Renoncer à la richesse : un parcours personnel

8 août 2023

Par Zhang Tao, Chine

Je suis né dans une famille paysanne. Quand j’étais petit, nous étions si pauvres que nous avions même du mal à avoir suffisamment à manger, et tout le monde nous regardait de haut. Je me disais : « Quand je serai grand, je gagnerai beaucoup d’argent et je rendrai la vie de ma famille plus facile, alors les gens ne nous mépriserons plus et ne se moqueront plus de nous. » Peu après, ma mère est tombée malade et nous avons dû utiliser toutes nos économies. Nos amis et parents craignaient qu’on ne leur demande de l’argent, alors ils trouvaient des excuses pour nous éviter. Nous étions à court de solutions, mais juste à ce moment-là, ma tante nous a prêché l’Évangile du Seigneur Jésus. Après avoir trouvé le Seigneur, ma mère s’est miraculeusement rétablie, et c’est également là que ma foi a débuté. Même si j’étais encore jeune, à cette époque, mes rêves de richesse n’ont jamais changé. Pour gagner de l’argent et me faire un nom, à 13 ans, j’ai commencé à vendre des allumettes, des cigarettes et des graines de tournesol sur le marché. À 15 ans, j’ai commencé à installer des étals un peu partout, et à 18 ans, j’ai voulu m’essayer au commerce du bois. Mais comme je n’avais pas un capital suffisant, mon frère m’a emmené chez un camarade de classe du comté pour emprunter de l’argent. J’ai vu que cette famille aisée disposait de tas d’appareils, qu’elle mangeait de la pastèque et utilisait l’air conditionné les jours d’été quand il faisait chaud, et je l’ai beaucoup enviée. À la maison, nous n’avions même pas de ventilateur. Quelle que soit la chaleur, nous n’avions que des éventails, et pour étancher notre soif, il n’y avait que l’eau du puits. À cette époque, je me demandais pourquoi nos familles étaient aussi différentes. Les riches vivaient bien, quand pourrais-je vivre comme eux ? Dès lors, mon désir de vivre une vie au sommet de l’échelle s’est accru. Après m’être marié, je n’ai toujours pas gagné beaucoup d’argent en travaillant. Ma femme et moi allions travailler ailleurs, et nous avions un cyclo-pousse pour gagner un peu plus d’argent à côté. Mais les années ont passé et ce que nous gagnions nous permettait à peine de nous en sortir.

En février 2000, j’ai vu que des gens gagnaient beaucoup d’argent en tant qu’agents commerciaux dans le commerce de vêtements et j’ai voulu en être, moi aussi. À force de travail, j’ai fini par devenir agent général pour la province. Au début, aucun client ne venait passer commande, alors j’ai commencé à faire du porte-à-porte pour présenter mes produits. Afin de lancer mon commerce, je m’occupais des moindres détails moi-même : j’achetais les articles, je facturais les clients, j’emballais et expédiais les commandes etc… Je travaillais près de 16 heures par jour. J’était souvent trop occupé ne serait-ce que pour manger. Mais au bout de quelques années de dur labeur, j’ai finalement commencé à gagner de l’argent. J’ai acheté une voiture et une maison et mes pairs, mes amis, ma famille m’ont tous admiré et loué pour mes capacités. Les gens me saluaient partout où j’allais. Quand je rentrais chez moi, pour le Nouvel An lunaire, des gens venus de partout me regardaient avec admiration et on m’appelait « Monsieur gros bonnet » partout où j’allais. Ces louanges me rendaient vraiment heureux et je me disais que toutes ces souffrances en valaient la peine. Mais comme j’étais occupé à longueur d’année, je mangeais très irrégulièrement, et j’ai contracté une affection grave de l’estomac, qui m’infligeait des douleurs aiguës chaque fois que je mangeais. Du fait de mon surmenage prolongé, j’avais aussi un disque lombaire déformé, et mes mains devenaient parfois insensibles ou se tétanisaient. Mais pour développer mon commerce et gagner davantage d’argent, j’ai mis de côté mon état de santé et continué à faire des affaires. J’avais parfois l’impression que mon corps n’en pouvait vraiment plus, mais quand je voyais que mes chiffres de vente augmentaient d’année en année et que l’entreprise dégageait plus d’un million de yuans par an, j’oubliais mon état et je continuais à travailler. Une année, notre succursale s’est classée deuxième du pays en termes de ventes et on nous a octroyé plus de 300.000 yuans rien qu’en primes. Les autres agents me regardaient tous avec envie. L’entreprise m’a alors assigné un objectif de vente encore plus élevé et a exigé que je donne un coup de collier pour nous faire arriver à la première place. C’était un objectif que j’essayais d’atteindre, moi aussi, car plus mes performances étaient bonnes, plus je gagnais d’argent et plus mes primes étaient élevées. Si j’y