Pourquoi ai-je peur d’être surpassée ?

21 août 2022

Par Rena, Philippines

En juin 2019, j’ai accepté la nouvelle œuvre de Dieu et j’ai alors commencé à arroser les nouveaux venus. Certains nouveaux venus étaient très reconnaissants après avoir reçu mon aide, j’étais donc très fière, et je sentais que j’étais très appropriée pour ce devoir. Plus tard, j’ai pris une nouvelle venue, et au début, j’ai l’ai arrosée assidument, mais plus tard, j’ai découvert qu’elle comprenait bien les choses et progressait très rapidement, et chaque fois dans les réunions, je sentais que la compréhension qu’elle partageait était bonne. J’ai senti qu’elle me surpasserait vite, et quand cela arriverait, le dirigeant lui demanderait d’arroser tout le monde, et on n’aurait plus besoin de moi. Avec ça à l’esprit, je ne voulais plus l’arroser correctement, donc j’ai seulement parlé de certaines choses extérieures avec elle. Un jour, le dirigeant m’a interrogée sur cette nouvelle venue, me disant, « Nous avons besoin d’arroser le personnel maintenant. Est-ce qu’elle convient pour l’éducation ? » Je ne voulais pas du tout l’éduquer, parce qu’elle comprenait les choses tellement bien, et je craignais qu’elle devienne dirigeante dans le futur et soit au-dessus de moi. J’ai donc dit au dirigeant, « Je manque de discernement, tu peux peut-être te renseigner autrement. » Quand j’ai entendi que le dirigeant était allé discuter avec elle, j’étais très jalouse et effrayée, et j’ai également souvent pensé, « Elle sera peut-être éduquée et promue, ou même me remplacera. » Plus tard, l’Église a été divisée, et elle est allée dans une autre église. Quelques mois plus tard, j’ai appris qu’elle était devenue dirigeante d’une église. J’étais choquée par la vitesse de sa progression ! Je l’ai félicitée et lui ai dit que j’étais contente pour elle, mais au fond de moi, j’étais jalouse d’elle. Pourquoi était-elle devenue dirigeante si vite, tandis que j’arrosais encore le personnel ? J’étais très mécontente, et j’ai commencé à travailler dur pour suivre les nouveaux venus que j’arrosais, parce que je voulais prouver au dirigeant que je convenais pour être une dirigeante d’église aussi.

Plus tard, j’ai également été élue comme dirigeante d’église, mais j’étais toujours jalouse quand je voyais quelqu’un qui était meilleur que moi. Une fois, j’ai discuté avec les dirigeants et les diacres sur comment soutenir et aider les nouveaux venus, et la diacre évangélisatrice partagea ses pensées. Le dirigeant supérieur a dit que ses suggestions étaient bonnes, et les dirigeants de groupe en ont fait autant. Nous avons essayé de soutenir et arroser les nouveaux venus en accord avec les suggestions de la diacre évangélisatrice. Elles ont été vraiment efficaces. Les nouveaux venus sont venus aux rassemblements et ont accepté leurs devoirs. La diacre évangélisatrice a également prêché l’évangile efficacement. Cela m’a rendue un peu jalouse. J’ai pensé, « La diacre évangélisatrice prêche mieux que moi. Je dois m’améliorer et apprendre plus. » Plus tard, j’ai demandé à la diacre évangélisatrice combien d’années elle avait faire son devoir, et elle m’a dit, « Six mois. » J’étais très surprise : Seulement six moi ? J’avais honte, parce qu’il y avait deux ans que j’avais accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant, plus longtemps que n’importe qui dans le groupe, mais j’étais comme une débutante qui manquait d’idées. Après cela, je me suis toujours comparée à elle. Quand j’ai vu