Mon expérience du partage de l’Évangile dans une école

16 février 2024

Par Jonah, Myanmar

Je suis né au sein d’une famille ordinaire, dans le nord du Myanmar. En décembre 2018, j’ai accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours et, tout en faisant mes études, j’ai participé à des réunions. J’ai obtenu mon diplôme en 2021 et on m’a envoyé enseigner dans une région montagneuse isolée. J’étais enseignant, mais j’étais également soldat. Quoi que je fasse, je devais obéir à mes supérieurs. Dans le cas contraire, je serais affecté aux forêts, dans le secteur le plus dangereux et le plus reculé du front. Je gardais donc à l’esprit les paroles de mes supérieurs et je passais mes journées à enseigner, avec application. Du fait de mon bon comportement, le directeur de l’école m’a demandé de superviser le syndicat des étudiants. Mon travail m’accaparait chaque jour, mais, intérieurement, je me sentais vide. Je me suis également aperçu que l’accès à Internet était d’assez mauvaise qualité dans la région. Il m’était donc impossible de participer à des réunions en ligne avec les autres membres. J’étais arrivé au début de la pandémie et, comme toutes les villes et les routes étaient fermées, j’ai perdu le contact avec ces membres pendant tout un semestre. Même si je n’étais plus en contact avec les autres, je continuais à prier et à lire la parole de Dieu. Un jour, j’ai lu ce passage de la parole de Dieu, qui m’a vraiment motivé. Dieu Tout-Puissant dit : « Es-tu conscient du fardeau sur tes épaules, de ta commission et de ta responsabilité ? Où est ton sens de la mission historique ? Comment serviras-tu adéquatement en maître à la prochaine ère ? As-tu un sens élevé de maîtrise ? Comment expliquerais-tu le maître de toutes choses ? Est-ce réellement le maître de toutes les créatures vivantes et de toutes les choses physiques dans le monde ? Quels plans as-tu pour la progression de la prochaine étape de l’œuvre ? Combien de gens attendent que tu sois leur berger ? Ta tâche est-elle lourde ? […] As-tu jamais imaginé à quel point le cœur de Dieu est chagriné et anxieux ? Comment peut-Il supporter de voir l’humanité innocente, créée de Ses propres mains, endurer un tel tourment ? Après tout, les êtres humains sont les victimes qui ont été empoisonnées. Bien que l’homme ait survécu jusqu’à ce jour, qui aurait su que l’humanité a depuis longtemps été empoisonnée par le malin ? As-tu oublié que tu es l’une des victimes ? Dans ton amour pour Dieu, n’es-tu pas prêt à t’efforcer de sauver ces survivants ? N’es-tu pas prêt à consacrer toute ton énergie à rendre la pareille à Dieu qui aime l’humanité comme Sa propre chair et Son propre sang ? Tout compte fait, comment interprètes-tu ton utilisation par Dieu pour vivre ta vie extraordinaire ? As-tu réellement la détermination et la confiance pour vivre la vie riche de sens d’une personne pieuse qui sert Dieu ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Comment devrais-tu entreprendre ta future mission ?). Après avoir lu cette parole de Dieu, j’ai compris Sa volonté urgente de sauver l’humanité. Dieu espère que davantage de véritables croyants seront capables de gagner Son salut. C’est là Son souhait le plus pressant. En tant que croyant, j’ai l’obligation de répandre l’Évangile de Dieu. C’est mon devoir en tant qu’être créé. Cela faisait presque trois ans que j’étais dans la foi. J’avais mangé et bu la parole de Dieu et je comprenais certaines vérités. Même si je ne pouvais pas participer normalement à des réunions, à cause de mon travail et de ma mauvaise connexion Internet, je pouvais malgré tout répandre l’Évangile. Je pouvais amener davantage de gens devant Dieu pour qu’ils acceptent Son salut dans les derniers jours. Les désastres s’amplifient et la pandémie bat son plein, mais beaucoup de gens n’ont pas encore entendu la voix de Dieu ni reçu Son salut, ce qui remplit Dieu de chagrin et d’inquiétude. Je ne pouvais pas être sans conscience. Je devais partager l’Évangile, amener devant Dieu ceux qui ont une bonne humanité et qui croient en Lui et faire mon devoir pour Le satisfaire. Mais ma stature et ma compréhension de la vérité étaient limitées et je ne savais pas prêcher. J’étais disposé à le faire, mais j’en étais incapable. Alors j’ai prié Dieu : « Ô Dieu ! Je suis de faible stature et je ne sais pas prêcher. S’il Te plaît, aide-moi à amener devant Toi ceux qui ont une foi véritable. Je sais qu’il n’est pas facile de répandre l’Évangile, mais sous Ta direction, je suis sûr de pouvoir amener ces gens devant Toi. »

