de l’humanité et toutes les questions qui sont au-delà de son entendement. Et ce faisant, les gens se sentent souvent vidés, déprimés, mécontents, irrités, perturbés et effrayés. Tant et si bien qu’avec tout ce qui leur arrive, ils ont du mal à contrôler leur impétuosité et leurs émotions. Certaines personnes se mettent à avoir du vague à l’âme, à sombrer dans la dépression, le refoulement, et ainsi de suite, quand elles rencontrent les moindres conditions inquiétantes, par exemple des conditions difficiles au travail, des dissensions familiales, des contrariétés familiales, des contrariétés conjugales, ou la discrimination de la société. Certaines personnes plongent même dans des sentiments extrêmes. Il y en a même qui choisissent de mettre fin à leur vie en employant des moyens extrêmes. Bien entendu, d’autres choisissent le retrait et la solitude. Et qu’est-ce que cela engendre dans la société ? Des reclus, hommes et femmes, des dépressions nerveuses, et ainsi de suite. Ces phénomènes ne manquent pas non plus dans la vie des chrétiens. Ils sont fréquents. En définitive, la cause de tout cela, à sa racine, est que l’humanité ne comprend pas ce qu’est la vérité, ni d’où vient l’homme et où il va, ni pourquoi l’homme est en vie et comment il devrait vivre. Quand l’homme fait face à n’importe lequel des multiples types de gens, d’événements et de choses qu’il rencontre, il ne sait pas comment gérer toutes ces choses, les résoudre, s’en débarrasser ou comment lire et pénétrer dans toutes ces choses, pour pouvoir vivre heureux et serein, sous la souveraineté et les arrangements du Créateur. L’humanité n’a pas cette capacité. Sans l’expression de la vérité par Dieu, et si Dieu n’a pas dit à l’homme comment il devrait voir les gens et les choses, se comporter et agir, les êtres humains s’appuient sur leurs propres efforts, sur la connaissance qu’ils ont acquise et les compétences de vie qu’ils ont saisies, et sur les règles du jeu qu’ils ont comprises, ainsi que sur des règles de comportement ou des philosophies de vie. Ils se fient à leur expérience de la vie humaine et à leur exposition à cette vie, et même aux choses qu’ils ont apprises dans des livres. Néanmoins, confrontés à toutes les difficultés que la vie réelle leur présente, ils sont impuissants. Pour ceux qui vivent leur vie dans de telles conditions, lire la Bible est vain. Même prier le Seigneur Jésus est vain, et prier l’Éternel l’est encore plus. Lire ce que les prophètes d’autrefois ont prédit ne peut pas non plus résoudre le moindre de leurs problèmes. Alors, certains voyagent à travers le monde, ils vont explorer la Lune et Mars, ou bien ils cherchent des prophètes capables de prédire l’avenir et ils conversent avec eux. Mais le cœur des gens reste troublé, triste et privé de réconfort, une fois qu’ils ont fait ces choses. L’orientation et l’objectif de leurs progrès continuent de leur paraître vraiment insaisissables et vides. Dans l’ensemble, la vie des membres de l’humanité reste vraiment vide. Tel étant le statu quo de leur vie, ils inventent de nombreuses façons de se distraire : les jeux vidéo modernes, par exemple, ou le saut à l’élastique, le surf, l’alpinisme et le parachutisme, que les occidentaux apprécient, et les diverses pièces de théâtre, chansons et danses que les Chinois aiment, et les spectacles de travestis d’Asie du Sud-Est. Les gens regardent même des choses qui satisfont leur monde spirituel et leur désir charnel. Pourtant, quel que soit leur façon de se divertir, quoi qu’ils regardent, au plus profond de leur cœur, les gens restent perplexes face à l’avenir. Peu importe le nombre de fois où quelqu’un a fait le tour du monde, ou même s’il est allé sur la Lune et sur Mars, une fois qu’il est de retour et qu’il s’est un peu installé, il est complètement affaibli, tout à fait comme il l’était auparavant. Il est même plutôt plus triste et plus perturbé d’y être allé que s’il ne l’avait pas fait. L’humanité pense que la raison pour laquelle elle est si vide, si impuissante, si déroutée et si ébranlée, la raison pour laquelle elle désire explorer ce qui va arriver et n’est pas encore connu, c’est que les gens ne savent pas comment s’occuper, qu’ils ne savent pas comment vivre. L’humanité pense que c’est parce que les gens ne savent pas comment jouir de la vie ou jouir de l’instant. L’humanité pense que c’est parce que les centres d’intérêt et les passe-temps de ces gens sont simplistes, insuffisamment exhaustifs. Pourtant, quel que soit le nombre de centres d’intérêt que les gens promeuvent, quel que soit le nombre de distractions auxquelles ils ont pris part, quel que soit le nombre d’endroits où ils sont allés à travers le monde, l’humanité se dit encore que la façon de vivre, ainsi que l’orientation et l’objectif de l’existence de ces gens ne sont pas tels qu’elle souhaiterait qu’ils soient. En bref, ce que les gens ressentent, en général, c’est le vide et l’ennui. Certains souhaitent déguster tous les mets gastronomiques du monde du fait de ce vide et de cet ennui. Partout où ils vont, ils se jettent sur la nourriture. D’autres ne veulent que s’amuser partout où ils vont, alors ils