qu’elle était une travailleuse compétente et avait toujours de bonnes méthodes et façons de suivre l’œuvre, je l’ai encore plus enviée. Je me suis dit : « Si elle a constamment des bonnes idées quand on discute du travail, la dirigeante supérieure va voir qu’elle est de bon calibre, et la former pour qu’elle devienne dirigeante. Ça veut dire qu’elle va prendre ma place. » Un jour, la diaconesse d’évangélisation n’est pas venue à une réunion, parce qu’elle s’occupait d’une autre tâche. Ensuite, elle m’a demandé ce que nous avions appris lors de la réunion. N’ayant pas envie de le lui dire, j’ai répondu que j’avais oublié. Plus tard, j’ai vu que la dirigeante supérieur échangeait souvent avec la diaconesse, alors qu’elle le faisait rarement avec moi, ce qui m’a mise vraiment en colère. J’ai pensé : « Si tu refuses de parler avec moi, je refuse de faire mon devoir. » À l’époque, tout ce que je voulais, c’était passer à un autre devoir, qui me permettrait d’être admirée par les autres. Je me disais que si je parvenais à prêcher l’Évangile efficacement, mes frères et sœurs auraient peut-être de l’estime pour moi, alors je me suis mise à prêcher l’Évangile et j’ai mis de côté le travail d’abreuvement des nouveaux venus. La dirigeante supérieure m’a rappelée à l’ordre en me demandant de comprendre et de résoudre rapidement les difficultés des nouveaux venus, et j’ai répondu : « Bien sûr, j’irai les voir bientôt. » mais je ne me suis souciée que de prêcher l’Évangile et je n’ai pas été les voir. Durant cette période, les problèmes des nouveaux venus n’ont pas été résolus à temps, et les réunions sont devenues irrégulières. Peu après, la dirigeante supérieure m’a envoyé un message demandant pourquoi les nouveaux venus n’allaient pas aux réunions, et si j’avais moi-même des difficultés, alors je lui ai parlé de mon état, et elle a échangé avec moi : « Tu es dirigeante, tu es responsable de tout le travail de l’Église, et en particulier de l’abreuvement des nouveaux venus, c’est très important. Tu ne peux pas négliger les tâches ou faire dans l’à-peu-près. » J’ai pleuré après avoir écouté ce qu’elle disait. J’ai trouvé ses paroles très dures. Elle n’avait pas remarqué les efforts que j’avais faits pour prêcher l’Évangile.

Plus tard, j’ai réfléchi à l’attitude que j’adoptais vis-à-vis de mon devoir. Je redoutais depuis si longtemps que les nouveaux venus soient meilleurs que moi, et je ne voulais pas les laisser me surpasser. Pour préserver ma situation et gagner le respect de mes frères et sœurs, je ne les abreuvais pas correctement, surtout ceux qui avaient un bon calibre, et je ne les poussais pas non plus à faire leur devoir. Je n’assumais absolument pas mes responsabilités. J’ai pensé à ces paroles de Dieu : « Il y en a qui ont toujours peur que les autres soient meilleurs qu’eux et leurs soient supérieurs, qu’ils soient estimés alors qu’eux-mêmes sont négligés. Cela les conduit à s’en prendre aux autres et à les exclure. N’est-ce pas là de la jalousie envers les autres, plus compétents ? Un tel comportement n’est-il pas égoïste et méprisable ? De quelle sorte de tempérament s’agit-il ? De la malice ! Les gens qui ne pensent qu’à leurs intérêts, ne satisfont que leurs propres désirs, n’ont aucune considération pour les autres ni pour les intérêts de la maison de Dieu ont un tempérament mauvais, et Dieu ne les aime pas » (La Parole apparaît dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours). « Maintenant, vous tous êtes les interprètes