J’ai alors prévu de partager l’Évangile avec mes collègues et mes étudiants. Mais à ce moment-là, je me sentais quelque peu partagé. Comme mes supérieurs m’avaient dit qu’en tant qu’enseignant et soldat je ne devais rien faire qui ne soit pas lié à l’enseignement, si j’étais découvert, on m’enverrait sur le front, où il y avait souvent des conflits armés et des attaques terroristes, et je risquerais alors de mourir à tout instant. J’avais également appris que l’ancien directeur de l’école était chrétien, qu’il avait été transféré dans une autre école par ses supérieurs parce qu’il avait prêché à ses étudiants, qu’il avait été relégué au rang de simple enseignant, et que s’il enfreignait les règles une nouvelle fois, il serait envoyé en première ligne. En pensant à tout ça, j’avais assez peur : « Ce directeur a pu continuer à enseigner après avoir été démis, mais je ne suis qu’un enseignant ordinaire. S’ils découvrent que je prêche, je serai envoyé directement sur le front et je n’aurais plus la possibilité d’enseigner. Je peux supporter de perdre mon emploi, mais le vrai problème, c’est que je risque de mourir à tout moment, dans un secteur aussi dangereux. » Me disant ça, j’ai eu vraiment peur de prêcher au sein de l’école. Mais j’ai pensé que l’œuvre de Dieu touche à sa fin et que les désastres s’amplifient. Si je ne prêchais pas mes collègues, mes amis et mes étudiants, et si je ne les amenais pas devant Dieu, ils tomberaient un jour dans le désastre, ils seraient punis et perdraient leur chance d’être sauvés. La volonté urgente de Dieu est que l’Évangile du Règne se répande, et de sauver ceux qui peuvent être sauvés, mais je ne me souciais que de mon avenir et de mon destin, et j’avais trop peur pour répandre l’Évangile des derniers jours. Je décevais vraiment Dieu ! J’étais vraiment partagé. Plus tard, j’ai lu ces passages de la parole de Dieu, qui m’ont donné la foi. Dieu Tout-Puissant dit : « Tu ne devrais pas avoir peur de ceci et de cela ; quels que soient les difficultés et les dangers que tu rencontres, tu es capable de rester stable devant Moi, libre de toute entrave, afin que Ma volonté puisse être réalisée sans obstacle. C’est ton devoir […]. Tu dois tout endurer ; pour Moi, tu dois être prêt à renoncer à tout ce que tu possèdes, à faire tout ce que tu peux pour Me suivre et être prêt à te dépenser entièrement. C’est maintenant le temps pour Moi de t’éprouver. Est-ce que tu M’offriras ta loyauté ? Peux-tu Me suivre loyalement jusqu’au bout de la route ? Ne crains pas ; avec Mon soutien, qui pourrait jamais bloquer cette route ? Souviens-toi de ceci ! N’oublie pas ! Tout se produit par Ma bonne intention et tout est sous Mon observation. Peux-tu suivre Ma parole en tout ce que tu dis et fais ? Quand tu seras soumis aux épreuves du feu, tomberas-tu à genoux pour invoquer ? Ou trembleras-tu, incapable d’aller de l’avant ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 10). « En tant que créature de Dieu, que dois-tu faire ? Tu dois accomplir ton devoir, faire ce que tu dois faire de tout ton cœur, de tout ton esprit et de toutes tes forces. Le reste – ce qui concerne les perspectives et la destinée, et la destination future de l’humanité – ce n’est pas quelque chose que tu peux décider, c’est entre les mains de Dieu. Tout cela est gouverné et arrangé par le Créateur et n’a rien à voir avec une quelconque créature de Dieu. […] Il est un fait que tu dois reconnaître : peu importe de quel genre de promesse il s’agit, qu’elle soit appréciable ou ordinaire, agréable ou inintéressante, tout est gouverné, arrangé et déterminé par le Créateur. Le devoir et l’obligation d’une créature de Dieu, c’est seulement de suivre et de poursuivre la bonne direction et le bon chemin que le Créateur indique. Quant à ce que tu obtiens en fin de compte et à la part des promesses de Dieu que tu reçois, tout cela dépend de ta poursuite, du chemin que tu suis et de la souveraineté du Créateur » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Section 9 (Partie IX)). Cette parole de Dieu me disait clairement de ne pas avoir peur, et que tout était