s’amusent, mangent et se divertissent, tant qu’il leur plaît. Pourtant, une fois qu’ils ont mangé, bu et fait la fête, ils sont encore plus vides qu’avant. Que faut-il faire à ce sujet ? Pourquoi est-il impossible de se débarrasser de ce sentiment ? Quand les gens sont dans une impasse, certains d’entre eux se mettent à se droguer, ils prennent de l’opium, de l’ecstasy, et ils se stimulent grâce à toutes sortes de choses matérielles. Et quel est le résultat ? Est-ce qu’aucune de ces méthodes a le moindre effet quand il s’agit de résoudre le vide de l’homme ? L’une de ces méthodes peut-elle résoudre les problèmes à leur racine ? (Non.) Pourquoi ne le peuvent-elles pas ? Parce que les êtres humains vivent en fonction de leurs sentiments. Ils ne comprennent pas la vérité ou ne savent pas ce qui engendre les problèmes de l’humanité quand celle-ci éprouve un vide, un malaise, de la perplexité, et ainsi de suite, et ils ne savent pas non plus par quels moyens résoudre ces problèmes. Ils pensent que si le plaisir charnel est assouvi et si le monde de leur esprit charnel est satisfait et comblé, le sentiment de vide dans leur esprit disparaîtra. Est-ce ainsi que cela fonctionne ? Le fait est que ce n’est pas le cas. Si tu sors de ces sermons en les ayant acceptés en tant que doctrine, mais que tu ne les poursuis pas ou ne les pratiques pas du tout, et si tu ne prends pas ces paroles de Dieu comme base et critère de tes points de vue sur les gens et les choses, et de ton comportement et de tes actes, ton mode d’existence et ton point de vue sur la vie ne changeront jamais. Et si ces choses ne changent pas, cela signifie que ta vie, son genre, et la valeur de son existence ne changeront jamais. Et qu’est-ce que cela signifie si le genre et la valeur de l’existence de ta vie ne changent jamais ? Cela signifie qu’un jour, tôt ou tard, les doctrines que tu comprends te paraîtront être des piliers de l’esprit. Tôt ou tard, elles seront des slogans et des théories pour toi, des choses avec lesquelles tu combleras ce sentiment de vide dans ton monde intérieur, quand la situation le demande. Si l’orientation et l’objectif de ta poursuite ne changent pas, tu seras pareil à ces gens qui n’ont entendu aucune des paroles de Dieu. L’orientation et l’objectif de ta poursuite resteront une quête du divertissement, du réconfort charnel. Tu essaieras encore de résoudre ton vide et ta perplexité en parcourant le monde et en sondant les mystères. Il ne fait aucun doute que tu suivras alors le même chemin que ces gens. Ils se sentent vides après avoir goûté aux mets fins du monde et profité de son luxe grandiose, et il en ira de même pour toi. Tu t’accroches peut-être au vrai chemin et aux paroles de Dieu, mais si tu ne les poursuis pas ou ne les pratiques pas, tu finiras comme ces gens, à te sentir souvent vide, ébranlé, amer et opprimé, sans véritable bonheur, sans véritable joie, sans véritable liberté, et en plus, sans véritable paix. Et alors, au bout du compte, ta fin sera la même que la leur.

Qu’examine Dieu quand il s’agit de la fin de l’homme ? Il n’examine pas combien de Ses paroles tu as lues ou combien de sermons tu as écoutés. Dieu n’examine pas ces choses. Il examine combien de vérités tu as gagnées dans ta poursuite, combien de vérités tu peux pratiquer. Il examine si tu prends Ses paroles comme base et la vérité comme critère de tes opinions sur les gens et les choses, et de ton comportement et de tes actes, dans ta vie. Il examine si tu as une telle expérience et un tel témoignage. S’il n’y a pas un tel témoignage dans ta vie quotidienne et lorsque tu suis Dieu, et qu’absolument aucune de ces choses n’est prouvée, alors Dieu te considérera de la même façon qu’Il considère les incroyants. Cette façon dont Dieu te considère est-elle le fin mot de l’histoire ? Non, c’est loin d’être le cas que Dieu te considère de cette façon et qu’Il S’en tienne là. Au contraire, c’est ainsi qu’Il décidera de ta fin. Dieu établit ta fin en fonction du chemin que tu suis. Il établit ta fin en Se basant sur la façon dont tu te comportes dans les divers aspects de ta poursuite et de ton objectif, en Se basant sur ton attitude vis-à-vis de la vérité et selon que tu t’es ou non engagé sur le chemin de la poursuite de la vérité. Pourquoi est-ce comme cela qu’Il établit ta fin ? Quand quelqu’un qui ne poursuit tout simplement pas la vérité a lu les paroles de Dieu et entendu un grand nombre d’entre elles, et qu’il ne peut pourtant pas prendre les paroles de Dieu comme critère pour ses opinions sur les gens et les choses, et comme critère pour son comportement et ses actes, ce n’est pas seulement que cette personne ne pourra pas être sauvée, en fin de compte. Voilà la chose la plus importante : que pourrait devenir un tel individu, s’il devait rester ? Pourrait-il devenir le maître de toutes choses ? Pourrait-il être l’intendant de toutes choses à la place de Dieu ? Serait-il digne d’un mandat. Digne de confiance ? Si Dieu te confiait toutes choses, ferais-tu ce que l’humanité fait à présent : tuer sans distinction les êtres vivants que Dieu a créés, dilapider sans distinction les myriades de choses que Dieu