à plein-temps de vos devoirs. Vous n’êtes pas contraints ou coincés par la famille, le mariage ou la richesse. Vous vous en êtes déjà extraits. Cependant, les notions, les imaginations, les connaissances et les intentions et les désirs personnels qui remplissent vos têtes restent inchangés par rapport à leur forme originale. Donc, dès qu’il s’agit de réputation, de statut, ou de ce qui vous donne de la visibilité, si, par exemple, vous entendez dire que la maison de Dieu prévoit de cultiver une variété de talents, le cœur de chacun d’entre vous bondit d’anticipation et chacun de vous a toujours envie de se faire un nom et d’être reconnu. Tout le monde veut se battre pour le statut et la réputation, et tout le monde en a honte, mais les gens se sentent coupables s’ils ne le font pas. Ils ressentent de la jalousie et de la haine quand ils voient quelqu’un sortir du lot, ils éprouvent du ressentiment et ont l’impression que c’est injuste, et ils pensent : “Pourquoi ne puis-je pas me démarquer ? Pourquoi est-ce que ce sont toujours d’autres qui récoltent la gloire ? Pourquoi n’est-ce jamais mon tour ?” Et quand ils éprouvent du ressentiment, ils essaient de le réprimer, mais en vain. Ils prient Dieu et se sentent mieux pendant un moment, mais quand ils se retrouvent à nouveau dans ce genre de situation, ils n’arrivent encore pas à surmonter cela. N’est-ce pas le signe d’une stature immature ? Quand les gens sont plongés dans ces états, ne sont-ils pas tombés dans le piège de Satan ? Ce sont les chaînes de la nature corrompue de Satan qui lient les humains » (La Parole apparaît dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours). Cette parole de Dieu a révélé mon état avec précision. Je détestais quand les autres étaient meilleurs que moi ou me surpassaient. Quand je rencontrais des nouveaux venus de bon calibre, qui comprenaient facilement les choses, j’avais peur qu’ils me surpassent et prennent ma place, donc je refusais de bien les abreuver, et je ne voulais pas que la dirigeante les cultive. Quand j’avais travaillé avec la diaconesse d’évangélisation, en particulier, j’avais vu qu’elle prêchait efficacement, qu’elle faisait sans cesse de bonnes suggestions, que la dirigeante supérieure discutait souvent du travail avec elle, et je l’avais enviée, je m’étais comparée à elle, et j’avais prêché l’Évangile pour que la dirigeante supérieure me remarque. Je n’avais pensé qu’à mon statut et à l’opinion qu’on se faisait de moi. Je n’avais pas du tout assumé mes responsabilités de dirigeante. J’ai alors vraiment eu honte. L’intention de Dieu avait été que j’abreuve ces nouveaux venus, pour qu’ils puissent avoir de bonnes bases sur la vraie voie, mais je n’avais pas tenu compte de la volonté de Dieu, je n’avais songé qu’à ma réputation et à mon salut, et je n’avais pas abreuvé assidûment ni soutenu les nouveaux venus, qui avaient cessé d’assister régulièrement aux réunions. J’avais fait le mal ! J’ai alors commencé à réfléchir à mes objectifs dans mon devoir. Faisais-je mon devoir pour Dieu ou dans mon propre intérêt ? Si j’avais essayé de satisfaire Dieu, de tenir compte des intérêts de Sa maison, j’aurais voulu former davantage de gens à faire leurs devoirs dans la maison de Dieu. Mais je ne l’avais pas fait. À la place, j’avais envié et réprimé les gens talentueux, en espérant que la dirigeante ne les remarquerait pas. J’ai vu que j’avais fait mon devoir uniquement pour préserver ma situation et mes intérêts. J’avais été si égoïste !