entre les mains de Dieu. Que je continue à enseigner ou que je sois envoyé sur le front ne dépendait que de Dieu, et non d’une personne. Cela ne dépendait pas du directeur ou des supérieurs. Je devais avoir foi en Dieu. Avec le soutien de Dieu, je n’avais rien à craindre, même si répandre l’Évangile était difficile. Je redoutais sans cesse, si l’école découvrait que je prêchais, d’être envoyé sur le front et de me trouver en grand danger, alors je n’osais pas partager l’Évangile. Je n’avais aucune foi en Dieu. Les paroles suivantes m’ont alors particulièrement touché : « Tu dois accomplir ton devoir, faire ce que tu dois faire de tout ton cœur, de tout ton esprit et de toutes tes forces. Le reste – ce qui concerne les perspectives et la destinée, et la destination future de l’humanité – ce n’est pas quelque chose que tu peux décider, c’est entre les mains de Dieu. Tout cela est gouverné et arrangé par le Créateur et n’a rien à voir avec une quelconque créature de Dieu. » Je me suis senti bien plus motivé. En tant qu’être créé, je devais faire mon devoir et l’accomplir de tout mon cœur. Quoi qu’il advienne de mon travail, que je sois envoyé sur le front ou que je risque ma vie, tout cela était dicté et arrangé par le Seigneur de la création. Je m’inquiétais sans cesse que les supérieurs m’envoient sur le front, s’ils découvraient que je prêchais, parce que je ne comprenais pas la souveraineté toute-puissante de Dieu, comme si les supérieurs pouvaient décider de mon destin. J’étais vraiment stupide. Les désastres et la pandémie empirent, désormais, et il n’y a vraiment pas de temps à perdre. J’avais eu la chance de recevoir l’œuvre de Dieu des derniers jours, mais je ne prêchais pas à ceux qui m’entouraient. J’étais redevable aux gens et je me rebellais contre Dieu, et ma conscience ne trouvait pas la paix. Comprenant cela, j’ai gagné la foi. J’ai été prêt à mettre mes soucis de côté et à faire mon devoir en prêchant et en témoignant de Dieu.

Plus tard, je me suis demandé : « Pourquoi être envoyé sur le front me fait-il peur au point que je n’ose pas faire mon devoir ? Par quoi suis-je contraint, exactement ? » J’ai alors vu ceci dans la parole de Dieu : « La chose la plus triste dans la croyance de l’humanité en Dieu est que l’homme conduit sa propre gestion au milieu de l’œuvre de Dieu et pourtant ne prête pas attention à la gestion de Dieu. Le plus grand échec de l’homme réside dans la façon dont, tout en cherchant à se soumettre à Dieu et à L’adorer, l’homme construit sa propre destination idéale et complote la manière de recevoir la plus grande bénédiction et la meilleure destination. Même si l’on comprend à quel point ils sont pitoyables, détestables et pathétiques, combien sont prêts à abandonner facilement leurs idéaux et leurs espérances ? Et qui est capable d’arrêter ses propres pas et d’arrêter de penser seulement à lui-même ? Dieu a besoin de ceux qui coopéreront étroitement avec Lui pour accomplir Sa gestion. Il a besoin de ceux qui se soumettront à Lui en consacrant entièrement leur esprit et leur corps à l’œuvre de Sa gestion. Il n’a pas besoin de gens qui tendent la main pour Le supplier chaque jour, et Il a encore moins besoin de ceux qui donnent un peu, puis attendent d’être récompensés. Dieu méprise ceux qui font une contribution dérisoire et se reposent ensuite sur leurs lauriers. Il déteste ces personnes sans pitié qui ont du ressentiment vis-à-vis de l’œuvre de Sa gestion et qui veulent seulement parler d’aller au ciel et de recevoir des bénédictions. Il a un dégoût encore plus grand pour ceux qui profitent de l’occasion offerte par l’œuvre qu’Il réalise en sauvant l’humanité. C’est parce que ces gens ne se sont jamais souciés de ce que Dieu veut atteindre et acquérir à travers l’œuvre de Sa gestion. Ils ne se préoccupent que de la manière d’utiliser l’occasion offerte par l’œuvre de Dieu pour obtenir des bénédictions. Ils ne se soucient pas du cœur de Dieu, étant entièrement préoccupés par leurs propres perspectives d’avenir et leur propre destin. Ceux qui ont du ressentiment vis-à-vis de l’œuvre de gestion de Dieu et qui manquent de tout intérêt pour la façon dont Dieu sauve l’humanité et pour Sa volonté ne font que ce qui leur plaît d’une manière détachée de l’œuvre de gestion de Dieu. Leur comportement n’est pas gardé en mémoire par