a créées, profaner sans distinction les myriades de choses que Dieu a accordées à l’humanité ? Bien sûr que tu le ferais ! Donc, si Dieu devait te donner ce monde et toutes choses, à quoi toutes ces choses se retrouveraient-elles confrontées, en fin de compte ? Elles n’auraient aucun vrai intendant. Elles seraient souillées et dilapidées, jusqu’à ce qu’il n’en reste rien, par l’humanité corrompue par Satan. Finalement, toutes choses, les êtres vivants parmi toutes choses, et l’humanité corrompue par Satan connaîtraient le même sort : tout cela serait détruit par Dieu. C’est là quelque chose que Dieu espère ne pas voir. Donc, si une telle personne a entendu de nombreuses paroles de Dieu et n’a compris qu’un grand nombre de doctrines dans Ses paroles, mais qu’elle reste incapable d’assumer le devoir d’un maître de toutes choses ou de considérer les gens et les choses, et de se comporter et d’agir, selon les paroles de Dieu, Dieu ne lui confiera certainement pas la moindre affaire, parce qu’elle est inapte. Dieu ne souhaite pas voir toutes les choses, qu’Il a créées avec soin, dilapidées et souillées, une deuxième fois, jusqu’à ce qu’il n’en reste rien, par l’humanité corrompue par Satan. Et Il ne souhaite pas non plus voir l’humanité, qu’Il a gérée pendant six mille ans, détruite par de tels êtres humains. La seule chose que Dieu veut voir, c’est l’existence permanente de toutes les choses de Sa création minutieuse sous l’intendance du groupe de gens qui gagnent Son salut, ces gens qui sont à Sa charge, sous Sa protection et Sa direction, continuant à vivre conformément à l’ordre de toutes choses et aux lois qu’Il instaure. Alors, de quelle sorte sont les gens capables de supporter une telle charge ? Il n’y en a qu’une seule sorte, il s’agit de ceux dont Je parle, qui poursuivent la vérité. Cette sorte d’individus étant celle qui peut considérer les gens et les choses, et se comporter et agir, en se conformant rigoureusement aux paroles de Dieu, avec la vérité pour critère. De telles personnes sont dignes de confiance. Leur mode d’existence a émergé entièrement des modes de l’humanité que Satan a corrompue. Dans l’objectif et le mode de leur poursuite, dans leurs points de vue sur les gens et les choses, et dans leur comportement et leurs actes, ces personnes sont capables d’être entièrement en accord avec les paroles de Dieu, et entièrement capables de prendre la vérité pour critère. De telles personnes sont celles qui sont véritablement aptes à continuer à vivre et qui sont aptes à voir toutes choses mises entre leurs mains par Dieu. Ce sont ces personnes qui peuvent supporter une charge aussi lourde que le mandat de Dieu. Dieu ne donnera certainement pas toutes les choses à la sorte de personne qui ne poursuit pas la vérité. Assurément, Il ne donnera pas toutes les choses aux gens qui n’écoutent simplement pas Ses paroles, et Il ne confiera certainement pas la moindre tâche à de tels gens. Ces gens ne peuvent même pas bien accomplir leur propre devoir, et encore moins accomplir le mandat de Dieu. Si Dieu devait leur confier toutes choses, ils n’auraient absolument aucune loyauté, et ils n’agiraient pas non plus conformément à Ses paroles. Ils travailleraient un peu quand ils sont heureux, mais quand ils ne le seraient pas, ils partiraient manger, boire et se divertir. Souvent, ils se sentiraient vides, mal à l’aise et désœuvrés, fondamentalement, sans aucune loyauté vis-à-vis du mandat de Dieu. De telles personnes ne sont certainement pas celles que Dieu veut. Donc, si tu comprends la volonté de Dieu et si tu connais les insuffisances de l’humanité corrompue, ainsi que le genre de chemin que l’humanité corrompue devrait prendre, tu devrais commencer par poursuivre la vérité. Écoute les paroles de Dieu et commence à prendre la direction qui consiste à considérer les gens et les choses, et à te comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité pour critère. Oriente-toi vers cet objectif, dans cette direction, et le jour viendra, tôt ou tard, où Dieu Se souviendra et acceptera le fait que tu te dépenses et paies un prix. Alors, il y aura de la valeur dans le fait que tu es en vie. Dieu t’approuvera et tu ne seras plus une personne ordinaire. On ne te demande pas de persister aussi longtemps que Noé l’a fait en construisant l’arche, mais tu dois au moins persister pendant toute cette vie. Vivras-tu jusqu’à cent vingt ans ? Personne ne le sait, mais il va sans dire que ce n’est pas la durée de vie de l’humanité moderne. Poursuivre la vérité aujourd’hui est bien plus facile que construire l’arche ne l’a été. Il a vraiment été difficile de construire l’arche, et il n’y avait pas d’outils modernes à l’époque, tout a été fait entièrement grâce à la force humaine, dans un environnement défavorable, pas moins. Il a fallu longtemps, avec peu de gens pour apporter leur aide. Il vous est bien plus facile de poursuivre la vérité maintenant que construire l’arche ne l’a été. Votre environnement de grande envergure et les conditions à échelle réduite de votre vie vous donnent un tel avantage et vous accordent de telles facilités, pour ce qui est de poursuivre la vérité.