arrivais, je gagnerais l’admiration des autres où que j’aille et ma réputation deviendrait encore plus formidable. Mais alors que j’étais très content de moi et que je m’efforçais d’atteindre le sommet, ma santé se détériorait. Mon problème d’estomac n’arrêtait pas de se manifester, mon dos me faisait souvent souffrir et je ne pouvais pas rester debout longtemps. Je suis donc allé à l’hôpital me faire examiner et le médecin m’a dit : « Votre disque lombaire est déformé, vous devez vous reposer davantage et ne pas travailler aussi dur. Si vous ne suiviez pas mes conseils, il est probable que la compression des nerfs conduise à une paralysie. » Je me suis dit : « J’ai tellement de travail à faire, quand pourrais-je bien me reposer ? » J’ai donc simplement continué à traîner mon corps malade en travaillant. La première chose à laquelle je pensais le matin, c’était comment gagner de l’argent, et à la fin d’une journée chargée, je m’endormais souvent dès que ma tête touchait l’oreiller. Ma femme disait que j’accordais plus de valeur à l’argent qu’à ma vie. Durant la journée, j’étais tellement pris par le travail que j’en oubliais mon état, mais quand j’étais dans mon lit, la nuit, incapable de dormir, à me tourner et me retourner à cause de la douleur, je me disais : « J’ai gagné de l’argent, je vis plus confortablement et les autres m’admirent, mais je m’effondre, alors que je n’ai même pas 40 ans. Qui sait dans quel état je serai une fois devenu vieux. » La douleur due à mes problèmes de santé, la pression mentale, ainsi que les tromperies et conflits internes dans ma vie professionnelle me faisaient endurer des souffrances et un épuisement insupportables. Pourquoi ma richesse ne m’avait-elle pas rendu heureux ? Je ne ressentais ni paix ni calme intérieurs et je ne pouvais pas réellement me reposer sur quoi que ce soit. Avais-je vraiment vécu toute ma vie en me sentant vide et en souffrant, à courir après l’argent et la renommée ? Était-ce bien là la vie que j’avais voulu avoir ?

Dans ma douleur et ma confusion, j’ai reçu, avec ma femme, l’Évangile de Dieu Tout-Puissant des derniers jours en 2009. En lisant la parole de Dieu et en vivant la vie de l’Église, j’ai compris que Dieu S’était incarné dans les derniers jours pour exprimer des vérités et faire l’œuvre de jugement et de purification des gens, et que seuls ceux qui acceptaient Son jugement et sa purification pouvaient être amenés à une bonne destination. Rapidement, ma femme et moi sommes devenus certains de l’œuvre de Dieu des derniers jours. Chaque jour, je lisais avec passion la parole de Dieu et profitais de l’abreuvement de Sa parole. Mon cœur était empli de paix et de joie. À ce moment-là, je me suis demandé : « Avant, tout ce que je voulais, c’était devenir riche et vivre heureux. Alors, quand j’ai gagné de l’argent, pourquoi me suis-je senti vide et pourquoi ai-je souffert au lieu d’être heureux ? » J’ai lu ce passage de la parole de Dieu Tout-Puissant qui a dissipé ma confusion : Dieu Tout-Puissant dit : « Il existe un énorme secret dans ton cœur. Tu n’en as jamais été conscient, car tu vis dans un monde sans lumière. Ton cœur et ton esprit ont été arrachés par le malin. Tes yeux sont voilés par les ténèbres, t’empêchant de voir aussi bien le soleil dans les cieux que l’étoile scintillante dans la nuit. Tes oreilles sont obstruées par des paroles trompeuses, et tu n’entends ni la voix assourdissante de l’Éternel, ni le bruit des eaux coulant du trône. Tu as perdu tout ce qui aurait dû t’appartenir de façon légitime, tout ce que le Tout-Puissant t’a octroyé. Tu as pénétré dans une mer infinie de souffrance, sans force pour te sauver, sans espoir de survie, et tu ne fais que lutter et es constamment en mouvement… Tu étais condamné, à partir de ce moment-là, à être ravagé par le malin, à être tenu bien à l’écart des bénédictions du Tout-Puissant, à ne pas pouvoir accéder aux provisions du Tout-Puissant et à emprunter un chemin de non-retour. […] Tu n’as pas la moindre idée d’où tu viens, des raisons de ta naissance ni de celles de ta mort. Tu considères le Tout-Puissant comme un étranger ; tu ne connais pas Ses origines, et encore moins tout ce qu’Il a fait pour toi. Tout ce qui vient de Lui t’es devenu détestable : tu ne chéris pas ces choses-là, ni ne connais leur valeur. Tu marches aux côtés du malin depuis le jour où tu as commencé à recevoir des provisions du Tout-Puissant. Tu as traversé des millénaires de tempêtes et d’ouragans avec le malin, et c’est avec lui que tu t’élèves contre le Dieu qui était la source de ta vie. Tu ne connais rien de la repentance, et sais encore moins que tu es arrivé au bord de la mort. Tu oublies que le