Dieu ni approuvé par Dieu et encore moins considéré favorablement par Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Addendum 3 : L’homme ne peut être sauvé que dans le cadre de la gestion de Dieu). Après avoir réfléchi à cette parole de Dieu, j’ai compris que, si j’avais peur de prêcher, c’était principalement parce que je me souciais de mon destin. Je craignais que mes supérieurs m’envoient sur le front, s’ils découvraient que je prêchais, et si cela arrivait, non seulement je ne pourrais plus participer à des réunions ou lire la parole de Dieu, mais je devrais aussi passer mes journées à patrouiller dans les forêts avec un fusil. Cette région était rongée par des conflits armés et des attaques terroristes, et si j’y faisais la moindre erreur, je mourrais probablement et je perdrais à jamais ma chance d’être sauvé. J’ai vu que je croyais en Dieu pour gagner des bénédictions et non pour poursuivre la vérité ou faire le devoir d’un être créé. Ma foi et mon devoir ne visaient que mes propres intérêts. Je n’étais prêt à faire que des choses qui me vaudraient d’obtenir des bénédictions. C’était être axé sur les avantages et se montrer transactionnel, à l’instar du rapport qu’entretiennent un patron et un ouvrier, sans amour pour Dieu ni souci de Lui. J’étais tellement égoïste et méprisable. Je croyais en Dieu, mais je n’étais pas prêt à supporter la moindre souffrance, la moindre épreuve. Je pensais que lire la parole de Dieu dans le confort et Le louer par la danse et le chant était suffisant. Mais cette foi qui m’animait ne m’aurait jamais conduit à faire réellement l’expérience de la parole de Dieu ou à la comprendre, à reconnaître mon tempérament corrompu ou à atteindre le salut. Dans notre foi, Dieu nous demande d’écouter Sa volonté, de L’aimer et de témoigner de Lui. Quoi que nous affrontions, nous devons toujours chercher la vérité, nous soumettre à Dieu, craindre Dieu et fuir le mal. Seulement alors pouvons-nous atteindre le salut. Ma poursuite des bénédictions ne s’alignait pas sur la volonté de Dieu et était éloignée de Ses exigences. En tant que croyant, je devais chercher à aimer Dieu et à Lui obéir, et me vouer à témoigner de Son œuvre dans les derniers jours. Seul cela en vaut la peine et a du sens. Alors j’ai prié Dieu, en disant que j’allais cesser de ne penser qu’à mon propre avenir. Je devais répandre l’œuvre de salut de Dieu dans les derniers jours et en témoigner.

J’ai commencé par prêcher à mes collègues, mais j’ai constaté qu’ils résistaient vraiment à la croyance en Dieu, alors je suis allé prêcher à mes étudiants. Chaque jour, après les cours, je leur lisais des paroles de Dieu telles que « Dieu est la source de la vie de l’homme » « Dieu préside au destin de toute l’humanité », et je parlais, par exemple, des trois étapes de l’œuvre de Dieu. Ils écoutaient avec beaucoup d’enthousiasme. Grâce à la direction de Dieu, en un mois, j’avais converti plus de 50 personnes au sein de l’école. À ce moment-là, ma foi est devenue plus forte. J’ai vu que ces étudiants étaient avides de se réunir et qu’ils avaient de bonnes compréhensions, alors j’ai prêché et témoigné de Dieu avec encore plus de conviction. Je n’étais plus nerveux et je n’avais plus peur, parce que je savais que Dieu était avec moi, et j’ai vraiment compris ce qu’Il avait voulu dire en déclarant : « Tu dois être convaincu que tout est entre les mains de Dieu et que les humains ne font que coopérer avec Lui. Si ton cœur est sincère, Dieu le verra et Il t’ouvrira tous les chemins, aplanissant toutes les difficultés. Telle est la conviction que tu dois avoir. Par conséquent, vous n’avez à vous inquiéter de rien pendant que vous accomplissez votre devoir, tant que tu utilises toutes tes forces et que tu y mets tout ton cœur. Dieu ne te rendra pas les choses difficiles et ne te forcera pas à faire ce dont tu n’es pas capable » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Quand on croit en Dieu, le plus important est de pratiquer Ses paroles et d’en faire l’expérience). Dieu nous dit que tant que nous coopérons sincèrement avec Lui, Il nous ouvrira un chemin. Je n’avais pas à m’inquiéter autant. Je devais simplement faire de mon mieux, me donner à fond, et me fier à Dieu en travaillant. Ce que Dieu demande de moi est entièrement à ma portée et ne va pas au-delà de ma stature.