L’échange d’aujourd’hui, portant sur la question : « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité », a traité principalement deux aspects du sujet. L’un était un simple échange du point de vue de Dieu, sur Son plan de gestion, Ses souhaits et Son désir ardent ; l’autre était une analyse des problèmes chez les gens eux-mêmes, de leur propre point de vue, qui a servi à expliquer la nécessité et l’importance de la poursuite de la vérité. D’un point de vue comme de l’autre, poursuivre la vérité est de la plus haute importance pour l’homme, et d’une urgence critique. La poursuite de la vérité, vue sous n’importe quel angle, est le chemin et l’objectif dans la vie que tous les disciples de Dieu, tous ceux qui ont entendu Ses paroles, doivent choisir. La poursuite de la vérité ne doit pas être tenue pour une sorte d’idéal ou de souhait, et les déclarations faites à son sujet ne doivent pas non plus être prises comme une sorte de réconfort spirituel. Au contraire, vous devez prendre les paroles que Dieu prononce, et Ses exigences vis-à-vis de l’homme, et en faire, de façon tout à fait pragmatique, les principes et la base de votre pratique dans la vie réelle, de sorte que l’objectif de votre vie et le mode de votre existence puisse changer, ce qui, bien entendu, fera également que votre vie en vaudra davantage la peine. Ainsi, tandis que tu poursuivras la vérité, la route que tu suivras et le choix que tu feras seront justes, à une échelle réduite. Et à grande échelle, tu seras finalement débarrassé de ton tempérament corrompu, parce que tu poursuis la vérité, et tu seras sauvé. Ceux qui seront sauvés ne sont pas simplement, tel que Dieu les voit, la prunelle de Ses yeux ou un trésor entre Ses mains, et ils se résument encore moins à de simples piliers de Son royaume. La bénédiction que tu recevras, toi, membre de l’humanité à venir, est immense, en effet, d’une sorte encore jamais vue et qui ne sera jamais vue de nouveau. De bonnes choses t’arriveront, les unes après les autres, d’une façon que ton esprit ne peut concevoir. Dans tous les cas, ce qu’il faut faire en premier, maintenant, c’est établir l’objectif de poursuivre la vérité. Établir cet objectif n’est pas censé résoudre le vide de ton monde spirituel, ni résoudre le refoulement et l’indignation, ou l’incertitude et la perplexité qui se trouvent au fond de ton cœur. Ce n’est pas le but. Au contraire, il est censé servir d’objectif réel et authentique vers lequel on peut se comporter et agir. C’est aussi simple que cela. C’est simple, vous ne croyez pas ? Vous n’osez pas le dire, mais le fait est que c’est assez simple, cela se résume à savoir si une personne a la détermination de poursuivre la vérité. Si tu as vraiment cette détermination, quelle vérité n’a aucun chemin de pratique spécifique ? Toutes les vérités ont un chemin, n’est-ce pas ? (En effet.) Avoir une base spécifique pour la pratique de la vérité, dans n’importe lequel de ses domaines, et avoir des principes de pratique spécifiques pour n’importe quel projet dans le travail, est un but que peuvent atteindre ceux qui sont vraiment déterminés. Certains diront peut-être : « Je ne sais toujours pas comment pratiquer quand je rencontre des problèmes. » C’est parce que tu ne parviens pas à chercher. Si tu cherchais, tu aurais un chemin. Il y a un précepte à ce sujet, n’est-ce pas ? Il dit : « Cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira » (Matthieu 7:7). As-tu cherché ? As-tu frappé ? As-tu contemplé la vérité en lisant les paroles de Dieu ? Si tu fais porter tes efforts sur cette contemplation, tu pourras tout comprendre. Toute la vérité se trouve dans les paroles de Dieu. Il faut juste que tu les lises et que tu les contemples. Ne sois pas paresseux, fais sérieusement attention. Face à des problèmes que tu ne peux pas résoudre toi-même, tu dois prier Dieu, et il te faudra chercher la vérité pendant un moment, et parfois tu devras faire preuve de patience et attendre Dieu, Son heure. Si Dieu arrange un environnement pour toi et que, dans cet environnement, Il révèle tout et éclaire un passage de Ses paroles pour toi, apportant la clarté à ton cœur, et que tu as des principes de pratique spécifiques, n’auras-tu pas compris, par conséquent ? Donc, la poursuite de la vérité n’est pas une chose si abstraite que ça et ce n’est pas non plus si difficile. Que ce soit dans ta vie quotidienne, dans ton devoir, dans le travail de l’Église, ou dans tes interactions avec les autres, sous n’importe quel angle, tu peux chercher la vérité pour trouver la direction et les critères de ta pratique. Ce n’est pas difficile du tout. Il est bien plus facile pour l’homme de croire en Dieu maintenant que ce ne l’était autrefois, simplement parce qu’il y a énormément de paroles de Dieu, et que vous écoutez énormément de sermons et qu’il y a énormément d’échanges sur tous les aspects de la vérité. Si quelqu’un comprend les questions spirituelles et a du calibre, il aura déjà compris. Seuls ceux qui manquent de compréhension spirituelle et qui ont un calibre exécrable disent sans cesse qu’ils ne comprennent pas ceci ou cela et ne voient jamais clairement les choses. Ils sont déroutés dès qu’il leur arrive quelque chose. Échanger sur la vérité éclaircit les choses, mais peu après, ils sont de nouveau déroutés. Tout cela s’explique parce qu’ils passent leur temps sans se faire le moindre souci. Ils sont simplement trop paresseux et ils ne cherchent pas. Les choses seront faciles à comprendre si tu cherches et lis davantage de paroles de Dieu pertinentes, car toutes ces paroles sont dans un langage courant facilement compréhensible. Toute personne normale peut les comprendre, hormis les déficients mentaux. Ces paroles présentent de nombreuses questions clairement, et elles te disent tout. À moins que tu ne considères pas la poursuite de la vérité comme importante, si tu as vraiment à cœur de gagner la vérité et si tu considères sa poursuite comme la chose la plus importante dans la vie, alors rien ne peut t’entraver ou t’empêcher de comprendre et pratiquer la vérité.