malin t’a tenté et t’a ravagé ; tu as oublié tes débuts. Ainsi, le malin t’a rongé à chaque étape de ton parcours, jusqu’à aujourd’hui. Ton cœur et ton esprit sont engourdis et pourris. Tu as cessé de te plaindre des vexations du monde des hommes et tu ne trouves plus le monde injuste. Il t’importe encore moins que le Tout-Puissant existe ou non. C’est parce qu’il y a longtemps, tu as estimé que le malin était ton vrai père, et tu ne peux plus te séparer de lui. Voilà le secret qui se trouve dans ton cœur » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les soupirs du Tout-Puissant). L’homme a été créé par Dieu et nous vivions autrefois sous Sa responsabilité et Sa protection. Mais à cause de la tromperie et de la corruption de Satan, l’homme a trahi Dieu et S’en est éloigné. L’homme n’avait aucune idée de la valeur et du sens de la vie, il a suivi les poursuites malfaisantes de Satan visant la richesse, la renommé et les plaisirs terrestres et il a vécu dans les limites des mauvais traitements de Satan. J’avais été influencé par l’emprise de Satan. J’avais simplement voulu devenir riche et vivre au sommet de l’échelle, et pour gagner davantage d’argent, j’avais complètement négligé mon corps. Même quand mes problèmes de santé me faisaient atrocement souffrir, je ne voulais pas renoncer à la moindre occasion de gagner de l’argent. Je vivais une vie vide et douloureuse, et c’était entièrement dû aux ruses et aux ravages de Satan. Dieu s’est incarné une nouvelle fois dans les derniers jours pour présenter des vérités, pour sauver l’homme de l’influence de Satan, pour permettre à l’homme d’échapper à la corruption et aux ravages de Satan, et pour conduire l’homme à une bonne destination. Grâce au salut de Dieu et à sa miséricorde à mon égard, j’avais la chance d’accueillir le retour du Seigneur et d’entendre la voix du Créateur. Après ça, j’ai lentement renoncé aux affaires, et j’ai consacré plus de temps à aller à des réunions et à lire la parole de Dieu. Peu à peu, j’ai commencé à comprendre certaines vérités. Quand Dieu Tout-Puissant exprime des vérités dans les derniers jours et fait l’œuvre du jugement, c’est l’étape finale du plan de gestion de 6000 ans de Dieu, et ceux qui n’acceptent pas le jugement de Dieu dans les derniers jours et qui ne sont pas purifiés périront dans les désastres et seront punis, au bout du compte. Mais beaucoup de gens dans mon entourage n’avaient pas encore entendu la voix de Dieu et ils n’avaient pas accueilli le retour du Seigneur. Cela m’inquiétait beaucoup. Et quand je voyais les autres prêcher l’Évangile et témoigner de Dieu, alors que j’étais encore empêtré dans les problèmes de l’entreprise et que je ne faisais pas de devoir, je me disais que je faisais défaut à Dieu, mais je ne savais pas quoi faire. Alors j’ai présenté mes pensées et mes problèmes à Dieu en prière, en Lui demandant de m’aider à traverser cette situation.

Après avoir prié, j’ai lu ce passage de la parole de Dieu : Dieu Tout-Puissant dit : « Es-tu conscient du fardeau sur tes épaules, de ta commission et de ta responsabilité ? Où est ton sens de la mission historique ? Comment serviras-tu adéquatement en maître à la prochaine ère ? As-tu un sens élevé de maîtrise ? Comment expliquerais-tu le maître de toutes choses ? Est-ce réellement le maître de toutes les créatures vivantes et de toutes les choses physiques dans le monde ? Quels plans as-tu pour la progression de la prochaine étape de l’œuvre ? Combien de gens attendent que tu sois leur berger ? Ta tâche est-elle lourde ? Ils sont malheureux, pitoyables, aveugles, et désorientés, gémissant dans les ténèbres. Où est le chemin ? Combien ils aspirent à ce que la lumière, comme une étoile filante, descende soudainement et dissipe les forces des ténèbres qui ont accablé les hommes depuis tant d’années. Qui peut savoir exactement dans quelle mesure ils espèrent anxieusement et comment ils languissent jour et nuit après cela ? Ces hommes qui souffrent profondément restent emprisonnés dans un cachot obscur, sans espoir d’être libérés, même un jour où la lumière illumine. Quand cesseront-ils de pleurer ? Le malheur de ces esprits fragiles, à qui l’on n’a jamais accordé le repos, est terrible, et ils ont longtemps été gardés attachés dans cet état par d’impitoyables liens et par l’histoire figée. Qui a entendu les cris de leurs gémissements ? Qui a observé leur état misérable ? As-tu jamais imaginé à quel point le cœur de Dieu est chagriné et anxieux ? Comment peut-Il supporter de voir l’humanité innocente, créée de Ses propres mains, endurer un tel tourment ? Après tout, les êtres humains sont les victimes qui ont été empoisonnées. Bien que l’homme