Alors que de plus en plus d’étudiants acceptaient l’œuvre de Dieu des derniers jours, les forces de Satan ont commencé à intervenir. Les étudiants de l’école appartenaient à une minorité ethnique qui croyait au bouddhisme, ils avaient donc toujours été bouddhistes. Quelques étudiants m’avaient dit que leurs parents leur avaient interdit de croire à autre chose. Une étudiante m’avait dit que ses parents l’avaient même prévenue : s’ils la reprenaient à croire en Dieu, ils la mettraient dehors et la renieraient en tant que leur fille. Un bon nombre d’étudiants ne savait pas quoi faire. Durant cette période, j’ai eu peur qu’ils se découragent et deviennent faibles à cause des persécutions de leur famille, ou même qu’ils se sentent incapables de continuer et qu’ils quittent la foi. J’étais vraiment inquiet et je ne savais pas quoi faire. L’œuvre de Dieu allait bientôt prendre fin. S’ils quittaient la foi, ils perdraient le salut de Dieu. Comment répondrais-je de cela devant Dieu ? J’ai passé mes journées à prier et à demander à Dieu de me guider. Plus tard, j’ai lu ceci dans la parole de Dieu : « Quand Dieu accomplit Son œuvre, quand Dieu prend soin d’une personne et protège une personne, et quand Il favorise et approuve cette personne, Satan n’est pas loin derrière, et il essaie de duper cette personne et de lui nuire. Si Dieu veut gagner cette personne, Satan fera tout ce qui est en son pouvoir pour faire obstacle à Dieu, utilisant divers mauvais subterfuges pour tenter, perturber et altérer l’œuvre de Dieu, afin d’atteindre son objectif caché. Quel est cet objectif ? Il ne veut pas que Dieu gagne qui que ce soit ; il veut prendre possession de ceux que Dieu souhaite gagner, il veut les contrôler, les prendre en charge afin qu’ils l’adorent, afin qu’ils se joignent à lui pour commettre le mal et résister à Dieu. N’est-ce pas là le motif sinistre de Satan ? […] En guerroyant contre Dieu et Le suivant partout, Satan a comme objectif de démolir toute l’œuvre que Dieu veut faire, d’occuper et de contrôler ceux que Dieu veut gagner, d’anéantir ceux que Dieu veut gagner. S’ils ne sont pas anéantis, alors ils deviennent la possession de Satan qui les utilise comme il le veut. Tel est son objectif » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique IV). En réfléchissant à cette parole de Dieu, j’ai compris que pendant que Dieu œuvre pour sauver l’homme, Satan Le suit de près, corrompant l’homme et lui nuisant, interférant avec l’œuvre de Dieu et la détruisant. Ceci est déterminé par l’essence malfaisante de Satan. Nous prêchons et témoignons de Dieu pour sauver les gens, mais Satan ne peut pas le supporter. Il essaie de nous faire obstacle et de nous harceler, dans l’intention d’anéantir l’œuvre de Dieu, de nous faire dévier de Dieu et de Le trahir. Alors, nous perdrons Son salut et accompagnerons Satan en enfer. Je devais voir dans le jeu de Satan et éviter ses pièges. Comprenant cela, j’ai lu la parole de Dieu avec les frères et sœurs, pour leur faire comprendre la vérité et qu’ils ne se laissent pas abuser par les ruses de Satan. J’ai échangé avec eux : « Savez-vous pourquoi nous nous heurtons à autant d’obstacles, une fois que nous croyons en Dieu ? C’est parce que nous avons toujours vécu sous le domaine de Satan, mais maintenant que nous croyons en Dieu, que nous acceptons Son salut et écoutons Sa parole, nous ne vénérons plus Satan. Satan ne veut pas que nous soyons sauvés par Dieu, alors il se sert de ceux qui nous entourent pour nous harceler, dans l’intention de nous empêcher de croire au vrai Dieu, de nous ramener sous son domaine, de nous corrompre et de nous nuire, et pour nous faire perdre notre chance d’être sauvés par Dieu. Nous ne devons donc pas nous laisser abuser par les ruses de Satan. » Plus tard, j’ai échangé avec eux sur des vérités telles que : « La différence entre le vrai Dieu et les faux Dieux », « D’où vient le bouddhisme » et « Il n’y a qu’un seul vrai Dieu ». Après mon échange, un frère a dit : « Maintenant, je comprends qu’une fois que nous croyons en Dieu et acceptons Son œuvre, on nous fait obstacle et on nous harcèle parce que nous ne vénérons pas Satan, et Satan fait tout ce qu’il peut pour nous empêcher de croire en Dieu et de suivre le bon chemin. Nous devons faire preuve de discernement et ne pas tomber dans les pièges de Satan. » Une sœur a dit : « Maintenant, je comprends ce qu’est le vrai Dieu et ce que sont les faux Dieux. Seul le vrai Dieu est capable de créer le ciel, la terre et toutes choses, ainsi que l’humanité. Non seulement Il a tout créé, mais Il règne sur tout. Il nous apporte aussi notre pain quotidien en abondance. Un faux Dieu ne peut même pas créer un seul insecte et encore moins le ciel, la terre et toutes choses, nous ne devons donc pas croire en ces faux Dieux. » Entendre les frères et sœurs dire cela m’a vraiment ému. Dans la bataille spirituelle contre Satan, ils avaient compris la vérité grâce à la parole de Dieu et ne s’étaient pas laissés abuser par les ruses de Satan. Aucun d’entre eux n’avait trébuché. Au contraire, ils étaient encore plus déterminés à suivre Dieu. Tout cela avait été accompli grâce à la parole de Dieu. Ma foi en Dieu est devenue bien plus forte, à ce moment-là aussi.