Le précepte le plus simple, en ce qui concerne la poursuite de la vérité, est que tu dois accepter toutes choses de Dieu et te soumettre en toutes choses. Voilà la première partie. La deuxième partie, c’est qu’avec ton devoir et ce que tu as à faire, et à une échelle supérieure, avec le mandat donné par Dieu et ton obligation, ainsi que les tâches importantes qui sont en dehors de ton devoir, mais qui nécessitent que tu les fasses, tâches qui sont arrangées pour toi et qu’on te demande nommément de faire, tu dois payer le prix, quelle que soit la difficulté. Même si tu dois t’appliquer au maximum, même si les persécutions devaient menacer, et même si cela devait mettre ta vie en danger, tu ne dois pas rechigner à payer un prix, mais offrir ta loyauté en sacrifice et obéir jusqu’à la mort. C’est ainsi que la poursuite de la vérité se manifeste en réalité, c’est sa réelle dépense et sa réelle pratique. Est-ce difficile ? (Non.) J’aime les gens qui disent que ce n’est pas difficile, car ils ont un cœur qui désire ardemment poursuivre la vérité, qui est déterminé et fidèle. Il y a de la force dans le cœur de ces gens, de sorte que rien de ce qui leur arrive n’est difficile. Mais si les gens manquent d’assurance, s’ils doutent d’eux-mêmes, comme ils le disent souvent, alors tout est fini pour eux. Si une personne est aussi inutile qu’un tas de boue, si elle est dépourvue de motivation pour faire quoi que ce soit de productif, mais qu’elle s’anime quand il s’agit de manger, de boire et de faire la fête, et si elle devient négative quand elle est confrontée aux difficultés, et qu’elle manque d’enthousiasme, qu’elle n’a même pas un minimum de motivation quand il s’agit d’échanger sur la vérité, de quelle sorte de personne s’agit-il ? Il s’agit de quelqu’un qui n’aime pas la vérité. Si l’homme avait été tenu de poursuivre la vérité à l’ère de la Grâce ou à l’ère de la Loi, cela aurait quelque peu constitué un défi pour lui. Ce n’aurait pas été facile, parce que la situation de l’humanité à l’époque était différente, comme l’étaient les normes des exigences de Dieu vis-à-vis de l’humanité. Donc, au cours des ères passées, il n’y avait pas beaucoup de gens capables d’écouter les paroles de Dieu et de se soumettre à Lui, excepté dans le cas d’individus remarquables, comme Noé, Abraham, Job et Pierre. Mais Dieu n’a pas tenu pour responsables les gens de ces deux ères, parce qu’Il ne leur avait pas dit comment parvenir aux normes du salut. À ce stade de l’œuvre lors de la dernière ère, Dieu dit clairement aux gens tous les aspects des vérités qu’ils doivent pratiquer. Si les gens ne les pratiquent toujours pas et s’ils ne parviennent toujours pas à répondre aux exigences de Dieu, ce n’est pas la faute de Dieu. Le problème est que l’homme n’aime pas la vérité et qu’il en est dégoûté. Donc, que les gens poursuivent la vérité en cette période de poursuite de la vérité, ce n’est pas un défi pour eux, en fait, c’est quelque chose dont ils sont capables. D’un côté, c’est parce que tout y est favorable. D’un autre côté, c’est parce que les conditions et le fondement des gens sont suffisants pour qu’ils poursuivent la vérité. Si quelqu’un ne parvient pas à gagner la vérité au bout du compte, c’est parce que ses problèmes sont simplement trop graves. Une telle personne mérite la punition qu’elle subit, quelle qu’elle soit, et quelle que soit la fin qu’elle obtient, quelle que soit la mort qu’elle connait. Elle ne mérite aucune pitié. Pour Dieu, il n’y a pas de termes tels que « pitié » ou « compassion » pour les gens. Dieu détermine la fin que quelqu’un devrait avoir en se basant sur Ses exigences vis-à-vis de l’homme, sur Ses tempéraments, et sur l’ordre et les lois qu’Il a établi. Et comme un comportement donné produit une fin donnée, la vie présente d’une personne et sa vie à venir sont décidées de cette façon. C’est aussi simple que ça. Peu importe combien de gens survivront, en fin de compte, ou combien seront punis. Dieu ne S’en soucie pas. Qu’avez-vous compris de ces paroles ? Quelle information vous apportent-elles ? Le savez-vous ? Voyons si vous êtes assez intelligents et pleins de ressources pour répondre. Si vous ne pouvez pas, Je vous évaluerai d’un seul mot : stupides. Pourquoi dis-Je que vous êtes stupides ? Je vais vous le dire. J’ai dit que Dieu ne Se soucie pas du nombre de gens qui survivront, ni du nombre de gens qui connaîtront la destruction et la punition, au bout du compte. Qu’est-ce que cela vous apprend ? Cela vous apprend que Dieu n’a pas ordonné un nombre déterminé de gens. Tu peux lutter pour cela, mais quiconque survivra ou sera puni en fin de compte, que ce soit toi, un autre ou n’importe quel groupe de gens – ne fait pas partie d’un effectif que Dieu a déjà établi. Dieu œuvre et parle comme Il le fait à présent. Il traite chaque personne équitablement et donne à chaque personne de nombreuses occasions. Il te donne de nombreuses occasions, et la grâce en abondance, et Ses paroles, Son œuvre, Sa miséricorde et Sa tolérance en quantité amplement suffisante. Dieu est juste avec toute personne. Si