Plus tard, quand une sœur a appris dans quel état j’étais, elle m’a envoyé ce passage de la parole de Dieu : « Certaines personnes croient en Dieu, mais ne poursuivent pas la vérité. Elles vivent toujours selon la chair, s’attachant toujours aux plaisirs charnels, assouvissant toujours leurs propres désirs égoïstes. Peu importe le nombre d’années que de telles personnes ont cru en Dieu, jamais elles n’entreront dans la réalité de la vérité. C’est le signe d’une personne qui a apporté le déshonneur à Dieu. Tu dis : “Je n’ai rien fait pour résister à Dieu ; en quoi ai-je déshonoré Dieu ?” Tes idées et tes pensées sont toutes mauvaises. Dans les intentions, objectifs et motivations derrière tes actions, et dans les conséquences de ce que tu fais – tu satisfais Satan, étant la risée de Satan et le laissant obtenir quelque chose de toi. Vous n’avez rien porté du témoignage qu’un chrétien devrait porter. Tu es quelqu’un qui appartient à Satan. Tu déshonores le nom de Dieu en toute chose et ne possèdes pas de véritable témoignage. Dieu Se souviendra-t-Il des choses que tu as faites ? Finalement, quelle conclusion Dieu tirera-t-Il au sujet de tes actes et du devoir que tu as accompli ? Quelque chose ne doit-il pas ressortir de cela, une certaine affirmation ? Dans la Bible, le Seigneur Jésus dit : “Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité” (Matthieu 7:22-23). Pourquoi le Seigneur Jésus a-t-Il dit cela ? Pourquoi tant de ceux qui prêchaient, chassaient les démons et accomplissaient de nombreux miracles au nom du Seigneur sont-ils devenus des malfaiteurs ? Parce qu’ils n’acceptaient pas la vérité exprimée par le Seigneur Jésus, parce qu’ils n’observaient pas les commandements du Seigneur Jésus et qu’ils n’avaient aucun amour pour la vérité dans leur cœur. Ils voulaient seulement échanger leur travail, leurs souffrances et leurs sacrifices destinés au Seigneur contre les bénédictions du royaume des cieux. C’est là faire des transactions avec Dieu, c’est utiliser Dieu et tromper Dieu, et c’est pourquoi le Seigneur Jésus les as exécrés, haïs et condamnés en tant que malfaiteurs. Aujourd’hui, les gens acceptent le jugement et le châtiment des paroles de Dieu, mais certains poursuivent encore la réputation et le statut. Ils veulent toujours se distinguer, être des dirigeants ou des ouvriers, et gagner réputation et statut. Même s’ils disent tous qu’ils croient en Dieu et qu’ils suivent Dieu, même s’ils renoncent et se dépensent pour Dieu, ils accomplissent en fait leurs devoirs pour gagner gloire, avantages et statut, et ils ont toujours des projets personnels. Ils ne sont ni obéissants ni loyaux envers Dieu, ils agissent arbitrairement, sans réfléchir du tout sur eux-mêmes, et ils deviennent donc des malfaiteurs. Dieu déteste ces malfaiteurs et Dieu ne les sauve pas » (La Parole apparaît dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours). Ce passage de la parole de Dieu a vraiment ému mon cœur. Ceux dont Dieu parle, qui font le mal, ne sont pas des incroyants, mais des gens qui croient en Dieu. Ils suivent Dieu, se dépensent pour Lui, ils vont prêcher l’Évangile et travailler en différents lieux, ils endurent des épreuves, mais ils font leur devoir pour promouvoir leur prestige et leur statut, pour être admirés par autrui, ou pour gagner récompenses et couronnes. Ils ne peuvent pas se montrer loyaux envers Dieu, ni pratiquer la vérité ou obéir à Dieu, alors le Seigneur Jésus a dit : « Retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité » (Matthieu 7:23). J’étais exactement comme ceux qui prêchaient et travaillaient pour le Seigneur. Je croyais en Dieu depuis deux ans, j’avais abandonné mes études pour faire mon devoir dans la maison de Dieu, j’avais souffert et payé un prix, mais mon intention n’avait pas été de satisfaire Dieu. J’avais voulu être la meilleure au sein de l’Église, pour que mes frères, mes sœurs et la dirigeante aient une bonne opinion de moi, et c’était pour cela que j’avais autant essayé de me faire remarquer. Je n’avais fait que satisfaire Satan. Mes actions n’avaient pas été de bonnes actions, mais de mauvaises actions. J’avais fait mon devoir animée par cette intention erronée, ce que Dieu ne pouvait que mépriser, et si je continuais ainsi, je ne pouvais qu’être punie, parce que Dieu n’approuve pas ce genre de foi. Dieu allait dire : « Quitte-Moi, Je ne te connais pas ! » Quand j’ai compris ça, j’ai pris peur. J’ai voulu me repentir, et ne plus être jalouse de mes frères et sœurs, alors j’ai prié Dieu pour Lui demander Sa direction.