Un jour, le directeur s’en est vraiment pris à moi. Il a dit : « Jonah, écoute-moi. C’est la troisième fois que je dois te convoquer dans mon bureau. Ne m’oblige pas à te dire ce que tu sais déjà. Tu es devenu une vraie célébrité. À des kilomètres à la ronde, les gens savent tous que tu prêches au sein de l’école. Nous sommes censés enseigner, transmettre des connaissances aux étudiants, alors pourquoi inculques-tu la foi en Dieu ? Tous les villageois ici sont bouddhistes. Nous devons davantage respecter leurs coutumes et leur enseigner leur propre foi. Le fait que tu prêches comme ça affecte beaucoup notre école. Essaies-tu de ruiner notre réputation ? Veux-tu être méprisé par les étudiants et leurs familles ? Ce que tu fais n’est pas professionnel et contraire à l’éthique ! Tu n’es pas digne d’être enseignant ! Si tu n’ouvres pas les yeux, tu seras transféré à la fin du semestre ! » Je lui en ai vraiment voulu et j’ai compris que ces paroles émanaient du diable Satan. Le directeur voulait simplement que les gens suivent le diable et il refusait qu’ils viennent devant Dieu en adoration. La foi en Dieu est ce qu’il y a de plus juste, mais à ses yeux, c’était le mal. J’ai vu que ce genre de démon déformait les faits et ne pouvait pas distinguer le bien du mal. De retour au dortoir, je me suis senti vraiment contrarié. Je ne savais pas ce qui allait se passer, et, inconsciemment, j’ai recommencé à réfléchir à mon avenir. Qu’allait-il se passer si j’étais effectivement transféré ? Allais-je être envoyé sur le front ? Comment allais-je faire face à la terrible situation qui régnait en première ligne ? Comment pourrais-je croire en Dieu ? Pourrais-je encore être sauvé ? À ces pensées, mes yeux se sont emplis de larmes. Cette nuit-là, je n’ai pas eu du tout envie de dormir et je suis simplement resté là, assis devant une table, à prier Dieu, encore et encore : « Ô Dieu, pourquoi ne puis-je m’empêcher d’avoir peur, dans cette situation ? » J’ai pensé aux façons dont Satan corrompt les gens, façons qui sont mentionnées dans la parole de Dieu. Dieu dit : « La première est le contrôle et la coercition, c’est-à-dire que Satan fera tout son possible pour contrôler ton cœur. Que veut dire “coercition” ? Ça veut dire qu’il t’oblige à l’écouter par la contrainte et les méthodes énergiques et te fait penser aux conséquences si tu n’obéis pas. Tu as peur et n’oses pas le défier, alors tu te soumets à lui » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique VI). En réfléchissant à cette parole de Dieu, j’ai gagné une meilleure compréhension du visage hideux de Satan. Satan savait que je redoutais d’être envoyé sur le front, où je risquerais ma vie en permanence. Cette peur de la mort était mon pire défaut et ma plus grande faiblesse. Satan se servait du directeur de l’école pour me harceler, et de la perspective d’un transfert pour me menacer. J’étais forcé par Satan à lui céder et à faire des compromis avec lui, en abandonnant mon devoir et en ne témoignant plus de Dieu. On aurait pu croire que le directeur faisait ce qu’il y avait de mieux pour moi, mais en fait, il me contraignait à cesser de prêcher, afin de sauver sa réputation. Il ne me laissait pas prêcher l’Évangile du salut de Dieu, il voulait que je prêche la voie de Satan et que je fasse des compromis avec Satan. J’ai vu le véritable visage malfaisant du directeur. J’avais gagné un certain discernement et je savais qu’il s’agissait là des ruses de Satan. J’ai compris pourquoi je m’étais senti aussi contraint en prêchant. C’était parce que j’avais vraiment peur de la mort. J’avais peur qu’une fois transféré sur le front pour défendre la frontière, je puisse être tué à tout moment, et j’avais encore plus peur qu’une fois mort, il me soit impossible de croire en Dieu ou d’être sauvé, alors je me retenais et cela me démoralisait.