tu peux poursuivre la vérité, que tu es sur le chemin qui consiste à suivre Dieu que tu peux accepter la vérité, peu importe le nombre d’afflictions que tu endures ou les défis que tu rencontres, et si ton tempérament corrompu est purifié, tu seras sauvé. Si tu peux rendre témoignage à Dieu et devenir un être créé digne, un maître digne de toutes choses, tu survivras. Si tu survis, ce ne sera pas parce que tu as un bon sort, en fait, ce sera en raison de tes propres dépenses et de tes propres efforts, et de ta propre poursuite. Ce sera ce que tu mérites et ce à quoi tu as droit. Tu n’auras pas besoin que Dieu te donne quoi que ce soit en plus. Dieu ne te donne pas de direction ni de formation supplémentaires. Il ne prononce pas de paroles supplémentaires à ton intention et Il ne te fait pas de faveurs particulières. Il ne fait pas ces choses-là. Il s’agit de sélection naturelle, exactement comme dans la nature. Chaque animal porte ses petits, quel que soit leur nombre quand ils naissent et meurent, conformément à l’ordre et aux règles que Dieu a établis. Ceux qui peuvent survivre le font, et ceux qui ne peuvent pas vivre meurent, puis les vivants mettent de nouveau au monde. Quel que soit le nombre d’entre eux qui peuvent survivre ensuite, c’est le nombre qu’il y a. Les mauvaises années, pas un seul ne survit. Les bonnes années, davantage survivent. Toutes les choses maintiennent un équilibre, au bout du compte. Alors, comment Dieu traite-t-Il l’humanité qu’Il a créée ? L’attitude de Dieu est la même. Il donne ainsi équitablement son occasion à chaque personne, et parle ainsi à chaque personne, publiquement et sans rémunération. Il est bienveillant avec chaque personne et Il élève chaque personne. Il guide chaque personne, Il prend soin de chaque personne et protège chaque personne. Si, finalement, tu survis en poursuivant la vérité, et que tu satisfais aux normes des exigences de Dieu, tu auras réussi. Mais si, sans cesse, tu perds ton temps, de façon confuse, à penser que tu es infortuné, si tu as toujours tendance à viser trop haut, sans savoir quoi faire, vivant sans cesse selon ce que tu ressens, sans poursuivre la vérité ni suivre le chemin correct, tu ne gagneras rien, en fin de compte. Si tu souhaites sans cesse passer tes journées à faire dans l’à-peu-près, en ignorant l’œuvre que Dieu fait en toi, sans accorder la moindre importance au fait qu’Il te guide ou qu’Il te donne occasions, discipline, éclairage et soutien, Il verra que tu es un idiot engourdi et Il t’ignorera. Dieu œuvrera sur toi le jour où tu poursuivras la vérité. Dieu ne Se souvient pas de tes transgressions. Si tu ne poursuis pas la vérité, Dieu ne te forcera pas à le faire ou ne t’entraînera pas dans Son sillage. Si tu poursuis la vérité, tu gagneras. Si tu ne le fais pas, tu ne gagneras pas. Les gens peuvent poursuivre la vérité ou non, comme ils souhaitent. C’est à eux de décider. Quand l’œuvre de Dieu touchera à sa fin, Dieu te demandera ta feuille de réponses et t’évaluera avec les normes de la vérité. Si tu n’as absolument aucun témoignage, tu devras être banni. Tu ne pourras pas survivre. Tu diras : « J’ai accompli tant de devoirs et j’ai tant rendu service. Je me suis beaucoup dépensé et j’ai beaucoup payé ! » Et Dieu dira : « Mais as-tu poursuivi la vérité ? » Tu y réfléchiras et il te semblera qu’au cours de tes vingt, trente, quarante ou cinquante années de croyance en Dieu, tu n’as pas poursuivi la vérité. Dieu dira : « Tu dis toi-même que tu n’as pas poursuivi la vérité. Allez, dehors, alors ! Va où tu veux. » Tu diras : « Dieu ne pense-t-Il pas qu’il est dommage d’avoir sauvé une personne de moins qu’Il n’aurait dû, de manquer d’un maître de toutes choses ? » À ce stade, Dieu aura-t-Il encore pitié ? Dieu a été patient suffisamment longtemps. Il a attendu suffisamment longtemps. Ses attentes pour toi auront fait leur temps. Il aura perdu espoir en toi et Il ne te prêtera plus attention. Il ne versera pas une seule larme pour toi et Il n’éprouvera plus ni souffrance ni douleur à cause de toi. Pourquoi ? Parce que la fin de toutes choses aura fait son temps, que l’œuvre de Dieu arrivera à son terme, que Son plan de gestion tirera à sa fin et qu’Il Se reposera. Dieu ne sera pas heureux pour quiconque et Il ne sera pas non plus peiné. Il ne pleurera pas et ne Se lamentera pas pour quiconque. Bien entendu, Il ne Se réjouira pas non plus et Il ne sera pas content que quiconque survive, ou que quiconque soit capable de devenir un maître de toutes choses. Pourquoi ? Dieu a trop dépensé, depuis trop longtemps, pour cette humanité, et Il a besoin de Se reposer. Il a besoin de refermer le livre sur les six mille ans de Son plan de gestion et Il n’y prêtera plus attention, ou ne fera plus aucun projet, ou ne prononcera plus la moindre parole, ou ne fera plus aucune œuvre sur l’homme. Il confiera l’œuvre à venir et les jours à venir aux maîtres de l’ère suivante. Que suis-je en train de vous dire, alors ? Ceci : comme vous savez désormais combien de gens resteront, au bout du compte, et qui pourra rester, chacun d’entre