ait survécu jusqu’à ce jour, qui aurait su que l’humanité a depuis longtemps été empoisonnée par le malin ? As-tu oublié que tu es l’une des victimes ? Dans ton amour pour Dieu, n’es-tu pas prêt à t’efforcer de sauver ces survivants ? N’es-tu pas prêt à consacrer toute ton énergie à rendre la pareille à Dieu qui aime l’humanité comme Sa propre chair et Son propre sang ? Tout compte fait, comment interprètes-tu ton utilisation par Dieu pour vivre ta vie extraordinaire ? As-tu réellement la détermination et la confiance pour vivre la vie riche de sens d’une personne pieuse qui sert Dieu ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Comment devrais-tu entreprendre ta future mission ?). Grâce à cette parole de Dieu, j’ai senti Sa volonté urgente. L’œuvre de salut de l’humanité par Dieu s’achèvera bientôt, mais il y a encore tant de gens qui n’ont pas entendu Sa voix ou accueilli Son apparition, et qui souffrent encore dans l’obscurité, en particulier ceux qui ont cru au Seigneur pendant de nombreuses années. Ces gens espèrent que l’apparition et l’œuvre du Seigneur Jésus les sauveront de l’obscurité, mais comme ils ont été égarés par les pasteurs et les anciens, ils n’ont pas encore accueilli le retour du Seigneur et ils ont désespérément besoin que quelqu’un témoigne de l’œuvre de Dieu dans les derniers jours à leur intention et les conduise devant Dieu pour qu’ils puissent accepter Son salut. En tant qu’être créé, je dois avoir raison et conscience, je dois écouter la volonté de Dieu et Lui rendre Son amour, et je dois amener davantage de gens devant Lui pour qu’ils acceptent Son salut. C’est là la cause la plus juste et mon devoir et mon obligation inébranlables. Confronté à la volonté et aux exigences de Dieu, j’ai su que si je restais indifférent et incapable de rendre Son amour à Dieu, ce serait vraiment être sans conscience ni raison, et je ne serais pas digne d’être appelé un être humain. J’ai compris l’ampleur de ma responsabilité et j’ai voulu prêcher l’Évangile de toute urgence. J’ai donc dit à ma femme que je voulais confier l’entreprise à quelqu’un, pour avoir davantage de temps et d’énergie afin de poursuivre la vérité et faire un devoir. Ma femme m’a dit : « Nous avons tant profité de la grâce et de la bénédiction de Dieu, ces dernières années, nous devrions tout faire pour répandre l’Évangile du Règne. Si nous sommes incapables de prendre nos responsabilités et de travailler avec Dieu pour Lui rendre Son amour grâce à un devoir, alors nous Le laissons vraiment tomber et notre conscience ne le supportera pas. » Entendre ma femme dire ça m’a conforté dans ma décision de renoncer à l’entreprise. Mais quand j’y suis retourné et que j’ai vu les employés qui s’activaient à emballer et expédier les marchandises, j’ai soudain éprouvé un sentiment de perte vis-à-vis de cette entreprise que j’avais bâtie de me propres mains. Ce n’avait pas été facile de la développer à ce point et d’acquérir tous ces capitaux, alors j’avais du mal à tout confier à quelqu’un d’autre. J’ai songé à toutes ces années passées à pédaler derrière un pousse-pousse, à vendre mon labeur, à être traité comme une bête de somme, et j’ai pensé qu’après toutes ces années de dur travail, j’avais désormais ma propre entreprise. Je m’étais fait une vaste clientèle et je m’étais assuré d’un revenu stable. Si je renonçais vraiment à l’entreprise, n’allais-je pas perdre toute source de revenu et vite grignoter mes économies jusqu’a ce qu’il ne m’en reste plus rien ? Allais-je finir par mener la même vie de souffrance qu’avant ? Non seulement les gens ne m’admireraient plus, mais ils me mépriseraient. Pour autant, passer mes journées à faire des affaires et à gagner de l’argent ne me laissait pas le temps de faire un devoir et je ne pouvais pas me calmer devant Dieu. Comment étais-je censé atteindre la vérité avec ce genre de foi ? Plus tard, j’ai pensé à une solution. Je pouvais sous-traiter l’entreprise à deux directeurs pour qu’ils s’occupent de l’administration et de la gestion, de façon à conserver le pouvoir au sein de l’entreprise. De cette façon, même après déduction de leurs dividendes en tant que gestionnaires, je toucherais encore 1,6 million de yuans par an. J’aurais alors un revenu stable et du temps pour faire un devoir. Je ferais d’une pierre deux coups, n’est-ce pas ? Mais par la suite, j’ai eu peur qu’ils ne s’unissent contre moi. Dans ce cas, non seulement je n’aurais pas de revenu, mais je risquais aussi de perdre la valeur initiale de l’entreprise. Ne serait-ce pas simplement remuer le couteau dans la plaie ? L’idée de confier l’entreprise à quelqu’un d’autre a donc continué à me paraître insupportable.