Ensuite, j’ai présenté mon état à Dieu en prière, en Lui demandant de me guider afin que je puisse vaincre cette peur de la mort. J’ai alors lu ce passage de la parole de Dieu : « Comment ces disciples du Seigneur Jésus sont-ils morts ? Parmi les disciples, certains ont été lapidés, traînés derrière un cheval, crucifiés la tête en bas, démembrés par cinq chevaux ; ils sont morts de toutes sortes de manières. Quelle a été la raison de leur mort ? Ont-ils été légalement exécutés pour leurs crimes ? Non. Ils ont été condamnés, battus, injuriés et mis à mort parce qu’ils répandaient l’Évangile du Seigneur, et ils ont été rejetés par les gens du monde ; c’est ainsi qu’ils ont été martyrisés. […] Quels qu’ont pu être les moyens de leur mort et de leur départ ou la façon dont cela s’est passé, ce n’est pas ainsi que Dieu a défini la fin de ces vies, de ces êtres créés. Tu dois voir cela clairement. Au contraire, ce sont les moyens dont ils se sont servis pour condamner ce monde et témoigner des actions de Dieu. Ces êtres créés se sont servis de leur si précieuse vie, ils ont utilisé le dernier moment de leur vie pour témoigner des actions de Dieu, pour témoigner de la grande puissance de Dieu et pour déclarer à Satan et au monde que les actions de Dieu sont justes, que le Seigneur Jésus est Dieu, qu’Il est le Seigneur, et la chair incarnée de Dieu. Même jusqu’au dernier moment de leur vie, ils n’ont jamais renié le nom du Seigneur Jésus. N’était-ce pas une forme de jugement sur ce monde ? Ils ont donné leur vie pour proclamer au monde, pour confirmer aux êtres humains que le Seigneur Jésus est le Seigneur, que le Seigneur Jésus est Christ, qu’Il est la chair incarnée de Dieu, que l’œuvre de rédemption qu’Il a faite pour toute l’humanité permet à l’humanité de continuer de vivre. Ce fait est à jamais immuable. Ceux qui ont été martyrisés pour avoir répandu l’Évangile du Seigneur Jésus, dans quelle mesure ont-ils accompli leur devoir ? Jusqu’à l’ultime mesure ? Comment l’ultime mesure a-t-elle été manifestée ? (Ils ont offert leur vie.) C’est juste, ils ont payé le prix de leur vie. La famille, la richesse et les possessions matérielles de cette vie sont toutes des choses externes ; la seule chose liée à l’être est la vie. Pour chaque personne vivante, la vie est la chose la plus digne d’être chérie, la chose la plus précieuse, et il se trouve que ces gens ont pu offrir ce qu’ils avaient de plus précieux, la vie, comme une confirmation et un témoignage de l’amour de Dieu pour l’humanité. Jusqu’au jour de leur mort, ils n’ont pas renié le nom de Dieu ni Son œuvre, et ils ont utilisé les derniers instants de leur vie pour témoigner de l’existence de ce fait. N’est-ce pas la plus haute forme de témoignage ? C’est la meilleure façon de faire son devoir ; c’est ce que signifie assumer sa responsabilité. Quand Satan les a menacés et terrorisés, et, à la fin, même quand il leur a fait payer le prix de leur vie, ils n’ont pas abandonné leurs responsabilités. C’est ce que signifie accomplir son devoir dans la plus grande mesure possible. Qu’est-ce que Je veux dire par là ? Est-ce que Je veux que vous témoigniez de Dieu et répandiez Son Évangile de la même façon ? Tu n’as pas forcément à faire cela, mais tu dois comprendre que c’est ta responsabilité, que si Dieu a besoin que tu le fasses, tu dois l’accepter comme quelque chose que tu es tenu par l’honneur de faire. Aujourd’hui, les gens sont remplis de peur et d’inquiétude, mais à quoi servent ces sentiments ? Si Dieu n’a pas besoin que tu fasses cela, à quoi bon t’en inquiéter ? Si Dieu a besoin que tu le fasses, tu ne dois pas te soustraire à cette responsabilité, ni la rejeter. Tu dois coopérer de manière proactive et l’accepter sans inquiétude. Peu importe comment on meurt, il ne faut pas mourir devant Satan et ne pas mourir entre les mains de Satan. Si on est sur le point de mourir, il faut mourir entre les mains de Dieu. Les gens sont venus de Dieu et ils retournent à Dieu. C’est le sens et l’attitude qu’un être créé doit posséder. C’est la dernière vérité que l’on devrait comprendre dans la prédication de l’Évangile et l’accomplissement de son devoir : on doit payer de sa vie pour répandre l’Évangile de Dieu incarné qui accomplit Son œuvre et sauve l’humanité, et pour en témoigner. Si tu as cette aspiration, si tu peux porter témoignage de cette façon, c’est merveilleux. Si tu n’as toujours pas ce genre d’aspiration, tu devrais au moins assumer correctement la responsabilité et le devoir qui sont les tiens, et confier le reste à Dieu. Peut-être alors, tandis que les mois et les années passent, que ton expérience et ton âge augmentent, et que ta compréhension de la vérité s’approfondit, tu découvriras que tu as l’obligation et la responsabilité d’offrir ta vie à l’œuvre de l’Évangile de Dieu, même jusqu’au dernier instant de ta vie » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Évangéliser est le devoir auquel sont tenus par honneur tous