vous peut s’efforcer d’aller dans cette direction, et le seul chemin pour y parvenir est la poursuite de la vérité. Ne perdez pas de temps, il ne sera pas acceptable d’être confus. Si un jour vient où Dieu ne Se souvient plus de ce que tu as payé et ne Se soucie plus du chemin que tu suis, ou de ce que ta fin sera, alors, ce jour-là, ta fin sera vraiment fixée. Que devez-vous faire, maintenant ? Vous devez profiter du présent, pendant que le cœur de Dieu trime encore pour l’humanité, pendant que Dieu fait encore des projets pour l’humanité, pendant qu’Il a encore de la peine et qu’Il S’inquiète de tous les faits et gestes humains. Les gens doivent faire un choix, dès que possible. Établissez l’objectif et la direction de votre poursuite, n’attendez pas que les jours de repos de Dieu soient venus pour faire des projets. Si vous n’éprouvez pas de véritables remords, de véritables regrets, un véritable chagrin et que vous ne vous lamentez pas véritablement jusque-là, il sera trop tard. Personne ne pourra te sauver, et Dieu non plus. La raison en est que lorsque le moment viendra, le moment où le plan de Dieu finira vraiment, qu’Il aura apposé la dernière marque et qu’Il refermera le livre sur Son plan, Il n’œuvrera plus. Dieu a besoin de Se reposer. Il a besoin de savourer les fruits nés de Son plan de gestion de six mille ans et de profiter de l’intendance de toutes choses, pour Lui, par les humains qui resteront. Ce dont Dieu veut profiter, c’est de la vision des êtres humains qui restent gérant toutes choses selon les règles et les règlementations qu’Il a établies, en accord méticuleux avec l’ordre qu’Il a créé pour les saisons, pour toutes choses et pour l’humanité, ne violant rien de ce qu’Il veut ou de ce qu’Il désire. Dieu veut profiter de Son repos. Il veut profiter de Son réconfort, sans S’inquiéter davantage pour l’humanité ni œuvrer dans son intérêt. Comprenez-vous cela ? (Oui.) Ce jour va bientôt arriver. Si nous parlions de la longévité humaine à l’époque d’Adam et Ève, il resterait peut-être encore des siècles aux gens, et le temps qui reste serait encore assez long. Regardez le temps qu’il a fallu à Noé pour construire l’arche. Je pense qu’il y a à peine quelques personnes aujourd’hui qui vivront plus de cent ans, et même si tu vis jusqu’à l’âge de quatre-vingt-dix ou cent ans, combien de décennies te reste-t-il ? Pas beaucoup. Même si tu as vingt ans aujourd’hui et que tu peux atteindre l’âge de quatre-vingt-dix ans, il ne te reste donc que soixante-dix ans à vivre, cela représente, malgré tout, moins de temps qu’il n’en a fallu à Noé pour construire l’arche. Pour Dieu, six mille ans s’écoulent en un clin d’œil, et ce qui représente soixante, quatre-vingt ou cent ans pour l’homme ne représente que quelques secondes, quelques minutes, tout au plus, pour Dieu, le temps d’un clin d’œil. Même les gens qui ne suivent pas le chemin correct ou qui ne poursuivent pas la vérité disent souvent : « La vie est courte. En un clin d’œil, nous sommes vieux. En un clin d’œil, la maison est remplie d’enfants et de petits enfants. En un clin d’œil, notre vie a fait son temps. » Alors, qu’en est-il si tu poursuis la vérité ? Pour toi, le temps est encore plus compté. Les gens qui ne poursuivent pas la vérité et qui vivent dans un monde vide perdent leur temps, et ils ressentent tous que le temps s’écoule assez vite. Et si tu poursuis la vérité ? Tout environnement, toute personne, tout évènement ou toute chose arrangés par Dieu sont des choses qui conviennent pour que tu en fasses l’expérience un moment, et ce n’est qu’après une longue période que tu gagneras simplement ce petit peu de connaissance, de perspicacité et d’expérience. Ce n’est pas facile. Quand tu auras vraiment cette connaissance et cette expérience, cela t’apparaîtra : « Mon Dieu ! L’homme ne gagne guère de toute une vie de poursuite de la vérité ! » Désormais, beaucoup de gens rédigent des essais sur leur témoignage d’expérience, et Je vois que certains, qui croient en Dieu depuis vingt ou trente ans, écrivent uniquement sur leurs échecs et leurs chutes datant d’il y a dix ou vingt ans. Ils souhaitent écrire à propos de quelque chose de récent et de leur entrée dans la vie actuelle, mais ils n’en ont aucune. Leur expérience est pitoyablement limitée. Quand ils rédigent des essais sur les témoignages d’expérience, certains doivent se tourner vers leurs échecs et leurs chutes passés, et ceux qui ont une mauvaise mémoire ont besoin de l’aide des autres pour s’en souvenir. Ce petit peu est tout ce qu’ils ont gagné au cours de leur dix, vingt ou même trente années de croyance en Dieu, et il est difficile de l’écrire. Certains essais sont même décousus, et leurs parties incohérentes sont assemblées par la force, de manière fantaisiste. Ces choses-là ne comptent même pas comme expérience de vie, en fait. Elles n’ont rien à voir avec la vie. Voilà à quel point l’homme est pitoyable, quand il ne poursuit pas la vérité. N’en est-il pas ainsi ? (Si.) Il en est ainsi. J’espère qu’aucun d’entre vous ne connaîtra ce jour où l’œuvre de Dieu aura pris fin, et