Plus tard, j’ai trouvé le courage de m’ouvrir au sujet de ma corruption à la dirigeante supérieure. Et au lieu de m’accuser, la dirigeante a partagé son expérience avec moi pour m’aider. À l’époque, elle m’a aussi envoyé ce passage des paroles de Dieu. « Être un dirigeant d’Église, ce n’est pas seulement apprendre à utiliser la vérité pour résoudre les problèmes, mais c’est aussi découvrir et cultiver des personnes de talent, que vous ne devez absolument pas envier ou réprimer. Pratiquer de cette façon est bénéfique au travail de l’Église. Si tu peux cultiver quelques personnes qui poursuivent la vérité pour qu’elles coopèrent bien avec toi dans tout le travail que tu fais, et qu’à la fin, vous avez tous des témoignages basés sur l’expérience, alors tu seras un dirigeant qualifié. Si vous devenez capables d’agir en toutes choses selon les principes, vous serez alors à la hauteur de votre loyauté. […] Si tu es vraiment capable d’être attentif à la volonté de Dieu, tu seras capable d’être juste envers autrui. Si tu recommandes une bonne personne et que tu permets à cette personne de suivre une formation et d’accomplir un devoir, ajoutant ainsi une personne de talent à la maison de Dieu, ton travail ne sera-t-il pas alors plus facile à faire ? N’auras-tu pas alors été à la hauteur de ta loyauté dans ce devoir ? C’est une bonne action devant Dieu ; c’est le minimum de conscience et de sens que doit posséder celui qui est dirigeant. Ceux qui sont capables de mettre la vérité en pratique sont en mesure d’accepter l’examen de Dieu quand ils font des choses. Quand tu acceptes l’examen de Dieu, ton cœur est sur le droit chemin. Si tu ne fais des choses que pour que les autres les voient, que tu désires toujours être loué et admiré et que tu n’acceptes pas l’examen de Dieu, alors Dieu est-Il toujours dans ton cœur ? De telles personnes n’ont aucune révérence pour Dieu. Ne fais pas toujours les choses pour toi-même, ne considère pas constamment tes propres intérêts ; ne prête aucune considération aux intérêts de l’homme et ne pense pas à ta propre fierté, à ta propre réputation ni à ton propre statut. Tu dois d’abord penser aux intérêts de la maison de Dieu et en faire ta première priorité. Tu dois être attentif à la volonté de Dieu et commencer par réfléchir si, oui ou non, tu as été impur dans l’accomplissement de ton devoir, si tu as été loyal, assumé tes responsabilités et fait tout ton possible et si, oui ou non, tu as songé à ton devoir et au travail de l’Église. Tu dois prendre en considération ces choses-là. Penses-y fréquemment et essaie de les comprendre et il sera plus facile pour toi de bien accomplir ton devoir. Si tu es de faible calibre, que ton expérience est limitée, ou que tu n’es pas compétent dans ton travail professionnel, alors il se peut qu’il y ait des erreurs ou des insuffisances dans ton travail, et il se peut que les résultats ne soient pas très bons, mais tu y auras consacré tous tes efforts. Dans tout ce que tu fais, tu ne satisfais pas tes propres désirs ou préférences égoïstes. Au contraire, tu accordes constamment de la considération au travail de l’Église et aux intérêts de la maison de Dieu. Même si tu n’accomplis pas bien ton devoir, ton cœur a été rectifié : si, en plus, tu peux chercher la vérité pour résoudre les problèmes dans ton devoir, alors ton devoir sera à la hauteur et tu pourras entrer dans la réalité de la vérité. C’est là porter témoignage » (La Parole apparaît dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours). Cette parole de Dieu présente clairement les principes de la pratique. Le plus important, c’est d’envisager les intérêts de la maison de Dieu, de faire passer l’œuvre de Dieu en premier. Quand vous avez la bonne attitude, il est plus facile de bien faire votre devoir. J’ai également compris que nous croyons en Dieu et suivons Dieu, et non une personne, quelle qu’elle soit. Nous devons donc tenir compte de la volonté de Dieu en toutes choses, et non de ce que pensent les autres. Si je voulais satisfaire Dieu et être une dirigeante qualifiée, je devais renoncer au statut et à mes intérêts, et trouver des nouveaux venus talentueux dignes d’être cultivés, pour qu’ils puissent commencer leurs devoirs et accumuler les bonnes actions. C’était la seule façon d’assumer mon devoir. Dieu est juste avec chacun d’entre nous. Dieu n’examine pas notre calibre ou notre statut, Il examine si nous sommes capables de pratiquer la vérité. Si je faisais mon devoir conformément aux exigences de Dieu et aux principes de la vérité, si j’essayais toujours de faire mon travail afin qu’il bénéficie à celui de l’Église, même si mon calibre était médiocre, Dieu m’éclairerait et me guiderait pour que j’accomplisse bien mon devoir. Après avoir compris Sa volonté, j’ai prié Dieu pour me repentir, et j’ai dit que j’étais prête à renoncer à la chair et à faire mon devoir pour Le satisfaire.