J’ai présenté à Dieu en prière le problème de la passation de l’entreprise : « Ô Dieu, je veux faire mon devoir correctement pour Te rendre Ton amour, mais j’ai peur de ne plus avoir de ressources si je confie mon entreprise à quelqu’un. Je suis pris entre le marteau et l’enclume et je ne sais pas quoi faire. S’il Te plaît, guide-moi pour que je trouve un chemin de pratique. » Ensuite, j’ai lu ce passage de la parole de Dieu : Dieu dit : « Si Je déposais maintenant de l’argent devant vous et que Je vous laissais la liberté de choisir – sans vous condamner pour votre choix –, la plupart d’entre vous choisiraient l’argent et renonceraient à la vérité. Les meilleurs d’entre vous renonceraient à l’argent et choisiraient la vérité à contrecœur, tandis que certains, entre les deux, prendraient l’argent dans une main et la vérité dans l’autre. Votre vrai visage ne deviendrait-il pas alors évident ? Au moment de choisir entre la vérité et n’importe quelle chose à laquelle vous êtes fidèles, vous feriez tous ce choix et votre attitude resterait la même. N’est-ce pas le cas ? N’êtes-vous pas nombreux à avoir oscillé entre le bien et le mal ? Dans l’opposition entre le positif et le négatif, le noir et le blanc, vous êtes certainement conscients de ce que vous avez choisi entre la famille et Dieu, les enfants et Dieu, la paix et la dislocation, la richesse et la pauvreté, le prestige et la banalité, le soutien ou le rejet par autrui, et ainsi de suite. Entre une famille paisible et une famille brisée, vous avez choisi la première, et ce, sans aucune hésitation ; entre la richesse et le devoir, vous avez là aussi choisi la première, sans même la volonté de regagner la terre ferme ; entre le luxe et la pauvreté, vous avez choisi le premier ; au moment de choisir entre vos fils, filles, époux, et Moi, vous avez choisi les premiers ; et entre la notion et la vérité, vous avez, là encore, choisi la première. Devant vos méfaits de toutes sortes, J’ai ni plus ni moins perdu la foi en vous. Je suis tout simplement sidéré de constater que vos cœurs résistent avec autant de force à leur adoucissement. Toutes ces années de dévouement et d’efforts semblent ne M’avoir apporté qu’abandon et désespoir de votre part, mais l’espoir que Je place en vous grandit chaque jour qui passe, car Mon jour a été entièrement révélé devant tout le monde. Pourtant, vous persistez à rechercher des choses sombres et mauvaises, et vous refusez de lâcher prise. Quelle sera alors votre fin ? Y avez-vous déjà prêté une attention particulière ? Si l’on vous demandait de choisir à nouveau, pour quoi opteriez-vous ? Le premier choix, encore ? M’inspireriez-vous, encore une fois, déception et terrible chagrin ? Votre cœur contiendrait-il encore une once de chaleur ? Ne sauriez-vous toujours pas quoi faire pour réconforter Mon cœur ? En cet instant même, que choisissez-vous ? Vous soumettrez-vous à Mes paroles ou vous en lasserez-vous ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, À qui es-tu fidèle ?). J’ai eu l’impression d’être face à face avec Dieu, et qu’Il me demandait sincèrement si j’allais choisir la richesse ou la vérité. Dieu plaçait Ses espoirs dans ma réponse, mais j’avais choisi la richesse. En y pensant, j’ai été envahi par la culpabilité. J’ai pensé à certains de mes frères et sœurs. Dès qu’ils avaient compris la volonté de Dieu, ils avaient pu tout abandonner pour suivre Dieu, pour faire un devoir et répandre l’Évangile du Règne de Dieu. Mais quant à moi, ma foi se résumait aux réunions et à la lecture de la parole de Dieu. Je ne faisais pas le devoir d’un être créé et je me sentais dépourvu de conscience et de raison. Je ne voulais pas remettre mon devoir à plus tard, mais je ne voulais pas non plus perdre ma source de revenu. C’était comme Dieu le révélait : « certains, entre les deux, prendraient l’argent dans une main et la vérité dans l’autre. » Je voulais avoir le beurre et l’argent du beurre, je ne pouvais donc gagner aucune vérité. Au bout du compte, je finirais simplement par être banni par Dieu. J’ai alors pensé à la femme de Lot, qui avait fui Sodome. Elle avait été transformée en statut de sel parce qu’elle n’avait pas pu renoncer à la richesse et s’était retournée, devenant un symbole de la honte. En quoi étais-je différent d’elle ? Je me suis souvenu que le Seigneur Jésus disait : « Quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n’est pas propre au royaume de Dieu » (Luc 9:62). Dieu m’avait donné d’innombrables biens et Il m’avait nourri et vêtu, mais je désirais encore ardemment la richesse et je ne faisais pas un devoir. J’étais comme un serpent qui essaie d’avaler un éléphant, jamais satisfait ! J’étais prêt à lutter et à donner ma vie pour la richesse, mais pas à donner quoi que ce soit pour la vérité. J’étais vraiment indigne du royaume de Dieu. Plus tard, j’ai lu ce passage de la parole de Dieu : « Réveillez-vous, frères ! Réveillez-vous, sœurs ! Mon jour ne tardera pas. Le temps, c’est la vie, et ressaisir le temps, c’est sauver la vie ! Le temps est proche ! Si vous ratez l’examen d’entrée à l’université, vous pouvez étudier et le repasser autant de fois qu’il vous plaira. Cependant, Mon jour ne souffrira aucun retard supplémentaire. Souvenez-vous ! Souvenez-vous ! Je vous exhorte par ces bonnes paroles. La fin du monde se déroule devant vos yeux et de grandes catastrophes approchent rapidement. Qu’est-ce qui est le plus important, votre vie, ou votre sommeil, ce que vous mangez et buvez et vos vêtements ? Le temps d’évaluer ces choses est venu. Ne doutez pas plus longtemps, et ne reculez pas devant la certitude ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 30). Toutes ces paroles de Dieu m’ont profondément touché et m’ont rappelé ce qui, de la vie ou de la richesse, était le plus important. Dans les derniers jours, Dieu s’est incarné pour présenter des vérités et faire l’œuvre du jugement. C’était une bonne occasion de faire mon devoir, de gagner la vérité et d’être perfectionné par Dieu. Si je ratais cette chance, je le regretterais à jamais. Quand les grands désastres viendront, à quoi me serviront tous mes biens ? Ne mourrai-je pas, malgré tout ? J’ai alors présenté à Dieu en prière le sujet de la passation de l’entreprise une nouvelle fois et décidé de confier mes affaires à quelqu’un d’autre, en demandant à Dieu de m’ouvrir un chemin.