où toi, repentant face à Dieu, tu tomberas à genoux et diras : « Je me connais, désormais ! Je sais comment poursuivre la vérité, maintenant ! » Trop tard ! Dieu ne te prêtera pas attention. Il ne Se souciera plus de savoir si tu es quelqu’un qui poursuit la vérité, quelle sorte de tempérament corrompu tu as ou quelle sorte d’attitude tu as vis-à-vis de Lui, et Il ne Se souciera pas non plus de la profondeur de ta corruption par Satan ou de la sorte de personne que tu es. Quand cela arrivera, ne seras-tu pas gelé jusqu’à l’os ? (Si.) Imagine cela, maintenant : si ce moment arrivait vraiment, serais-tu triste ? (Oui.) Pourquoi serais-tu triste ? La conséquence en serait que tu n’aurais plus jamais une nouvelle chance. Tu n’entendrais plus jamais les paroles de Dieu et Dieu ne Se ferait plus jamais de souci pour toi. Tu ne serais plus jamais quelqu’un dont Il S’inquiète, ou un être de Sa création. Tu n’aurais absolument aucune relation avec Lui. Comme c’est effrayant, quand on y pense. Si tu peux t’imaginer cela maintenant, et que pourtant le jour où tu auras atteint un tel stade arrive vraiment, ne seras-tu pas stupéfait ? Ce sera exactement comme le dit la Bible : quand ce moment viendra, les gens se frapperont la poitrine et le dos, en gémissant et en grinçant des dents, en poussant de tels cris qu’on pourra les croire mourant. Et pleurer à mort sera inutile, il sera bien trop tard ! Dieu ne sera plus ton Dieu et tu ne seras plus un être de la création de Dieu. Tu n’auras plus de relation avec Lui. Il ne voudra pas de toi. Comment tu te portes n’aura plus rien à voir avec Dieu. Tu ne seras plus dans Son cœur et Il ne Se fera plus de souci pour toi. N’auras-tu alors pas atteint la fin de ton chemin de croyance en Dieu ? (Si.) C’est pour cela que, si tu es capable d’imaginer que le moment viendra peut-être où Dieu te détestera et te rejettera, tu devrais chérir le présent. Il se peut que Dieu te châtie, te juge, ou qu’Il te traite et t’émonde. Il peut même te maudire et te réprimander vertement. Tout cela vaut la peine d’être chéri : au moins, Dieu te reconnaît encore en tant qu’être de Sa création, et au moins, Il a encore des attentes pour toi, et au moins, tu es encore dans Son cœur, et Il est encore disposé à te réprimander et à te maudire. Cela signifie que, dans Son cœur, Il S’inquiète encore pour toi. Quelqu’un ne peut pas échanger sa vie contre cette inquiétude. Maintenant, ne soyez pas stupides ! Comprenez-vous ? (Oui.) Si vous comprenez, vous n’êtes pas réellement stupides, vous faites semblant de l’être, n’est-ce pas ? J’espère vraiment que vous n’êtes pas réellement stupides. Si vous avez compris ces choses, ne perdez pas votre temps. La poursuite de la vérité est une question considérable de la vie humaine. Aucune autre question n’est aussi importante que la poursuite de la vérité, et aucune autre question ne surpasse, en valeur, l’obtention de la vérité. A-t-il été facile de suivre Dieu jusqu’à aujourd’hui ? Dépêche-toi, et fais de ta poursuite de la vérité une question d’importance ! Cette étape de l’œuvre dans les derniers jours est l’étape la plus importante de l’œuvre que Dieu fait sur les gens dans Son plan de gestion de six mille ans. La poursuite de la vérité est la plus haute attente que Dieu a vis-à-vis de Son peuple élu. Il espère que les gens suivront le chemin correct, qui est la poursuite de la vérité. Ne laisse pas tomber Dieu, ne Le déçois pas et ne L’oblige pas à t’éliminer de Son cœur et à ne plus S’inquiéter pour toi quand le moment final viendra. Il n’éprouvera même pas de haine pour toi. Ne laisse pas les choses en arriver là. Comprends-tu ? (Oui.)

Quel a été le sujet de notre échange, aujourd’hui ? (Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité.) Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité : ce sujet est quelque peu ardu, n’est-ce pas ? Pourquoi est-il ardu ? Parce qu’il est important. Il est de la plus haute importance pour l’avenir de toute personne, pour la vie de toute personne et pour la manière dont toute personne existera à la prochaine ère. Donc, J’espère que vous réécouterez plusieurs fois l’échange d’aujourd’hui sur ce sujet, pour approfondir un peu l’impression qu’il vous a fait. Que tu aies ou non poursuivi la vérité dans le passé, et que tu sois ou non disposé à poursuivre la vérité, efforce-toi, grâce à l’échange d’aujourd’hui sur le sujet « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité », et au-delà, d’affermir ta détermination et de préparer ta volonté pour tendre vers le choix de poursuivre la vérité. C’est le meilleur choix à faire. Peux-tu le faire ? (Oui.) Formidable. Nous avons échangé aujourd’hui sur le sujet « Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité ». Notre prochain sujet d’échange est : comment poursuivre la vérité. Maintenant que Je vous ai dit quel était le prochain sujet, contemplez-le un peu et voyez quelle connaissance vous en avez dans votre cœur. Pensez-y un peu, à l’avance. Ceci conclut l’échange d’aujourd’hui.

Le 3 septembre 2022

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