Plus tard, nous avons accepté de plus en plus de nouveaux venus, et la dirigeante m’a demandé de former davantage de membres du personnel d’abreuvement. J’ai alors recommencé à avoir peur que les nouveaux venus que je cultivais prennent ma place, et que la dirigeante cesse alors de me cultiver. Quand j’ai eu ces pensées, j’ai compris que je ne devais plus penser à mon image et à mon statut, et que je devais tenir compte des intérêts de la maison de Dieu. J’ai prié Dieu, et je me suis souvenue de Ses paroles : « Être un dirigeant d’Église, ce n’est pas seulement apprendre à utiliser la vérité pour résoudre les problèmes, mais c’est aussi découvrir et cultiver des personnes de talent, que vous ne devez absolument pas envier ou réprimer. Pratiquer de cette façon est bénéfique au travail de l’Église. Si tu peux cultiver quelques personnes qui poursuivent la vérité pour qu’elles coopèrent bien avec toi dans tout le travail que tu fais, et qu’à la fin, vous avez tous des témoignages basés sur l’expérience, alors tu seras un dirigeant qualifié. Si vous devenez capables d’agir en toutes choses selon les principes, vous serez alors à la hauteur de votre loyauté » (La Parole apparaît dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours). En tant que dirigeante d’Église, ma responsabilité est d’apprendre aux nouveaux venus à accomplir leurs devoirs. En outre, accomplir son devoir est la responsabilité de tous ceux qui croient en Dieu. Si trop peu de gens coopèrent, c’est comme conduire une voiture sans pneus, et le travail de l’Église s’en trouve retardé. Si je ne formais pas les gens, étant donné que beaucoup de personnes acceptaient l’œuvre de Dieu, désormais, celles-ci ne pourraient pas être abreuvées à temps, leur entrée dans la vie en pâtirait, et le travail de la maison de Dieu s’en trouverait également affecté. Ensuite, j’ai choisi quatre nouveaux venus qui comprenaient facilement les choses, je les ai formés pour qu’ils deviennent dirigeants de groupe, et je les ai laissés animer des réunions à tour de rôle. Je leur ai également fait des rappels et je les ai aidés à abreuver d’autres nouveaux venus. En coopérant avec eux, j’ai eu plus de temps à consacrer à l’ensemble des tâches, et l’efficacité de notre travail s’est progressivement améliorée. J’ai été ravie de voir les nouveaux venus faires des progrès et accomplir leurs devoirs. Je me suis sentie à l’aise et j’ai gagné une meilleure compréhension des paroles de Dieu. La parole de Dieu dit : « Si tu recommandes une bonne personne et que tu permets à cette personne de suivre une formation et d’accomplir un devoir, ajoutant ainsi une personne de talent à la maison de Dieu, ton travail ne sera-t-il pas alors plus facile à faire ? N’auras-tu pas alors été à la hauteur de ta loyauté dans ce devoir ? C’est une bonne action devant Dieu ; c’est le minimum de conscience et de sens que doit posséder celui qui est dirigeant » (La Parole apparaît dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours). Si j’ai cette compréhension et si j’ai une entrée dans mon devoir, c’est entièrement dû à l’effet produit par la parole de Dieu.

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