Mon beau-père s’est vraiment mis en colère quand il a découvert que je confiais l’entreprise à quelqu’un d’autre. Il m’a réprimandé, en disant : « Tu es prêt à confier cette entreprise pour laquelle tu as travaillé si dur à quelqu’un d’autre ? Cette entreprise dégage plus de 2 millions de yuans par an, je ne vais pas te laisser la donner à quelqu’un d’autre comme ça ! » L’entendre dire ça m’a beaucoup ébranlé. Les affaires avaient dépassé mes attentes et été particulièrement bonnes cette année, et il était impossible de savoir si ça allait continuer. Si je confiais l’entreprise à quelqu’un d’autre comme ça, et que nous finissions par dépenser nos liquidités, qui, parmi nos amis et parents, nous respecterait encore ? J’ai envisagé de confier la responsabilité de l’entreprise à quelqu’un, tout en conservant des actions, pour que nous puissions continuer à percevoir un revenu en dividendes chaque année. J’ai parlé de cette proposition à ma femme, qui m’a dit : « À mon avis, renonce à tout, pour ne pas être obsédé par les actions. Tu auras alors assez d’énergie pour poursuivre la vérité, et ton devoir ne s’en trouvera pas retardé. Quand les désastres viendront, aucune somme d’argent ne pourra nous sauver. Tu dois être clair à ce sujet. » Elle a ajouté : « Ce qu’il y a de plus important à faire pour nous, maintenant, c’est de consacrer plus de temps à la poursuite de la vérité. Gagner la vérité et préparer de bonnes actions est plus important que la richesse matérielle. » Mes enfants ont soutenu l’avis de ma femme et ils ont dit que je devais confier l’entreprise à quelqu’un d’autre. Pendant plusieurs jours, j’ai retourné la question dans ma tête. J’ai présenté la chose à Dieu en prière : « Ô Dieu, en théorie, je sais ceci : qu’une personne vive dans la richesse ou la pauvreté est gouverné et décidé par Toi, mais j’ai vraiment du mal à abandonner réellement ma richesse. S’il Te plaît, donne-moi la foi suffisante pour que je prenne la bonne décision. »

Ensuite, j’ai lu ce passage de la parole de Dieu : Dieu dit : « Chaque jour, vous calculez comment obtenir quelque chose de Moi. Chaque jour, vous comptez ce que vous avez reçu de Moi, les richesses, les choses matérielles. Chaque jour, vous attendez qu’il vous vienne encore plus de bénédictions afin de pouvoir profiter d’encore plus de choses, et d’un niveau encore plus élevé. Ce qui habite vos pensées de chaque instant, ce n’est ni Moi ni la vérité qui vient de Moi, mais votre mari ou votre femme, vos fils, vos filles, ce que vous mangez, ce que vous portez. Vous vous demandez comment jouir encore davantage et prendre encore plus de plaisir. Mais même quand vous vous repaissez à en éclater, êtes-vous autre chose qu’un cadavre ? Même quand vous vous parez extérieurement des plus belles tenues, n’êtes-vous pas encore un cadavre ambulant dénué de vie ? Vous vous tuez à la tâche pour manger jusqu’à ce que vos cheveux grisonnent, mais personne n’est prêt à sacrifier un seul de ses cheveux pour Mon œuvre. Vous vous affairez constamment, vous mettez votre corps à l’épreuve et vous vous creusez la cervelle pour votre chair et pour vos fils et vos filles, mais aucun de vous ne se soucie ni ne tient compte de Ma volonté. Qu’espérez-vous encore obtenir de Moi ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus). Cette parole de Dieu révélait mon état exact. Quand je devais choisir entre la richesse et le devoir, je me montrais toujours hésitant. Je voulais toujours m’occuper de mes biens matériels avant d’envisager de me dépenser pour Dieu. J’ai vu que j’étais très confus dans ma foi et que je ne me dépensais pas sincèrement pour Dieu. Dieu œuvre de tout Son cœur pour sauver l’humanité, donnant même Sa vie pour nous. Mais je n’avais jamais voué tout mon cœur à Dieu. Je n’avais jamais compris ou écouté Sa volonté. Pour moi, la richesse était plus importante que tout le reste. J’ai vu que j’avais été vraiment égoïste ! Je me suis souvenu que le Seigneur Jésus disait : « Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? ou, que donnerait un homme en échange de son âme ? » (Matthieu 16:26). Quelle que soit la quantité d’argent que je gagnais, la richesse matérielle dont je profitais ou l’admiration que j’obtenais, si je ne gagnais pas la vérité ou si je ne changeais pas mon tempérament corrompu, quel sens avait tout cela ? Ne périrai-je pas malgré tout, au bout du compte ? Aucune somme d’argent ne pouvait me sauver la vie ou me permettre d’acheter une chance de salut. Je me suis souvenu d’un entrepreneur mondialement célèbre, qui avait placé des capitaux dans des pays du monde entier. Ses entreprises le rendaient plus riche à chaque seconde. Il était fabuleusement riche, avait voyagé à travers le monde et profité d’une vie de plaisir