les croyants). Grâce à cette parole de Dieu, j’ai vu qu’à l’ère de la Grâce, les disciples du Seigneur Jésus avaient été condamnés et persécutés parce qu’ils prêchaient l’Évangile de Dieu. Mais quels que soient le processus de leur mort ou la façon dont ils avaient péri, cela ne représentait pas leur fin ultime. La vie et la mort du corps d’une personne n’indiquent pas si sa fin sera bonne ou mauvaise. Même si la persécution fatale des disciples du Seigneur Jésus peut sembler être une mauvaise chose, en réalité, ces disciples avaient été martyrisés pour accomplir la commission de Dieu, et cela est commémoré par Dieu. Face aux forces malfaisantes de Satan, ils avaient témoigné de l’œuvre de Dieu sans se soucier de leur vie ou de leur sécurité. Cela avait rendu leur témoignage encore plus fort et mis Satan en échec. La vie est ce qu’une personne a de plus précieux, mais ils avaient offert en sacrifice cette vie particulièrement précieuse pour témoigner de Dieu et faire connaître au monde l’œuvre de Dieu. C’est là le plus grand témoignage. En réfléchissant à ces paroles de Dieu, je me suis senti humilié et honteux. Quand le directeur m’avait prévenu que je serais transféré si je prêchais à nouveau, j’avais eu vraiment peur. J’avais redouté d’être envoyé sur le front, et qu’une fois mort, tout soit fini pour moi et je ne pourrais pas être sauvé. Je chérissais trop ma vie et je n’avais ni courage ni témoignage. Comparé aux apôtres, je n’étais vraiment pas à la hauteur. J’ai réfléchi à l’origine de ma vie et à la façon dont elle m’avait été donnée par Dieu. Dieu décide du moment de notre mort et personne ne vit ne serait-ce qu’une minute de plus. Si Dieu protège une personne et refuse de la laisser mourir, même si elle se trouve à l’endroit le plus dangereux, elle ne mourra pas. Les êtres humains n’ont aucun contrôle sur leur vie ou leur mort, et encore moins sur leur fin ultime. Tout cela se trouve encore plus fermement entre les mains de Dieu. Le Seigneur Jésus a dit : « Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera » (Matthieu 16:25). Quand nous prêchons et témoignons de Dieu, nous faisons face à des nombreuses persécutions et épreuves. Comme les disciples du Seigneur Jésus, certains peuvent même être persécutés à mort parce qu’ils prêchent et témoignent de Dieu, mais leur âme est entre les mains de Dieu. Il se peut que leur corps soit mort, mais cela ne signifie pas qu’ils n’ont pas de fin ultime. Tout se trouve entre les mains de Dieu et est arrangé par Lui. Si je ne faisais pas mon devoir ou si je ne prêchais pas l’Évangile parce que j’avais soif de vivre et craignais la mort, même si je n’étais pas envoyé sur le front ou si je ne risquais pas ma vie, aux yeux de Dieu, j’aurais été un cadavre ambulant, un homme mort, qui, au bout du compte, devait être banni. Je devais tout risquer, même ma propre vie, afin de suivre Dieu et prêcher l’Évangile. Si j’étais vraiment envoyé sur le front, je devais me soumettre aux arrangements de Dieu. Je pouvais également prêcher aux soldats en première ligne, pour amener davantage de gens devant Dieu. Même si, un jour, j’étais réellement persécuté à mort parce que je prêchais et témoignais de Dieu, cela aurait été permis par Dieu. Alors j’ai souhaité m’y soumettre. En réfléchissant à ça, j’ai décidé devant Dieu de continuer à prêcher et à témoigner de Lui et de ne laisser personne me contraindre.

Après ça, j’ai prié Dieu quotidiennement et continué à prêcher et à échanger sur la parole de Dieu avec les autres. Je les ai également aidé à revoir leurs cours, j’ai mis en place des horaires de réunions pendant les vacances et ils se sont montrés bien plus actifs qu’auparavant. Après leurs examens, j’ai vu que ces frères et sœurs avaient obtenu de très bonnes notes, leurs moyennes dans chaque matière allant de 76 à 98 sur 100. Aucun d’eux n’avait été recalé. Cela m’a stupéfait ! Le directeur a vu les bonnes notes des étudiants de ma classe et il m’a dit : « Tes étudiants ont reçu les meilleures notes de l’école, nous avons donc décidé que tu serais leur professeur principal le semestre prochain. Nous te souhaitons le meilleur pour le prochain semestre. » J’ai été ravi d’entendre ça, d’autant que je ne m’y attendais absolument pas. Cela m’a fait penser à cette formule tirée du livre des Proverbes, dans la Bible : « Le coeur du roi est un courant d’eau dans la main de l’Éternel ; Il l’incline partout où il veut » (Proverbes 21:1). Tout est entre les mains de Dieu et Dieu contrôle nos destins à tous. Tant que je crois en Dieu et que je coopère sincèrement avec Lui, Il m’ouvrira un chemin. Je prêche encore l’Évangile sur le campus, je guide les frères et sœurs dans les réunions et beaucoup de gens ont accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours. Quand je repense à cette période de prédication, je me dis que j’ai beaucoup gagné et je sais que tout cela était la direction de Dieu.

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