matériel, mais quels que soient la richesse ou les biens qu’il avait obtenus, il se sentait vide. Il ne trouvait aucune valeur, aucun sens à la vie, alors il s’était suicidé en se jetant dans l’océan. Plus on poursuit la richesse et la renommée, plus on se sent spirituellement désemparé et vide, et finalement, cela nous détruit. J’ai pensé à la façon dont j’avais travaillé sans discontinuer, toute la journée, comme une machine, pour l’argent et la renommée, et comment cela m’avait rendu vraiment malade. Je ne pouvais ni manger ni dormir correctement et je souffrais en permanence. Dieu est venu faire l’œuvre du jugement de l’homme dans les derniers jours, mais je m’inquiétais de sombrer dans la pauvreté et d’être pris de haut. Je n’arrivais tout simplement pas à renoncer à mon argent. Quelle que soit la quantité d’argent que je gagnais, si je finissais par perdre la vérité et ma chance d’être sauvé, quel sens aurait n’importe quelle somme ? Dans les derniers jours, Dieu s’est incarné pour dire des vérités et faire l’œuvre du jugement. Dieu espère que davantage de gens se présenteront pour répandre Son Évangile, afin que ceux qui aspirent à Son apparition entendent Sa voix et reviennent devant Lui comme Créateur. Dieu espère encore plus que nous serons purifiés, que nous changerons grâce à Son œuvre et que, finalement, nous serons sauvés par Lui. Mais je ne comprenais pas la volonté urgente de Dieu et je m’accrochais à mon argent. J’étais si stupide et aveugle ! Ce que je devais faire, c’était tout abandonner afin de me dépenser pour Dieu et de poursuivre la vérité. Voilà ce qui comptait vraiment. J’ai ignoré l’opposition véhémente de mon beau-père et j’ai transféré mon entreprise à mon frère.

Depuis, je ne me soucie plus du tout de la gestion de l’entreprise. Le fardeau et la pression de toutes ces années se sont soudainement dissipés, ma vie a retrouvé une certaine régularité, et lentement, mais miraculeusement, j’ai guéri des diverses maladies qui me minaient. C’était vraiment la grâce de Dieu. J’ai rejoint les rangs des ouvriers d’évangélisation et j’ai travaillé harmonieusement avec les autres, répandant l’Évangile du Règne de Dieu et témoignant de cet Évangile. Je me suis senti vraiment épanoui en vivant comme ça. Lors d’expériences ultérieures, grâce au jugement et à l’exposition des paroles de Dieu, j’ai clairement vu la racine de mon incapacité à renoncer à la richesse dans ma foi. Dieu Tout-Puissant dit : « “L’argent fait tourner le monde” est la philosophie de Satan. Elle prévaut dans l’humanité tout entière, dans toutes les sociétés humaines : vous pourriez dire que c’est une tendance. En effet, elle a été instillée à tous les hommes, qui au début n’acceptaient pas ce dicton, mais lui ont ensuite donné leur accord tacite lorsqu’ils sont entrés en contact avec la vie réelle et ont commencé à sentir que ces mots, en fait, étaient vrais. Ce processus n’est-il pas celui de la corruption de l’homme par Satan ? […] Satan utilise l’argent pour tenter les gens et les corrompt en leur faisant adorer l’argent et vénérer les choses matérielles. Et comment cette adoration de l’argent se manifeste-t-elle chez les gens ? Ne sentez-vous pas que vous ne pourriez pas survivre dans ce monde sans argent, que même un jour sans argent serait tout simplement impossible ? Le statut des gens est basé sur la quantité d’argent qu’ils possèdent, tout comme le respect qu’ils inspirent. Les pauvres courbent le dos de honte alors que les riches profitent de leur statut élevé. Ils gardent la tête haute, ils sont fiers, ils parlent fortement et vivent avec arrogance. Qu’est-ce que ce dicton et cette tendance apportent aux gens ? N’est-il pas vrai que beaucoup de gens feraient n’importe quel sacrifice dans leur quête d’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas leur dignité et leur intégrité en quête de plus d’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas la possibilité d’accomplir leur devoir et de suivre Dieu à cause de l’argent ? Perdre l’occasion de gagner la vérité et d’être sauvé, n’est-ce pas la plus grande des pertes pour les gens ? Satan n’est-il pas sinistre d’utiliser cette méthode et ce dicton pour corrompre l’homme à un tel degré ? Cela n’est-il pas une ruse malveillante ? […] Peux-tu donc le percevoir quand tu es trompé et corrompu par Satan ? Non. Si tu n’es pas à même de voir Satan qui se tient juste devant toi, ou de percevoir Satan qui agit dans l’ombre, seras-tu capable de voir la méchanceté de Satan ? Pourras-tu savoir comment Satan corrompt l’humanité ? Satan corrompt l’homme en tout temps et en tous lieux. Satan fait en sorte qu’il est impossible pour l’homme de se défendre contre cette corruption et rend l’homme impuissant contre elle. Satan te fait accepter ses pensées, ses points de vue et les mauvaises choses qui viennent de lui dans des situations où tu es ignorant et quand tu n’as aucune connaissance de ce qui t’arrive. Les gens acceptent pleinement ces choses et ne s’en offusquent pas. Ils chérissent et gardent ces choses comme un trésor. Ils se laissent manipuler par ces choses, se laissent traiter comme des jouets par ces choses. C’est de cette façon que les gens vivent sous le pouvoir de Satan et obéissent inconsciemment à Satan, et la corruption de l’homme par Satan devient toujours plus profonde » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique V). Cette parole de Dieu révélait la société telle qu’elle est aujourd’hui, et mon véritable état. Dès l’enfance, des poisons sataniques tels que : « Un homme sans argent est un loup sans dent », « Une personne qui a de l’argent garde la tête plus haute qu’une personne sans argent » et « L’argent n’est pas tout, mais sans ça, vous ne pouvez rien faire » m’avaient subtilement influencé et fait accorder plus de valeur à l’argent qu’à tout le reste. Ces poisons m’avaient fait penser qu’avoir de l’argent était tout, que si vous aviez de l’argent, vous pouviez vivre dans l’aisance matérielle et garder la tête haute, que partout où vous alliez, vous seriez soutenu, respecté et loué, et que c’était là une façon de vivre digne et qui en valait la peine. J’avais pensé que si vous n’aviez pas d’argent, les gens vous manqueraient de respect et s’en prendraient à vous, alors j’avais poursuivi l’argent comme étant le seul but possible. Au début, je m’étais creusé la cervelle pour trouver le moyen de gagner de l’argent et d’avoir des clients, en usant de flatteries et de mensonges mielleux, en courant dans tous les sens comme un poulet sans tête. Cela m’avait fatigué, épuisé et même rendu malade. Je ne pouvais pas me reposer, ne serait-ce qu’une journée, et par conséquent, mon corps s’était effondré. J’avais eu toutes sortes de problèmes à l’estomac, au bas et au haut du dos, qui avaient rendu ma vie si pénible que je ne pouvais ni manger ni dormir correctement. Mais même dans cet état, j’avais travaillé dur pour gagner de l’argent. J’avais vécu selon les codes de survie de Satan et j’étais devenu complètement égoïste et cupide. J’étais devenu l’esclave de l’argent. Satan s’était servi de l’argent et de la renommée pour me corrompre entièrement. Que je sois capable de renoncer à mon entreprise et à mon argent pour faire un devoir était entièrement le résultat de l’éclairage et de la direction de la parole de Dieu. Je suis vraiment reconnaissant à Dieu de m’avoir sauvé. Je dois chérir cette occasion rare de faire mon devoir et de rendre Son amour à Dieu.

Après ça, j’ai lu quelques passages de la parole de Dieu qui m’ont vraiment motivé : Dieu dit : « Comme des personnes normales qui sont en quête de l’amour pour Dieu, l’entrée dans le royaume afin de faire partie du peuple de Dieu constitue votre véritable avenir et une vie qui est d’une extrême valeur et d’une grande signification ; personne n’est plus béni que vous. Pourquoi dis-Je cela ? Parce que ceux qui ne croient pas en Dieu vivent pour la chair, et ils vivent pour Satan, mais aujourd’hui vous vivez pour Dieu et vivez pour faire la volonté de Dieu. C’est pourquoi Je dis que vos vies sont de la plus haute signification » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Connaître la plus nouvelle œuvre de Dieu et suivre Ses pas). « À présent, chaque jour que vous vivez est crucial, chaque jour est d’une importance capitale pour votre destination et votre destin, alors chérissez tout ce que vous avez aujourd’hui, chérissez chaque minute qui passe. Consacrez autant de temps que possible à remporter les meilleurs gains pour que cette vie n’ait pas été vécue en vain » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, À qui es-tu fidèle ?). Cette parole de Dieu m’a fait comprendre encore plus clairement que mon choix de renoncer à l’entreprise, de suivre Dieu et de faire un devoir était le bon chemin dans la vie, et que c’était la façon de vivre la plus utile et la plus significative. Aujourd’hui, je vois enfin clairement que la foi et le devoir sont des choses naturelles et justes, et qu’il s’agit là des missions d’une personne dans sa vie. La façon la plus utile et la plus significative de vivre est d’obéir à la volonté de Dieu, et Il vous bénira et commémorera cela plus que tout le reste. Je n’ai plus beaucoup de temps pour poursuivre la vérité dans mon devoir, maintenant. Je dois chérir chaque jour, lire davantage la parole de Dieu, prêcher l’Évangile et travailler dur pour rendre Son amour à Dieu et réconforter Son cœur, pendant le temps qu’il me reste à vivre.

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